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Moulin du Dognon, Le Châtenet-en-Dognon - Fonds Boudeau (B136-n°2405) Ce très ancien moulin à céréales se situait sur la Bobilance, petite rivière, à quelques mètres de sa confluence avec le Taurion. Ce moulin a été noyé lors de la mise en service du barrage de Saint-Marc au début des années 1930.
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Cascade et moulin de Leychoisier à Bonnac-la-Côte - Fonds Boudeau (B127-n°2266) Sous le château de Leychoisier, le moulin du même nom est alimenté par la Mazelle, gros ruisseau de 13 km qui grossit la Cane, cette dernière devenant le ruisseau du Palais, affluent de la Vienne au Palais-sur-Vienne.
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Incendie au moulin Vergnaud à Saint-Léonard - Fonds Boudeau (B111-n°2023) Cette papeterie appartenant à la famille Vergnaud était installée sur les bords du Tard, petit affluent de la Vienne, au lieu-dit Chez-le-Marchand, commune de Saint-Léonard-de-Noblat. Malheureusement, dans les nombreuses fabriques de papiers et cartons de cette vallée, les incendies n'étaient pas rares...
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Incendie au moulin Vergnaud à Saint-Léonard - Fonds Boudeau (B111-n°2021) Cette papeterie appartenant à la famille Vergnaud était installée sur les bords du Tard, petit affluent de la Vienne, au lieu-dit Chez-le-Marchand, commune de Saint-Léonard-de-Noblat. Malheureusement, dans les nombreuses fabriques de papiers et cartons de cette vallée, les incendies n'étaient pas rares...
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Incendie au moulin de Lageas-Basse à Royères - Fonds Boudeau (B74-n°1430) Bâti sur la rive gauche de la Vienne, tout près de Brignac, Lageas-Basse était l'un des trois moulins historiques de la commune de Royères. Datant d'au moins le 16e siècle, il produisit dès le 18e siècle du papier, comme nombre de moulins de cette vallée. Puis il redevint un moulin à farine en 1880. Mais un incendie le ravagea en 1911. Jean-Baptiste Boudeau photographie ici les décombres. Le moulin ne fut pas reconstruit et les quelques ruines qu'il en reste portent aujourd'hui le nom de "Moulin brulé".
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Incendie au moulin de Lageas-Basse à Royères - Fonds Boudeau (B74-n°1429) Bâti sur la rive gauche de la Vienne, tout près de Brignac, Lageas-Basse était l'un des trois moulins historiques de la commune de Royères. Datant d'au moins le 16e siècle, il produisit dès le 18e siècle du papier, comme nombre de moulins de cette vallée. Puis il redevint un moulin à farine en 1880. Mais un incendie le ravagea en 1911. Jean-Baptiste Boudeau photographie ici les décombres. Le moulin ne fut pas reconstruit et les quelques ruines qu'il en reste portent aujourd'hui le nom de "Moulin brulé".
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Incendie au moulin de Lageas-Basse à Royères - Fonds Boudeau (B74-n°1428) Bâti sur la rive gauche de la Vienne, tout près de Brignac, Lageas-Basse était l'un des trois moulins historiques de la commune de Royères. Datant d'au moins le 16e siècle, il produisit dès le 18e siècle du papier, comme nombre de moulins de cette vallée. Puis il redevint un moulin à farine en 1880. Mais un incendie le ravagea en 1911. Jean-Baptiste Boudeau photographie ici les décombres. Le moulin ne fut pas reconstruit et les quelques ruines qu'il en reste portent aujourd'hui le nom de "Moulin brulé".
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Moulin de Lageas-Basse, Royères - Fonds Boudeau (B28-n°653) Bâti sur la rive gauche de la Vienne, Lageas-Basse est l'un des trois moulins historiques de la commune de Royères. Datant d'au moins le 16e siècle, il produisit dès le 18e siècle du papier, comme nombre de moulins de cette vallée. Puis il redevint un moulin à farine en 1880. Mais un incendie le ravagea en 1911. Il ne fut pas reconstruit et les quelques ruines qu'il en reste portent aujourd'hui le nom de "Moulin brulé".
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Moulin à kaolin au Palais-sur-Vienne - Fonds Boudeau (B28-n°644) Photographie du moulin Garat, alors propriété de M. Bouillon, l'un des trois "moulins à kaolin" du Palais-sur-Vienne à l'époque. Si, depuis le 18e siècle, la plus grande partie du kaolin servant à la fabrication de la porcelaine de Limoges était extrait dans la région de Saint-Yrieix-la-Perche, l'exploitation de la précieuse argile blanche se fit aussi dans les Monts d'Ambazac. Les "moulins à kaolin" utilisaient l'énergie hydraulique pour broyer le kaolin, le quartz et le feldspath et produisaient ainsi la pâte à porcelaine indispensable aux nombreuses manufactures haut-viennoises. Le moulin Garat a cessé son activité en 1948, il fut détruit en 1973 et remplacé par la halle des sports.
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Moulin à kaolin au Palais-sur-Vienne - Fonds Boudeau (B28-n°643) Photographie du moulin Garat, alors propriété de M. Bouillon, l'un des trois "moulins à kaolin" du Palais-sur-Vienne à l'époque. Si, depuis le 18e siècle, la plus grande partie du kaolin servant à la fabrication de la porcelaine de Limoges était extrait dans la région de Saint-Yrieix-la-Perche, l'exploitation de la précieuse argile blanche se fit aussi dans les Monts d'Ambazac. Les "moulins à kaolin" utilisaient l'énergie hydraulique pour broyer le kaolin, le quartz et le feldspath et produisaient ainsi la pâte à porcelaine indispensable aux nombreuses manufactures haut-viennoises. Le moulin Garat a cessé son activité en 1948, il fut détruit en 1973 et remplacé par la halle des sports.
