Contenus
Taguer
Marie Lafarge
-
Mme Laffarge née Capelle
Marie Lafarge née Capelle, Dame Pouch, née en 1816 à Villiers-Hélon (Aisne), épousa un maître de forges du Limousin et devint célèbre dans les fastes judiciaires par le procès retentissant auquel donna lieu la mort de son mari qu'elle fut accusée d'avoir empoisonné. Elle fut défendu par l'avocat Charles Lachaud. Elle fut emprisonnée à Tulle. Elle est ensuite envoyée au bagne de Toulon ; la rapide dégradation de son état de santé conduira Louis-Philippe 1er à commuer sa peine en détention criminelle à perpétuité. Transférée dans une des tours de la prison de Montpellier, elle contracte la tuberculose et est libérée par le prince-président Louis-Napoléon Bonaparte en 1852. Elle est morte le 7 novembre 1852 à Ussat-les-Bains (Ariège). Durant toute la durée de son emprisonnement, elle écrivit un journal intime d'une grande qualité littéraire, publié sous le titre "Heures de prison". "Coup monté", "erreur judiciaire", "crime parfait",... "l’affaire Lafarge" restera pour l’opinion publique une des plus grandes énigmes judiciaires, à l’image de "l’affaire Dreyfus" ou de "l’affaire du collier de la reine". Ecrivains, journalistes, juristes s’intéressent encore aujourd’hui à cette mort suspecte. En 1937, "L’affaire Lafarge" a même été adaptée au cinéma par le réalisateur Pierre Chenal. Cote : FP LAF 10 (Bfm Limoges) -
Mme Lafarge
Légende : "L'echo de la presse. Gazette de la ville et de la campagne". Marie Lafarge née Capelle, Dame Pouch, née en 1816 à Villiers-Hélon (Aisne), épousa un maître de forges du Limousin et devint célèbre dans les fastes judiciaires par le procès retentissant auquel donna lieu la mort de son mari qu'elle fut accusée d'avoir empoisonné. Elle fut défendu par l'avocat Charles Lachaud. Elle fut emprisonnée à Tulle. Elle est ensuite envoyée au bagne de Toulon ; la rapide dégradation de son état de santé conduira Louis-Philippe 1er à commuer sa peine en détention criminelle à perpétuité. Transférée dans une des tours de la prison de Montpellier, elle contracte la tuberculose et est libérée par le prince-président Louis-Napoléon Bonaparte en 1852. Elle est morte le 7 novembre 1852 à Ussat-les-Bains (Ariège). Durant toute la durée de son emprisonnement, elle écrivit un journal intime d'une grande qualité littéraire, publié sous le titre "Heures de prison". "Coup monté", "erreur judiciaire", "crime parfait",... "l’affaire Lafarge" restera pour l’opinion publique une des plus grandes énigmes judiciaires, à l’image de "l’affaire Dreyfus" ou de "l’affaire du collier de la reine". Ecrivains, journalistes, juristes s’intéressent encore aujourd’hui à cette mort suspecte. En 1937, "L’affaire Lafarge" a même été adaptée au cinéma par le réalisateur Pierre Chenal. Cote : FP LAF 09 (Bfm Limoges) -
Mme Lafarge. (Née Marie Capelle)
Légende : "Mr le Président, je suis innocente, je vous le jure ! / Dédié à Mr Paillet et Bac. ses défenseurs. / En vente chez Masson fils". Marie Lafarge née Capelle, Dame Pouch, née en 1816 à Villiers-Hélon (Aisne), épousa un maître de forges du Limousin et devint célèbre dans les fastes judiciaires par le procès retentissant auquel donna lieu la mort de son mari qu'elle fut accusée d'avoir empoisonné. Elle fut défendu par l'avocat Charles Lachaud. Elle fut emprisonnée à Tulle. Elle est ensuite envoyée au bagne de Toulon ; la rapide dégradation de son état de santé conduira Louis-Philippe 1er à commuer sa peine en détention criminelle à perpétuité. Transférée dans une des tours de la prison de Montpellier, elle contracte la tuberculose et est libérée par le prince-président