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Moulin du Dognon, Le Châtenet-en-Dognon - Fonds Boudeau (B136-n°2405) Ce très ancien moulin à céréales se situait sur la Bobilance, petite rivière, à quelques mètres de sa confluence avec le Taurion. Ce moulin a été noyé lors de la mise en service du barrage de Saint-Marc au début des années 1930.
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Vallée du Taurion - Fonds Boudeau (B64-n°1269) Nous n'avons pas de localisation précise pour cette vue, très probablement vers Saint-Priest-Taurion et Saint-Martin-Terressus.
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La baignade à Saint-Priest-Taurion - Fonds Boudeau (B59-n°1178) La baignade de Saint-Priest-Taurion était aménagée sur les bords du Taurion, en aval de l'ancien pont (remplacé en 1975 par l'actuel pont Jean Gagnant) non loin de la confluence avec la Vienne.
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Pêcheur sur la Vienne - Fonds Boudeau (B43-n°908) Nous reconnaissons l'ouvrage d'art ferroviaire ainsi que les quelques maisons visibles, ce qui nous permet de localiser précisément le lieu de cette prise de vue. Il s'agit du Moulin du Fer (ou "Moulin de la Forge à Fer" ou encore "Moulin du Forgeron") sur la commune de Saint-Priest-Taurion. Le pêcheur, qui porte un tablier de travail, est peut-être un employé de la mégisserie Périgot toute proche.
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Écluse sur le Taurion à la papeterie du Maureix - Fonds Boudeau (B24-n°598) Le Taurion, sur lequel était installée l'usine du Maureix à Saint-Martin-Terressus, spécialisée dans la fabrication de papier-paille, avait été aménagé à cet endroit pour optimiser la force hydraulique nécessaire au fonctionnement de la fabrique. Cet endroit a d'ailleurs été transformé, depuis, en centrale hydroélectrique.
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Rocher sur la Vienne à La Roche-Nantiat, commune de Saint-Just-le-Martel - Fonds Boudeau (B24-n°591) La vallée encaissée de la Vienne, près du village de La Roche-Nantiat, sur la commune de Saint-Just-le-Martel en Haute-Vienne. Nous ne connaissons pas l'identité de l'enfant qui marche sur les rochers, peut-être un jeune du village voisin.
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Le flottage du bois à Saint-Priest-Taurion - Fonds Boudeau (B16-n°461) Descendu des monts d'Ambazac ou de la Montagne limousine, le bois arrivait à Saint-Priest-Taurion, à la confluence de la Vienne et du Taurion, où il était arrêté et réorganisé une première fois. Il pouvait alors continuer sa course au fil de l'eau jusqu'à Limoges où, arrivé au port du Naveix, il était stocké et vendu pour la construction ou comme bois de chauffage, mais surtout pour alimenter les nombreux fours à porcelaine de la ville. Cette photographie, bien que sa qualité soit altérée, nous montre l'importance de cette activité et le personnel nombreux qu'elle employait.
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Vallée du Taurion aux environs de Tourniol à Saint-Priest-Taurion - Fonds Boudeau (B15-n°455) Jolie vue sur ce bout de Taurion après de récentes coupes de bois qui dégagent le paysage. On aperçoit sur l'autre rive un groupe qui semble se restaurer. Ils ne sont pas habillés en bûcherons ni en paysans, ce sont peut-être des citadins ou des gens du bourg en promenade dominicale.
