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Un Pâturage et Vue vers le Viaduc La vue semble être prise depuis la route de Poulouzat (Condat-sur-Vienne). cote : CPLim0326 (Bfm Limoges)
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Vue du bourg d’Eyjeaux Une vue générale du village d'Eyjeaux prise vraisemblablement depuis la route, où on distingue l'église de face et à gauche le sommet du château. C'est une vue Ouest du bourg. Un groupe de quatre personnages, des enfants bien vêtus, pose dans la prairie. Boite 113 (Bfm Limoges)
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Le parc du château de la Beausserie Parmi les différents châteaux de Panazol, Morpiénas, Proximard et Le Buisson, celui de la Beausserie, par l'étendue de son parc, par sa localisation à proximité du bourg et par son devenir, retient notre attention. Possession de la famille Guybert de la Beaussserie, il déploie son large parc aménagé au XIXème siècle derrière le château, en direction du Nord-Ouest, en légère pente du fait de la vallée de la Vienne. Jean-Baptiste Boudeau réalise plusieurs photographies de la famille sur les marches du château. Branche de la famille Guybert, Guibert, des négociants de Limoges qui s'enrichissent, et ont mis en place un procession de distinction sociale, après la Révolution Française. Il photographie aussi le parc à l'anglaise, dont on voit ici la pièce d'eau et une cabane construite en lisière. Les personnages sont les membres de la famille. Personnages : Guybert de la Beausserie Boite 159 (Bfm imoges)
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Carriole près du vieux chêne - Fonds Boudeau (B42-n°887) Du côté de Costrenat, dans la partie Est de la commune de Saint-Priest-Taurion, le photographe arrête son attelage sous un vieux chêne aux branches manifestement plusieurs fois taillées. On aperçoit une belle demeure au fond de la photo, plus nettement les arbres qui forment les haies du bocage. Au delà de l'arbre torturé pris durant l'hiver 1909-1910, nous distinguons nettement l'attelage de Jean-Baptiste Boudeau, présent sur de nombreuses de ses photos. Le balai, toujours situé à gauche de la carriole, est encore présent. (notice V. Brousse)
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Description pittoresque d'une métairie dans le département de la Haute-Vienne Issu d'une grande famille de magistrats de Limoges, Joseph Juge de Saint-Martin succède à son père comme juge au présidial à Limoges, tout en rêvant de mettre en pratique sa passion pour le perfectionnement des sciences naturelles. Ce qu'il fit fort habilement : membre de la Société d’agriculture de Limoges, Il contribue à l’amélioration de l’art agricole, et surtout de la culture des arbres, en Limousin, créant les premières pépinières. Sur un ton élégiaque Jaques Joseph Juge de Saint-Martin décrit sa métairie de Boubaud à Nieuil près de Limoges. Un critique de l'époque assure à la parution de l'ouvrage : " ... si M. Juge, pour rendre ses descriptions plus séduisantes, a employé le pinceau de la poésie, c'était pour mieux faire sentir la ressemblance des objets qu'il voulait peindre et qu'on s'est convaincu, le livre à la main [...] qu'il n'a pas représenté les objets plus beaux que ceux offerts par la nature des lieux" (Journal du Département de la Haute-Vienne, 9 octobre 1806) cote : MAG.P LIM 18627 (Bfm Limoges)
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Vue du pont et de la ville de Limoges Au premier plan le pont Saint-Etienne, et au pied de la cathédrale l’imposant Séminaire, bâti sur les restes de l’abbaye de la Règle, dont il ne reste quasiment plus rien aujourd’hui... Graveur, dessinateur et peintre de paysage (surtout de marines) né en 1764, Jean Baugean produit une œuvre abondante d'aquafortiste. Il compte parmi les précurseurs des "voyages pittoresques" pour lesquels il a fourni des documents de grande précision. La gravure est inspirée d'un dessin de Fieffé, dessinateur amateur qui est surtout connu pour ses dessins publiés dans les "Voyages pittoresques de la France"(1817) cote : 3FI48 (Bfm Limoges)