Louis-Napoléon Bonaparte en 1852. Elle est morte le 7 novembre 1852 à Ussat-les-Bains (Ariège). Durant toute la durée de son emprisonnement, elle écrivit un journal intime d'une grande qualité littéraire, publié sous le titre "Heures de prison". "Coup monté", "erreur judiciaire", "crime parfait",... "l’affaire Lafarge" restera pour l’opinion publique une des plus grandes énigmes judiciaires, à l’image de "l’affaire Dreyfus" ou de "l’affaire du collier de la reine". Ecrivains, journalistes, juristes s’intéressent encore aujourd’hui à cette mort suspecte. En 1937, "L’affaire Lafarge" a même été adaptée au cinéma par le réalisateur Pierre Chenal. Cote : FP LAF 08 (Bfm Limoges) -
Mme Lafarge. (Née Marie Capelle)
Marie Lafarge née Capelle, Dame Pouch, née en 1816 à Villiers-Hélon (Aisne), épousa un maître de forges du Limousin et devint célèbre dans les fastes judiciaires par le procès retentissant auquel donna lieu la mort de son mari qu'elle fut accusée d'avoir empoisonné. Elle fut défendu par l'avocat Charles Lachaud. Elle fut emprisonnée à Tulle. Elle est ensuite envoyée au bagne de Toulon ; la rapide dégradation de son état de santé conduira Louis-Philippe 1er à commuer sa peine en détention criminelle à perpétuité. Transférée dans une des tours de la prison de Montpellier, elle contracte la tuberculose et est libérée par le prince-président Louis-Napoléon Bonaparte en 1852. Elle est morte le 7 novembre 1852 à Ussat-les-Bains (Ariège). Durant toute la durée de son emprisonnement, elle écrivit un journal intime d'une grande qualité littéraire, publié sous le titre "Heures de prison". "Coup monté", "erreur judiciaire", "crime parfait",... "l’affaire Lafarge" restera pour l’opinion publique une des plus grandes énigmes judiciaires, à l’image de "l’affaire Dreyfus" ou de "l’affaire du collier de la reine". Ecrivains, journalistes, juristes s’intéressent encore aujourd’hui à cette mort suspecte. En 1937, "L’affaire Lafarge" a même été adaptée au cinéma par le réalisateur Pierre Chenal. Cote : FP LAF 07 (Bfm Limoges) -
Mme Lafarge. (Née Marie Capelle)
Marie Lafarge née Capelle, Dame Pouch, née en 1816 à Villiers-Hélon (Aisne), épousa un maître de forges du Limousin et devint célèbre dans les fastes judiciaires par le procès retentissant auquel donna lieu la mort de son mari qu'elle fut accusée d'avoir empoisonné. Elle fut défendu par l'avocat Charles Lachaud. Elle fut emprisonnée à Tulle. Elle est ensuite envoyée au bagne de Toulon ; la rapide dégradation de son état de santé conduira Louis-Philippe 1er à commuer sa peine en détention criminelle à perpétuité. Transférée dans une des tours de la prison de Montpellier, elle contracte la tuberculose et est libérée par le prince-président Louis-Napoléon Bonaparte en 1852. Elle est morte le 7 novembre 1852 à Ussat-les-Bains (Ariège). Durant toute la durée de son emprisonnement, elle écrivit un journal intime d'une grande qualité littéraire, publié sous le titre "Heures de prison". "Coup monté", "erreur judiciaire", "crime parfait",... "l’affaire Lafarge" restera pour l’opinion publique une des plus grandes énigmes judiciaires, à l’image de "l’affaire Dreyfus" ou de "l’affaire du collier de la reine". Ecrivains, journalistes, juristes s’intéressent encore aujourd’hui à cette mort suspecte. En 1937, "L’affaire Lafarge" a même été adaptée au cinéma par le réalisateur Pierre Chenal. Cote : FP LAF 06 (Bfm Limoges) -
Mme Lafarge
