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J.B. Aug. de Villoutreix de Faye, evêque d'Oleron : né au ch.au de Faye diocese de Limoges le 3 9.bre 1739 député du clergé de Soule aux Etats généraux de 1789 Extrait de : "Collection complete, des portraits de MM.s les deputés a l'Assemblée nationale de 1789." Porte en plus : le blason épiscopal. Jean-Baptiste-Auguste de Villoutreix de Faye, né au château de Faye, commune de Flavignac (Haute-Vienne), le 3 novembre 1739, fils de Jean de Villoutreys, écuyer, seigneur de Faye, et de Jeanne Morel de Fromental ; chancelier de l'Université de Toulouse, chanoine et vicaire général du même diocèse, nommé évêque d'Oloron en juin 1783, sacré le 17 août suivant, député du clergé du pays de Soule aux Etats Généraux, mort en avril 1792.
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Vergniaud Né à Limoges le 31 mai 1753, fils de Pierre Vergniaud et de Catherine Baubiat ; avocat en parlement à Bordeaux, administrateur du département de la Gironde (1790), député de ce département à l'Assemblée législative (31 août 1791) élu à la Convention, le premier sur douze (5 septembre 1792), secrétaire, puis président de la Convention. Il était, en 1789, jeune avocat spirituel et distingué, en exercice à Bordeaux auquel la Révolution permit de donner la mesure de son immense talent. Orateur né, il avait dans ses discours le génie de l'exposition lumineuse et de l'argumentation. Une fougue passionnée transporte ses harangues. Comme Danton, mais avec plus de brillant, il avait un don exceptionnel pour l'improvisation. A l'homme politique, on a reproché d'avoir manqué de clairvoyance, de courage même. Leader de la Gironde, sans en être jamais le chef, il laisse à d'autres le soin d'entraîner ses partisans dans la lutte avec la Montagne. Vergniaud et avec lui vingt-deux de ses compagnons montèrent à l'échafaud le 31 octobre 1793. Cote : FP VERG 16 (Bfm Limoges)
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Vergniaud D'après la statue de Cartellier. Né à Limoges le 31 mai 1753, fils de Pierre Vergniaud et de Catherine Baubiat ; avocat en parlement à Bordeaux, administrateur du département de la Gironde (1790), député de ce département à l'Assemblée législative (31 août 1791) élu à la Convention, le premier sur douze (5 septembre 1792), secrétaire, puis président de la Convention. Il était, en 1789, jeune avocat spirituel et distingué, en exercice à Bordeaux auquel la Révolution permit de donner la mesure de son immense talent. Orateur né, il avait dans ses discours le génie de l'exposition lumineuse et de l'argumentation. Une fougue passionnée transporte ses harangues. Comme Danton, mais avec plus de brillant, il avait un don exceptionnel pour l'improvisation. A l'homme politique, on a reproché d'avoir manqué de clairvoyance, de courage même. Leader de la Gironde, sans en être jamais le chef, il laisse à d'autres le soin d'entraîner ses partisans dans la lutte avec la Montagne. Vergniaud et avec lui vingt-deux de ses compagnons montèrent à l'échafaud le 31 octobre 1793. Cote : FP VERG 15 (Bfm Limoges)
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Vergniaud : avocat député de la Gironde à l'assemblée législative et à l'assemblée nationale. Né à Limoges le 31 mai 1753. Né à Limoges le 31 mai 1753, fils de Pierre Vergniaud et de Catherine Baubiat ; avocat en parlement à Bordeaux, administrateur du département de la Gironde (1790), député de ce département à l'Assemblée législative (31 août 1791) élu à la Convention, le premier sur douze (5 septembre 1792), secrétaire, puis président de la Convention. Il était, en 1789, jeune avocat spirituel et distingué, en exercice à Bordeaux auquel la Révolution permit de donner la mesure de son immense talent. Orateur né, il avait dans ses discours le génie de l'exposition lumineuse et de l'argumentation. Une fougue passionnée transporte ses harangues. Comme Danton, mais avec plus de brillant, il avait un don exceptionnel pour l'improvisation. A l'homme politique, on a reproché d'avoir manqué de clairvoyance, de courage même. Leader de la Gironde, sans en être jamais le chef, il laisse à d'autres le soin d'entraîner ses partisans dans la lutte avec la Montagne. Vergniaud et avec lui vingt-deux de ses compagnons montèrent à l'échafaud le 31 octobre 1793. Cote : FP VERG 14 (Bfm Limoges)
