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1789
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Vergniaud Né à Limoges le 31 mai 1753, fils de Pierre Vergniaud et de Catherine Baubiat ; avocat en parlement à Bordeaux, administrateur du département de la Gironde (1790), député de ce département à l'Assemblée législative (31 août 1791) élu à la Convention, le premier sur douze (5 septembre 1792), secrétaire, puis président de la Convention. Il était, en 1789, jeune avocat spirituel et distingué, en exercice à Bordeaux auquel la Révolution permit de donner la mesure de son immense talent. Orateur né, il avait dans ses discours le génie de l'exposition lumineuse et de l'argumentation. Une fougue passionnée transporte ses harangues. Comme Danton, mais avec plus de brillant, il avait un don exceptionnel pour l'improvisation. A l'homme politique, on a reproché d'avoir manqué de clairvoyance, de courage même. Leader de la Gironde, sans en être jamais le chef, il laisse à d'autres le soin d'entraîner ses partisans dans la lutte avec la Montagne. Vergniaud et avec lui vingt-deux de ses compagnons montèrent à l'échafaud le 31 octobre 1793. Cote : FP VERG 16 (Bfm Limoges)
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Vergniaud D'après la statue de Cartellier. Né à Limoges le 31 mai 1753, fils de Pierre Vergniaud et de Catherine Baubiat ; avocat en parlement à Bordeaux, administrateur du département de la Gironde (1790), député de ce département à l'Assemblée législative (31 août 1791) élu à la Convention, le premier sur douze (5 septembre 1792), secrétaire, puis président de la Convention. Il était, en 1789, jeune avocat spirituel et distingué, en exercice à Bordeaux auquel la Révolution permit de donner la mesure de son immense talent. Orateur né, il avait dans ses discours le génie de l'exposition lumineuse et de l'argumentation. Une fougue passionnée transporte ses harangues. Comme Danton, mais avec plus de brillant, il avait un don exceptionnel pour l'improvisation. A l'homme politique, on a reproché d'avoir manqué de clairvoyance, de courage même. Leader de la Gironde, sans en être jamais le chef, il laisse à d'autres le soin d'entraîner ses partisans dans la lutte avec la Montagne. Vergniaud et avec lui vingt-deux de ses compagnons montèrent à l'échafaud le 31 octobre 1793. Cote : FP VERG 15 (Bfm Limoges)
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Vergniaud : avocat député de la Gironde à l'assemblée législative et à l'assemblée nationale. Né à Limoges le 31 mai 1753. Né à Limoges le 31 mai 1753, fils de Pierre Vergniaud et de Catherine Baubiat ; avocat en parlement à Bordeaux, administrateur du département de la Gironde (1790), député de ce département à l'Assemblée législative (31 août 1791) élu à la Convention, le premier sur douze (5 septembre 1792), secrétaire, puis président de la Convention. Il était, en 1789, jeune avocat spirituel et distingué, en exercice à Bordeaux auquel la Révolution permit de donner la mesure de son immense talent. Orateur né, il avait dans ses discours le génie de l'exposition lumineuse et de l'argumentation. Une fougue passionnée transporte ses harangues. Comme Danton, mais avec plus de brillant, il avait un don exceptionnel pour l'improvisation. A l'homme politique, on a reproché d'avoir manqué de clairvoyance, de courage même. Leader de la Gironde, sans en être jamais le chef, il laisse à d'autres le soin d'entraîner ses partisans dans la lutte avec la Montagne. Vergniaud et avec lui vingt-deux de ses compagnons montèrent à l'échafaud le 31 octobre 1793. Cote : FP VERG 14 (Bfm Limoges)
