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Chapelle Notre-Dame-de-la-Préservation et cathédrale Saint-Etienne. -Fonds Boudeau (B176-n°2978) Devant cette chapelle du boulevard de la Corderie s’écoulait le ruisseau d’Enjoumard (surnommé le Merdanson) qui, charriant les détritus et l’eau souillée sur plus d’un kilomètre, depuis l’actuel quartier de la place de la République, allait se jeter dans la Vienne. On pouvait le traverser à un petit gué situé à cet endroit, c’est pourquoi cette chapelle était également appelée Notre-Dame-de-la-Planchette. Dans cette chapelle, les Limougeauds demandaient à la Vierge de protéger leur ville des maladies infectieuses que pouvait véhiculer un tel égout à ciel ouvert. cote : fonds Boudeau, boite 176 (Bfm Limoges)
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Cathédrale Saint-Étienne, portail Saint-Jean Si le chœur de la cathédrale fut bâti à la fin du 13e siècle, ce n’est qu’en 1516 que débute la construction du magnifique portail Saint-Jean, de style gothique flamboyant, qui orne le côté nord du transept. cote : 9Fi436 (Bfm Limoges)
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Saint-Etienne, cathédrale Gravure extraite de " En Limousin" recueil de divers dessins de monuments limousins et préface de René Fage. Publié initialement dans l'ouvrage "Limoges et ses environs" de Paul Ducourtieux. cote : MAG.P LIM 34062 (Bfm Limoges)
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Tulle, la cathédrale Gravure extraite de " En Limousin, recueil de divers dessins de monuments limousins et préface de René Fage". Construite au XIIe siècle, cette église abbatiale devient cathédrale en 1317 était initialement une église abbatiale. Cette gravure fut initialement publiée "Le vieux Tulle" de René Fage. cote : MAG.P LIM 34062 (Bfm Limoges)
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La cathédrale Saint-Etienne de Limoges. Gravure extraite de l' "Historique monumental de l'ancienne province du Limousin". La cathédrale de Limoges est notamment remarquable par sa hauteur et son unité. Jean-Baptiste Tripon écrit d'ailleurs à ce propos : "Un effet merveilleux qui résulte des proportions et de l'harmonie des parties, la hardiesse de la voûte, l'élévation des ogives impriment à cette partie de l'édifice un caractère tout à fait grandiose". Ancien élève de l'Ecole des Arts et Métiers d'Angers, Jean-Baptiste Tripon s'installe imprimeur-lithographe à Limoges. Son ouvrage majeur est celui-ci. Imprimé en plusieurs livraisons, l'exemplaire original de 1837 est devenu rare. Les érudits du XIXe siècle sont déjà très critiques sur son contenu. Alfred Leroux estime en 1888 que "c'est un fatras sans critique, une compilation lourde et terne". Il en demeure des lithographies parfois fantaisistes, voire divertissantes. cote : MAG.P LIM 33272/2
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Tombeau de Jean de Langeac, cathédrale de Limoges Gravure extraite de l' "Historique monumental de l'ancienne province du Limousin". Jean de Langeac ecclésiastique, magistrat et diplomate (ambassadeur de François 1er à diverses reprises ) fut élu évêque de Limoges en 1532. Il travailla ardemment à l’épanouissement du style Renaissance à Limoges. Achevé en 1544, soit trois ans après sa mort, ce tombeau constitue avec le jubé que Jean de Langeac fit également construire, l'un des deux beaux ouvrages de ce style Renaissance remarquable de Limoges et l'un des premiers du Limousin. Mutilé à la Révolution, il ne subsiste de ce tombeau que sa partie architecturale. Ancien élève de l'Ecole des Arts et Métiers d'Angers, Jean-Baptiste Tripon s'installe imprimeur-lithographe à Limoges. Son ouvrage majeur est celui-ci. Imprimé en plusieurs livraisons, l'exemplaire original de 1837 est devenu rare. Les érudits du XIXe siècle sont déjà très critiques sur son contenu. Alfred Leroux estime en 1888 que "c'est un fatras sans critique, une compilation lourde et terne". Il en demeure des lithographies parfois fantaisistes, voire divertissantes. cote : MAG.P LIM 33272/2
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Pour l'achèvement de la cathédrale de Limoges Extrait de" Croquis et compositions" de Jules Tixier. Vente de charité 25, 26, 27 mai 1886. Accompagné d'un poème. Pierre Jules Tixier tient une place de choix à Limoges, tant par la diversité de ses centres d'intérêt que par ses réalisations. Architecte, archéologue, historien, il laisse d'importantes notes et dessins. Architecte des monuments historiques de la Haute-Vienne, il participe à la restauration de nombreuses églises. Enfin ses constructions pour l'architecture privée comptent des hôtels particuliers, des maisons de campagne, des établissements d'enseignement et se distinguent par l'utilisation judicieuse du granit. cote : 3FI71/20 (Bfm Limoges)
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Obituaire de l'église cathédrale de Limoges Un obituaire est un registre mortuaire où sont inscrites les dates des obits(service religieux anniversaire pour un mort). On y découvre au fol1v° un calendrier avec mention d'anniversaires se rapportant à des évêques, chanoines, dignitaires ecclésiastiques. On y trouve également des notes de décès de 1557 à 1566.la calendrier s'arrête au 2 juillet. Bfm Limoges (cote : Ms 12)
