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XIXe siècle
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L'Instruction publique en Limousin depuis 1789 cote : MAG.P LIM B1339 (Bfm Limoges
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Le Duc [Paul] de Noailles (1819), né le 4 janvier 1802 Né à Paris, le 4 janvier 1802. Chevalier de la Toison d'Or, orateur parlementaire et auteur d'une Histoire de Mme de Maintenon. Ami et confident de Chateaubriand, il se présenta à l'Académie pour lui succéder en 1849 (Honoré de Balzac obtint 4 voix). Ce résultat souleva des colères et des protestations dans la presse littéraire et dans le public lettré. Mort le 29 mai 1885. Cote : FP Noailles-Paul (Bfm Limoges)
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L. de Lourdoueix Mention à gauche de l'estampe "Ate. Legrand" Porte en plus la signature de L. de Lourdoueix. plusieurs autres mentions manuscrites : "M. Francis-témoignage d'estime et d'affection (mars 1851)" - sous le titre manuscrit de la gravure : "directeur de la gazette de France en 1831 - voy Louis Blanc p. 408" "Né dans la Creuse". Jacques-Honoré Lelarge de Lourdoueix, né au château de Beaufort (Creuse) en 1787, publiciste, directeur des Beaux-Arts puis de la Presse au ministère de l'Intérieur, rédacteur en chef de la Gazette de France, mort le 2 octobre 1860. Cote : FP LOUR (Bfm Limoges)
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M. Antoine Latour, littérateur français, décédé le 27 août. Né à Saint-Yrieix (Haute-Vienne) le 30 août 1808, fils de Jean-Baptiste et de Madeleine de Jarrige de la Morelie de Mavieux ; poète et littérateur distingué, mort à Sceaux (Seine) le 27 août 1881. Cote : FP LAT (Bfm Limoges)
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Félix-Pierre Fruchaud Légende : "Félix Pierre Fruchaud né à Trémentines, (Maine et Loire) le 30 juillet 1811. Evêque de Limoges sacré dans la cathédrale d'Angoulême le 30 novembre 1859". - Porte en plus : le blason épiscopal. Né à Trémentines (Maine-et-Loire) le 30 juillet 1811, professeur au petit séminaire de Montgazon à Angers, vicaire à Segré, puis à la cathédrale d'Angers, curé de Saint-Nicolas à Saumur en 1840, vicaire général de l'évêque d'Angoulême en 1842, nommé à l'évêché de Limoges le 30 juillet 1859, sacré à Angoulême le 30 novembre suivant, transféré à l'archevêché de Tours le 30 septembre 1871, mort à Tours le 9 novembre 1874. Cote : FP FRU (Bfm Limoges)
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Bernard Buissas : Evêque de Limoges, né à Toulouse en 1797, sacré à Toulouse le 4 août 1844 Exemplaire original. Porte en plus la signature de l'évêque, et le symbole de l'épiscopat avec cette mention : "Animam pro ovibus". Né à Toulouse le 25 novembre 1797, chanoine-archiprêtre de la métropole de cette ville, nommé évêque de Limoges le 21 avril 1844, sacré à Toulouse le 4 août suivant, mort à Limoges le 24 décembre 1856. cote : FP BUI 02 (Bfm Limoges)
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Mgr Buissas, Evêque de Limoges Paru dans la "Tribune sacrée". Né à Toulouse le 25 novembre 1797, chanoine-archiprêtre de la métropole de cette ville, nommé évêque de Limoges le 21 avril 1844, sacré à Toulouse le 4 août suivant, mort à Limoges le 24 décembre 1856. cote : FP BUI 01 (Bfm Limoges)
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Incendie de Limoges : aspect du lieu du sinistre. Vue prise du marché Dupuytren A l’époque où Limoges était majoritairement bâtie de bois et de torchis, les incendies étaient fréquents. L’un des plus ravageurs fut sans nul doute celui de la nuit du 15 août 1864, qui emporta presque tout le quartier des Arènes (109 maisons, environ 2000 personnes à la rue). La rue des Arènes de l’époque est devenue la rue Othon Péconnet, du nom du maire qui géra la reconstruction. On voit en bas à gauche l’angle de la halle Dupuytren qui était place de la Motte avant d’être transférée place Carnot en 1889. cote : 3Fi57 (Bfm Limoges)
