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Melon Légende : "Melon, célèbre économiste, né à Tulle (Corrèze), mort à Paris en 1738." Jean-François Melon, né à Tulle vers 1680, inspecteur général des fermes à Bordeaux, secrétaire de Law, puis du duc de la Force ministre du Régent, littérateur et économiste, Mort à Paris le 24 février 1738. Cote : FP MEL (Bfm Limoges)
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Mascaron, Evêque de Tulle Porte en plus : en titre au dessus de la gravure "La France catholique". Né à Marseille le 14 mars 1634, fils de Pierre-Antoine Mascaron, avocat au parlement de Provence, et de Catherine de Pansier, prêtre de l'Oratoire, professeur de rhétorique au Mans en 1656, prédicateur ordinaire du roi, nommé à l'évêché de Tulle le 5 janvier 1671, sacré à Paris le 8 mai suivant, transféré le 24 février 1679 à l'évêché d'Agen, dont il prit possession le 9 mars 1680, mort en cette ville le 20 novembre 1703. Cote : FP MASC 03 (Bfm Limoges)
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Mascaron Porte en plus : le numéro 129, la signature de Jules Mascaron. Né à Marseille le 14 mars 1634, fils de Pierre-Antoine Mascaron, avocat au parlement de Provence, et de Catherine de Pansier, prêtre de l'Oratoire, professeur de rhétorique au Mans en 1656, prédicateur ordinaire du roi, nommé à l'évêché de Tulle le 5 janvier 1671, sacré à Paris le 8 mai suivant, transféré le 24 février 1679 à l'évêché d'Agen, dont il prit possession le 9 mars 1680, mort en cette ville le 20 novembre 1703. Cote : FP MASC 02 (Bfm Limoges)
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Jules Mascaron Sous la gravure un premier cartouche : "Jules Mascaron, Evêque d'Agenci devant de Tulles, il fut Prêtres de l'Oratoire et fameux Prédicateur. Il naquit à Marseille l'an 1634 et mourut à Agen en 1703. Dans un second cartouche : "Mascaron, grand Predicateur/sur qui se sont formez tant d'autres/joignit tout l'art de l'Orateur/à tout le zèle des Apotres". Né à Marseille le 14 mars 1634, fils de Pierre-Antoine Mascaron, avocat au parlement de Provence, et de Catherine de Pansier, prêtre de l'Oratoire, professeur de rhétorique au Mans en 1656, prédicateur ordinaire du roi, nommé à l'évêché de Tulle le 5 janvier 1671, sacré à Paris le 8 mai suivant, transféré le 24 février 1679 à l'évêché d'Agen, dont il prit possession le 9 mars 1680, mort en cette ville le 20 novembre 1703. Cote : FP MASC 01 (Bfm Limoges)
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Pierre-Auguste Madesclaire, né à Tulle (Corrèze) le 22 mars 1803 De la série : "Assemblée nationale. Galerie des représentants du peuple (1848) (Corrèze)". - Porte en plus : la signature de Pierre-Auguste Madesclaire et le numéro 514. "Lith. d'après nature par Marin-Lavigne" Né à Tulle le 22 mars 1803, commandant de la garde nationale de cette ville, élu député de la Corrèze le 23 avril 1848, siégea à la Constituante et à l'Assemblée législative, membre du conseil municipal de Tulle de 1870 à 1881, mort en cette ville le 20 décembre 1885. cote : FP MAD (Bfm Limoges)
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Jean Louis Gouttes. Curé d'Argelliers, deputé de Beziers elu President à l'Assemblée nationale Porte en plus ce quatrain : "Ambitieux prélats au Sénat comme au Temple, / Ce pasteur vertueux vous donne un grand exemple, / Il veut notre bonheur, et fidel à la Loi, / Sert la religion, sa patrie, et son Roi". Né à Tulle (Corrèze) le 21 septembre 1739, fils de Pierre Gouttes, bourgeois de cette ville, et de Catherine Poulverel. Il s'engagea tout jeune dans un régiment de dragons, mais quitta bientôt l'armée pour embrasser l'état d'ecclésiastique. En 1761, il fit