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Incendie au moulin Vergnaud à Saint-Léonard - Fonds Boudeau (B111-n°2023) Cette papeterie appartenant à la famille Vergnaud était installée sur les bords du Tard, petit affluent de la Vienne, au lieu-dit Chez-le-Marchand, commune de Saint-Léonard-de-Noblat. Malheureusement, dans les nombreuses fabriques de papiers et cartons de cette vallée, les incendies n'étaient pas rares...
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Incendie au moulin Vergnaud à Saint-Léonard - Fonds Boudeau (B111-n°2021) Cette papeterie appartenant à la famille Vergnaud était installée sur les bords du Tard, petit affluent de la Vienne, au lieu-dit Chez-le-Marchand, commune de Saint-Léonard-de-Noblat. Malheureusement, dans les nombreuses fabriques de papiers et cartons de cette vallée, les incendies n'étaient pas rares...
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Incendie au moulin de Lageas-Basse à Royères - Fonds Boudeau (B74-n°1430) Bâti sur la rive gauche de la Vienne, tout près de Brignac, Lageas-Basse était l'un des trois moulins historiques de la commune de Royères. Datant d'au moins le 16e siècle, il produisit dès le 18e siècle du papier, comme nombre de moulins de cette vallée. Puis il redevint un moulin à farine en 1880. Mais un incendie le ravagea en 1911. Jean-Baptiste Boudeau photographie ici les décombres. Le moulin ne fut pas reconstruit et les quelques ruines qu'il en reste portent aujourd'hui le nom de "Moulin brulé".
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Incendie au moulin de Lageas-Basse à Royères - Fonds Boudeau (B74-n°1429) Bâti sur la rive gauche de la Vienne, tout près de Brignac, Lageas-Basse était l'un des trois moulins historiques de la commune de Royères. Datant d'au moins le 16e siècle, il produisit dès le 18e siècle du papier, comme nombre de moulins de cette vallée. Puis il redevint un moulin à farine en 1880. Mais un incendie le ravagea en 1911. Jean-Baptiste Boudeau photographie ici les décombres. Le moulin ne fut pas reconstruit et les quelques ruines qu'il en reste portent aujourd'hui le nom de "Moulin brulé".
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Incendie au moulin de Lageas-Basse à Royères - Fonds Boudeau (B74-n°1428) Bâti sur la rive gauche de la Vienne, tout près de Brignac, Lageas-Basse était l'un des trois moulins historiques de la commune de Royères. Datant d'au moins le 16e siècle, il produisit dès le 18e siècle du papier, comme nombre de moulins de cette vallée. Puis il redevint un moulin à farine en 1880. Mais un incendie le ravagea en 1911. Jean-Baptiste Boudeau photographie ici les décombres. Le moulin ne fut pas reconstruit et les quelques ruines qu'il en reste portent aujourd'hui le nom de "Moulin brulé".
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Incendie à l'usine du Maureix, Saint-Martin-Terressus - Fonds Boudeau (B21-n°545) Jean-Baptiste Boudeau se fait ici reporter, puisqu'il part photographier les dégâts occasionnés par un incendie à la papeterie du Petit Maureix, sur la commune de Saint-Martin-Terressus. Cette usine des bords du Taurion était spécialisée dans la fabrication de papier-paille. Elle appartenait à la Société générale des Papeteries du Limousin qui, depuis 1898, regroupait d'anciennes papeteries indépendantes de Haute-Vienne, de Charente limousine et de Corrèze. Bien que n'étant pas le centre de production le plus important du groupement, l'usine du Maureix employait tout de même plus de 40 ouvriers.
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Incendie à l'usine du Maureix, Saint-Martin-Terressus - Fonds Boudeau (B21-n°544) Jean-Baptiste Boudeau se fait ici reporter, puisqu'il part photographier les dégâts occasionnés par un incendie à la papeterie du Petit Maureix, sur la commune de Saint-Martin-Terressus. Cette usine des bords du Taurion était spécialisée dans la fabrication de papier-paille. Elle appartenait à la Société générale des Papeteries du Limousin qui, depuis 1898, regroupait d'anciennes papeteries indépendantes de Haute-Vienne, de Charente limousine et de Corrèze. Bien que n'étant pas le centre de production le plus important du groupement, l'usine du Maureix employait tout de même plus de 40 ouvriers.