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[Vergniaud] Né à Limoges le 31 mai 1753, fils de Pierre Vergniaud et de Catherine Baubiat ; avocat en parlement à Bordeaux, administrateur du département de la Gironde (1790), député de ce département à l'Assemblée législative (31 août 1791) élu à la Convention, le premier sur douze (5 septembre 1792), secrétaire, puis président de la Convention. Il était, en 1789, jeune avocat spirituel et distingué, en exercice à Bordeaux auquel la Révolution permit de donner la mesure de son immense talent. Orateur né, il avait dans ses discours le génie de l'exposition lumineuse et de l'argumentation. Une fougue passionnée transporte ses harangues. Comme Danton, mais avec plus de brillant, il avait un don exceptionnel pour l'improvisation. A l'homme politique, on a reproché d'avoir manqué de clairvoyance, de courage même. Leader de la Gironde, sans en être jamais le chef, il laisse à d'autres le soin d'entraîner ses partisans dans la lutte avec la Montagne. Vergniaud et avec lui vingt-deux de ses compagnons montèrent à l'échafaud le 31 octobre 1793. Cote : FP VERG 12 (Bfm Limoges)
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Vergniaud Né à Limoges le 31 mai 1753, fils de Pierre Vergniaud et de Catherine Baubiat ; avocat en parlement à Bordeaux, administrateur du département de la Gironde (1790), député de ce département à l'Assemblée législative (31 août 1791) élu à la Convention, le premier sur douze (5 septembre 1792), secrétaire, puis président de la Convention. Il était, en 1789, jeune avocat spirituel et distingué, en exercice à Bordeaux auquel la Révolution permit de donner la mesure de son immense talent. Orateur né, il avait dans ses discours le génie de l'exposition lumineuse et de l'argumentation. Une fougue passionnée transporte ses harangues. Comme Danton, mais avec plus de brillant, il avait un don exceptionnel pour l'improvisation. A l'homme politique, on a reproché d'avoir manqué de clairvoyance, de courage même. Leader de la Gironde, sans en être jamais le chef, il laisse à d'autres le soin d'entraîner ses partisans dans la lutte avec la Montagne. Vergniaud et avec lui vingt-deux de ses compagnons montèrent à l'échafaud le 31 octobre 1793. Cote : FP VERG 11 (Bfm Limoges)
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Pier. Vict. Vergniau Né à Limoges le 31 mai 1753, fils de Pierre Vergniaud et de Catherine Baubiat ; avocat en parlement à Bordeaux, administrateur du département de la Gironde (1790), député de ce département à l'Assemblée législative (31 août 1791) élu à la Convention, le premier sur douze (5 septembre 1792), secrétaire, puis président de la Convention. Il était, en 1789, jeune avocat spirituel et distingué, en exercice à Bordeaux auquel la Révolution permit de donner la mesure de son immense talent. Orateur né, il avait dans ses discours le génie de l'exposition lumineuse et de l'argumentation. Une fougue passionnée transporte ses harangues. Comme Danton, mais avec plus de brillant, il avait un don exceptionnel pour l'improvisation. A l'homme politique, on a reproché d'avoir manqué de clairvoyance, de courage même. Leader de la Gironde, sans en être jamais le chef, il laisse à d'autres le soin d'entraîner ses partisans dans la lutte avec la Montagne. Vergniaud et avec lui vingt-deux de ses compagnons montèrent à l'échafaud le 31 octobre 1793. Cote : FP VERG 10 (Bfm Limoges)
