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Jean-Baptiste Boudeau
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Avenue de la Gare et voie ferrée L’ancienne gare des Bénédictins a été mise en service en 1856. La construction des voies a notamment nécessité la démolition du premier temple protestant de Limoges et d’une fabrique de porcelaine Pouyat. Le ruisseau d’Aigueperse a été canalisé et un tunnel a été créé à la place du chemin de la Maison-Dieu. On remarque, tout au fond à gauche, l’église Saint-Paul-Saint-Louis de la rue Aristide-Briand, fraîchement construite. Fonds Jean-Baptiste Boudeau, Boîte 198 (Bfm Limoges)
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La Bibliothèque municipale Ce bâtiment massif du bas de la rue Turgot, de style néoclassique, est l’œuvre de l’architecte Marsaudon. Il donne à l’arrière sur la place de l’Ancienne Comédie. Achevé en 1895, il accueille dès l’année suivante la Bibliothèque municipale, jusqu’alors hébergée dans le bâtiment du présidial. Depuis l’ouverture de la BFM en 1998, l’ancienne bibliothèque accueille une brasserie et des logements. Fonds Jean-Baptiste Boudeau, Boîte 184 (Bfm Limoges)
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Hôtel de préfecture En 1897, le maire Emile Labussière offre à l'État un terrain du vieux quartier du Viraclaud (rasé l’année suivante), afin de construire un nouvel hôtel de préfecture. De style néo-classique, suivant les plans de l'architecte Jules Godefroy (1863-1928), l’imposant bâtiment est construit de 1900 à 1908 et accueillera également le Conseil général jusqu’en 2010. Fonds Jean-Baptiste Boudeau, Boîte 190 (Bfm Limoges)
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Hôtel Estienne de la Rivière Ce bel hôtel particulier est bâti place du Présidial au début du 19e siècle par les Estienne de la Rivière, famille d’aristocrates et de notables limousins. Il est classé aux Monuments historiques depuis 1988 pour certains de ses éléments extérieurs mais aussi pour ses riches intérieurs de bois et de stuc. Propriété d’une association, il est restauré à la fin des années 2010. Fonds Boudeau, boite 190 (Bfm Limoges)
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La Chambre de Commerce Ce beau bâtiment, à l’angle du boulevard Carnot et de la place Stalingrad, est édifié sur les plans de l’architecte Charles Planckaert pour installer la chambre de commerce et d’industrie de la Haute-Vienne qui y demeure de 1905 aux années 1960. Son rez-de-chaussée a accueilli différents commerces, comme le fleuriste et paysagiste Nivet, visible sur ce cliché. L’immeuble est aujourd’hui occupé par le conseil de prud'hommes. Fonds Jean-Baptiste Boudeau, Boîte 197 (Bfm Limoges)
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Le monument des Mobiles Officiellement nommé « Monument aux morts à la gloire des victimes de la guerre de 1870 », le monument des Mobiles est l’œuvre du sculpteur limougeaud Adolphe-Martial Thabard, inauguré en 1899 aux angles de l'avenue de la Gare (devenue avenue du Général de Gaulle) et du cours Jourdan. C’est un hommage aux morts pour la France en 1870-1871, et plus particulièrement au 71ème régiment de Mobiles de la Haute-Vienne. Fonds Jean-Baptiste Boudeau, Boîte 174 (Bfm Limoges)
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La statue du Maréchal Jourdan La statue de Jean-Baptiste Jourdan (1762-1833), célèbre Limougeaud, député de la Haute-Vienne et maréchal d’Empire victorieux à Watignies et à Fleurus, fut inaugurée en 1860. Elle nous le montre, prêt à mettre sabre au clair, au milieu du square créé en 1907. C’est probablement parce qu’elle représente un chef militaire qu’elle ne fut pas, comme la plupart des autres statues limougeaudes, fondue sous l’Occupation. Fonds Jean-Baptiste Boudeau, boîte 174 (Bfm Limoges)
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La statue de Gay-Lussac Œuvre du sculpteur Aimé Millet, cette statue rend hommage au célèbre physicien et chimiste natif de Saint-Léonard-de-Noblat, Louis-Joseph Gay-Lussac (1778-1850). Elle est inaugurée place d’Aine en 1890 et sera fondue sous l’Occupation. Fonds Jean-Baptiste Boudeau, boite 184 (Bfm Limoges)