un vicariat à Larrazt, diocèse de Montauban, fut vicaire au Gros-Caillou, succursale de Saint-Sulpice à Paris (1776), aumônier des gardes françaises, curé de Puiséguin, près Bordeaux (1781), puis d'Arguilliers en Languedoc. En 1789, il fut élu député du clergé aux Etats-Généraux pour la sénéchaussée de Béziers. C'est à sa tolérance et à son désir sincère d'améliorer le sort des classes pauvres qu'il dût son élection. Il fut un des premiers à demander la réunion des trois ordres. Le 19 mai 1789, après l'archevêque de Bordeaux, il avait proposé, dans une séance de l'ordre du clergé, l'abandon de tous les privilèges de cet ordre en matière d'impôts ; la proposition souleva un long débat, mais finit par être adoptée. Le 3 octobre 1789, il parla en faveur du prêt à intérêts, et chercha à prouver que l'Evangile n'en avait point défendu l'usage. Il appuya également la motion de Talleyrand-Périgord proposant la vente des biens du clergé. Malgré l'opposition de la majorité de son ordre, il vota en juillet suivant la constitution civile du clergé ; membre du comité de liquidation, il démontra combien était grevé le trésor royal par toutes les pensions imméritées qu'il payait. Il fut également élu président de l'Assemblée nationale (29 avril 1790), évêque constitutionnel de Saône-et-Loire (février 1791), et administrateur de ce département. Ayant voulu protester contre la suppression totale du culte et contre la Terreur, il fut dénoncé par les assemblées populaires en pluviôse an II, et fut arrêté par décret du comité du salut public. Mis en jugement le 6 germinal an II, il fut condamné à mort, et exécuté sur l'échafaud le lendemain (26 mars 1794). cote : FP GOUT 03 (Bfm Limoges)
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Jean Louis Gouttes. Curé d'Argelliers. Né à Tulle en 1739. Député de Beziers à l'Assemblée nationale de 1789. Elu Président le 29 avril 1790. C'est le desçendant et dernier mâle de Jean Gouttes, député aux Etats généraux de 1614. Né à Tulle (Corrèze) le 21 septembre 1739, fils de Pierre Gouttes, bourgeois de cette ville, et de Catherine Poulverel. Il s'engagea tout jeune dans un régiment de dragons, mais quitta bientôt l'armée pour embrasser l'état d'ecclésiastique. En 1761, il fit un vicariat à Larrazt, diocèse de Montauban, fut vicaire au Gros-Caillou, succursale de Saint-Sulpice à Paris (1776), aumônier des gardes françaises, curé de Puiséguin, près Bordeaux (1781), puis d'Arguilliers en Languedoc. En 1789, il fut élu député du clergé aux Etats-Généraux pour la sénéchaussée de Béziers. C'est à sa tolérance et à son désir sincère d'améliorer le sort des classes pauvres qu'il dût son élection. Il fut un des premiers à demander la réunion des trois ordres. Le 19 mai 1789, après l'archevêque de Bordeaux, il avait proposé, dans une séance de l'ordre du clergé, l'abandon de tous les privilèges de cet ordre en matière d'impôts ; la proposition souleva un long débat, mais finit par être adoptée. Le 3 octobre 1789, il parla en faveur du prêt à intérêts, et chercha à prouver que l'Evangile n'en avait point défendu l'usage. Il appuya également la motion de Talleyrand-Périgord proposant la vente des biens du clergé. Malgré l'opposition de la majorité de son ordre, il vota en juillet suivant la constitution civile du clergé ; membre du comité de liquidation, il démontra combien était grevé le trésor royal par toutes les pensions imméritées qu'il payait. Il fut également élu président de l'Assemblée nationale (29 avril 1790), évêque constitutionnel de Saône-et-Loire (février 1791), et administrateur de ce département. Ayant voulu protester contre la suppression totale du culte et contre la Terreur, il fut dénoncé par les assemblées populaires en pluviôse an II, et fut arrêté par décret du comité du salut public. Mis en jugement le 6 germinal an II, il fut condamné à mort, et exécuté sur l'échafaud le lendemain (26 mars 1794). cote : FP GOUT 02 (Bfm Limoges)