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Pierre Victorin Vergniau [sic] Né à Limoges le 31 mai 1753, fils de Pierre Vergniaud et de Catherine Baubiat ; avocat en parlement à Bordeaux, administrateur du département de la Gironde (1790), député de ce département à l'Assemblée législative (31 août 1791) élu à la Convention, le premier sur douze (5 septembre 1792), secrétaire, puis président de la Convention. Il était, en 1789, jeune avocat spirituel et distingué, en exercice à Bordeaux auquel la Révolution permit de donner la mesure de son immense talent. Orateur né, il avait dans ses discours le génie de l'exposition lumineuse et de l'argumentation. Une fougue passionnée transporte ses harangues. Comme Danton, mais avec plus de brillant, il avait un don exceptionnel pour l'improvisation. A l'homme politique, on a reproché d'avoir manqué de clairvoyance, de courage même. Leader de la Gironde, sans en être jamais le chef, il laisse à d'autres le soin d'entraîner ses partisans dans la lutte avec la Montagne. Vergniaud et avec lui vingt-deux de ses compagnons montèrent à l'échafaud le 31 octobre 1793. Cote : FP VERG 09 (Bfm Limoges)
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Vergniaud Né à Limoges le 31 mai 1753, fils de Pierre Vergniaud et de Catherine Baubiat ; avocat en parlement à Bordeaux, administrateur du département de la Gironde (1790), député de ce département à l'Assemblée législative (31 août 1791) élu à la Convention, le premier sur douze (5 septembre 1792), secrétaire, puis président de la Convention. Il était, en 1789, jeune avocat spirituel et distingué, en exercice à Bordeaux auquel la Révolution permit de donner la mesure de son immense talent. Orateur né, il avait dans ses discours le génie de l'exposition lumineuse et de l'argumentation. Une fougue passionnée transporte ses harangues. Comme Danton, mais avec plus de brillant, il avait un don exceptionnel pour l'improvisation. A l'homme politique, on a reproché d'avoir manqué de clairvoyance, de courage même. Leader de la Gironde, sans en être jamais le chef, il laisse à d'autres le soin d'entraîner ses partisans dans la lutte avec la Montagne. Vergniaud et avec lui vingt-deux de ses compagnons montèrent à l'échafaud le 31 octobre 1793. Cote : FP VERG 08 (Bfm Limoges)
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Vergnault [sic] Pierre-Victurnien Vergniaud, né à Limoges le 31 mai 1753, fils de Pierre Vergniaud et de Catherine Baubiat ; avocat en parlement à Bordeaux, administrateur du département de la Gironde (1790), député de ce département à l'Assemblée législative (31 août 1791) élu à la Convention, le premier sur douze (5 septembre 1792), secrétaire, puis président de la Convention. Il était, en 1789, jeune avocat spirituel et distingué, en exercice à Bordeaux auquel la Révolution permit de donner la mesure de son immense talent. Orateur né, il avait dans ses discours le génie de l'exposition lumineuse et de l'argumentation. Une fougue passionnée transporte ses harangues. Comme Danton, mais avec plus de brillant, il avait un don exceptionnel pour l'improvisation. A l'homme politique, on a reproché d'avoir manqué de clairvoyance, de courage même. Leader de la Gironde, sans en être jamais le chef, il laisse à d'autres le soin d'entraîner ses partisans dans la lutte avec la Montagne. Vergniaud et avec lui vingt-deux de ses compagnons montèrent à l'échafaud le 31 octobre 1793. Cote : FP VERG 07 (Bfm Limoges)
