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Saint-Martial
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L'apôtre Saint Martial Panégyrique prononcé dans l'église St.-Michel-des-Lions de Limoges, le 19 novembre 1894. cote : ASS5114 (Université de Limoges-Service Commun de Documentation- Bibliothèque du Grand Séminaire)
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Plan de la célèbre basilique apostolique de Saint-Martial, 1791 le plan porte également la mention manuscrite : "...bâtie au IXe siècle sous Louis-le-Pieux, roi de France et d'aquitaine. la dédicace en fut faite en 830. Amasius en fut l'architecte. la démolition de cette basilique eu lieu en 1791. extrait d'après le plan de la Ville de 1775." Extrait du Guide du sapeur-pompier de la Ville de Limoges" cote : MS87/2
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Missel Limousin Ce missel manuscrit du XVe siècle est incontestablement d'origine limousine si l'on en juge par les diverses mentions de saints proprement limousins : une messe à Saint-Martial (fol 42), une oraison à Saint-Léobon (fol 54) et une autre à Saint Léonard (fol 57). On y remarque également des notes en marge d'une écriture du XVIe siècle : "Gaude, maria Virgo, cunctas hereses sola intermisiti, Que Gabrielis archangeli dictis credidisti, Dum virgo Deum et hominem genuiti Et post partum inviolata permansisti, Dei genitrix, intercede pro nobis." Ajouté de la même main, on retrouve enfin, diverses oraisons (fol 79 et 80) dont trois adressées à Saint-Cloud. Bfm Limoges (cote : Ms 5)
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Le Martyre de saincte Valérie, tragédie On sait peu de choses de l'édition de cette pièce de théâtre et de son auteur. Elle possède toutes les ressrts du théâtre baroque religieux. Hélène Bordes (voir bibliographie) suppose qu'elle a été rédigée pour la Confrerie de Saint-Martial, peut-être à l'occasion d'une cérémonie des Ostensions. Valérie aurait vécu au IIIe siècle. Son culte est associé à Saint-Martial ; c'est lui qui l'aurait convertie au christianisme. Valérie serait la fille du gouverneur de la cité de Limoges. Promise à un haut fonctionnaire romain, la jeune fille refuse de se marier à un païen. Son fiancé la fait décapiter sur-le-champ. C'est alors qu'un miracle se produit, le bourreau est frappé par la foudre divine et meurt, Valérie ramasse sa tête et marche jusqu'au puy Saint-Étienne où Saint Martial célèbre la messe... cote : RES.P LIM T47 (Bfm Limoges).
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Les Saints limousins : ce que nous leur devons Apologie non exhautive des (nombreux) saints du Limousin. En fin de recueil, courte présentation plus célèbres d'entre eux. Extrait : "Vous êtes émus devant ce sol limousin enfin défriché et que nos saints couvrent de champs fertiles, de villes, de villages, d'écoles, d'hopitaux, de bibliothèques, d'églises ? Ce n'est rien en comparaison de la transformation merveilleuse qu'ils ont opéré dans les consciences." cote : MAG.P LIM ASS 80 (Bfm)
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La fontaine d'Aigoulène Extrait des Annales manuscrites de Limoges (appelé aussi improprement Manuscrit de 1638), fol°22. "La fontaine d’Aigoulène était un ouvrage remarquable par sa construction recherchée et par la grande quantité d’eau qu’elle fournissait. La vasque inférieure est faite d'une seule pièce de douze mètres de circonférence .Treize tuyaux produisaient autant de jets qui tombaient dans la vasque. Des têtes de dauphins et de lions ornaient autrefois cette fontaine . Au centre de la vasque, un socle en granit supportait autrefois une statue de saint Martial revêtu de ses ornements pontificaux, statue aujourd'hui disparue. Le nom d’Aigoulène est évidemment composé du mot aigue qui signifie eau, et de goule, qui signifie large bouche ou de goulée, (action de vomir de l’eau en abondance)." (J.-A. Dulaure, Description des principaux lieux de France., 1789). Il ne reste que la vasque installée, place Saint-Michel, à la base d'une fontaine reconstituée. D'après la tradition, cette fontaine aurait été offerte par l'émir Aygoland, retenu prisonnier à Limoges, peu après la ruine de la ville par Pépin le Bref en 763. Elle fut perfectionnée par Pierre Audier, sénéchal du Limousin, vers 1200, puis restaurée au 13e siècle. En 1647, elle fut ornée de douze mufles de dauphins et de lions. Elle fut transportée au Champ-de-Foire en 1889, avant d'être restaurée et reconstituée place saint-Michel en 1994. cote : Ms21 (Bfm Limoges)
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Sainte Valérie présentant sa tête à Saint Martial Cartulaire du Consulat de Limoges, folio 9 r°. Cette page du Cartulaire servait à la prestation de serment solennel par les consuls : ils apposaient leur main sur les images, ce qui peut expliquer l'usure des enluminures. Le Cartulaire recueille l'ensemble des actes administratifs du Consulat du Château de Limoges (l'administration municipale) . Il est écrit en occitan. cote : AA.1 (Archives municipales de Limoges)