Dans "Nouvelles causes célèbres ou fastes du crime" de Moquard, 1842. Porte en plus : mention manuscrite sur l'impression de l'estampe. Marie Lafarge née Capelle, Dame Pouch, née en 1816 à Villiers-Hélon (Aisne), épousa un maître de forges du Limousin et devint célèbre dans les fastes judiciaires par le procès retentissant auquel donna lieu la mort de son mari qu'elle fut accusée d'avoir empoisonné. Elle fut défendu par l'avocat Charles Lachaud. Elle fut emprisonnée à Tulle. Elle est ensuite envoyée au bagne de Toulon ; la rapide dégradation de son état de santé conduira Louis-Philippe 1er à commuer sa peine en détention criminelle à perpétuité. Transférée dans une des tours de la prison de Montpellier, elle contracte la tuberculose et est libérée par le prince-président Louis-Napoléon Bonaparte en 1852. Elle est morte le 7 novembre 1852 à Ussat-les-Bains (Ariège). Durant toute la durée de son emprisonnement, elle écrivit un journal intime d'une grande qualité littéraire, publié sous le titre "Heures de prison". "Coup monté", "erreur judiciaire", "crime parfait",... "l’affaire Lafarge" restera pour l’opinion publique une des plus grandes énigmes judiciaires, à l’image de "l’affaire Dreyfus" ou de "l’affaire du collier de la reine". Ecrivains, journalistes, juristes s’intéressent encore aujourd’hui à cette mort suspecte. En 1937, "L’affaire Lafarge" a même été adaptée au cinéma par le réalisateur Pierre Chenal. Cote : FP LAF 04 (Bfm Limoges) -
[Marie Lafarge]
porte les mentions : J. G. 63 [Jules de Goncourt 1863] ; [nom illisible] 6 aout 1850. Marie Lafarge née Capelle, Dame Pouch, née en 1816 à Villiers-Hélon (Aisne), épousa un maître de forges du Limousin et devint célèbre dans les fastes judiciaires par le procès retentissant auquel donna lieu la mort de son mari qu'elle fut accusée d'avoir empoisonné. Elle fut défendu par l'avocat Charles Lachaud. Elle fut emprisonnée à Tulle. Elle est ensuite envoyée au bagne de Toulon ; la rapide dégradation de son état de santé conduira Louis-Philippe 1er à commuer sa peine en détention criminelle à perpétuité. Transférée dans une des tours de la prison de Montpellier, elle contracte la tuberculose et est libérée par le prince-président Louis-Napoléon Bonaparte en 1852. Elle est morte le 7 novembre 1852 à Ussat-les-Bains (Ariège). Durant toute la durée de son emprisonnement, elle écrivit un journal intime d'une grande qualité littéraire, publié sous le titre "Heures de prison". "Coup monté", "erreur judiciaire", "crime parfait",... "l’affaire Lafarge" restera pour l’opinion publique une des plus grandes énigmes judiciaires, à l’image de "l’affaire Dreyfus" ou de "l’affaire du collier de la reine". Ecrivains, journalistes, juristes s’intéressent encore aujourd’hui à cette mort suspecte. En 1937, "L’affaire Lafarge" a même été adaptée au cinéma par le réalisateur Pierre Chenal. Cote : FP LAF 03 (Bfm Limoges) -
Mme Lafarge née Marie Cappelle
Dessiné d'après nature juillet 1840. Marie Lafarge née Capelle, Dame Pouch, née en 1816 à Villiers-Hélon (Aisne), épousa un maître de forges du Limousin et devint célèbre dans les fastes judiciaires par le procès retentissant auquel donna lieu la mort de son mari qu'elle fut accusée d'avoir empoisonné. Elle fut défendu par l'avocat Charles Lachaud. Elle fut emprisonnée à Tulle. Elle est ensuite envoyée au bagne de Toulon ; la rapide dégradation de son état de santé conduira Louis-Philippe 1er à commuer sa peine en détention criminelle à perpétuité. Transférée dans une des tours de la prison de Montpellier, elle contracte la tuberculose et est libérée par le prince-président Louis-Napoléon Bonaparte en 1852. Elle est morte le 7 novembre 1852 à Ussat-les-Bains (Ariège). Durant toute la durée de son emprisonnement, elle écrivit un journal intime d'une grande qualité littéraire, publié sous le titre "Heures de prison". "Coup monté", "erreur judiciaire", "crime parfait",... "l’affaire Lafarge" restera pour l’opinion publique une des plus grandes énigmes judiciaires, à l’image de "l’affaire Dreyfus" ou de "l’affaire du collier de la reine". Ecrivains, journalistes, juristes s’intéressent encore aujourd’hui à cette mort suspecte. En 1937, "L’affaire Lafarge" a même été adaptée au cinéma par le réalisateur Pierre Chenal. Cote : FP LAF 02 (Bfm Limoges) -