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Vergniaud Né à Limoges le 31 mai 1753, fils de Pierre Vergniaud et de Catherine Baubiat ; avocat en parlement à Bordeaux, administrateur du département de la Gironde (1790), député de ce département à l'Assemblée législative (31 août 1791) élu à la Convention, le premier sur douze (5 septembre 1792), secrétaire, puis président de la Convention. Il était, en 1789, jeune avocat spirituel et distingué, en exercice à Bordeaux auquel la Révolution permit de donner la mesure de son immense talent. Orateur né, il avait dans ses discours le génie de l'exposition lumineuse et de l'argumentation. Une fougue passionnée transporte ses harangues. Comme Danton, mais avec plus de brillant, il avait un don exceptionnel pour l'improvisation. A l'homme politique, on a reproché d'avoir manqué de clairvoyance, de courage même. Leader de la Gironde, sans en être jamais le chef, il laisse à d'autres le soin d'entraîner ses partisans dans la lutte avec la Montagne. Vergniaud et avec lui vingt-deux de ses compagnons montèrent à l'échafaud le 31 octobre 1793. Cote : FP VERG 05 (Bfm Limoges)
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Vergniaud Né à Limoges le 31 mai 1753, fils de Pierre Vergniaud et de Catherine Baubiat ; avocat en parlement à Bordeaux, administrateur du département de la Gironde (1790), député de ce département à l'Assemblée législative (31 août 1791) élu à la Convention, le premier sur douze (5 septembre 1792), secrétaire, puis président de la Convention. Il était, en 1789, jeune avocat spirituel et distingué, en exercice à Bordeaux auquel la Révolution permit de donner la mesure de son immense talent. Orateur né, il avait dans ses discours le génie de l'exposition lumineuse et de l'argumentation. Une fougue passionnée transporte ses harangues. Comme Danton, mais avec plus de brillant, il avait un don exceptionnel pour l'improvisation. A l'homme politique, on a reproché d'avoir manqué de clairvoyance, de courage même. Leader de la Gironde, sans en être jamais le chef, il laisse à d'autres le soin d'entraîner ses partisans dans la lutte avec la Montagne. Vergniaud et avec lui vingt-deux de ses compagnons montèrent à l'échafaud le 31 octobre 1793. Cote : FP VERG 04 (Bfm Limoges)
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Vergniaud Né à Limoges le 31 mai 1753, fils de Pierre Vergniaud et de Catherine Baubiat ; avocat en parlement à Bordeaux, administrateur du département de la Gironde (1790), député de ce département à l'Assemblée législative (31 août 1791) élu à la Convention, le premier sur douze (5 septembre 1792), secrétaire, puis président de la Convention. Il était, en 1789, jeune avocat spirituel et distingué, en exercice à Bordeaux auquel la Révolution permit de donner la mesure de son immense talent. Orateur né, il avait dans ses discours le génie de l'exposition lumineuse et de l'argumentation. Une fougue passionnée transporte ses harangues. Comme Danton, mais avec plus de brillant, il avait un don exceptionnel pour l'improvisation. A l'homme politique, on a reproché d'avoir manqué de clairvoyance, de courage même. Leader de la Gironde, sans en être jamais le chef, il laisse à d'autres le soin d'entraîner ses partisans dans la lutte avec la Montagne. Vergniaud et avec lui vingt-deux de ses compagnons montèrent à l'échafaud le 31 octobre 1793. Cote : FP VERG 03 (Bfm Limoges)