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[Vergniaud] Né à Limoges le 31 mai 1753, fils de Pierre Vergniaud et de Catherine Baubiat ; avocat en parlement à Bordeaux, administrateur du département de la Gironde (1790), député de ce département à l'Assemblée législative (31 août 1791) élu à la Convention, le premier sur douze (5 septembre 1792), secrétaire, puis président de la Convention. Il était, en 1789, jeune avocat spirituel et distingué, en exercice à Bordeaux auquel la Révolution permit de donner la mesure de son immense talent. Orateur né, il avait dans ses discours le génie de l'exposition lumineuse et de l'argumentation. Une fougue passionnée transporte ses harangues. Comme Danton, mais avec plus de brillant, il avait un don exceptionnel pour l'improvisation. A l'homme politique, on a reproché d'avoir manqué de clairvoyance, de courage même. Leader de la Gironde, sans en être jamais le chef, il laisse à d'autres le soin d'entraîner ses partisans dans la lutte avec la Montagne. Vergniaud et avec lui vingt-deux de ses compagnons montèrent à l'échafaud le 31 octobre 1793. Cote : FP VERG 12 (Bfm Limoges)
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Vergniaud Né à Limoges le 31 mai 1753, fils de Pierre Vergniaud et de Catherine Baubiat ; avocat en parlement à Bordeaux, administrateur du département de la Gironde (1790), député de ce département à l'Assemblée législative (31 août 1791) élu à la Convention, le premier sur douze (5 septembre 1792), secrétaire, puis président de la Convention. Il était, en 1789, jeune avocat spirituel et distingué, en exercice à Bordeaux auquel la Révolution permit de donner la mesure de son immense talent. Orateur né, il avait dans ses discours le génie de l'exposition lumineuse et de l'argumentation. Une fougue passionnée transporte ses harangues. Comme Danton, mais avec plus de brillant, il avait un don exceptionnel pour l'improvisation. A l'homme politique, on a reproché d'avoir manqué de clairvoyance, de courage même. Leader de la Gironde, sans en être jamais le chef, il laisse à d'autres le soin d'entraîner ses partisans dans la lutte avec la Montagne. Vergniaud et avec lui vingt-deux de ses compagnons montèrent à l'échafaud le 31 octobre 1793. Cote : FP VERG 11 (Bfm Limoges)
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Pier. Vict. Vergniau Né à Limoges le 31 mai 1753, fils de Pierre Vergniaud et de Catherine Baubiat ; avocat en parlement à Bordeaux, administrateur du département de la Gironde (1790), député de ce département à l'Assemblée législative (31 août 1791) élu à la Convention, le premier sur douze (5 septembre 1792), secrétaire, puis président de la Convention. Il était, en 1789, jeune avocat spirituel et distingué, en exercice à Bordeaux auquel la Révolution permit de donner la mesure de son immense talent. Orateur né, il avait dans ses discours le génie de l'exposition lumineuse et de l'argumentation. Une fougue passionnée transporte ses harangues. Comme Danton, mais avec plus de brillant, il avait un don exceptionnel pour l'improvisation. A l'homme politique, on a reproché d'avoir manqué de clairvoyance, de courage même. Leader de la Gironde, sans en être jamais le chef, il laisse à d'autres le soin d'entraîner ses partisans dans la lutte avec la Montagne. Vergniaud et avec lui vingt-deux de ses compagnons montèrent à l'échafaud le 31 octobre 1793. Cote : FP VERG 10 (Bfm Limoges)
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Pierre Victorin Vergniau [sic] Né à Limoges le 31 mai 1753, fils de Pierre Vergniaud et de Catherine Baubiat ; avocat en parlement à Bordeaux, administrateur du département de la Gironde (1790), député de ce département à l'Assemblée législative (31 août 1791) élu à la Convention, le premier sur douze (5 septembre 1792), secrétaire, puis président de la Convention. Il était, en 1789, jeune avocat spirituel et distingué, en exercice à Bordeaux auquel la Révolution permit de donner la mesure de son immense talent. Orateur né, il avait dans ses discours le génie de l'exposition lumineuse et de l'argumentation. Une fougue passionnée transporte ses harangues. Comme Danton, mais avec plus de brillant, il avait un don exceptionnel pour l'improvisation. A l'homme politique, on a reproché d'avoir manqué de clairvoyance, de courage même. Leader de la Gironde, sans en être jamais le chef, il laisse à d'autres le soin d'entraîner ses partisans dans la lutte avec la Montagne. Vergniaud et avec lui vingt-deux de ses compagnons montèrent à l'échafaud le 31 octobre 1793. Cote : FP VERG 09 (Bfm Limoges)
