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St. Marc-Girardin Porte en plus la signature de St. Marc-Girardin. Marc Girardin, dit Saint-Marc Girardin, né le 12 février 1801 à Paris et mort le 11 avril 1873 à Morsang-sur-Seine (actuelle Essonne), est un universitaire, critique littéraire et homme politique français. Récompensé par l'Académie française en 1822 et 1827, il est nommé professeur de Seconde au collège Louis-le-Grand à Paris en 1827 et commence à cette époque à écrire pour le Journal des Débats. Après la Révolution de Juillet, il est nommé maître des requêtes au Conseil d'État et est chargé de remplacer François Guizot, devenu ministre de l'Instruction publique, comme professeur d'histoire à la Sorbonne. En 1833, chargé par Guizot d'une mission d'observation sur l'enseignement dans les États du sud de l'Allemagne, il écrit le rapport De l'instruction intermédiaire et de son état dans le midi de l'Allemagne. En 1834, il est nommé professeur de poésie française à la Sorbonne. Girardin est élu député de Saint-Yrieix (Haute-Vienne) en 1834, 1837 (mandat interrompu en 1839), 1842 et 1846 ; il siège au centre et soutient les gouvernements successifs. Il est nommé ministre de l'Instruction publique dans le gouvernement envisagé en février 1848 pour remplacer celui de Guizot, mais la chute de Louis-Philippe entraîne son retrait de la vie politique. Il poursuit dès lors son activité professorale et journalistique. cote : FP SAI 03 (Bfm Limoges)
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Mr. St. Marc-Girardin, vice-président de l'Assemblée nationale, décédé à Morsang-sur-Seine, le 11 avril portrait illustrant une nécrologie, extrait d'un journal non identifié. Marc Girardin, dit Saint-Marc Girardin, né le 12 février 1801 à Paris et mort le 11 avril 1873 à Morsang-sur-Seine (actuelle Essonne), est un universitaire, critique littéraire et homme politique français. Récompensé par l'Académie française en 1822 et 1827, il est nommé professeur de Seconde au collège Louis-le-Grand à Paris en 1827 et commence à cette époque à écrire pour le Journal des Débats. Après la Révolution de Juillet, il est nommé maître des requêtes au Conseil d'État et est chargé de remplacer François Guizot, devenu ministre de l'Instruction publique, comme professeur d'histoire à la Sorbonne. En 1833, chargé par Guizot d'une mission d'observation sur l'enseignement dans les États du sud de l'Allemagne, il écrit le rapport De l'instruction intermédiaire et de son état dans le midi de l'Allemagne. En 1834, il est nommé professeur de poésie française à la Sorbonne. Girardin est élu député de Saint-Yrieix (Haute-Vienne) en 1834, 1837 (mandat interrompu en 1839), 1842 et 1846 ; il siège au centre et soutient les gouvernements successifs. Il est nommé ministre de l'Instruction publique dans le gouvernement envisagé en février 1848 pour remplacer celui de Guizot, mais la chute de Louis-Philippe entraîne son retrait de la vie politique. Il poursuit dès lors son activité professorale et journalistique. cote : FP SAI 02 (Bfm Limoges)
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Mr. St. Marc-Girardin de l'Académie Française Extrait de "Le voleur et lecabinet de lecture réunis", journal littéraire. Marc Girardin, dit Saint-Marc Girardin, né le 12 février 1801 à Paris et mort le 11 avril 1873 à Morsang-sur-Seine (actuelle Essonne), est un universitaire, critique littéraire et homme politique français. Récompensé par l'Académie française en 1822 et 1827, il est nommé professeur de Seconde au collège Louis-le-Grand à Paris en 1827 et commence à cette époque à écrire pour le Journal des Débats. Après la Révolution de Juillet, il est nommé maître des requêtes au Conseil d'État et est chargé de remplacer François Guizot, devenu ministre de l'Instruction publique, comme professeur d'histoire à la Sorbonne. En 1833, chargé par Guizot d'une mission d'observation sur l'enseignement dans les États du sud de l'Allemagne, il écrit le rapport De l'instruction intermédiaire et de son état dans le midi de l'Allemagne. En 1834, il est nommé professeur de poésie française à la Sorbonne. Girardin est élu député de Saint-Yrieix (Haute-Vienne) en 1834, 1837 (mandat interrompu en 1839), 1842 et 1846 ; il siège au centre et soutient les gouvernements successifs. Il est nommé ministre de l'Instruction publique dans le gouvernement envisagé en février 1848 pour remplacer celui de Guizot, mais la chute de Louis-Philippe entraîne son retrait de la vie politique. Il poursuit dès lors son activité professorale et journalistique. cote : FP SAI 01 (Bfm Limoges)
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M. Antoine Latour, littérateur français, décédé le 27 août. Né à Saint-Yrieix (Haute-Vienne) le 30 août 1808, fils de Jean-Baptiste et de Madeleine de Jarrige de la Morelie de Mavieux ; poète et littérateur distingué, mort à Sceaux (Seine) le 27 août 1881. Cote : FP LAT (Bfm Limoges)
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Eglise de Saint-Yrieix Cette gravure est extraite de "Géographie du département de la Haute-Vienne", appelé aussi communément Guide Joanne, du nom de son premier auteur. Le Guide Joanne est une série de « guides-itinéraires », identifiables par leur couverture en percaline bleu nuit et leur lettrage doré, et d’abord écrits en relation avec l’ouverture des lignes de chemin de fer dès 1853. L’iconographie de ces guides est composée de gravures privilégiant l’architecture monumentale, les curiosités (naturelles ou bâties) et les sites de ville. Les vues paysagères sont plus rares. En 1919 Les Guides Joanne prennent le nom de Guides bleus. cote : MAG.P LIM 18229/87 (Bfm Limoges)
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Chauffaille, légende limousine Hemma-Prosbert collaborateur régulier de la "Revue Limousine" et de "Lemouzi" est un érudit passionné par l'histoire de sa région. Son récit "Chauffaille, légende limousine, tiré des "Chroniques" de Geoffroy de Vigeois, relate les hauts faits des habitants de Chaufaille, près de Saint-Yrieix au XIIe siècle, durant la guerre entre Richard Coeur de Lion et ses frères. cote : MAG.P LIM 41591 (Bfm Limoges)
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Saint-Yrieix (Haute-Vienne), carrière de kaolin abandonnée. A Saint-Yrieix, en 1768, Jean-Baptiste Darnet signale à un apothicaire l’existence de terre utilisée par sa femme pour faire sa lessive. L’analyse révèle la pureté du kaolin. Des dizaines de carrières s’ouvrent à partir de 1769. En 1801 la production annuelle de kaolin autour de Saint-Yrieix était estimée à 350 tonnes… cote : 9Fi85/2 (Bfm Limoges)