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Vergniaud Né à Limoges le 31 mai 1753, fils de Pierre Vergniaud et de Catherine Baubiat ; avocat en parlement à Bordeaux, administrateur du département de la Gironde (1790), député de ce département à l'Assemblée législative (31 août 1791) élu à la Convention, le premier sur douze (5 septembre 1792), secrétaire, puis président de la Convention. Il était, en 1789, jeune avocat spirituel et distingué, en exercice à Bordeaux auquel la Révolution permit de donner la mesure de son immense talent. Orateur né, il avait dans ses discours le génie de l'exposition lumineuse et de l'argumentation. Une fougue passionnée transporte ses harangues. Comme Danton, mais avec plus de brillant, il avait un don exceptionnel pour l'improvisation. A l'homme politique, on a reproché d'avoir manqué de clairvoyance, de courage même. Leader de la Gironde, sans en être jamais le chef, il laisse à d'autres le soin d'entraîner ses partisans dans la lutte avec la Montagne. Vergniaud et avec lui vingt-deux de ses compagnons montèrent à l'échafaud le 31 octobre 1793. Cote : FP VERG 02 (Bfm Limoges)
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P. V. Vergniaud. Représentant du peuple, né à Limoges en 1759 (sic), mort en 1793 victime de la Révolution. Né à Limoges le 31 mai 1753, fils de Pierre Vergniaud et de Catherine Baubiat ; avocat en parlement à Bordeaux, administrateur du département de la Gironde (1790), député de ce département à l'Assemblée législative (31 août 1791) élu à la Convention, le premier sur douze (5 septembre 1792), secrétaire, puis président de la Convention. Il était, en 1789, jeune avocat spirituel et distingué, en exercice à Bordeaux auquel la Révolution permit de donner la mesure de son immense talent. Orateur né, il avait dans ses discours le génie de l'exposition lumineuse et de l'argumentation. Une fougue passionnée transporte ses harangues. Comme Danton, mais avec plus de brillant, il avait un don exceptionnel pour l'improvisation. A l'homme politique, on a reproché d'avoir manqué de clairvoyance, de courage même. Leader de la Gironde, sans en être jamais le chef, il laisse à d'autres le soin d'entraîner ses partisans dans la lutte avec la Montagne. Vergniaud et avec lui vingt-deux de ses compagnons montèrent à l'échafaud le 31 octobre 1793. Cote : FP VERG 01 (Bfm Limoges)
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M. Treilhard, Né à Brives en Limousin en 1742. député de l'Assemblée Nationale Jean-Baptiste Treilhard, né à Brive (Corrèze) le 3 janvier 1742, fils de Jean-François Treilhard, avocat au présidial de cette ville, et de Jeanne de Lachèze ; avocat au parlement de Paris (1761), député du Tiers aux Etats Généraux par la ville de Paris (1789), président du tribunal criminel de Paris (1791), député de Seine-et-Oise à la Convention nationale (12 septembre 1792), président de la Convention (28 décembre 1792-10 janvier 1793), membre du Comité de Salut public, élu au conseil des Cinq-Cents (15 octobre 1795), président de cette assemblée, membre du tribunal de cassation, ambassadeur à Naples (1796), membre du Directoire (15 mai 1798), vice-président (4 avril 1800), puis président (1er janvier 1802) du tribunal de la Seine, conseiller d'Etat (1802), créé comte de l'Empire le 24 avril 1808, ministre d'Etat (30 mars 1809), mort à Paris le 1er décembre 1810. Cote : FP TRE 07 (Bfm Limoges)
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Jean-Baptiste Treilhard, (feu), comte de l'Empire, Ministre d'Etat, Grand Officier de la légion d'Honneur, suite de la légende : "Né à Brive (Corrèze) en 1742, Décédé à Paris le er Décembre 1810." Jean-Baptiste Treilhard, né à Brive (Corrèze) le 3 janvier 1742, fils de Jean-François Treilhard, avocat au présidial de cette ville, et de Jeanne de Lachèze ; avocat au parlement de Paris (1761), député du Tiers aux Etats Généraux par la ville de Paris (1789), président du tribunal criminel de Paris (1791), député de Seine-et-Oise à la Convention nationale (12 septembre 1792), président de la Convention (28 décembre 1792-10 janvier 1793), membre du Comité de Salut public, élu au conseil des Cinq-Cents (15 octobre 1795), président de cette assemblée, membre du tribunal de cassation, ambassadeur à Naples (1796), membre du Directoire (15 mai 1798), vice-président (4 avril 1800), puis président (1er janvier 1802) du tribunal de la Seine, conseiller d'Etat (1802), créé comte de l'Empire le 24 avril 1808, ministre d'Etat (30 mars 1809), mort à Paris le 1er décembre 1810. Cote : FP TRE 06 (Bfm Limoges)
