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Groupe de l'école Saint-Jean à Ambazac - Fonds Boudeau (B127-n°2273) Paul et Céline Pouquet s'installent en 1840 dans une grande propriété du village de Trasforêt, sur la commune d'Ambazac. Ils consacrent une grande partie de leur fortune à l'édification d'une institution catholique tenue par des religieuses et comprenant une école primaire, un hôpital et un ouvroir (foyer de charité préparant des orphelines aux métiers de couturière et de domestique). En 1864 est édifiée une chapelle qui imite le style roman. Après la loi de 1902 sur les écoles congréganistes, l’Église est chassée des bâtiments qui restent vides quelques années avant d'accueillir, à partir de 1907, des séminaristes de la région. Le docteur Alfred Pouquet, neveu des fondateurs, offre les bâtiments à l’Église. Une école religieuse, l'école Saint-Jean, fonctionnera dans ces locaux jusqu'en 1958, avant d'être déplacée à Limoges. Après le départ de l'école, ce sont des sœurs de Saint François d'Assise qui occupent "l'Oeuvre Pouquet". L’Église vendra les bâtiments au début des années 2000, qui sont depuis lors occupés par un lieu d'accueil pour adultes handicapés, le foyer de vie Gilbert Ballet. Jean-Baptiste Boudeau photographie ici un groupe posant devant le portail de la chapelle.
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Groupe de l'école Saint-Jean à Ambazac - Fonds Boudeau (B127-n°2272) Paul et Céline Pouquet s'installent en 1840 dans une grande propriété du village de Trasforêt, sur la commune d'Ambazac. Ils consacrent une grande partie de leur fortune à l'édification d'une institution catholique tenue par des religieuses et comprenant une école primaire, un hôpital et un ouvroir (foyer de charité préparant des orphelines aux métiers de couturière et de domestique). En 1864 est édifiée une chapelle qui imite le style roman. Après la loi de 1902 sur les écoles congréganistes, l’Église est chassée des bâtiments qui restent vides quelques années avant d'accueillir, à partir de 1907, des séminaristes de la région. Le docteur Alfred Pouquet, neveu des fondateurs, offre les bâtiments à l’Église. Une école religieuse, l'école Saint-Jean, fonctionnera dans ces locaux jusqu'en 1958, avant d'être déplacée à Limoges. Après le départ de l'école, ce sont des sœurs de Saint François d'Assise qui occupent "l'Oeuvre Pouquet". L’Église vendra les bâtiments au début des années 2000, qui sont depuis lors occupés par un lieu d'accueil pour adultes handicapés, le foyer de vie Gilbert Ballet. Jean-Baptiste Boudeau photographie ici un groupe posant devant le portail de la chapelle.
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Groupe de l'école Saint-Jean à Ambazac - Fonds Boudeau (B127-n°2271) Paul et Céline Pouquet s'installent en 1840 dans une grande propriété du village de Trasforêt, sur la commune d'Ambazac. Ils consacrent une grande partie de leur fortune à l'édification d'une institution catholique tenue par des religieuses et comprenant une école primaire, un hôpital et un ouvroir (foyer de charité préparant des orphelines aux métiers de couturière et de domestique). En 1864 est édifiée une chapelle qui imite le style roman. Après la loi de 1902 sur les écoles congréganistes, l’Église est chassée des bâtiments qui restent vides quelques années avant d'accueillir, à partir de 1907, des séminaristes de la région. Le docteur Alfred Pouquet, neveu des fondateurs, offre les bâtiments à l’Église. Une école religieuse, l'école Saint-Jean, fonctionnera dans ces locaux jusqu'en 1958, avant d'être déplacée à Limoges. Après le départ de l'école, ce sont des sœurs de Saint François d'Assise qui occupent "l'Oeuvre Pouquet". L’Église vendra les bâtiments au début des années 2000, qui sont depuis lors occupés par un lieu d'accueil pour adultes handicapés, le foyer de vie Gilbert Ballet. Jean-Baptiste Boudeau photographie ici un groupe posant devant le portail de la chapelle.