[Marie Lafarge]
Légende : "Marie est un problême ; / On l'accuse, on l'absout, / On la maudit, on l'aime : / Démon, Ange....... elle est tout. / Filleul-Pétigny". Marie Lafarge née Capelle, Dame Pouch, née en 1816 à Villiers-Hélon (Aisne), épousa un maître de forges du Limousin et devint célèbre dans les fastes judiciaires par le procès retentissant auquel donna lieu la mort de son mari qu'elle fut accusée d'avoir empoisonné. Elle fut défendu par l'avocat Charles Lachaud. Elle fut emprisonnée à Tulle. Elle est ensuite envoyée au bagne de Toulon ; la rapide dégradation de son état de santé conduira Louis-Philippe 1er à commuer sa peine en détention criminelle à perpétuité. Transférée dans une des tours de la prison de Montpellier, elle contracte la tuberculose et est libérée par le prince-président Louis-Napoléon Bonaparte en 1852. Elle est morte le 7 novembre 1852 à Ussat-les-Bains (Ariège). Durant toute la durée de son emprisonnement, elle écrivit un journal intime d'une grande qualité littéraire, publié sous le titre "Heures de prison". "Coup monté", "erreur judiciaire", "crime parfait",... "l’affaire Lafarge" restera pour l’opinion publique une des plus grandes énigmes judiciaires, à l’image de "l’affaire Dreyfus" ou de "l’affaire du collier de la reine". Ecrivains, journalistes, juristes s’intéressent encore aujourd’hui à cette mort suspecte. En 1937, "L’affaire Lafarge" a même été adaptée au cinéma par le réalisateur Pierre Chenal. Cote : FP LAF 01 (Bfm Limoges) -
Me Lachaud
En illustration dans le journal "Le bouffon". Charles-Alexandre Lachaud, né à Treignac (Corrèze) le 25 février 1817 ou 1818, fils de Sulpice Lachaud, notaire à Treignac, et de N. Chaveribière de Sal ; avocat célèbre notamment pour avoir plaidé l'affaire Marie Lafarge, il exerça d'abord à Tulle, se fixa à Paris en 1844, bâtonnier de l'ordre, mort à Paris le 9 décembre 1882. Cote : FP LAC 14 (Bfm Limoges) -
Ch. Lachaud
Dans le "Panthéon des illustrations françaises". - Porte en plus : la signature de Charles Lachaud. Charles-Alexandre Lachaud, né à Treignac (Corrèze) le 25 février 1817 ou 1818, fils de Sulpice Lachaud, notaire à Treignac, et de N. Chaveribière de Sal ; avocat célèbre notamment pour avoir plaidé l'affaire Marie Lafarge, il exerça d'abord à Tulle, se fixa à Paris en 1844, bâtonnier de l'ordre, mort à Paris le 9 décembre 1882. Cote : FP LAC 13 (Bfm Limoges) -
M. Lachaud
En une du journal "Le monde pour rire", numéro 4, 28 mars 1868. Charles-Alexandre Lachaud, né à Treignac (Corrèze) le 25 février 1817 ou 1818, fils de Sulpice Lachaud, notaire à Treignac, et de N. Chaveribière de Sal ; avocat célèbre notamment pour avoir plaidé l'affaire Marie Lafarge, il exerça d'abord à Tulle, se fixa à Paris en 1844, bâtonnier de l'ordre, mort à Paris le 9 décembre 1882. Cote : FP LAC 08 (Bfm Limoges) -
MM. Lachaud père & fils
En une du journal "L'éclipse", n°272, dimanche 11 janvier 1874. Charles-Alexandre Lachaud, né à Treignac (Corrèze) le 25 février 1817 ou 1818, fils de Sulpice Lachaud, notaire à Treignac, et de N. Chaveribière de Sal ; avocat célèbre notamment pour avoir plaidé l'affaire Marie Lafarge, il exerça d'abord à Tulle, se fixa à Paris en 1844, bâtonnier de l'ordre, mort à Paris le 9 décembre 1882. Cote : FP LAC 07 (Bfm Limoges) -