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Incendie à l'usine du Maureix, Saint-Martin-Terressus - Fonds Boudeau (B21-n°543) Jean-Baptiste Boudeau se fait ici reporter, puisqu'il part photographier les dégâts occasionnés par un incendie à la papeterie du Petit Maureix, sur la commune de Saint-Martin-Terressus. Cette usine des bords du Taurion était spécialisée dans la fabrication de papier-paille. Elle appartenait à la Société générale des Papeteries du Limousin qui, depuis 1898, regroupait d'anciennes papeteries indépendantes de Haute-Vienne, de Charente limousine et de Corrèze. Bien que n'étant pas le centre de production le plus important du groupement, l'usine du Maureix employait tout de même plus de 40 ouvriers.
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Incendie à l'usine du Maureix, Saint-Martin-Terressus - Fonds Boudeau (B21-n°542) Jean-Baptiste Boudeau se fait ici reporter, puisqu'il part photographier les dégâts occasionnés par un incendie à la papeterie du Petit Maureix, sur la commune de Saint-Martin-Terressus. Cette usine des bords du Taurion était spécialisée dans la fabrication de papier-paille. Elle appartenait à la Société générale des Papeteries du Limousin qui, depuis 1898, regroupait d'anciennes papeteries indépendantes de Haute-Vienne, de Charente limousine et de Corrèze. Bien que n'étant pas le centre de production le plus important du groupement, l'usine du Maureix employait tout de même plus de 40 ouvriers.
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Incendie de Limoges : aspect du lieu du sinistre. Vue prise du marché Dupuytren A l’époque où Limoges était majoritairement bâtie de bois et de torchis, les incendies étaient fréquents. L’un des plus ravageurs fut sans nul doute celui de la nuit du 15 août 1864, qui emporta presque tout le quartier des Arènes (109 maisons, environ 2000 personnes à la rue). La rue des Arènes de l’époque est devenue la rue Othon Péconnet, du nom du maire qui géra la reconstruction. On voit en bas à gauche l’angle de la halle Dupuytren qui était place de la Motte avant d’être transférée place Carnot en 1889. cote : 3Fi57 (Bfm Limoges)
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Rues Haut-Lansecot et du Cheval-Blanc à Limoges, incendiées dans la nuit du 7 mai
. A l’époque où Limoges était majoritairement bâtie de bois et de torchis, les incendies étaient fréquents. Dans la nuit du 7 mai 1861, ce sont 7 maisons de la rue du Cheval-Blanc (actuelle rue Gondinet) qui furent emportées par les flammes Extrait du Le Monde illustré, 1861. cote : 3Fi89 (Bfm Limoges)
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Plan du terrible et épouvantable incendie qui détruisit une partie de la ville de Limoges le 6 septembre 1790 Extrait du plan de la ville de Limoges de 1775 Nota : la teinte noire représente La teinte rouge forcée le mur d'enceinte de la ville de Limoges, la teinte rosée le quartier de la ville non atteint. Plan manuscrit et rehaussé à l'aquarelle, Extrait du manuscrit "Guide du sapeur-pompier de la ville de Limoges", 1874 cote : Ms87/2 (Bfm)
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Plan de l'incendie du quartier de la rue Sainte-Marthe [à Limoges] le 7 juin 1870 ... (prenant des proportions semblables à celui du quartier des Arènes) sous la direction du commandant Linard. A partir d'un extrait du plan de la ville de 1856. Nota : la teinte noire représente les maisons incendiées. la teine rose celle non attaquées. plan manuscrit et rehaussé à l'aquarelle, Extrait du manuscrit "Guide du sapeur-pompier de la ville de Limoges", 1874 cote : Ms87/2 (Bfm)
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Plan du terrible et épouvantable incendie qui détruisit une partie de la ville de Limoges le 6 septembre 1790 "...et extrait d'après le plan de la Ville de 1775." Extrait du Guide du sapeur-pompier de la Ville de Limoges" cote : MS87/2