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Groupe de l'école Saint-Jean à Ambazac - Fonds Boudeau (B127-n°2270) Paul et Céline Pouquet s'installent en 1840 dans une grande propriété du village de Trasforêt, sur la commune d'Ambazac. Ils consacrent une grande partie de leur fortune à l'édification d'une institution catholique tenue par des religieuses et comprenant une école primaire, un hôpital et un ouvroir (foyer de charité préparant des orphelines aux métiers de couturière et de domestique). En 1864 est édifiée une chapelle qui imite le style roman. Après la loi de 1902 sur les écoles congréganistes, l’Église est chassée des bâtiments qui restent vides quelques années avant d'accueillir, à partir de 1907, des séminaristes de la région. Le docteur Alfred Pouquet, neveu des fondateurs, offre les bâtiments à l’Église. Une école religieuse, l'école Saint-Jean, fonctionnera dans ces locaux jusqu'en 1958, avant d'être déplacée à Limoges. Après le départ de l'école, ce sont des sœurs de Saint François d'Assise qui occupent "l'Oeuvre Pouquet". L’Église vendra les bâtiments au début des années 2000, qui sont depuis lors occupés par un lieu d'accueil pour adultes handicapés, le foyer de vie Gilbert Ballet. Jean-Baptiste Boudeau photographie ici un groupe posant devant le portail de la chapelle.
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Ecoliers de Cassepierre à Rilhac-Rancon - Fonds Boudeau (B112-n°2041) Cassepierre est un village important de la commune de Rilhac-Rancon mais il est situé à plusieurs kilomètres du bourg. Aussi, pour faciliter la scolarisation des enfants de Cassepierre et des environs, une grande école mixte est construite en 1911. Nous voyons donc ici les premiers enfants scolarisés à l'école de Cassepierre, qui est aujourd'hui l'école Nelson Mandela. L'institutrice de l'époque s'appelait mademoiselle Juge.
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L'école de Cassepierre à Rilhac-Rancon - Fonds Boudeau (B112-n°2039) Cassepierre est un village important de la commune de Rilhac-Rancon mais il est situé à plusieurs kilomètres du bourg. Aussi, pour faciliter la scolarisation des enfants de Cassepierre et des environs, une grande école mixte est construite en 1911, ainsi que nous l'indique la date au fronton du bâtiment. Nous voyons donc ici les premiers enfants scolarisés à l'école de Cassepierre, qui est aujourd'hui l'école Nelson Mandela. L'institutrice de l'époque, que l'on voit à la fenêtre, s'appelait mademoiselle Juge.
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Maison d'école à Bort, Saint-Priest-Taurion - Fonds Boudeau (B27-n°636) Au 19e siècle, Pierre-Edmond Teisserenc de Bort avait installé une école gratuite et mixte sur son domaine.
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Groupe de l'école de La Maligne à Saint-Martin-Terressus - Fonds Boudeau (B23-n°570) La Maligne (autrefois parfois appelé "Manigne") était vers 1900 l'un des villages les plus importants de la commune en nombre d'habitants. Pour éviter aux nombreux enfants de ce village et des villages voisins (Le Bouquet, La Gasnerie...) de parcourir matin et soir une distance de plusieurs kilomètres pour se rendre à l'école du bourg, une école mixte est créée à La Maligne en 1909. C'est donc le premier groupe d'enfants scolarisés à La Maligne que nous voyons sur ce cliché pris l'année de la création. Leur jeune institutrice d'à peine vingt ans, que l'on voit ici, est originaire de Saint-Just-le-Martel et s'appelle Mademoiselle Faucher (Marie-Madeleine). Elle se mariera en janvier 1913 et deviendra Madame Denaud . Elle enseignera à de nombreuses générations d'enfants de La Maligne et des alentours, pendant environ trente ans. L'école de La Maligne fermera ses portes en 1970.