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Moulin de Lageas-Basse à Royères avec faucheurs - Fonds Boudeau (B27-n°633) Bâti sur la rive gauche de la Vienne, Lageas-Basse est l'un des trois moulins historiques de la commune de Royères. Datant d'au moins le 16e siècle, il produisit dès le 18e siècle du papier, comme nombre de moulins de cette vallée. Puis il redevint un moulin à farine en 1880. Mais un incendie le ravagea en 1911. Il ne fut pas reconstruit et les quelques ruines qu'il en reste portent aujourd'hui le nom de "Moulin brulé".
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Moulin de Lageas-Basse à Royères - Fonds Boudeau (B27-n°632) Bâti sur la rive gauche de la Vienne, Lageas-Basse est l'un des trois moulins historiques de la commune de Royères. Datant d'au moins le 16e siècle, il produisit dès le 18e siècle du papier, comme nombre de moulins de cette vallée. Puis il redevint un moulin à farine en 1880. Mais un incendie le ravagea en 1911. Il ne fut pas reconstruit et les quelques ruines qu'il en reste portent aujourd'hui le nom de "Moulin brulé". Au fond fument les cheminées de la grande papeterie de Brignac.
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Vallée de la Vienne à Brignac, commune de Royères - Fonds Boudeau (B23-n°577) La vallée de la Vienne, à Brignac, entre Saint-Léonard-de-Noblat et Saint-Priest-Taurion. Nous voyons sur la rive gauche le moulin de Lageas-Basse, qui brûla en 1911.
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La Vienne et la tannerie Périgot à Saint-Priest-Taurion - Fonds Boudeau (B23-n°571) La mégisserie Périgot était installée au Moulin du Fer (ou "Moulin de la Forge à Fer" ou encore "Moulin du Forgeron") qui tire son nom du fait qu'il est un ancien lieu d'exploitation des métaux. Le moulin servit d'ailleurs à différentes activités au cours des siècles (tréfilerie, papeterie, tannerie...) qui avaient toutes besoin de la force hydraulique amenée par la Vienne.
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Le Moulin du Pont à Saint-Martin-Terressus - Fonds Boudeau (B19-n°510) Non loin du bourg de Saint-Martin-Terressus, sur la route d'Ambazac, le Moulin du Pont est établi au bord d'un ruisseau et alimenté par un étang, tout près du Taurion. A l'époque de cette prise de vue , il est tenu par la famille Picaud qui y produit de la farine.
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Cartonnerie des Roches à Saint-Priest-Taurion, vue générale - Fonds Boudeau (B17-n°487) La cartonnerie des Roches appartenait à la société Hétier, basée dans le Jura. Profitant de l'énergie de la Vienne, elle produisait de la pâte à papier, du papier et du carton. Elle ferma ses portes en 1978 et fut transformée en une usine hydroélectrique qui fournit aujourd'hui une bonne part de son électricité à la commune.
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Cartonnerie des Roches à Saint-Priest-Taurion, vue depuis la route - Fonds Boudeau (B17-n°486) La cartonnerie des Roches appartenait à la société Hétier, basée dans le Jura. Profitant de l'énergie de la Vienne, elle produisait de la pâte à papier, du papier et du carton. Elle ferma ses portes en 1978 et fut transformée en une usine hydroélectrique qui fournit aujourd'hui une bonne part de son électricité à la commune.
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Chemin de fer et moulins Caillaud et Chilloux à Saint-Priest-Taurion - Fonds Boudeau (B17-n°485) Le photographe domine le chemin de fer qui longe la Vienne à Saint-Priest-Taurion, rive droite. Le moulin sous la voie ferrée est celui du meunier Caillaud, dit moulin de la Roche. Le moulin de la rive gauche, en face, est celui du meunier Chilloux, dit moulin de Cintrat. Ce dernier se trouve en réalité à Saint-Just-le-Martel puisque la rivière délimite les deux communes.
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Moulin de l'Age, Creuse extrait de "Creuse 1879-80", carnet de croquis. Après une belle carrière dans la haute administration, Henri Hugon consacre sa retraite à l'érudition, essentiellement l'étude du Limousin. Membre de la société des sciences de la Creuse et celle du Limousin, il fournit d'innombrables études en particulier sur l'histoire de l'art et l'archéologie. On lui doit également deux recueils de vers dans lesquels il décrit les paysages de son Guéret natal avec toujours en toile de fond l'évocation de l'Histoire. Cet historien et poète maniait également la plume à dessin et le pinceau. Il laisse des carnets de croquis conservés dans les archives personnelles de Robert Margerit (dont il était le beau-père), l'un daté de 1876 à 1879, l'autre de 1879-1880. Ses croquis empruntent les mêmes évocations que ses vers chantant la Creuse, son humilité, sa simplicité, avec de nombreux repères de lieux historiques ou archéologiques. On y voit des paysages de la campagne creusoise, mais aussi des bâtiments (châteaux, églises), des ensembles plus modestes ( détails architecturaux, ... ) Les dessins sont au crayon, retravaillés parfois à la plume ou au lavis ocre.