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Vue d'une ruine des Jacobins de Limoges Le couvent des dominicains du faubourg Manigne fut construit à partir du 12e siècle. Le terrible inquisiteur Bernard Gui, natif de Limoges, y entra dans les ordres vers 1280. Au 19e siècle, il n’était plus que ruines, n’en subsistait que la petite église Sainte-Marie et quelques bâtiments servant à l’armée. Graveur et lithographe limousin, Léonard Albert est l'auteur de nombreux dessins de paysages de la région. cote : 3FI 19 (Bfm Limoges)
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Vaches Constantin Troyon est un peintre de paysages et d'animaux, reconnu pour son talent réaliste qui lui vaut une présentation régulières aux Salons. En 1863, il entreprend un voyage à travers le le Limousin (École de Crozant) avec ses amis peintres Jules Dupré et Louis Cabat. cote : 5FI90 (Bfm Limoges)
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Uzerche, vue générale cote : 9FI 90 (Bfm Limoges)
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Limoges, le Naveix Le port du Naveix et son ramier destiné à arrêter le bois en flottage. A droite, le village de Soudanas. Jean-Baptiste Audiguet (1811-1897) est un des pionniers de la photographie professionnelle à Limoges. Né à Bellac dans un milieu modeste, il se lance dans la photographie à la fin des années 1850 et devient le grand portraitiste de la société limougeaude du Second Empire et de la Troisième République. C'est aussi le premier photographe connu à proposer des vues de la ville et de ses alentours, avec une parfaite maîtrise de la composition et une sensibilité esthétique surprenante. cote : MAG.P LIM 9 Fi 502/11 (Bfm Limoges)
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La croix de Maupuy extrait de "Creuse 1879-80", carnet de croquis. Après une belle carrière dans la haute administration, Henri Hugon consacre sa retraite à l'érudition, essentiellement l'étude du Limousin. Membre de la société des sciences de la Creuse et celle du Limousin, il fournit d'innombrables études en particulier sur l'histoire de l'art et l'archéologie. On lui doit également deux recueils de vers dans lesquels il décrit les paysages de son Guéret natal avec toujours en toile de fond l'évocation de l'Histoire. Cet historien et poète maniait également la plume à dessin et le pinceau. Il laisse des carnets de croquis conservés dans les archives personnelles de Robert Margerit (dont il était le beau-père), l'un daté de 1876 à 1879, l'autre de 1879-1880. Ses croquis empruntent les mêmes évocations que ses vers chantant la Creuse, son humilité, sa simplicité, avec de nombreux repères de lieux historiques ou archéologiques. On y voit des paysages de la campagne creusoise, mais aussi des bâtiments (châteaux, églises), des ensembles plus modestes ( détails architecturaux, ... ) Les dessins sont au crayon, retravaillés parfois à la plume ou au lavis ocre.
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Maupuy, la Peyroulade extrait de Creuse 1876-79 , carnet de croquis. Après une belle carrière dans la haute administration, Henri Hugon consacre sa retraite à l'érudition, essentiellement l'étude du Limousin. Membre de la société des sciences de la Creuse et celle du Limousin, il fournit d'innombrables études en particulier sur l'histoire de l'art et l'archéologie. On lui doit également deux recueils de vers dans lesquels il décrit les paysages de son Guéret natal avec toujours en toile de fond l'évocation de l'Histoire. Enfin, cet historien poète maniait également la plume à dessin et le pinceau. Il laisse des carnets de croquis conservés dans les archives personnelles de Robert Margerit (dont il était le beau-père), l'un daté de 1876 à 1879, l'autre de 1879-1880. Ses croquis empruntent les mêmes évocations que ses vers qui chantent la Creuse aimée, son humilité et simplicité, avec de nombreux repères de lieux historiques ou archéologiques. On y voit des paysages de la campagne creusoise, mais aussi des bâtiments (châteaux, églises), des ensembles plus modestes ( détails architecturaux, ... ) Les dessins sont au crayon, retravaillés parfois à la plume ou au lavis ocre.
