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Place de l'Hôtel-de-Ville de Limoges Sur la place de l’Hôtel-de-Ville, devenue place Léon-Betoulle en 1956, les cochers attendent le client. Sur la place Haute-Vienne, en surplomb, l’entrée des « Bains chinois » dont la façade court en bas du boulevard des Ursulines (devenu boulevard Gambetta). Cet établissement privé de bains-douches et de soins corporels fut détruit dans les années 1960 pour construire des immeubles résidentiels. Les vieilles maisons d’en face, à l’autre angle du boulevard et de la place, connurent le même sort. cote : CPLim0351 (Bfm Limoges)
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Denis Dussoubs cliché représentant la statue de denis Dussoubs. Commandée par le maire socialiste Emile Labussière, inaugurée en 1892, cette statue est l’œuvre du Limougeaud Rousselle-Bordelle. Imposant bronze sur un socle de granit, elle rend hommage à Denis Dussoubs, né en 1818 à Saint-Léonard-de-Noblat, grande figure de la Révolution française de 1848, mort sur les barricades parisiennes le 4 décembre 1851 alors qu’il manifestait contre le coup d’Etat de Louis-Napoléon Bonaparte. La statue le montre poing levé, haranguant la foule, volontaire et courageux. Elle fut fondue sous l’Occupation. cote : FP DUS 02 (Bfm Limoges)
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Limoges. - Statue de Denis Dussoubs Commandée par le maire socialiste Emile Labussière, inaugurée en 1892, cette statue est l’œuvre du Limougeaud Rousselle-Bordelle. Imposant bronze sur un socle de granit, elle rend hommage à Denis Dussoubs, né en 1818 à Saint-Léonard-de-Noblat, grande figure de la Révolution française de 1848, mort sur les barricades parisiennes le 4 décembre 1851 alors qu’il manifestait contre le coup d’Etat de Louis-Napoléon Bonaparte. La statue le montre poing levé, haranguant la foule, volontaire et courageux. Elle fut fondue sous l’Occupation. cote : CPLim0334 (Bfm Limoges)
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Champ de Juillet un jour de musique. Le kiosque à musique du Champ-de-Juillet date de 1877 (renforcé en 1879). Il est déplacé dans le Jardin d'Orsay en 1926 lors du réaménagement global du Champ de Juillet par l’architecte de la gare Roger Gonthier. Ce kiosque est détruit en 1966. Le kiosque actuel du Jardin d'Orsay date quant à lui de 2000. cote : CPLim0472 (Bfm Limoges)
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Place Denis Dussoubs Cette place fut créée en 1712 et remodelée par Turgot vers 1770. Elle s’appela place Montmailler, place Dauphine, place des Sans-Culottes, place du roi de Rome, place de la Liberté puis place de la Révolution, avant que son nom rende finalement hommage à Denis Dussoubs, né en 1818 à Saint-Léonard-de-Noblat, figure de la Révolution française de 1848, mort sur les barricades parisiennes le 4 décembre 1851 alors qu’il manifestait contre le coup d’Etat de Louis-Napoléon Bonaparte. La statue de 1892 le montrant poing levé, haranguant la foule, fut fondue sous l’Occupation. Boite 184 (Bfm Limoges)
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Vue générale de Tulle, la place de l'Hôtel de ville Gravure extraite de l' "Historique monumental de l'ancienne province du Limousin". Vue depuis l'actuelle place Gambetta, du logis de Loyac Ancien élève de l'Ecole des Arts et Métiers d'Angers, Jean-Baptiste Tripon s'installe imprimeur-lithographe à Limoges. Son ouvrage majeur est celui-ci. Imprimé en plusieurs livraisons, l'exemplaire original de 1837 est devenu rare. Les érudits du XIXe siècle sont déjà très critiques sur son contenu. Alfred Leroux estime en 1888 que "c'est un fatras sans critique, une compilation lourde et terne". Il en demeure des lithographies parfois fantaisistes, voire divertissantes. cote : MAG.P LIM 33272/2
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Denis Dussoubs Héros martyr de la République, Denis Dussoubs, né len 1818 à Saint-Léonard-de-Noblat, meurt lors des événements de résistance au coup d'état de Louis Napoléon Bonaparte en 1851. En février 1848, Denis Dussoubs participe activement à la Révolution à Limoges. Suite à l’émeute d'avril 1848 au cours de laquelle des ouvriers limougeauds s’emparent de la préfecture, il est condamné à deux ans de prison. Le 4 décembre 1851, au surlendemain du coup d’État de Louis-Napoléon Bonaparte, des députés tentent d’organiser la résistance. Denis prend alors l’écharpe tricolore de son frère Gaston ( alors député démocrate) pour se rendre sur la barricade de la rue Montorgueil à Paris. S’avançant seul et désarmé face à la troupe pour convaincre les soldats de se rallier à la République, il y meurt d’une balle de fusil. On dit même que le commandant, ému par tant d'éloquence et de bravoure, tenta de le dissuader de poursuivre son action désespérée. Victor Hugo en fait le récit dans son ouvrage "Histoire d'un Crime" (voir bibliographie). Voici donc comment mourut héroïquement Denis Dussoubs. La ville de Limoges lui dédia une statue sur la place qui porte son nom et Paris un nom de rue situé dans le quartier qui fut le théatre de ces tragiques évènements. cote : FP DUS 01 (Bfm Limoges)