"...Lisez la lettre que j'ai reçue [...] elle soulève une grave question de médecine légale"

Contenu

Titre
"...Lisez la lettre que j'ai reçue [...] elle soulève une grave question de médecine légale"
Description
En 1840, Marie Lafarge, accusée d'avoir empoisonné son mari, est condamnée à perpétuité. La Corrèze et l'ensemble du pays connaît alors une agitation vive autour de cette affaire, divisant la France en deux camps, les lafargistes et les antilafargistes. Il est à préciser que l'infortunée Marie Fortunée Capelle, épouse Lafarge était fille d'un colonel d'artillerie de l'Empire mais aussi petite nièce naturelle de Louis-Philippe. ... Marie Lafarge ne cessera de clamer son innocence et de l'écrire du fond de la prison où elle reste enfermée pendant 12 ans.

Dans cette lettre Marie Lafarge communique à un prêtre une lettre qu'elle a reçu de Dunkerque et qui "soulève une grave question de médecine légale", confirmant l'opinion d'un professeur de l'université de Montpellier. Suit une longue explication sur les expériences chimiques qui n'ont pas prouvé qu'il y avait de l'arsenic dans le corps de Charles Lafarge.
Droits
Domaine public
Licence
Licence ouverte
Relation
vignette : https://omeka-s.limoges.fr/files/original/71ae927594c2b7011a7b7b4e0bcebf9bf4740336.jpg
Format
application/pdf
Provenance
Bibliothèque francophone multimedia - ville de Limoges
Type
text
Collections
Manuscrits
[Manuscrits]

Mots-clés

correspondance Corrèze crime Marie Lafarge procès