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École normale primaire de jeunes filles extrait du Recueil d'architecture civile, 1881. L’Ecole normale d’institutrices de Limoges se situe dans le milieu de l’ancienne route d’Aixe (autrefois route de Bordeaux, actuelle rue François-Perrin). Elle est construite de 1881 à 1883 par l’entreprise Laudat, sous la direction d’Henri Lemasson et sur les plans de Jules Tixier, jeune architecte de 27 ans. Après avoir accueilli un temps les élèves infirmières, elle fut à l’abandon pendant plusieurs années, avant d’être transformée à la fin des années 2010 en résidence pour personnes âgées. Seule sa façade a été conservée. cote : 3FI31 (Bfm Limoges)
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Jour de Fête Lorsque J.B. Boudeau se rend à Panazol au printemps et à l'été 1913, il réalise une série d'une vingtaine de photos environ. Hormis les principaux châteaux, de la Beausserie, de la Quintaine, de la Rue, notamment, il fixe sur ses plaques photos, un plan de l'école du bourg, de la mairie, de l'église et de la poste. Les quatre éléments constitutifs d'une commune, trois d'entre eux étant publics, intimement liés à la République. Aussi, ne doit-on pas être surpris de voir le facteur et ces enfants de l'école communale poser, probablement avec « la dame des postes », comme on disait alors. Étrange impression semblable à celle donnée par la facteur de « Jour de fête » de Jacques Tati, sorti en 1949, au début de la IVe République. Boite 151 (Bfm Limoges)
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Marie Stuart à l'école, drame historique En sous titre : "drame historique en trois actes mêlé de couplets et spécialement destiné aux pensionnats de jeunes demoiselles pour les exercices publics d'une distribution des prix ". cote : MAG.P LIM 16449 (Bfm Limoges)
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L'instruction Républicaine ; Obligation, gratuité, laïcité Ecrivain scientifique, Amédée Guillemin est surtout connu pour ses ouvrages de vulgarisation qui connurent un grand succès, et furent traduits en plusieurs langues. C'est aussi un homme engagé qui collabore à de nombreuses revues littéraires et politiques, comme en témoigne ce recueil écrit en 1871, alors que s'amorcent les débats passionnés sur la "question scolaire". cote FP/3-12°/GUI (Bibliothèque multimedia du Grand Guéret)
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Collège de Saint-Junien : prospectus Un texte , lyrique s'il en est, pour présenter le collège de Saint-Junien et ses conditions d'accès. cote : MAG.P LIM E1253/41 (Bfm Limoges)
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Exercices publics de l'école secondaire Faitiat (Feytiat)
Exercices des classes de lecture, latinité, grammaire, cosmographie, cathéchisme et mathémathiques, ... cote : MAG.P LIM 60703 (Bfm Limoges)
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Programme des exercices littéraires de l'Institution de La Souterraine Programme des exercices de mathématiques (géométrie, algèbre) de l'école de La Souterraine présentés le 4 septembre 1810 : fractions, équations, problèmes, etc... cote : MAG.P LIM 60701 (Bfm Limoges)
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L'Ecole normale d'institutrices de Limoges Extrait de "Croquis et Compositions" par Jules Tixier, architecte. Pierre Jules Tixier tient une place de choix à Limoges, tant par la diversité de ses centres d'intérêt que par ses réalisations. Architecte, archéologue, historien, il laisse d'importantes notes et dessins. Il est engagé dans de nombreuses associations locales : Société Régionale des architectes, Société archéologique, Société Gay-Lussac. Architecte des monuments historiques de la Haute-Vienne, il participe à la restauration de nombreuses églises. Enfin, ses constructions pour l'architecture privée comptent des hôtels particuliers, des maisons de campagne, des établissements d'enseignement et se distinguent par l'utilisation judicieuse du granit. cote : 3FI71/7 (Bfm Limoges)
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Elémens d'éducation physique et morale "Elémens d'éducation physique et morale, par demande et par réponse, à l'usage, pour la théorie et la pratique, du pensionnat de l'école secondaire et communale de la Ville d'Ussel, département de la Corrèze ". Rédigés en vers et en prose par le directeur, dédié à ses élèves. En exergue, sur la page de titre : "l'usage du beau Monde est en Société, Ce que le Sel est au Mets bien apprêté". cote : MAG.P.LIM F5488/89 (Bfm Limoges)
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L'instruction populaire et les écoles primaires à Limoges Album contenant l'histoire de l'enseignement primaire et la monographie de chaque école de la ville de Limoges. Ouvrage manuscrit réalisé à l'occasion de l'Exposition Universelle de 1900. cote : Ms 272 (Bfm Limoges)