Me Lachaud
Dans le journal "L'illustration", n°2077, 16 décembre 1882. Charles-Alexandre Lachaud, né à Treignac (Corrèze) le 25 février 1817 ou 1818, fils de Sulpice Lachaud, notaire à Treignac, et de N. Chaveribière de Sal ; avocat célèbre notamment pour avoir plaidé l'affaire Marie Lafarge, il exerça d'abord à Tulle, se fixa à Paris en 1844, bâtonnier de l'ordre, mort à Paris le 9 décembre 1882. Cote : FP LAC 06 (Bfm Limoges) -
Alexandre Lachaud
Dans "Musée français : galerie de portraits", n°72. Charles-Alexandre Lachaud, né à Treignac (Corrèze) le 25 février 1817 ou 1818, fils de Sulpice Lachaud, notaire à Treignac, et de N. Chaveribière de Sal ; avocat célèbre notamment pour avoir plaidé l'affaire Marie Lafarge, il exerça d'abord à Tulle, se fixa à Paris en 1844, bâtonnier de l'ordre, mort à Paris le 9 décembre 1882. Cote : FP LAC 05 (Bfm Limoges) -
M. Charles Lachaud, mort à Paris le 9 décembre
Dans "Le monde illustré", p.377, en illustration d'un article sur Charles Lachaud. Charles Lachaud, né à Treignac (Corrèze) le 25 février 1817 ou 1818, fils de Sulpice Lachaud, notaire à Treignac, et de N. Chaveribière de Sal ; avocat célèbre notamment pour avoir plaidé l'affaire Marie Lafarge, il exerça d'abord à Tulle, se fixa à Paris en 1844, bâtonnier de l'ordre, mort à Paris le 9 décembre 1882. Cote : FP LAC 04 (Bfm Limoges) -
Me Lachaud
En une de "Le journal illustré", n°52, dimanche 24 décembre 1882. Charles Lachaud, né à Treignac (Corrèze) le 25 février 1817 ou 1818, fils de Sulpice Lachaud, notaire à Treignac, et de N. Chaveribière de Sal ; avocat célèbre notamment pour avoir plaidé l'affaire Marie Lafarge, il exerça d'abord à Tulle, se fixa à Paris en 1844, bâtonnier de l'ordre, mort à Paris le 9 décembre 1882. Cote : FP LAC 03 (Bfm Limoges) -
Me Lachaud, décédé le 9 décembre.
En une de 'L'univers illustré", n°1448, 23 décembre 1882. Charles Lachaud, né à Treignac (Corrèze) le 25 février 1817 ou 1818, fils de Sulpice Lachaud, notaire à Treignac, et de N. Chaveribière de Sal ; avocat célèbre notamment pour avoir plaidé l'affaire Marie Lafarge, il exerça d'abord à Tulle, se fixa à Paris en 1844, bâtonnier de l'ordre, mort à Paris le 9 décembre 1882. Cote : FP LAC 02 (Bfm Limoges) -
Me Lachaud, avocat, décédé le 9 décembre.
En une de "La France illustrée", n°421, samedi 23 décembre 1882. Charles Lachaud, né à Treignac (Corrèze) le 25 février 1817 ou 1818, fils de Sulpice Lachaud, notaire à Treignac, et de N. Chaveribière de Sal ; avocat célèbre notamment pour avoir plaidé dans l'affaire Marie Lafarge, il exerça d'abord à Tulle, se fixa à Paris en 1844, bâtonnier de l'ordre, mort à Paris le 9 décembre 1882. Cote : FP LAC 01 (Bfm Limoges) -
A travers nos provinces
Recueil des articles de Louis Lacrocq parus dans le "Courrier du Centre" et le "Limousin de Paris" entre 1923 et 1928. L'auteur évoque des faits et des personnages, des monuments, des coutumes, des artistes des provinces de la Marche, Berry, Limousin, Quercy, Périgord, Angoumois. Avocat à Guéret, président de la vénérable société des sciences naturelles et archéologiques de la Creuse, Louis Lacrocq est dans la pure tradition des érudits locaux du XIXe siècle, passionné d'histoire et d'archéologie. Outre ses articles, on lit doit notamment un livre exhaustif sur les monuments religieux de la Creuse : Églises de France. Creuse, (ed. Letouzey et Ané, 1934), ouvrage qui fait toujours autorité. cote : MAG.P LIM 33358 (Bfm Limoges)