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Vergniaud Né à Limoges le 31 mai 1753, fils de Pierre Vergniaud et de Catherine Baubiat ; avocat en parlement à Bordeaux, administrateur du département de la Gironde (1790), député de ce département à l'Assemblée législative (31 août 1791) élu à la Convention, le premier sur douze (5 septembre 1792), secrétaire, puis président de la Convention. Il était, en 1789, jeune avocat spirituel et distingué, en exercice à Bordeaux auquel la Révolution permit de donner la mesure de son immense talent. Orateur né, il avait dans ses discours le génie de l'exposition lumineuse et de l'argumentation. Une fougue passionnée transporte ses harangues. Comme Danton, mais avec plus de brillant, il avait un don exceptionnel pour l'improvisation. A l'homme politique, on a reproché d'avoir manqué de clairvoyance, de courage même. Leader de la Gironde, sans en être jamais le chef, il laisse à d'autres le soin d'entraîner ses partisans dans la lutte avec la Montagne. Vergniaud et avec lui vingt-deux de ses compagnons montèrent à l'échafaud le 31 octobre 1793. Cote : FP VERG 08 (Bfm Limoges)
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Vergnault [sic] Pierre-Victurnien Vergniaud, né à Limoges le 31 mai 1753, fils de Pierre Vergniaud et de Catherine Baubiat ; avocat en parlement à Bordeaux, administrateur du département de la Gironde (1790), député de ce département à l'Assemblée législative (31 août 1791) élu à la Convention, le premier sur douze (5 septembre 1792), secrétaire, puis président de la Convention. Il était, en 1789, jeune avocat spirituel et distingué, en exercice à Bordeaux auquel la Révolution permit de donner la mesure de son immense talent. Orateur né, il avait dans ses discours le génie de l'exposition lumineuse et de l'argumentation. Une fougue passionnée transporte ses harangues. Comme Danton, mais avec plus de brillant, il avait un don exceptionnel pour l'improvisation. A l'homme politique, on a reproché d'avoir manqué de clairvoyance, de courage même. Leader de la Gironde, sans en être jamais le chef, il laisse à d'autres le soin d'entraîner ses partisans dans la lutte avec la Montagne. Vergniaud et avec lui vingt-deux de ses compagnons montèrent à l'échafaud le 31 octobre 1793. Cote : FP VERG 07 (Bfm Limoges)
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Vergniaud Né à Limoges le 31 mai 1753, fils de Pierre Vergniaud et de Catherine Baubiat ; avocat en parlement à Bordeaux, administrateur du département de la Gironde (1790), député de ce département à l'Assemblée législative (31 août 1791) élu à la Convention, le premier sur douze (5 septembre 1792), secrétaire, puis président de la Convention. Il était, en 1789, jeune avocat spirituel et distingué, en exercice à Bordeaux auquel la Révolution permit de donner la mesure de son immense talent. Orateur né, il avait dans ses discours le génie de l'exposition lumineuse et de l'argumentation. Une fougue passionnée transporte ses harangues. Comme Danton, mais avec plus de brillant, il avait un don exceptionnel pour l'improvisation. A l'homme politique, on a reproché d'avoir manqué de clairvoyance, de courage même. Leader de la Gironde, sans en être jamais le chef, il laisse à d'autres le soin d'entraîner ses partisans dans la lutte avec la Montagne. Vergniaud et avec lui vingt-deux de ses compagnons montèrent à l'échafaud le 31 octobre 1793. Cote : FP VERG 05 (Bfm Limoges)
