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augustoritum
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Idole de Ghrovinna J.B. Tripon réalise "fidèlement" précise-t-il, le dessin d'une statue gauloise d'après le récit d'un manuscrit du IIe siècle, rapporté par M. Allou, qui le tenait lui même de M. Beaumesnil et qui en aurait vu une copie similaire place Tourny en 1747... Ancien élève de l'Ecole des Arts et Métiers d'Angers, Jean-Baptiste Tripon s'installe imprimeur-lithographe à Limoges. Son ouvrage majeur est celui-ci. Imprimé en plusieurs livraisons, l'exemplaire original de 1837 est devenu rare. Les érudits du XIXe siècle sont déjà très critiques sur son contenu. Alfred Leroux estime en 1888 que "c'est un fatras sans critique, une compilation lourde et terne". Il en demeure des lithographies parfois fantaisistes, voire divertissantes. cote : MAG.P LIM 33272/2
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Restes du palais de Duratius (Limoges 1593) Gravure extraite de l' "Historique monumental de l'ancienne province du Limousin". Jean-Baptiste Tripon s'inspire cette fois d'un dessin de Beaumesnil, disparu, qui décrivait les ruines de ce palais près du Pont saint-Martial (cf BSHAL T.49, p21-23). Ancien élève de l'Ecole des Arts et Métiers d'Angers, Jean-Baptiste Tripon s'installe imprimeur-lithographe à Limoges. Son ouvrage majeur est celui-ci. Imprimé en plusieurs livraisons, l'exemplaire original de 1837 est devenu rare. Les érudits du XIXe siècle sont déjà très critiques sur son contenu. Alfred Leroux estime en 1888 que "c'est un fatras sans critique, une compilation lourde et terne". Il en demeure des lithographies parfois fantaisistes, voire divertissantes. cote : MAG.P LIM 33272/2
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Restes du théâtre de Duratius (Limoges 1593) Gravure extraite de l' "Historique monumental de l'ancienne province du Limousin". Jean-Baptiste Tripon s'inspire cette fois d'un dessin de Beaumesnil (1593) disparu, qui décrivait les ruines de ce théâtre près du Pont saint-Martial (cf BSHAL T.49, p21-23). Augustoritum était en effet, comme le confirme JP Loustaud dans son ouvrage sur Limoges Antique, une des très rares villes d'Aquitaine à posséder à la fois un théâtre et un amphithéâtre. Ancien élève de l'Ecole des Arts et Métiers d'Angers, Jean-Baptiste Tripon s'installe imprimeur-lithographe à Limoges. Son ouvrage majeur est celui-ci. Imprimé en plusieurs livraisons, l'exemplaire original de 1837 est devenu rare. Les érudits du XIXe siècle sont déjà très critiques sur son contenu. Alfred Leroux estime en 1888 que "c'est un fatras sans critique, une compilation lourde et terne". Il en demeure des lithographies parfois fantaisistes, voire divertissantes. cote : MAG.P LIM 33272/2