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François Favart. Né à Tulle (Corrèze) le 1er novembre 1797 De la série "Assemblée nationale. Galerie des représentants du peuple (1848) (Corrèze)", n°136. - Porte en plus : la signature de François Favart. Né à Tulle le 1er novembre 1797, avocat, juge suppléant, maire de Tulle en 1846, député de la Corrèze à l'Assemblée constituante de 1848 et au Corps législatif de 1852 à 1857, mort à Saint-Etienne (Loire) le 23 février 1878. Cote : FP FAV (Bfm Limoges)
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Francois de Faucon evesq. de Carcassonne N°54 de la "Chronologie collée". François de Faucon, originaire de Florence, abbé de Hautvilliers et de Notre-Dame de Belleperche, archidiacre de Chartres, chanoine de la Sainte-Chapelle de Paris, nommé en 1544 à l'évêché de Tulle, transféré le 20 octobre 1550 à l'évêché d'Orléans puis à ceux de Macon et de Carcassonne, mort en cette dernière ville en 1565. Cote : FP FAUCO (Bfm Limoges)
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Louis-Jacques de Chapt de Rastignac Légende : "Ludovicus Jacobus de Chapt de Rastignac archiepiscopus turonensis. Dicat, vovet, consecrat Carolus de Feitis acolytus Aginnensis." Né en 1684, fils de François, marquis de Rastignac, et de Gabrielle de Clermont-Vertillac ; vicaire général de Luçon, nommé à l'évêché de Tulle le 29 décembre 1720, sacré le 1er février 1722, transféré à l'archevêché de Tours en octobre 1723, commandeur de l'ordre du Saint-Esprit, mort à Véretz, près de Tours, le 2 août 1750. Cote : FP CHAP (Bfm Limoges)
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Jean Baptiste Pierre Léonard Berteaud «Mon bien aimé Chanoine». Lettre manuscrite Né à Limoges le 1er décembre 1798, fils d'Antoine Berteaud, négociant, et de Marie-Thérèse Joubert ; professeur de philosophie au Petit séminaire du Dorat, chanoine de l'église cathédrale de Limoges en 1831, nommé évêque de Tulle le 15 juin 1842, sacré à Limoges le 21 septembre suivant, mort à la Morgnie, près de Tulle, le 2 mai 1879. cote : FP BERTE05 (Bfm Limoges)
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Jean Baptiste Pierre Léonard Berteaud Biographie. Né à Limoges le 1er décembre 1798, fils d'Antoine Berteaud, négociant, et de Marie-Thérèse Joubert ; professeur de philosophie au Petit séminaire du Dorat, chanoine de l'église cathédrale de Limoges en 1831, nommé évêque de Tulle le 15 juin 1842, sacré à Limoges le 21 septembre suivant, mort à la Morgnie, près de Tulle, le 2 mai 1879. cote : FP BERTE03 (Bfm Limoges)
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Jean Baptiste Pierre Léonard Berteaud Légende : Mgneur. Berteaud. Evêque de Tulle (Corrèze). Né à Limoges (Hte. Vienne). - Albert lith. Né à Limoges le 1er décembre 1798, fils d'Antoine Berteaud, négociant, et de Marie-Thérèse Joubert ; professeur de philosophie au Petit séminaire du Dorat, chanoine de l'église cathédrale de Limoges en 1831, nommé évêque de Tulle le 15 juin 1842, sacré à Limoges le 21 septembre suivant, mort à la Morgnie, près de Tulle, le 2 mai 1879. cote : FP BERTE02 (Bfm Limoges)
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Jean Baptiste Pierre Léonard Berteaud Légende : J. B. P. L. C. Ev[eque]. de Tulle. - C. Fuhr ; Pierre Petit photog. Né à Limoges le 1er décembre 1798, fils d'Antoine Berteaud, négociant, et de Marie-Thérèse Joubert ; professeur de philosophie au Petit séminaire du Dorat, chanoine de l'église cathédrale de Limoges en 1831, nommé évêque de Tulle le 15 juin 1842, sacré à Limoges le 21 septembre suivant, mort à la Morgnie, près de Tulle, le 2 mai 1879. cote : FP BERTE01 (Bfm Limoges)