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Croix de la chapelle Saint-Aurélien Cette croix monolithique en calcaire, avec son socle en granit, se trouvait avant la Révolution dans l’ancien couvent des Carmes. Elle décore, depuis lors, l’entrée de la chapelle Saint-Aurélien (bâtie vers 1475), saint patron des bouchers de Limoges. cote : Fonds Boudeau-Boîte 189 (Bfm Limoges)
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L'Hôtel de Ville de Limoges La construction de l’Hôtel de Ville, symbole des valeurs de la IIIème République, est rendue possible grâce au legs d’un riche propriétaire limougeaud Alfred Fournier. Le choix de son emplacement fait débat. Pas moins de 16 propositions d’emplacement sont retenues. Le conseil municipal décide alors de faire appel à la population pour déterminer l’emplacement du « bien appartenant à tous les citoyens».. Soutenu par deux pétitions, ’emplacement actuel est finalement validé par le conseil municipal en 1877. C'est Alfred Leclerc, prix de Rome, architecte de Versailles et du Trianon notamment qui est retenu pour réaliser le monument inauguré le 14 juillet 1883. L’architecture du bâtiment intègre aussi bien les symboles républicains que l’histoire de la Ville (écussons des anciennes corporations, effigie de Saint-Martial…). Fonds Jean-Baptiste Boudeau, boîte 186 (Bfm Limoges)
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Hôtel de Ville de Limoges L’édification du nouvel Hôtel de Ville est rendue possible grâce au legs d’Alfred Fournier (1812-1875), riche propriétaire limougeaud. La construction débute en 1879 sur les plans d’Alfred Leclerc (1843-1915). Ce jeune architecte semble s’être largement inspiré de l’Hôtel de Ville de Paris qui est, à la même époque, en pleine reconstruction. L’inauguration a lieu le 14 juillet 1883. La façade est de style composite, majoritairement néo-Renaissance. Le soubassement est en granit des monts d’Ambazac, les niveaux supérieurs en pierre calcaire du Poitou. Fonds Jean-Baptiste Boudeau, boîte 186 (Bfm Limoges)
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Femme en barbichet Le barbichet à larges ailes de mousseline, brodées de dentelles et amidonnées est une coiffe traditionnelle porté en haut Limousin Elle se développe vers 1835-1840, avec la venue des broderies d'Aixe sur Vienne et voit son apogée vers l'an 1880. C'est la coiffe réservée aux cérémonies et fêtes dominicales. Fragile et coûteux pour la finesse de sa dentelle, c'est un trésor de famille qu'on aime à monter, mais aussi pour les auteurs du Félibre à chanter et louer. Fonds Jean-Baptiste Boudeau, boite 171 (Bfm Limoges).
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La jeune fille à la fleur Entre 1900 et 1924, Jean-Baptiste Boudeau, épicier à Saint-Priest-Taurion, parcourt en carriole ou à vélo les environs de Limoges, Ambazac, Saint-Léonard, Bessines, ... Il réalise des cartes postales de monuments, des photographie de mariage, des portraits à la demande. Il fixe également des événements exceptionnels (fêtes, accidents). Ses clichés témoignent de la vie quotidienne dans les campagnes, d'un monde en mutation, sans misérabilisme ni nostalgie.. En 2011, la Bfm de Limoges a acquis plus de 3500 de ses plaques de verre : un fonds d'une grande richesse qui a fait l'objet d'une exposition à la Bfm en 2012. Fonds Jean-Baptiste Boudeaau, boite 141 (Bfm)
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L'équipe de Football Entre 1900 et 1924, Jean-Baptiste Boudeau, épicier à Saint-Priest-Taurion, parcourt en carriole ou à vélo les environs de Limoges, Ambazac, Saint-Léonard, Bessines, ... Il réalise des cartes postales de monuments, des photographie de mariage, des portraits à la demande. Il fixe également des événements exceptionnels (fêtes, accidents). Ses clichés témoignent de la vie quotidienne dans les campagnes, d'un monde en mutation, sans misérabilisme ni nostalgie.. En 2011, la Bfm de Limoges a acquis plus de 3500 de ses plaques de verre : un fonds d'une grande richesse qui a fait l'objet d'une exposition à la Bfm en 2012. Fonds Jean-Baptiste Boudeau, boîte 277 (Bfm Limoges)
