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Train de marchandises à Saint-Priest-Taurion - Fonds Boudeau (B73-n°1416) Ce train de marchandises a voyagé de Saint-Léonard-de-Noblat à Saint-Priest-Taurion le 8 avril 1911, d'après les informations visibles sur le wagon. Petit voyage d'une dizaine de kilomètres par la voie ferrée qui serpente au plus près de la Vienne.
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Locomotive et cheminots en gare de Saint-Priest-Taurion - Fonds Boudeau (B79-n°1400) Une belle machine à vapeur de la Compagnie du chemin de fer de Paris à Orléans (souvent plus simplement appelée "Paris-Orléans" ou " P.-O.") en gare de Saint-Priest-Taurion. Les chauffeurs et mécaniciens étaient très liés à leur machine et toujours fiers de poser pour les photographes.
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Locomotive en gare de Saint-Priest-Taurion - Fonds Boudeau (B79-n°1399) Une belle machine à vapeur de la Compagnie du chemin de fer de Paris à Orléans (souvent plus simplement appelée "Paris-Orléans" ou " P.-O.") en gare de Saint-Priest-Taurion. Il nous semble reconnaître, au fond, la gare du bourg, et non pas la gare des Bardys, l'autre gare de la commune.
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Viaduc sur le Taurion à Saint-Priest-Taurion - Fonds Boudeau (B59-n°1175) Combien d'usines, de ponts, de viaducs et autres ouvrages d'art Jean-Baptiste Boudeau a-t-il photographié ? Des centaines. Sa production variée prouve qu'il était autant admiratif des progrès techniques et des grandes réalisations de son époque que des vieilles demeures et de la tradition paysanne. Le viaduc ferroviaire de Saint-Priest-Taurion, bâti en 1878, est long de 192 mètres, comporte 10 arches et culmine à plus de 20 mètres au-dessus de la rivière.
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Pont sur le chemin de fer à Lamberterie, commune de Royères - Fonds Boudeau (B26-n°619) Imaginons Jean-Baptiste Boudeau arrivé avec son cheval et sa carriole sur ce chemin escarpé de la vallée de la Vienne, attendre patiemment le passage du train pour l'immortaliser.
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Avenue de la Gare et voie ferrée L’ancienne gare des Bénédictins a été mise en service en 1856. La construction des voies a notamment nécessité la démolition du premier temple protestant de Limoges et d’une fabrique de porcelaine Pouyat. Le ruisseau d’Aigueperse a été canalisé et un tunnel a été créé à la place du chemin de la Maison-Dieu. On remarque, tout au fond à gauche, l’église Saint-Paul-Saint-Louis de la rue Aristide-Briand, fraîchement construite. Fonds Jean-Baptiste Boudeau, Boîte 198 (Bfm Limoges)
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Garde voies 2 Dès le mois d'août 1914, face à la crainte d'une cinquième colonne, de traîtres, d'espions allemands qui viendraient saboter et ou prendre des informations capitales sur l'armée française, est mi en place un système de garde-voies, le long des lignes de chemin de fer. D'après une note de l'instruction générale des armées de 1910, les hommes âgés de plus de 35 ans jusqu'à 45 ans se réunissent sur l'emplacement assigné au poste auquel ils appartiennent et, pour les postes de voies ferrées, à la gare la plus voisine de cet emplacement." Ces deux photographies prises au poste 44 et 45, le long d'une voie ferrée, manifestement proche de Saint-Priest-Taurion, le 30 août 1914, nous montrent des hommes équipés chaque fois de un ou deux fusils, où les mêmes portent un uniforme, tandis que les autres sont habillés sommairement, reconnaissables à un brassard. Il s’agit du village de Nouaillas, sur le territoire de la commune d’Ambazac, le long de la ligne Paris-Limoges. Boite 200 (Bfm Limoges)
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Garde voies 1 Dès le mois d'août 1914, face à la crainte d'une cinquième colonne, de traîtres, d'espions allemands qui viendraient saboter et ou prendre des informations capitales sur l'armée française, est mi en place un système de garde-voies, le long des lignes de chemin de fer. D'après une note de l'instruction générale des armées de 1910, les hommes âgés de plus de 35 ans jusqu'à 45 ans se réunissent sur l'emplacement assigné au poste auquel ils appartiennent et, pour les postes de voies ferrées, à la gare la plus voisine de cet emplacement." Ces deux photographies prises au poste 44 et 45, le long d'une voie ferrée, manifestement proche de Saint-Priest-Taurion, le 30 août 1914, nous montrent des hommes équipés chaque fois de un ou deux fusils, où les mêmes portent un uniforme, tandis que les autres sont habillés sommairement, reconnaissables à un brassard. Il s’agit du village de Nouaillas, sur le territoire de la commune d’Ambazac, le long de la ligne Paris-Limoges. Boite 200 (Bfm Limoges)
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La bête humaine Nombreuses sont les photographies de moyens de locomotion dans l’œuvre de Jean-Baptiste Boudeau, ce dès sa première photographie, où on voit un tramway. Ici, une locomotive à vapeur de la compagnie du P.O., le Paris-Orléans, l'une des compagnies de chemin de fer privées. C'est la locomotive numéro 5022, le conducteur et le mécanicien posent fièrement sur le flanc de leur machine, tandis qu'on distingue le wagon rempli de charbon qui se trouvait à l'arrière de « la bête humaine », comme l'a écrit Émile Zola en 1890. Cette photographie a très certainement été prise à la gare de Saint-Priest-Taurion, en mars 1911. Boîte 72 (Bfm Limoges)
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Dans un wagon du PO (Paris-Orléans)- Corrèze Maurice Fournier est, pendant 25 ans, le correspondant régulier du quotidien "la Dépêche du Midi" pour la ville d'Argentat. Il publie à ce titre de nombreuses chroniques et rubriques d’actualité. Ce cliché est extrait d'un article de presse publié dans ce journal. cote : 2 S 11-13 (Archives municipales d’Argentat-sur-Dordogne)
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le PO (Paris-Orléans)- Corrèze en gare d'Argentat Maurice Fournier est, pendant 25 ans, le correspondant régulier du quotidien "la Dépêche du Midi" pour la ville d'Argentat. Il publie à ce titre de nombreuses chroniques et rubriques d’actualité. Ce cliché est extrait d'un article de presse publié dans ce journal. cote : 2 S 11-13 (Archives municipales d’Argentat-sur-Dordogne)
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La locomotive du PO (Paris-Orléans)- Corrèze Maurice Fournier est, pendant 25 ans, le correspondant régulier du quotidien "la Dépêche du Midi" pour la ville d'Argentat. Il publie à ce titre de nombreuses chroniques et rubriques d’actualité. Ce cliché est extrait d'un article de presse publié dans ce journal. cote : 2 S 11-13 (Archives municipales d’Argentat-sur-Dordogne)
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Le train en gare de Nexon cote : 9FI 484 (Bfm Limoges)