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Limoges, incendie du quartier des Arènes : Plan de l'incendie du 15 août 1864, d'après le plan général de Limoges, dressé en 1851 Dans la nuit du 15 août 1864, un incendie se déclare rue des Arènes et se propage rapidement. Il n'y a pas de victimes, mais 109 maisons sont détruites en une seule nuit dans un espace allant de la place d'Aine à la place de la Motte, laissant près de 2000 habitants sans abri. les pertes matérielles sont considérables. Originaire de Reims, Jacques-Joseph Maquart vient à Limoges à l'invitation de son ami Casimir Ranson. Cet amoureux des arts dévoué et actif , tel que ses amis le définissait, s'intègre vite, devient vice- président de la Société Archéologique puis de la "Société des amis des arts" du musée Dubouché. En 1864, il crée cet album de splendides dessins au fusain et sanguine, rappelant les péripéties de l' incendie de Limoges et l'offrit au Conseil municipal. Cette pièce unique comprend 12 dessins et trois plans. cote : RES.P LIM Z1
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Limoges, incendie du quartier des Arènes :Plan d'alignement proposé par la Société immobilière pour le rétablissement de ce quartier Dans la nuit du 15 août 1864, un incendie se déclare rue des Arènes et se propage rapidement. Il n'y a pas de victimes, mais 109 maisons sont détruites en une seule nuit dans un espace allant de la place d'Aine à la place de la Motte, laissant près de 2000 habitants sans abri. les pertes matérielles sont considérables. Sur ce plan est figuré en gris l’ancien quartier, en couleur est superposé le projet de reconstruction mené par le maire Othon Péconnet. Originaire de Reims, Jacques-Joseph Maquart vient à Limoges à l'invitation de son ami Casimir Ranson. Cet amoureux des arts dévoué et actif , tel que ses amis le définissait, s'intègre vite, devient vice- président de la Société Archéolohique puis de la "Société des amis des arts" du musée Dubouché. En 1864, il crée un album rappelant les péripéties de l' incendie de Limoges et l'offrit au Conseil municipal. Cet album unqiue comprend 12 dessins et trois plans. cote : RES.P LIM Z1
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Incendie de 1864, projet de reconstruction du quartier des Arènes et de réaménagement de la place de la Motte Plan de Lansade, agent voyer de la ville de Limoges. L’un des plus ravageurs incendies que connut Limoges fut sans nul doute celui de la nuit du 15 août 1864, qui emporta presque tout le quartier des Arènes (109 maisons, environ 2000 personnes à la rue). Sur ce plan est figuré en gris l’ancien quartier, en couleur est superposé le projet de reconstruction mené par le maire Othon Péconnet. (cote : RES.P. Lim Z1 (8) )
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Limoges, incendie du quartier des Arènes : Aspect de la place de la Mothe dans la matinée du 16 août L’un des plus ravageurs incendies que connut Limoges fut sans nul doute celui de la nuit du 15 août 1864, qui emporta presque tout le quartier des Arènes (109 maisons, environ 2000 personnes à la rue). (cote : RES.P LIM Z1 (7) )
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Limoges, incendie du quartier des Arènes : Partie détruite de la rue Haut-Lansecot L’un des plus ravageurs incendies que connut Limoges fut sans nul doute celui de la nuit du 15 août 1864, qui emporta presque tout le quartier des Arènes (109 maisons, environ 2000 personnes à la rue). On aperçoit à droite l’angle de la halle Dupuytren, qui fut ensuite déplacée place Carnot, ainsi que la fontaine d’Aigoulène et sa statue de Saint-Martial, aujourd’hui disparue. Seul le bac supérieur de la fontaine a été réutilisé, c’est aujourd’hui celui de la fontaine Saint-Michel-des-Lions. (cote : RES.P LIM Z1 (6) )
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Limoges, incendie du quartier des Arènes : Vue prise du haut du boulevard Ste Catherine L’un des plus ravageurs incendies que connut Limoges fut sans nul doute celui de la nuit du 15 août 1864, qui emporta presque tout le quartier des Arènes (109 maisons, environ 2000 personnes à la rue). Le boulevard Sainte-Catherine et le boulevard des Ursulines qui le continuait à partir de la rue Vigne-de-Fer furent renommés boulevard Gambetta en 1883. (cote : RES.P LIM Z1 (5) )