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Emile Courgnaud faisant baigner ses chevaux Entre 1900 et 1924, Jean-Baptiste Boudeau, épicier à Saint-Priest-Taurion, parcourt en carriole ou à vélo les environs de Limoges, Ambazac, Saint-Léonard, Bessines, ... Il réalise des cartes postales de monuments, des photographie de mariage, des portraits à la demande. Il fixe également des événements exceptionnels (fêtes, accidents). Ses clichés témoignent de la vie quotidienne dans les campagnes, d'un monde en mutation, sans misérabilisme ni nostalgie.. En 2011, la Bfm de Limoges a acquis plus de 3500 de ses plaques de verre : un fonds d'une grande richesse qui a fait l'objet d'une exposition à la Bfm en 2012. Fonds Jean-Baptiste Boudeau, Classeur n°2 (Bfm Limoges)
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L'automobile de Monsieur Bouttier Entre 1900 et 1924, Jean-Baptiste Boudeau, épicier à Saint-Priest-Taurion, parcourt en carriole ou à vélo les environs de Limoges, Ambazac, Saint-Léonard, Bessines, ... Il réalise des cartes postales de monuments, des photographie de mariage, des portraits à la demande. Il fixe également des événements exceptionnels (fêtes, accidents). Ses clichés témoignent de la vie quotidienne dans les campagnes, d'un monde en mutation, sans misérabilisme ni nostalgie.. En 2011, la Bfm de Limoges a acquis plus de 3500 de ses plaques de verre : un fonds d'une grande richesse qui a fait l'objet d'une exposition à la Bfm en 2012.
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jeune fille en barbichet Dans son beau costume du dimanche à l'occasion du voyage du président Poincaré en Limousin en 1913. Entre 1900 et 1924, Jean-Baptiste Boudeau, épicier à Saint-Priest-Taurion, parcourt en carriole ou à vélo les environs de Limoges, Ambazac, Saint-Léonard, Bessines, ... Il réalise des cartes postales de monuments, des photographie de mariage, des portraits à la demande. Il fixe également des événements exceptionnels (fêtes, accidents). Ses clichés témoignent de la vie quotidienne dans les campagnes, d'un monde en mutation, sans misérabilisme ni nostalgie.. En 2011, la Bfm de Limoges a acquis plus de 3500 de ses plaques de verre : un fonds d'une grande richesse qui a fait l'objet d'une exposition à la Bfm en 2012. Boîte 163 (Bfm Limoges)
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Moissons Photo prise à Eyjeaux (Haute-Vienne). Entre 1900 et 1924, Jean-Baptiste Boudeau, épicier à Saint-Priest-Taurion, parcourt en carriole ou à vélo les environs de Limoges, Ambazac, Saint-Léonard, Bessines, ... Il réalise des cartes postales de monuments, des photographie de mariage, des portraits à la demande. Il fixe également des événements exceptionnels (fêtes, accidents). Ses clichés témoignent de la vie quotidienne dans les campagnes, d'un monde en mutation, sans misérabilisme ni nostalgie.. En 2011, la Bfm de Limoges a acquis plus de 3500 de ses plaques de verre : un fonds d'une grande richesse qui a fait l'objet d'une exposition à la Bfm en 2012. Fonds Jean-Baptiste Boudeau, Boite 112 (Bfm Limoges)
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Mariage "Au petit Salé" Entre 1900 et 1924, Jean-Baptiste Boudeau, épicier à Saint-Priest-Taurion, parcourt en carriole ou à vélo les environs de Limoges, Ambazac, Saint-Léonard, Bessines, ... Il réalise des cartes postales de monuments, des photographie de mariage, des portraits à la demande. Il fixe également des événements exceptionnels (fêtes, accidents). Ses clichés témoignent de la vie quotidienne dans les campagnes, d'un monde en mutation, sans misérabilisme ni nostalgie.. En 2011, la Bfm de Limoges a acquis plus de 3500 de ses plaques de verre : un fonds d'une grande richesse qui a fait l'objet d'une exposition à la Bfm en 2012. Fonds Jean-Baptiste Boudeau, boite 154 (Bfm).