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Vue de la cathédrale de Limoges. Prise du coté de la tour. Dès le 11e siècle, une cathédrale est élevée au cœur de la Cité. De ce premier édifice roman, il ne subsiste aujourd'hui que la crypte et les étages inférieurs du clocher. La construction de la cathédrale actuelle commença en 1273, mais les dernières travées reliant la nef au clocher ne furent bâties qu'en 1876. La cathédrale associe gothique rayonnant (abside et transept sud) et gothique flamboyant (portail Saint-Jean). Elle est finalement achevée le 12 août 1888 cote : 3FI42 (Bfm Limoges)
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Cathédrale de Limoges Une vue de la cathédrale inachevée, les dernières travées reliant la nef au clocher ne furent bâties qu'en 1876. A gauche, la tour que les Limougeauds appelaient traditionnellement la « tour Foucaud » jusqu’à sa démolition dans les années 1860. C’est là que le célèbre révolutionnaire et fabuliste occitan Jean-Baptiste Foucaud (1747-1818) passa les dernières années de sa vie. Extrait du Moyen Age pittoresque. France XIIIe et XVe. cote : 3FI 18. (Bfm Limoges)
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Cathédrale de Limoges Cette gravure est extraite de "Géographie du département de la Haute-Vienne", appelé aussi communément Guide Joanne, du nom de son premier auteur. Le Guide Joanne est une série de « guides-itinéraires », identifiables par leur couverture en percaline bleu nuit et leur lettrage doré, et d’abord écrits en relation avec l’ouverture des lignes de chemin de fer dès 1853. L’iconographie de ces guides est composée de gravures privilégiant l’architecture monumentale, les curiosités (naturelles ou bâties) et les sites de ville. Les vues paysagères sont plus rares. En 1919 Les Guides Joanne prennent le nom de Guides bleus. cote : MAG.P LIM 18229/87 (Bfm Limoges)
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Limoges Cette gravure est extraite de "Géographie du département de la Haute-Vienne", appelé aussi communément Guide Joanne, du nom de son premier auteur. Le Guide Joanne est une série de « guides-itinéraires », identifiables par leur couverture en percaline bleu nuit et leur lettrage doré, et d’abord écrits en relation avec l’ouverture des lignes de chemin de fer dès 1853. L’iconographie de ces guides est composée de gravures privilégiant l’architecture monumentale, les curiosités (naturelles ou bâties) et les sites de ville. Les vues paysagères sont plus rares. En 1919 Les Guides Joanne prennent le nom de Guides bleus. cote : MAG.P LIM 18229/87 (Bfm limoges)
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La Renaissance de François 1er, recueil de motifs et détails de sculptures provenant du jubé de la cathédrale de Limoges, de l'Hôtel de ville d'Oudenarde... Le jubé de la cathédrale de Limoges, de style Renaissance fut construit vers 1533-1534 sous l'épiscopat de Mr Jean de Langeac. Il cloturait initialement l'entrée du choeur et du transept où se déroulait la messe. "En 1871, le photographe limougeaud Bonnaud fait paraître (sous l'orthographe Bonneau) avec le sculpteur Baylac un recueil de 56 planches photographiques [...] L'ouvrage est imprimé à Limoges, rue de Gorre, n°4, dans l'atelier Bonnaud puis réimprimé chez Baylac (6 rue Pépapaud), sans la mention de Bonneau et augmenté de 4 photographies. C'est à notre connaissance le premier livre de photographies imprimé à Limoges. Il témoigne de la volonté de mettre en série des éléments architecturaux de la Renaissance pour dégager influences et modèles. Malheureusement, les auteurs n'ont pas accompagné leurs clichés d'un texte explicatif, ce qui limite son interprétation." (extrait de Étienne Rouziès et Jean-Marc Ferrer, Limoges, une histoire de la photographie, Limoges : les Ardents éditeurs, 2011, pp 50-51). cote : MAG.P LIM 32641 (Bfm Limoges)
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Le pont Saint-Étienne, la cathédrale et le quartier de l'Abbessaille L’Abbessaille fut en grande partie rasée pour raisons hygiénistes dès les années 1900. Elle est aujourd’hui remplacée par le boulevard (actuel Quai Louis Goujaud) et la promenade piétonne en bords de Vienne. Il n’en demeure que quelques rues de la partie haute (rue du Pont Saint-Étienne, rue des Laveuses, rue des Roches, rue du Rajat…) cote : 9Fi470 (Bfm Limoges)
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Vue générale du choeur de la cathédrale de Limoges Gravure extraite de l' "Historique monumental de l'ancienne province du Limousin". Ancien élève de l'Ecole des Arts et Métiers d'Angers, Jean-Baptiste Tripon s'installe imprimeur-lithographe à Limoges. Son ouvrage majeur est celui-ci. Imprimé en plusieurs livraisons, l'exemplaire original de 1837 est devenu rare. Les érudits du XIXe siècle sont déjà très critiques sur son contenu. Alfred Leroux estime en 1888 que "c'est un fatras sans critique, une compilation lourde et terne". Il en demeure des lithographies parfois fantaisistes, voire divertissantes. cote : MAG.P LIM 33272/2
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Pont Saint-Étienne et quartier de l'Abbessaille Cette vue du pont Saint-Étienne, de l'Abbessaille et de la cathédrale de Limoges est un modèle "iconique" forgé par les illustrateurs au début du 19e siècle. Ce point du vue amplifié par les photographes finit par incarner la ville de Limoges au 20e siècle. Mais ici le point de vue est un peu différent, puisque le photographe se place à la sortie du pont et non pas plus loin, au bord de l'eau. cote : 9Fi502/12 (Bfm Limoges)