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Mr. Bédoch De la suite éditée par Tardieu Né à Lescurotte (Corrèze), le 28 décembre 1764, avocat, maire de Tulle pendant la Révolution, procureur impérial à Tulle, élu député de la Corrèze par le Sénat conservateur, représentant du même département à la Chambre dite des Cent Jours (1815) ; réélu le 20 octobre 1818, échoua aux législatives suivantes et fut de nouveau député par la Corrèze aux élections des 5 juillet 1830 et 21 juin 1834 ; mort à Paris le 15 février 1837. Cote : FP BED02 (Bfm Limoges)
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Mr. Bédoch De la suite éditée par Tardieu Né à Lescurotte (Corrèze), le 28 décembre 1764, avocat, maire de Tulle pendant la Révolution, procureur impérial à Tulle, élu député de la Corrèze par le Sénat conservateur, représentant du même département à la Chambre dite des Cent Jours (1815) ; réélu le 20 octobre 1818, échoua aux législatives suivantes et fut de nouveau député par la Corrèze aux élections des 5 juillet 1830 et 21 juin 1834 ; mort à Paris le 15 février 1837. Cote : FP BED01 (Bfm Limoges)
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Le logis de Loyac, Tulle Gravure extraite de " En Limousin" recueil de divers dessins de monuments limousins et préface de René Fage. Le logis de Loyac appelée aussi "maison de l'abbé" fut construit aux XVe et XVIe siècles. Remarquable par l'élégance de sa façade, cette dernière, reconnaissable à ses tourelles, associe le style gothique flamboyant aux ornementations Renaissance. Cette gravure fut initialement publiée dans "Le vieux Tulle de René Fage. cote : MAG.P LIM 34062 (Bfm Limoges)
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La porte Chanac (vue intra
muros), Tulle Gravure extraite de " En Limousin, recueil de divers dessins de monuments limousins et préface de René Fage". La porte Chanac était située e à l'entrée de la même rue qui porte son nom. C'était une porte fortifiée. Les deux maisons qui la soutenaient étaient elles-même fortifiées. Cette porte devait dater du XIIIe siècle, mentionnée dans un acte de vente entre les seigneurs de Chanac et l'abbé de Tulle en 1256. Après plusieurs assauts, puis des remaniements au XIVe et au XVe siècles, elle cesse d'être entretenue, avant d'être détruite par arrêté municipal en 1958. Cette gravure fut initialement publiée "Le vieux Tulle" de René Fage cote : MAG.P LIM 34062 (Bfm Limoges)
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La porte Chanac (vue extra muros), Tulle Gravure extraite de " En Limousin" recueil de divers dessins de monuments limousins et préface de René Fage. La porte Chanac était située à l'entrée de la même rue qui porte son nom. C'était une porte fortifiée. Les deux maisons qui la soutenaient étaient elles-même fortifiées. Cette porte devait dater du XIIIe siècle, mentionnée dans un acte de vente entre les seigneurs de Chanac et l'abbé de Tulle en 1256. Après plusieurs assauts, puis des remaniements au XIVe et au XVe siècles, elle cesse d'être entretenue, avant d'être détruite par arrêté municipal en 1958. Cette gravure fut initialement publiée "Le vieux Tulle" de René Fage cote : MAG.P LIM 34062 (Bfm Limoges)
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La Visitation, Tulle Gravure extraite de " En Limousin, recueil de divers dessins de monuments limousins et préface de René Fage". Cette gravure fut initialement publiée "Le vieux Tulle" de René Fage. cote : MAG.P LIM 34062 (Bfm Limoges)