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Vergniaud Né à Limoges le 31 mai 1753, fils de Pierre Vergniaud et de Catherine Baubiat ; avocat en parlement à Bordeaux, administrateur du département de la Gironde (1790), député de ce département à l'Assemblée législative (31 août 1791) élu à la Convention, le premier sur douze (5 septembre 1792), secrétaire, puis président de la Convention. Il était, en 1789, jeune avocat spirituel et distingué, en exercice à Bordeaux auquel la Révolution permit de donner la mesure de son immense talent. Orateur né, il avait dans ses discours le génie de l'exposition lumineuse et de l'argumentation. Une fougue passionnée transporte ses harangues. Comme Danton, mais avec plus de brillant, il avait un don exceptionnel pour l'improvisation. A l'homme politique, on a reproché d'avoir manqué de clairvoyance, de courage même. Leader de la Gironde, sans en être jamais le chef, il laisse à d'autres le soin d'entraîner ses partisans dans la lutte avec la Montagne. Vergniaud et avec lui vingt-deux de ses compagnons montèrent à l'échafaud le 31 octobre 1793. Cote : FP VERG 04 (Bfm Limoges)
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Vergniaud Né à Limoges le 31 mai 1753, fils de Pierre Vergniaud et de Catherine Baubiat ; avocat en parlement à Bordeaux, administrateur du département de la Gironde (1790), député de ce département à l'Assemblée législative (31 août 1791) élu à la Convention, le premier sur douze (5 septembre 1792), secrétaire, puis président de la Convention. Il était, en 1789, jeune avocat spirituel et distingué, en exercice à Bordeaux auquel la Révolution permit de donner la mesure de son immense talent. Orateur né, il avait dans ses discours le génie de l'exposition lumineuse et de l'argumentation. Une fougue passionnée transporte ses harangues. Comme Danton, mais avec plus de brillant, il avait un don exceptionnel pour l'improvisation. A l'homme politique, on a reproché d'avoir manqué de clairvoyance, de courage même. Leader de la Gironde, sans en être jamais le chef, il laisse à d'autres le soin d'entraîner ses partisans dans la lutte avec la Montagne. Vergniaud et avec lui vingt-deux de ses compagnons montèrent à l'échafaud le 31 octobre 1793. Cote : FP VERG 03 (Bfm Limoges)
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Vergniaud Né à Limoges le 31 mai 1753, fils de Pierre Vergniaud et de Catherine Baubiat ; avocat en parlement à Bordeaux, administrateur du département de la Gironde (1790), député de ce département à l'Assemblée législative (31 août 1791) élu à la Convention, le premier sur douze (5 septembre 1792), secrétaire, puis président de la Convention. Il était, en 1789, jeune avocat spirituel et distingué, en exercice à Bordeaux auquel la Révolution permit de donner la mesure de son immense talent. Orateur né, il avait dans ses discours le génie de l'exposition lumineuse et de l'argumentation. Une fougue passionnée transporte ses harangues. Comme Danton, mais avec plus de brillant, il avait un don exceptionnel pour l'improvisation. A l'homme politique, on a reproché d'avoir manqué de clairvoyance, de courage même. Leader de la Gironde, sans en être jamais le chef, il laisse à d'autres le soin d'entraîner ses partisans dans la lutte avec la Montagne. Vergniaud et avec lui vingt-deux de ses compagnons montèrent à l'échafaud le 31 octobre 1793. Cote : FP VERG 02 (Bfm Limoges)
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P. V. Vergniaud. Représentant du peuple, né à Limoges en 1759 (sic), mort en 1793 victime de la Révolution. Né à Limoges le 31 mai 1753, fils de Pierre Vergniaud et de Catherine Baubiat ; avocat en parlement à Bordeaux, administrateur du département de la Gironde (1790), député de ce département à l'Assemblée législative (31 août 1791) élu à la Convention, le premier sur douze (5 septembre 1792), secrétaire, puis président de la Convention. Il était, en 1789, jeune avocat spirituel et distingué, en exercice à Bordeaux auquel la Révolution permit de donner la mesure de