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bois
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Charpente de Philibert Delorme, architecte vivant au milieu du XVIe siècle ; ouvrage remis au jour deux-cent-cinquante ans après son invention par le Ccn Détournelle, architecte L'architecte, dessinateur et éditeur Athanase Détournelle reprend dans deux planches les charpentes créées par Philibert de l'Orme (1514-1570). Il y adjoint une notice explicitant la démarche de l'architecte du XVIème siècle, soucieux de créer des charpentes légères et économiques en période de manque de bois, dites "charpentes à petits bois"
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Le flottage du bois à Saint-Priest-Taurion - Fonds Boudeau (B16-n°461) Descendu des monts d'Ambazac ou de la Montagne limousine, le bois arrivait à Saint-Priest-Taurion, à la confluence de la Vienne et du Taurion, où il était arrêté et réorganisé une première fois. Il pouvait alors continuer sa course au fil de l'eau jusqu'à Limoges où, arrivé au port du Naveix, il était stocké et vendu pour la construction ou comme bois de chauffage, mais surtout pour alimenter les nombreux fours à porcelaine de la ville. Cette photographie, bien que sa qualité soit altérée, nous montre l'importance de cette activité et le personnel nombreux qu'elle employait.
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La cabane C'est une photographie d'un étonnant réalisme social, prise dans le domaine de Tourniol, appartenant à la famille Brousseaud. Dans cette grande propriété, le photographe saisit une scène de repas vers midi devant une cabane de bûcherons ou de charbonniers. A gauche, l'homme avec sa cognée reposant sur ses sabots. Dans l'embrasure de la porte de la cabane, très probablement son épouse tenant un de leurs enfants dans ses bras. Une table sommaire avec des bols, des assiettes, une louche, un verre et la marmite en étain qui a servie à transporter la soupe, certainement amenée par la femme. Une composition en forme de « nature morte » insérée dans la photo. Au centre de la photographie, comme souvent dans ses photos de campagne, un animal. Ici, un chien vu de dos. Les regards des personnages sont durs, sans sourire aucun, particulièrement celui de la femme qui se détourne de l'objectif et regarde en bas. On sent très clairement la misère sociale de cette famille. Boîte 15 (Bfm Limoges)
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Vue d'ensemble sur l'histoire de la forêt française, son développement et sa décadence - L'importance des bois étrangers -Le Reboisement "La forêt doit réparer maintenant les fautes des hommes. On compte sur elle pour redonner vie à nos plateaux désolés et à nos plaines desséchées par un déboisement irréfléchi..." cote : MAG.P LIM 53300 (Bfm Limoges)
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Le Centime du reboisement Communication à l'occasion du Congrès de l'Aménagement des Montagnes et de l'Arbre et l'Eau, tenu à Guéret (Creuse) en juillet 1908. cote : MAG.P LIM 41881 (Bfm Limoges)
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Limoges, le Naveix Le port du Naveix et son ramier destiné à arrêter le bois en flottage. A droite, le village de Soudanas. Jean-Baptiste Audiguet (1811-1897) est un des pionniers de la photographie professionnelle à Limoges. Né à Bellac dans un milieu modeste, il se lance dans la photographie à la fin des années 1850 et devient le grand portraitiste de la société limougeaude du Second Empire et de la Troisième République. C'est aussi le premier photographe connu à proposer des vues de la ville et de ses alentours, avec une parfaite maîtrise de la composition et une sensibilité esthétique surprenante. cote : MAG.P LIM 9 Fi 502/11 (Bfm Limoges)
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Réponse à la lettre publiée par les fabricans de porcelaine sur la Taxe des bois : extrait du registre des délibérations du Conseil municipal de Limoges, séance du 7 juin 1836 Le point de départ de cette réponse : la plaintes des entrepreneurs, notamment de porcelaine, à propos des charges qui pèsent sur leurs entreprises dans un contexte économique difficile ... Un débat éculé. Pourtant, loin d'être administrative et rébarbative, cette réponse argumentée, documentée et historique de Jean Juge Saint-Martin alors maire de Limoges, est un plaidoyer magnifique en faveur d'une équité sociale et de la charge municipale. cote : MAG.P LIM F5588/85 (Bfm Limoges)
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Argentat, flottage de bois La navigation fut longtemps active sur la Dordogne, avec un trafic intense de marchandises de toutes sortes. Elle faisait vivre jusqu'au XIXe siècle tout un peuple de mariniers. Le flottage de bois en particulier, était une activité importante. On appelaient argentats ces bateaux éphémères construits à Argentat transportant du bois à brûler et du charbon de bois. cote : 9FI78/3 (Bfm Limoges)