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Limoges disparu - L'Abbessaille L’Abbessaille fut en grande partie rasée pour raisons hygiénistes, dès les années 1900. Elle est aujourd’hui remplacée par le boulevard (actuel Quai Louis-Goujaud) et la promenade piétonne en bords de Vienne. Il n’en demeure que quelques petites rues de la partie haute (rue du Pont Saint-Étienne, rue des Laveuses, rue des Roches, rue du Rajat…). Le cliché est évidemment antérieur à l’édition de cette carte postale de la série "Limoges disparu" de l'éditeur Dartout. cote : CPLim0258 (Bfm Limoges)
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Incendie de Limoges : aspect du lieu du sinistre. Vue prise du marché Dupuytren A l’époque où Limoges était majoritairement bâtie de bois et de torchis, les incendies étaient fréquents. L’un des plus ravageurs fut sans nul doute celui de la nuit du 15 août 1864, qui emporta presque tout le quartier des Arènes (109 maisons, environ 2000 personnes à la rue). La rue des Arènes de l’époque est devenue la rue Othon Péconnet, du nom du maire qui géra la reconstruction. On voit en bas à gauche l’angle de la halle Dupuytren qui était place de la Motte avant d’être transférée place Carnot en 1889. cote : 3Fi57 (Bfm Limoges)
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Rues Haut-Lansecot et du Cheval-Blanc à Limoges, incendiées dans la nuit du 7 mai
. A l’époque où Limoges était majoritairement bâtie de bois et de torchis, les incendies étaient fréquents. Dans la nuit du 7 mai 1861, ce sont 7 maisons de la rue du Cheval-Blanc (actuelle rue Gondinet) qui furent emportées par les flammes Extrait du Le Monde illustré, 1861. cote : 3Fi89 (Bfm Limoges)
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Les logements ouvriers à Limoges Le 24 octobre 1910 est inauguré dans le faubourg de Montjovis à Limoges un immeuble construit par la société l'Etoile dans le but philanthropique de fournir des logements aux ouvriers. Jules Tixier, par ailleurs architecte, détaille les qualités de construction et d'aménagement du projet et appelle à d'autres entreprises similaires. Extrait de "Limoges illustré" Dédicace manuscrite de l'auteur. cote : MAG.P LIM F6488/8 (Bfm Limoges)
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Démolition du quartier du Viraclaud de Limoges La démolition de ce quartier fut décidée dès 1896 par le maire Emile Labussière. En plus d’être un quartier d’habitations insalubres, le Viraclaud était réputé pour être le quartier des prostituées. Il fut rasé pour percer le bout de la rue Jean Jaurès et bâtir le quartier de la préfecture. cote : 9Fi224-2 (Bfm Limoges)
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Démolition du quartier du Viraclaud de Limoges La démolition de ce quartier fut décidée dès 1896 par le maire Emile Labussière. En plus d’être un quartier d’habitations insalubres, le Viraclaud était réputé pour être le quartier des prostituées. Il fut rasé pour percer le bout de la rue Jean Jaurès et bâtir le quartier de la préfecture. cote : 9Fi224-1 (Bfm Limoges)
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Ancienne caserne des pompiers de Limoges Si la série "Limoges disparu" de l’éditeur Gabriel Dartout date de 1939, elle reprend des clichés antérieurs, comme celui-ci de l’ancien Hôtel des Monnaies (où l’on battait monnaie), situé rue Pont-Hérisson dans le quartier du Viraclaud, qui abrita ensuite la caserne des sapeurs-pompiers et accueillit également l’école communale de la Monnaie (déménagée rue Aristide Briand). Après que fut construite la caserne de la Mauvendière, la caserne de la Monnaie fut démolie en 1912. On construira à son emplacement le Cirque-théâtre, aujourd’hui Opéra de Limoges. cote : 9Fi161 (Bfm Limoges)