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Rive gauche Le même jour, durant l'année 1909, à quelques minutes d'intervalle, Jean-Baptiste Boudeau stoppe sa carriole couverte et sa jument, en les immobilisant au milieu du pont de Brignac sur la commune de Royères. Il prend une première photo de la rive droite de la Vienne, en amont de la rivière, qui permet d'apercevoir par l'arche du pont les papeteries de Brignac. La deuxième, prise depuis l'autre rive et d'un peu plus loin en amont, joue sur le reflet du pont, des arches, de l'attelage et même des nuages dans les eaux calmes de la Vienne. La profondeur du ciel, sa beauté sont données ici principalement par le reflet. On devine au passage, le balai fiché à gauche de l'attelage, qui était l'une des marques de reconnaissance de Jean-Baptiste Boudeau. Boîte 15 (Bfm Limoges)
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Rive droite Le même jour, durant l'année 1909, à quelques minutes d'intervalle, Jean-Baptiste Boudeau stoppe sa carriole couverte et sa jument, en les immobilisant au milieu du pont de Brignac sur la commune de Royères. Il prend une première photo de la rive droite de la Vienne, en amont de la rivière, qui permet d'apercevoir par l'arche du pont les papeteries de Brignac. La deuxième, prise depuis l'autre rive et d'un peu plus loin en amont, joue sur le reflet du pont, des arches, de l'attelage et même des nuages dans les eaux calmes de la Vienne. La profondeur du ciel, sa beauté sont données ici principalement par le reflet. On devine au passage, le balai fiché à gauche de l'attelage, qui était l'une des marques de reconnaissance de Jean-Baptiste Boudeau. Boîte 15 (Bfm Limoges)
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Les buveurs d'absinthe Photographie prise le mardi 11 mai 1909, sur les bords du Taurion, probablement à Bourganeuf en Creuse. Nous possédons à la fois un tirage encadré et la plaque originale. Ces deux jeunes gens posent fièrement dans une étonnante symétrie et ressemblance. Mêmes tabliers blancs, mêmes torses nus, mêmes postures du bras gauche tenant une cigarette. Sur la table pliante bien campée, deux verres à pied, avec les cuillères à absinthe trouées, un sucrier, une carafe d'eau et bien-sûr la bouteille d'absinthe elle-même. La rangée d'arbres – quatre – que l'on voit en enfilade et qui les sépare sur la photographie crée la profondeur de champ. On distingue à droite une passerelle en bois, et un petit bâtiment vraisemblablement construit sur l'autre rive. La plaque au plan sensiblement plus large laisse supposer que, hors champ à droite, se trouve une construction. Personnages : Gabriel Barry et Charles Pradeloup Boîte 17 (Bfm Limoges)
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Le pont du Saillant Gravure extraite de " En Limousin, recueil de divers dessins de monuments limousins et préface de René Fage". Edifié au XVIème siècle, le pont du Saillant est situé à cheval sur les communes de Voutezac et d'Allassac, (les habitants parlent encore du « Saillant d'Allassac » et du « Saillant de Voutezac »), enjambant la Vézère. Il est composé de six arches, deux sur Allassac et les autres sur Voutezac. Il a bénéficié d'une protection par les Monuments Historique en 1969. Cette gravure fut initialement publiée dans le Bulletin de la société archéologique de Brive cote : MAG.P LIM 34062 (Bfm Limoges)
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Inondation de la Souvigne à Saint Chamant (Corrèze). Maurice Fournier est, pendant 25 ans, le correspondant régulier du quotidien "la Dépêche du Midi" pour la ville d'Argentat. Il publie à ce titre de nombreuses chroniques et rubriques d’actualité. Ce cliché est extrait d'un article de presse publié dans ce journal. cote : 2 S 11-13 (Archives municipales d’Argentat-sur-Dordogne)
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Laveuses à Vallière (Creuse) cote : 2FI 14 (Bfm Limoges)
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Pisciculture pratique Titre complet : Département de la Haute-Vienne. Rapport de la commission concernant la création dans la Haute-Vienne de plusieurs établissements de pisciculture pratique, présenté par M. Orliaguet,... adopté par le Conseil général, dans sa séance du 23 août 1881. cote : MAG.P LIM F5588/80 (Bfm Limoges)
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Limoges vue depuis la rive gauche La photographie semble être prise depuis une hauteur, peut-être l’entrée du viaduc. cote : 9FI473 (Bfm Limoges)
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Le pont Saint-Étienne, la cathédrale et le quartier de l'Abbessaille L’Abbessaille fut en grande partie rasée pour raisons hygiénistes dès les années 1900. Elle est aujourd’hui remplacée par le boulevard (actuel Quai Louis Goujaud) et la promenade piétonne en bords de Vienne. Il n’en demeure que quelques rues de la partie haute (rue du Pont Saint-Étienne, rue des Laveuses, rue des Roches, rue du Rajat…) cote : 9Fi470 (Bfm Limoges)
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Ruisseau du Guy (la Valoine) Jean-Baptiste Audiguet (1811-1897) est un des pionniers de la photographie professionnelle à Limoges. Né à Bellac dans un milieu modeste, il se lance dans la photographie à la fin des années 1850 et devient le grand portraitiste de la société limougeaude du Second Empire et de la Troisième République. C'est aussi le premier photographe connu à proposer des vues de la ville et de ses alentours, avec une parfaite maîtrise de la composition et une sensibilité esthétique surprenante. Avec Audiguet, Limoges devient paysage photographique. cote : 9FI502/26 (Bfm limoges)
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Les bords de l'Auzette Jean-Baptiste Audiguet (1811-1897) est un des pionniers de la photographie professionnelle à Limoges. Né à Bellac dans un milieu modeste, il se lance dans la photographie à la fin des années 1850 et devient le grand portraitiste de la société limougeaude du Second Empire et de la Troisième République. C'est aussi le premier photographe connu à proposer des vues de la ville et de ses alentours, avec une parfaite maîtrise de la composition et une sensibilité esthétique surprenante. Avec Audiguet, Limoges devient paysage photographique. cote : 9FI502/29 (Bfm limoges)
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Vue prise sur la Laurence [ l'Aurence ] cote : 3F45 (Bfm Limoges)