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Oradour-sur-Glane
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Oradour-sur-Glane, le village exterminé Témoignage d'un habitant de Saint-Junien constatant le massacre d'Oradour-sur-Glane ; ce document a été identifié dans le fonds Antoine Perrier. La fin du texte porte comme date : 18 juin 1944.
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Rentrée 1945 à Oradour : discours aux maîtres, aux écoliers et aux parents de M. le Préfet de la Haute-Vienne prononcé le 1er octobre 1945 devant les écoliers survivants d'Oradour-sur-Glane Discours prononcé en forme de devoir de mémoire par les autorités locales pour la rentrée scolaire des enfants ce 1er octobre 1945. Le discours rappelle en détail les événements qui ont causé la mort, entre autres, de nombreux enfants des écoles du village. Il insiste sur l'ambition de l'éducation de la jeunesse pour former des esprits dignes. le document contient les quatre discours du préfet, de l'inspecteur d'académie M. Delaygue, de Guy Pauchou, sous-préfet de Rochechouart et du maire d'Oradour-sur-Glane
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L'église d'Oradour-sur-Glane - Fonds Boudeau (B110-n°2012) L'église Saint-Martin d'Oradour-sur-Glane est l'un des principaux lieux où se déroula le massacre du 10 juin 1944, c'est à l'intérieur de l'édifice que les nazis assassinèrent et brûlèrent les femmes, les enfants et les vieillards du bourg.
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Groupe Jabely à Oradour-sur-Glane - Fonds Boudeau (B110-n°2011) Les notes du photographe nous informent qu'il s'agit de la famille Jabely. Un notaire d'Oradour-sur-Glane portait ce nom à cette époque.
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Pont sur la Glane à Oradour-sur-Glane - Fonds Boudeau (B51-n°1038) Nous ne savons pas quelle raison pousse Jean-Baptiste Boudeau, en cet automne 1910, à partir photographier l'ouest haut-viennois, à plusieurs dizaines de kilomètres de chez lui. Toujours est-il qu'après avoir assisté à la frairie (fête paroissiale) de Saint-Victurnien, il se promène maintenant à Oradour-sur-Glane, bourg rendu tristement célèbre par sa destruction et le massacre de ses habitants par les nazis le 10 juin 1944.
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Vue vers l'église d'Oradour-sur-Glane - Fonds Boudeau (B51-n°1037) Nous ne savons pas quelle raison pousse Jean-Baptiste Boudeau, en cet automne 1910, à partir photographier l'ouest haut-viennois, à plusieurs dizaines de kilomètres de chez lui. Toujours est-il qu'après avoir assisté à la frairie (fête paroissiale) de Saint-Victurnien, il se promène maintenant à Oradour-sur-Glane, bourg rendu tristement célèbre par sa destruction et le massacre de ses habitants par les nazis le 10 juin 1944.