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Projet d'aménagement du Centre-ville et d'extension de la ville de Limoges, présenté par Roger Marquet, négociant, spécialiste du lotissement et de l'urbanisme, expert-foncier, 4 décembre1944. A peine la guerre, terminée, se pose déjà la question de la reconstruction des villes ; le projet de Roger Marquet fait la part belle aux voies de circulation : finis les ruelles tortueuses, tout est offert à la libre circulation routière et ferroviaires. : est ainsi proposé le déplacement des halles centrales vers une artère périphérique et leur reconstruction sur deux niveaux et en faciliter l'accès automobile. Quelques dessins illustrent l'ambition du projet. cote : MAG.P.LIM ASS 74 (bfm Limoges)
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Livre journal concernant l'enclos des Cy-devant Grands Carmes. Livre journal de la main de Jacques Joseph Juge de Saint-Martin, avec à la fin collé la copie d'un acte d'huissier concernant le même enclos. En 1790, Jacques Joseph Juge de Saint Martin acquiert les bâtiments du couvent des Carmes déclarés Bien National. Le magistrat procède alors, de 1791 à 1813, à l’allotissement et à la démolition du couvent, en réalisant ainsi une opération immobilière favorisée par le percement au beau milieu des bâtiments conventuels d’une rue nouvelle (rue Neuve des Carmes). Les Grands Carmes, arrivés à Limoges au milieu du 13e siècle, résidèrent d'abord près du pont Saint-Martial puis construisirent leur monastère près de l'ancien amphithéâtre. A la Révolution, la communauté est dissoute. cote : Ms66 (Bfm Limoges)
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L'Urbanisme à Limoges au XVIIIe siècle. Limoges a longtemps séparée en deux villes : la Cité, dont la population est essentiellement cléricale et le Château. Celui-ci connait de grands bouleversements au XVIIIe siècle grâce aux efforts des intendants royaux. Les remparts sont progressivement arasés, laissant place à de larges boulevards plantés d'arbres, ouvrant la ville sur la campagne. De nombreux hôtels particuliers répondant au goût classique fleurissent, les premières manufactures sont créées (textiles, faïences puis porcelaine). A la veille de la Révolution, Limoges est en passe de devenir une ville moderne. cote : MAG.P LIM 50078 (Bfm Limoges)
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La question du Pont Saint-Etienne à Limoges Retour sur les débats qui avaient agité la Ville concernant le projet de destruction et de reconstruction du Pont Saint-Etienne, dans une période de pleine modernisation et d'aménagement de Limoges. cote : MAG.P LIM 40207 (Bfm Limoges)
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Bâtir Limoges Les espoirs enthousiastes d'un élu municipal au lendemain de la Deuxième Guerre Mondiale : "nous avons voulu simplement rassembler quelques idées dont beaucoup ne sont pas neuves sur les problèmes principaux qui seront à résoudre par les prochaines municipalités de Limoges". Le texte est dédié à Jean Lurçat et Henri Laurens. Il se clôt sur "Ce que devrait être Limoges en 1965". cote : MAG.P LIM B2573/16 (Bfm Limoges)
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L'eau de ma cave 2e lettre à la municipalité et au conseil municipal de Louis Guibert, écrivain et érudit, suite à l'inondation répétée de sa cave, située rue Elie Berthet à Limoges : la municipalité refuse d'admettre sa responsabilité dans le préjudice. Un texte de contreverse, drôle et plein d'esprit. Cote : MAG.P LIM 40693/4 (Bfm Limoges)
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Projet d'assainissement et d'amélioration de l'intérieur de la ville de Limoges En sous-titre : "Première partie : de la place Manigne à la Maison Cruveilhier, par les rues du Verdurier, des Suisses, Poulaillère, des Taules." Plan extrait de " De l'ouverture d'une nouvelle rue au centre de la ville de Limoges en traversant les rues du Verdurier, des Suisses, Poulaillère et des Taules " concernant le projet de réalisation de la future rue Jean Jaurès. cote : cote : MAG.P LIM B1029 (Bfm Limoges)
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De l'ouverture d'une nouvelle rue au centre de la ville de Limoges en traversant les rues du Verdurier, des Suisses, Poulaillère et des Taules Présentation du projet de création de la future rue Jean Jaurès. Limoges compte alors 42 000 habitants en 1852, une industrie florissante mais un tissu urbain encore insalubre et qui a peu évolué. Outre la description détaillée des travaux (percement des voies, alignement, financement...), le texte reprend une courte histoire de l'urbanisation de la ville et dresse l'état des lieux de l'époque . cote : MAG.P LIM B1029 (Bfm Limoges)