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Rues Haut-Lansecot et du Cheval-Blanc à Limoges, incendiées dans la nuit du 7 mai
. A l’époque où Limoges était majoritairement bâtie de bois et de torchis, les incendies étaient fréquents. Dans la nuit du 7 mai 1861, ce sont 7 maisons de la rue du Cheval-Blanc (actuelle rue Gondinet) qui furent emportées par les flammes Extrait du Le Monde illustré, 1861. cote : 3Fi89 (Bfm Limoges)
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Histoire de la porcelaine de Limoges : I. Bibliographie, chronologie, statistique ; II. Notices historiques Réunis les deux tomes en un seul volume Fonds Antoine Perrier cote : MAG.P LIM 57938/1-2 (Bfm Limoges)
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Histoire de l'octroi de Limoges de 1370 à 1900, suivie de considérations générales sur les octrois cote : MAG.P LIM 40226 (Bfm Limoges)
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Plan de l'incendie du quartier de la rue Sainte-Marthe [à Limoges] le 7 juin 1870 ... (prenant des proportions semblables à celui du quartier des Arènes) sous la direction du commandant Linard. A partir d'un extrait du plan de la ville de 1856. Nota : la teinte noire représente les maisons incendiées. la teine rose celle non attaquées. plan manuscrit et rehaussé à l'aquarelle, Extrait du manuscrit "Guide du sapeur-pompier de la ville de Limoges", 1874 cote : Ms87/2 (Bfm)
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Arrêté concernant la prostitution : extrait du registre des arrêtés du Maire de Limoges cote : MAG.P LIM B1602/14 (Limoges)
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Arrêté concernant la prostitution, extrait du registre des arrêtés du Maire de la commune de Bellac du 1er août 1876 cote : MAG.P LIM 44269 (Bfm Limoges)
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Tentation. D'après une peinture de et par Celestin François Nanteuil. Présenté au Salon de Peinture et Sculpture de 1850-51. Célestin Nanteuil s'est surtout fait connaître par les frontispices et gravures qu'il a dessiné pour illustrer les livres de ses camarades : Théophile Gautier, Alexandre Dumas, ...Il illustra également Hugo, Balzac, les frères Goncourt. Proche du mouvement romantique, ses dessins s'inspirent de l'onirique médiéval, dans le goût du temps. Maintes fois exposé aux Salons de Peinture et Sculpture, il laisse aussi une oeuvre peinte beaucoup moins connue. cote : 5FI40 (Bfm Limoges)
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La Chiche de Saint-Martial Gravure extraite de l' "Historique monumental de l'ancienne province du Limousin". Jean-Baptiste Tripon figure un bas-relief disparu représentant une figure accroupie pressant avec 2 boules en guise de mains, une lionne couchée allaitant trois lionceaux. Ce bas -relief, appelée vulgairement "chiche", c'est-à-dire chienne en "patois", précise-t-il, était dans la muraille de l'abbaye Saint-Martial et perpétuait le souvenir de la rage et de la victoire écrasante de Pépin le bref (la figure accroupie) écrasant l'Aquitaine, Waifre, duc d'Aquitaine et ses frères, les trois lionceaux. Ancien élève de l'Ecole des Arts et Métiers d'Angers, Jean-Baptiste Tripon s'installe imprimeur-lithographe à Limoges. Son ouvrage majeur est celui-ci. Imprimé en plusieurs livraisons, l'exemplaire original de 1837 est devenu rare. Les érudits du XIXe siècle sont déjà très critiques sur son contenu. Alfred Leroux estime en 1888 que "c'est un fatras sans critique, une compilation lourde et terne". Il en demeure des lithographies parfois fantaisistes, voire divertissantes. cote : MAG.P LIM 33272/2