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J.B. Treilhard, Elu Présidt au mois de Jet; 1790, Député de Paris, Né à Brive, Départmt de la Corrèze en 1742 Collection générale des portraits de MM les députés à l'Assemblée nationale tenue à Versailles le 4 mai 1789. Jean-Baptiste Treilhard, né à Brive (Corrèze) le 3 janvier 1742, fils de Jean-François Treilhard, avocat au présidial de cette ville, et de Jeanne de Lachèze ; avocat au parlement de Paris (1761), député du Tiers aux Etats Généraux par la ville de Paris (1789), président du tribunal criminel de Paris (1791), député de Seine-et-Oise à la Convention nationale (12 septembre 1792), président de la Convention (28 décembre 1792-10 janvier 1793), membre du Comité de Salut public, élu au conseil des Cinq-Cents (15 octobre 1795), président de cette assemblée, membre du tribunal de cassation, ambassadeur à Naples (1796), membre du Directoire (15 mai 1798), vice-président (4 avril 1800), puis président (1er janvier 1802) du tribunal de la Seine, conseiller d'Etat (1802), créé comte de l'Empire le 24 avril 1808, ministre d'Etat (30 mars 1809), mort à Paris le 1er décembre 1810. Cote : FP TRE 05 (Bfm Limoges)
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M. Treilhard, avocat né à Brives en bas Limousin en 1742, Député de paris à l'Assemblée nationale en 1789. Jean-Baptiste Treilhard, né à Brive (Corrèze) le 3 janvier 1742, fils de Jean-François Treilhard, avocat au présidial de cette ville, et de Jeanne de Lachèze ; avocat au parlement de Paris (1761), député du Tiers aux Etats Généraux par la ville de Paris (1789), président du tribunal criminel de Paris (1791), député de Seine-et-Oise à la Convention nationale (12 septembre 1792), président de la Convention (28 décembre 1792-10 janvier 1793), membre du Comité de Salut public, élu au conseil des Cinq-Cents (15 octobre 1795), président de cette assemblée, membre du tribunal de cassation, ambassadeur à Naples (1796), membre du Directoire (15 mai 1798), vice-président (4 avril 1800), puis président (1er janvier 1802) du tribunal de la Seine, conseiller d'Etat (1802), créé comte de l'Empire le 24 avril 1808, ministre d'Etat (30 mars 1809), mort à Paris le 1er décembre 1810. Cote : FP TRE 04 (Bfm Limoges)
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J. Bte. Treilhard, Député de Paris, à l'Assemblée Nationale en 1789. président de l'Assemblée Natle. en 1790 et depuis Elu Présidt du Trib. criminel du Dt. de Paris Extrait de [Collection Dejabin. Députés à l'Assemblée nationale de 1789. Portraits isolés]. Jean-Baptiste Treilhard, né à Brive (Corrèze) le 3 janvier 1742, fils de Jean-François Treilhard, avocat au présidial de cette ville, et de Jeanne de Lachèze ; avocat au parlement de Paris (1761), député du Tiers aux Etats Généraux par la ville de Paris (1789), président du tribunal criminel de Paris (1791), député de Seine-et-Oise à la Convention nationale (12 septembre 1792), président de la Convention (28 décembre 1792-10 janvier 1793), membre du Comité de Salut public, élu au conseil des Cinq-Cents (15 octobre 1795), président de cette assemblée, membre du tribunal de cassation, ambassadeur à Naples (1796), membre du Directoire (15 mai 1798), vice-président (4 avril 1800), puis président (1er janvier 1802) du tribunal de la Seine, conseiller d'Etat (1802), créé comte de l'Empire le 24 avril 1808, ministre d'Etat (30 mars 1809), mort à Paris le 1er décembre 1810. Cote : FP TRE 03 (Bfm Limoges)