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Limoges, incendie du quartier des Arènes : Plan de l'incendie du 15 août 1864, d'après le plan général de Limoges, dressé en 1851 Dans la nuit du 15 août 1864, un incendie se déclare rue des Arènes et se propage rapidement. Il n'y a pas de victimes, mais 109 maisons sont détruites en une seule nuit dans un espace allant de la place d'Aine à la place de la Motte, laissant près de 2000 habitants sans abri. les pertes matérielles sont considérables. Originaire de Reims, Jacques-Joseph Maquart vient à Limoges à l'invitation de son ami Casimir Ranson. Cet amoureux des arts dévoué et actif , tel que ses amis le définissait, s'intègre vite, devient vice- président de la Société Archéologique puis de la "Société des amis des arts" du musée Dubouché. En 1864, il crée cet album de splendides dessins au fusain et sanguine, rappelant les péripéties de l' incendie de Limoges et l'offrit au Conseil municipal. Cette pièce unique comprend 12 dessins et trois plans. cote : RES.P LIM Z1
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Limoges, incendie du quartier des Arènes :Plan d'alignement proposé par la Société immobilière pour le rétablissement de ce quartier Dans la nuit du 15 août 1864, un incendie se déclare rue des Arènes et se propage rapidement. Il n'y a pas de victimes, mais 109 maisons sont détruites en une seule nuit dans un espace allant de la place d'Aine à la place de la Motte, laissant près de 2000 habitants sans abri. les pertes matérielles sont considérables. Sur ce plan est figuré en gris l’ancien quartier, en couleur est superposé le projet de reconstruction mené par le maire Othon Péconnet. Originaire de Reims, Jacques-Joseph Maquart vient à Limoges à l'invitation de son ami Casimir Ranson. Cet amoureux des arts dévoué et actif , tel que ses amis le définissait, s'intègre vite, devient vice- président de la Société Archéolohique puis de la "Société des amis des arts" du musée Dubouché. En 1864, il crée un album rappelant les péripéties de l' incendie de Limoges et l'offrit au Conseil municipal. Cet album unqiue comprend 12 dessins et trois plans. cote : RES.P LIM Z1
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Incendie de 1864, projet de reconstruction du quartier des Arènes et de réaménagement de la place de la Motte Plan de Lansade, agent voyer de la ville de Limoges. L’un des plus ravageurs incendies que connut Limoges fut sans nul doute celui de la nuit du 15 août 1864, qui emporta presque tout le quartier des Arènes (109 maisons, environ 2000 personnes à la rue). Sur ce plan est figuré en gris l’ancien quartier, en couleur est superposé le projet de reconstruction mené par le maire Othon Péconnet. (cote : RES.P. Lim Z1 (8) )
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Limoges, incendie du quartier des Arènes : Aspect de la place de la Mothe dans la matinée du 16 août L’un des plus ravageurs incendies que connut Limoges fut sans nul doute celui de la nuit du 15 août 1864, qui emporta presque tout le quartier des Arènes (109 maisons, environ 2000 personnes à la rue). (cote : RES.P LIM Z1 (7) )
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Limoges, incendie du quartier des Arènes : Partie détruite de la rue Haut-Lansecot L’un des plus ravageurs incendies que connut Limoges fut sans nul doute celui de la nuit du 15 août 1864, qui emporta presque tout le quartier des Arènes (109 maisons, environ 2000 personnes à la rue). On aperçoit à droite l’angle de la halle Dupuytren, qui fut ensuite déplacée place Carnot, ainsi que la fontaine d’Aigoulène et sa statue de Saint-Martial, aujourd’hui disparue. Seul le bac supérieur de la fontaine a été réutilisé, c’est aujourd’hui celui de la fontaine Saint-Michel-des-Lions. (cote : RES.P LIM Z1 (6) )