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pont Saint-Etienne
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Le pont Saint-Étienne et l'Abbessaille Vue d'une partie du quartier de l'Abbessaille, rive droite. cote : 9Fi502/49 (Bfm Limoges)
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Vue panoramique, vallée de la Vienne et pont Saint-Etienne A gauche (rive droite), la haute cheminée de l'usine électrique construite en 1897 boulevard des Petites-Carmes pour MM. Laroudie et Rougerie, fondateurs de la Compagnie centrale d'éclairage et de transport de force par l'électricité. L’usine fut démolie en 1977. A droite (rive gauche), la cheminée de la blanchisserie Deschamps. cote : CPLim0265 (Bfm Limoges)
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Pont Saint-Etienne et cathédrale La vue la plus emblématique de Limoges, photographiée des milliers de fois depuis des décennies. A part la petite fille assise sur le muret de la rampe, la vie semble être absente de cette vue si souvent reprise de Limoges, peut-être prise un dimanche, sans lavandière ni « naveteau »... cote : 9Fi511-1 (Bfm Limoges)
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Limoges par Bullura Extrait de La France pittoresque d’Abel Hugo, 1835. cote : 3Fi53 (Bfm Limoges)
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Limoges depuis les bords de Vienne, gravure de 1835 Gravure extraite du "Guide pittoresque du voyageur en France" par Eusèbe Girault de Saint Fargeau. cote : 3FI46 (Bfm Limoges)
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Vue du pont et de la ville de Limoges Au premier plan le pont Saint-Etienne, et au pied de la cathédrale l’imposant Séminaire, bâti sur les restes de l’abbaye de la Règle, dont il ne reste quasiment plus rien aujourd’hui... Graveur, dessinateur et peintre de paysage (surtout de marines) né en 1764, Jean Baugean produit une œuvre abondante d'aquafortiste. Il compte parmi les précurseurs des "voyages pittoresques" pour lesquels il a fourni des documents de grande précision. La gravure est inspirée d'un dessin de Fieffé, dessinateur amateur qui est surtout connu pour ses dessins publiés dans les "Voyages pittoresques de la France"(1817) cote : 3FI48 (Bfm Limoges)
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La question du Pont Saint-Etienne à Limoges Retour sur les débats qui avaient agité la Ville concernant le projet de destruction et de reconstruction du Pont Saint-Etienne, dans une période de pleine modernisation et d'aménagement de Limoges. cote : MAG.P LIM 40207 (Bfm Limoges)
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Limoges extrait du "Guide pittoresque du voyageur en France". cote : MAG P LIM B1215 (Bfm Limoges).
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Limoges Cette gravure est extraite de "Géographie du département de la Haute-Vienne", appelé aussi communément Guide Joanne, du nom de son premier auteur. Le Guide Joanne est une série de « guides-itinéraires », identifiables par leur couverture en percaline bleu nuit et leur lettrage doré, et d’abord écrits en relation avec l’ouverture des lignes de chemin de fer dès 1853. L’iconographie de ces guides est composée de gravures privilégiant l’architecture monumentale, les curiosités (naturelles ou bâties) et les sites de ville. Les vues paysagères sont plus rares. En 1919 Les Guides Joanne prennent le nom de Guides bleus. cote : MAG.P LIM 18229/87 (Bfm limoges)
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En sortant du pont Saint-Étienne Vue depuis le pont Saint-Étienne. Trois "Ponticauds" posent à l'entrée de leur quartier, l'Abbessaille. Derrière eux monte la rue du Pont Saint-Étienne, l'une des dernières rues conservées de ce quartier historique, presque entièrement rasé pour cause d'insalubrité au début du 20e siècle. Ces trois hommes, qui semblent nous barrer la route, pourraient illustrer le célèbre dicton : « Tu séï daus Pounts ? Passo ! Tu n’en séï pas ? Dïn l’aïgo ! » ("Tu es des Ponts, tu passes ; tu n'en es pas, tu ne passes pas !") cote : 9FI502/7 (Bfm limoges)
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Au Pont Saint-Etienne, en remontant la Vienne rive droite Le Pont Saint-Etienne sous un autre angle de vue, et toujours en présence des laveuses. Jean-Baptiste Audiguet (1811-1897) est un des pionniers de la photographie professionnelle à Limoges. Né à Bellac dans un milieu modeste, il se lance dans la photographie à la fin des années 1850 et devient le grand portraitiste de la société limougeaude du Second Empire et de la Troisième République. C'est aussi le premier photographe connu à proposer des vues de la ville et de ses alentours, avec une parfaite maîtrise de la composition et une sensibilité esthétique surprenante. Avec Audiguet, Limoges devient paysage photographique. cote : 9FI502/1 (Bfm limoges)