son immense talent. Orateur né, il avait dans ses discours le génie de l'exposition lumineuse et de l'argumentation. Une fougue passionnée transporte ses harangues. Comme Danton, mais avec plus de brillant, il avait un don exceptionnel pour l'improvisation. A l'homme politique, on a reproché d'avoir manqué de clairvoyance, de courage même. Leader de la Gironde, sans en être jamais le chef, il laisse à d'autres le soin d'entraîner ses partisans dans la lutte avec la Montagne. Vergniaud et avec lui vingt-deux de ses compagnons montèrent à l'échafaud le 31 octobre 1793. Cote : FP VERG 01 (Bfm Limoges)
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J.B. Louvet, député au Conseil des Cinq Cents par le dépt de la Haute-Vienne Jean-Baptiste Louvet de Coudray, né à Paris le 12 juin 1760, littérateur, élu membre de la Convention nationale par le département du Loiret (8 septembre 1792), président de la Convention (19 juin 1795), membre du comité de Salut public, élu député au conseil des Cinq-cents (15 octobre 1795) par dix-neuf départements, opta pour la Haute-Vienne, sortit de cette assemblée le 20 mai 1797, mort à Paris le 25 août de la même année. Cote : FP LOUV 03 (Bfm Limoges)
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Iean Baptist Louvet Jean-Baptiste Louvet de Coudray, né à Paris le 12 juin 1760, littérateur, élu membre de la Convention nationale par le département du Loiret (8 septembre 1792), président de la Convention (19 juin 1795), membre du comité de Salut public, élu député au conseil des Cinq-cents (15 octobre 1795) par dix-neuf départements, opta pour la Haute-Vienne, sortit de cette assemblée le 20 mai 1797, mort à Paris le 25 août de la même année. Cote : FP LOUV 02 (Bfm Limoges)
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J.B. Louvet, Député du Conseil des Cinq cents par le dept de la haute Vienne Jean-Baptiste Louvet de Coudray, né à Paris le 12 juin 1760, littérateur, élu membre de la Convention nationale par le département du Loiret (8 septembre 1792), président de la Convention (19 juin 1795), membre du comité de Salut public, élu député au conseil des Cinq-cents (15 octobre 1795) par dix-neuf départements, opta pour la Haute-Vienne, sortit de cette assemblée le 20 mai 1797, mort à Paris le 25 août de la même année. Cote : FP LOUV 01 (Bfm Limoges)
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Le Borthe[sic] de Grand'Pré, curé d'Oradour-Fanois, député de la Basse-Marche extrait de Collection générale des portraits de MM les députés à l'Assemblée nationale tenue à Versailles le 4 mai 1789. Jean-Baptiste le Borlhe de Grandpré, né à Magnac-Laval (Haute-Vienne) le 9 février 1741, fils de François Le Borlhe sieur de Grandpré, et de Marguerite Rabilhac ; vicaire d'Oradour-Fanais (auj. dép. de la Charente) en 1766, curé de la même paroisse du 21 février 1767 à la Révolution, député du clergé de la sénéchaussée de la Basse-Marche aux Etats Généraux. Cote : FP LEB (Bfm Limoges)
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M. le C.te de Laipaud. Né au château du Mat du Bot le 13 J[anvi]er 1725. Grand Séné[ch]al d'Epée de la Basse Marche, Député de cette province. A l'Assemblée Nationale de 1789 Paul Nollet de Laipaud, né au château du Mas-du-Bost, commune de Blond (Haute-Vienne), le 11 janvier 1725, fils de Paul de Nollet, seigneur de Laipaud, et de Marie-Anne de Carbonnière de Saint-Brice. Le comte de Laipaud fut capitaine de cavalerie, sénéchal d'épée de la Basse-Marche, puis fut élu député de la noblesse de cette sénéchaussée aux Etats Généraux de 1789, mort en 1806. Cote : FP LAI (Bfm Limoges)
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Léonard Honoré (ou Gay-Vernon) Légende : "Léonard Gay de Vernon. Ancien évêque constitutionnel de la Haute-Vienne. Député à la convention nationale". - Porte en plus : la mention "A. Girardin 1896". - Don d'Alfred Fray-Fournier. Cote : FP GAY-V (Bfm Limoges)