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Scieurs de long à Saint-Martin-Terressus- Fonds Boudeau (B49-n°1015) Avant l'avènement des grandes scieries mécanisées, le sciage de long occupait beaucoup de monde. Les scieurs installaient leur "chèvre" près du lieu de coupe et, après avoir écorcé et équarri le bois, débitaient les planches de menuiserie ou les pièces de charpente. Les Limousins s'en étaient fait une telle spécialité que beaucoup d'entre eux allaient vendre leur savoir-faire dans les régions environnantes. Le scieur d'en haut est appelé le "chevrier", tandis que le scieur d'en bas est appelé le "renard".
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Scieurs de long à La Mazière, Saint-Léonard - Fonds Boudeau (B40-n°867) Avant l'avènement des grandes scieries mécanisées, le sciage de long occupait beaucoup de monde. Les scieurs installaient leur "chèvre" près du lieu de coupe et, après avoir écorcé et équarri le bois, débitaient les planches de menuiserie ou les pièces de charpente. Les Limousins s'en étaient fait une telle spécialité que beaucoup d'entre eux allaient vendre leur savoir-faire dans les régions environnantes. Le scieur d'en haut est appelé le "chevrier", tandis que le scieur d'en bas est appelé le "renard".
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J.B. Rougier de la Bergerie Jean-Baptiste Rougier de la Bergerie, né en un agronome français. Député à l'Assemblée legislative, membre de la commune de Paris dès 1789- Préfet de l'Yonne (1800-1811).En 1795 le Directoire lui confie de même le soin d’aller, dans le département de la Creuse, constater à combien montent les ravages des orages, de la grêle, et rechercher les moyens de réparer le désastre. Il crée en 1797 le périodique Les Annales de l'Agriculture française. cote : FP ROUG 02 (Bfm Limoges)
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J.B. Rougier de la Bergerie Jean-Baptiste Rougier de la Bergerie, né en un agronome français. Député à l'Assemblée legislative, membre de la commune de Paris dès 1789- Préfet de l'Yonne (1800-1811).En 1795 le Directoire lui confie de même le soin d’aller, dans le département de la Creuse, constater à combien montent les ravages des orages, de la grêle, et rechercher les moyens de réparer le désastre. Il crée en 1797 le périodique Les Annales de l'Agriculture française. cote : FP ROUG 01 (Bfm Limoges)
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Mise en valeur du plateau de Millevaches : assainir les fonds, arroser les versants, reboiser les crêtes Né en 1881, Marius Vazeilles, expert forestier, naturaliste, archéologue et ethnographe autodidacte, mais aussi militant politique, a profondément marqué le territoire de la Haute-Corrèze. Il se passionne très tôt pour la sylviculture, devenant garde forestier comme son père, dans le Cantal puis Gardien Général des eaux et Fôrets du plateau des Millevaches. Mobilisé au cours de la Première Guerre Mondiale, il est chargé d'occuper aux plantations forestières des groupes de prisonniers de guerre allemands. C'est ainsi qu'avec l'aide de paysans et d'instituteurs locaux, il réalise le reboisement de milliers d'hectares. Son travail sur le plateau des Millevaches fait encore référence. Il crée aussi l'arboretum de Chabrol et plusieurs pépinières scolaires. Son engagement dans le territoire toucha aussi l'histoire, la préhistoire et l'archéologie. La majeure partie de ses collections personnelles sont réunies dans le musée qui porte son nom, à Meymac. cote : MAG.P LIM 45171 (Bfm Limoges)
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Le Plateau de Millevaches : pré-bois Né en 1881, Marius Vazeilles, expert forestier, naturaliste, archéologue et ethnographe autodidacte, mais aussi militant politique, a profondément marqué le territoire de la Haute-Corrèze. Il se passionne très tôt pour la sylviculture, devenant garde forestier comme son père, dans le Cantal puis Gardien Général des eaux et Fôrets du plateau de Millevaches. Mobilisé au cours de la Première Guerre Mondiale, il est chargé d'occuper aux plantations forestières des groupes de prisonniers de guerre allemands. C'est ainsi qu'avec l'aide de paysans et d'instituteurs locaux, il réalise le reboisement de milliers d'hectares. Son travail sur le plateau de Millevaches fait encore référence. Il crée aussi l'arboretum de Chabrol et plusieurs pépinières scolaires. Son engagement dans le territoire toucha aussi l'histoire, la préhistoire et l'archéologie. La majeure partie de ses collections personnelles sont réunies dans le musée qui porte son nom, à Meymac. cote : MAG.P LIM F7210/54 (Bfm, Fonds Antoine Perrier)
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Traité de la culture du chêne, contenant les meilleures manières de semer les bois, de les planter, de les entretenir, de rétablir ceux qui sont dégradés et de les exploiter, avec les différents moyens de tirer un parti avantageux de toute sorte de terrains et de toute sorte de bois... Par M. Juge De Saint-Martin, correspondant de la Société royale d'agriculture Issu d'une grande famille de magistrats de Limoges, Joseph Juge de Saint-Martin succède à son père comme juge au présidial à Limoges, tout en rêvant de mettre en pratique sa passion pour le perfectionnement des sciences naturelles. Ce qu'il fit fort habilement : membre de la Société d’agriculture de Limoges, Il contribue à l’amélioration de l’art agricole, et surtout de la culture des arbres, en Limousin, créant les premières pépinières. Soucieux d'expérimenter par lui-même et de rendre compte, il laisse de nombreux écrits sur ses différents centres d'intérêt : la sylviculture l'observation méteo, les moeurs ou le fonctionnement de la pensée. cote : MAG.P LIM S1810 (Bfm Limoges)
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Le Problème du reboisement "L'arbre est utile partout [...] cependant on lui fait une guerre acharnée..." cote : MAG.P LIM 41650 (Bfm Limoges)
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Vue d'ensemble sur l'histoire de la forêt française, son développement et sa décadence - L'importance des bois étrangers -Le Reboisement "La forêt doit réparer maintenant les fautes des hommes. On compte sur elle pour redonner vie à nos plateaux désolés et à nos plaines desséchées par un déboisement irréfléchi..." cote : MAG.P LIM 53300 (Bfm Limoges)
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Le Centime du reboisement Communication à l'occasion du Congrès de l'Aménagement des Montagnes et de l'Arbre et l'Eau, tenu à Guéret (Creuse) en juillet 1908. cote : MAG.P LIM 41881 (Bfm Limoges)