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Le Pont Saint-Étienne et l'ancienne route de Lyon La vue est prise depuis les actuels jardins de l’Evêché. La route de Lyon est devenue l’avenue du Sablard. La maison qui fait l’angle à droite a, depuis, dévoilé ses jolis colombages et c'est actuellement un restaurant bien connu des Limougeauds. Le grand bâtiment à gauche, le long de la Vienne, était celui de la blanchisserie Deschamps. Il a été remplacé par un immeuble résidentiel. On peut remarquer les draps (qui doivent plutôt être ceux lavés par les lavandières que l'on devine affairées en bas à droite) étendus sur le pont. Tout à gauche de la photographie, on devine le "ramier" qui servait à arrêter le bois amené par flottage pour fournir, entre autres, les fours à porcelaine. cote : 9FI502/2 (Bfm limoges)
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Le pont Saint-Étienne, la cathédrale et le quartier de l'Abbessaille L’Abbessaille fut en grande partie rasée pour raisons hygiénistes dès les années 1900. Elle est aujourd’hui remplacée par le boulevard (actuel Quai Louis Goujaud) et la promenade piétonne en bords de Vienne. Il n’en demeure que quelques rues de la partie haute (rue du Pont Saint-Étienne, rue des Laveuses, rue des Roches, rue du Rajat…) cote : 9Fi470 (Bfm Limoges)
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Rue du pont Saint-Etienne, rue Saint-Etienne Extrait du Plan d'alignement de la ville de Limoges, dit "Atlas Trésaguet". Sur l'impulsion de l'intendant Turgot, l'atlas Trésaguet, du nom de son concepteur, ingénieur des Ponts et Chaussées de la municipalité de Limoges, a été élaboré entre 1765 et 1768. Il s'agissait alors de répondre au besoin d'aménagement et de planification de l'espace urbain, afin de disposer d'un plan d'alignement et d'embellissement des quartiers de l'ancienne Cité, du Château et du début des faubourgs. L'atlas regroupe 53 planches, en noir et trait plein l'existant, comme ce qui est en projet à cette période. Les alignements projetés en pointillés, les limites des parcelles et des zones bâties sont indiquées.Il a constitué une référence et une base cartographique de grande qualité pour la réalisation des plans suivants jusqu'au milieu du XIXe siècle. Echelle : 1/432e (soit 2 lignes pour 1 toise) cote :1FI10 (Archives municipales de Limoges)
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Pont Saint-Étienne et quartier de l'Abbessaille Cette vue du pont Saint-Étienne, de l'Abbessaille et de la cathédrale de Limoges est un modèle "iconique" forgé par les illustrateurs au début du 19e siècle. Ce point du vue amplifié par les photographes finit par incarner la ville de Limoges au 20e siècle. Mais ici le point de vue est un peu différent, puisque le photographe se place à la sortie du pont et non pas plus loin, au bord de l'eau. cote : 9Fi502/12 (Bfm Limoges)
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Rue du Pont Saint-Étienne La rue qui porte le nom du pont sur lequel elle débouche est l'une des quelques rues préservées de ce quartier historique de la ville. Charles Giroux est né à Limoges. Régulièrement exposé aux Salons parisiens entre 1880 et 1910, il est membre de la Société Française des amis des arts, ainsi que sociétaire des Artistes français. Aquafortiste, ses travaux les plus connus sont des gravures d'interprétation. Charles Giroux a également réalisé un ensemble d'estampes représentant les paysages limousins. cote : 3F90 (Bfm Limoges)
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Le pont Saint-Étienne Cette vue du Pont Saint-Étienne, avec en arrière-plan le quartier de l'Abbessaille et la cathédrale de Limoges, reprend un modèle "iconique" forgé par les illustrateurs au début du XIXe siècle. Ce point du vue amplifié par les photographes finit par incarner la ville de Limoges au XXe siècle. Dans une très belle composition, avec une parfaite maîtrise de la lumière (voir les jeux d'ombre et de lumière sur les avant-becs du pont), Jean-Baptiste Audiguet (1811-1897) nous dévoile en un coup d’œil tous les visages de la cité, , entre héritage médiéval et développement industriel : la Vienne, vecteur essentiel de la vie économique, le peuple des Ponticauds (lavandières et débardeurs), le pont Saint-Étienne qui marquait la limite du flottage du bois destiné aux fours des usines de porcelaine, le quartier populaire de l'Abbessaille, l'abbaye de la Règle et dominant le tout, la cathédrale gothique. Il est intéressant de mettre en regard cette photographie avec l'émergence à la la même époque d'une littérature populaire des quartiers des bords de Vienne. cote : 9Fi502/41 (Bfm Limoges)