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Le village de Sainte-Claire, près de Limoges. Jean-Baptiste Audiguet (1811-1897) est un des pionniers de la photographie professionnelle à Limoges. Né à Bellac dans un milieu modeste, il se lance dans la photographie à la fin des années 1850 et devient le grand portraitiste de la société limougeaude du Second Empire et de la Troisième République. C'est aussi le premier photographe connu à proposer des vues de la ville et de ses alentours, avec une parfaite maîtrise de la composition et une sensibilité esthétique surprenante. Avec Audiguet, Limoges devient paysage photographique. cote : 9FI502/27 (Bfm limoges)
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Gimel Guide touristique de la région de Gimel publié dans les années 1925 par Victor Forot (1845-1933), historien et historien d'art, maire adjoint de Tulle et conservateur du musée de Tulle, en charge de l'inventaire des richesses artistiques du département il fut l’un des historiens et archéologues les plus importants de la Corrèze du début du XXe siècle. Les Illustrations sont d’André Mazeyrie, personnalité tulliste profondément liée à l’histoire du musée du Cloître. Médecin mais également dessinateur, il a illustré de nombreux ouvrages sur l’histoire de la ville ou du département. cote : Patrimoine local 19 C/mag (Bibliothèque de Brive)
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Vaches s'abreuvant Peintre paysagiste, Jules Dupré est apparenté à l'école de Barbizon. Admirateur de Géricault, le Lorrain, Rembrandt, il décide très jeune de peindre en plein air. Il part pour cela en Angleterre, retrouver les ciels de Constable, voyage en Berry (où il rencontre George Sand), participe à l'Ecole de Crozant puis de Barbizon. Il peint principalement des paysages de campagne aux ciels tourmentés, mais aussi des marines. La facture de ses ciels lui vaut les félicitations de Delacroix. En 1881, l'Etat lui achète "le Matin et "le Soir" pour les exposer au Musée du Luxembourg. cote : 5FI20 (Bfm Limoges)
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Le Vieux Chêne Peintre paysagiste, Jules Dupré est apparenté à l'école de Barbizon. Admirateur de Géricault, le Lorrain, Rembrandt, il décide très jeune de peindre en plein air. Il part pour cela en Angleterre, retrouver les ciels de Constable, voyage en Berry (où il rencontre George Sand), participe à l'Ecole de Crozant puis de Barbizon. Il peint principalement des paysages de campagne aux ciels tourmentés, mais aussi des marines. La facture de ses ciels lui vaut les félicitations de Delacroix. En 1881, l'Etat lui achète "le Matin et "le Soir" pour les exposer au Musée du Luxembourg. cote : 5FI17 (Bfm Limoges)
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Le Matin Peintre paysagiste, Jules Dupré est apparenté à l'école de Barbizon. Admirateur de Géricault, le Lorrain, Rembrandt, il décide très jeune de peindre en plein air. Il part pour cela en Angleterre, retrouver les ciels de Constable, voyage en Berry (où il rencontre George Sand), participe à l'Ecole de Crozant puis de Barbizon. Il peint principalement des paysages de campagne aux ciels tourmentés, mais aussi des marines. La facture de ses ciels lui vaut les félicitations de Delacroix. En 1881, l'Etat lui achète "le Matin et "le Soir" pour les exposer au Musée du Luxembourg. cote : 5FI16 (Bfm Limoges)
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Paysage Peintre paysagiste, Jules Dupré est apparenté à l'école de Barbizon. Admirateur de Géricault, le Lorrain, Rembrandt, il décide très jeune de peindre en plein air. Il part pour cela en Angleterre, retrouver les ciels de Constable, voyage en Berry (où il rencontre George Sand), participe à l'Ecole de Crozant puis de Barbizon. Il peint principalement des paysages de campagne aux ciels tourmentés, mais aussi des marines. La facture de ses ciels lui vaut les félicitations de Delacroix. En 1881, l'Etat lui achète "le Matin et "le Soir" pour les exposer au Musée du Luxembourg. cote : 5FI18 (Bfm Limoges)
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Le Soir Peintre paysagiste, Jules Dupré est apparenté à l'école de Barbizon. Admirateur de Géricault, le Lorrain, Rembrandt, il décide très jeune de peindre en plein air. Il part pour cela en Angleterre, retrouver les ciels de Constable, voyage en Berry (où il rencontre George Sand), participe à l'Ecole de Crozant puis de Barbizon. Il peint principalement des paysages de campagne aux ciels tourmentés, mais aussi des marines. La facture de ses ciels lui vaut les félicitations de Delacroix. En 1881, l'Etat lui achète "le Matin et "le Soir" pour les exposer au Musée du Luxembourg. cote : 5FI18 (Bfm Limoges)
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Argentat, Pont suspendu extrait du "Guide pittoresque du voyageur en France". cote : MAG P LIM B1215 (Bfm Limoges).