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Le Chêne et le Roseau, jardin d'Orsay à Limoges - Fonds Boudeau (B43-n°899) Vue de la statue en marbre "Le chêne et le roseau", œuvre de l'artiste limougeaud Henri Coutheillas. La statue, créée en 1900 et installée au jardin d'Orsay, a ensuite été déplacée dans les jardins de l'Évêché avant d'être remisée pendant de très nombreuses années. En 2019, cette œuvre appartenant à l’État est récupérée par la municipalité de Saint-Junien qui l'installe dans son centre-ville.
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Statue du maréchal Jourdan / Exécutée par M. Elias Robert. La statue de Jean-Baptiste Jourdan fut inaugurée en 1860 à Limoges. Jean-Baptiste Jourdan, né à Limoges le 29 avril 1762, fils de Roch Jourdan, maître chirurgien, et de Jeanne Foreau Franciquet. Engagé volontaire le 2 avril 1778, à seize ans, il s'engage et part à la guerre d'indépendance des Etats-Unis. La révolution le trouve à Limoges s'occupant du commerce des draps. Il reprend du service, se bat à Jemmapes, en 1792, à la tête du deuxième bataillon de volontaires de la Haute-Vienne. Général de division le 30 juillet 1793, la victoire le suit dans les plis de ses drapeaux ; à Watignies, il commande l'armée des Ardennes. En mars 1797, il est élu député de la Haute-Vienne au conseil des Cinq-Cents (mars 1797) où il y fera adopter la loi créant le service militaire obligatoire, inspecteur général de l'Infanterie de l'Ouest, envoyé extraordinaire et administrateur général du Piémont (24 juillet 1800), conseiller d'Etat le 1er décembre 1802, général en chef de l'armée d'Italie. Il reçoit le bâton de maréchal de l'Empire le 19 mai 1804 et est attaché au roi Joseph. Rallié aux Bourbons en 1814, il revient à Napoléon pendant les Cent-Jours. Louis XVIII le fait comte puis pair de France en juin 1815. A l'avènement de Louis-Philippe, il est un moment ministre des Affaires étrangères (3 août 1830) avant d'être nommé Gouverneur des Invalides le 11 août 1830. Il mourut à Paris le 23 novembre 1833. Cote : FP JOUR 06 (Bfm Limoges)
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Denis Dussoubs cliché représentant la statue de denis Dussoubs. Commandée par le maire socialiste Emile Labussière, inaugurée en 1892, cette statue est l’œuvre du Limougeaud Rousselle-Bordelle. Imposant bronze sur un socle de granit, elle rend hommage à Denis Dussoubs, né en 1818 à Saint-Léonard-de-Noblat, grande figure de la Révolution française de 1848, mort sur les barricades parisiennes le 4 décembre 1851 alors qu’il manifestait contre le coup d’Etat de Louis-Napoléon Bonaparte. La statue le montre poing levé, haranguant la foule, volontaire et courageux. Elle fut fondue sous l’Occupation. cote : FP DUS 02 (Bfm Limoges)
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Limoges. - Statue de Denis Dussoubs Commandée par le maire socialiste Emile Labussière, inaugurée en 1892, cette statue est l’œuvre du Limougeaud Rousselle-Bordelle. Imposant bronze sur un socle de granit, elle rend hommage à Denis Dussoubs, né en 1818 à Saint-Léonard-de-Noblat, grande figure de la Révolution française de 1848, mort sur les barricades parisiennes le 4 décembre 1851 alors qu’il manifestait contre le coup d’Etat de Louis-Napoléon Bonaparte. La statue le montre poing levé, haranguant la foule, volontaire et courageux. Elle fut fondue sous l’Occupation. cote : CPLim0334 (Bfm Limoges)
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Le monument des Mobiles Officiellement nommé « Monument aux morts à la gloire des victimes de la guerre de 1870 », le monument des Mobiles est l’œuvre du sculpteur limougeaud Adolphe-Martial Thabard, inauguré en 1899 aux angles de l'avenue de la Gare (devenue avenue du Général de Gaulle) et du cours Jourdan. C’est un hommage aux morts pour la France en 1870-1871, et plus particulièrement au 71ème régiment de Mobiles de la Haute-Vienne. Fonds Jean-Baptiste Boudeau, Boîte 174 (Bfm Limoges)
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La statue du Maréchal Jourdan La statue de Jean-Baptiste Jourdan (1762-1833), célèbre Limougeaud, député de la Haute-Vienne et maréchal d’Empire victorieux à Watignies et à Fleurus, fut inaugurée en 1860. Elle nous le montre, prêt à mettre sabre au clair, au milieu du square créé en 1907. C’est probablement parce qu’elle représente un chef militaire qu’elle ne fut pas, comme la plupart des autres statues limougeaudes, fondue sous l’Occupation. Fonds Jean-Baptiste Boudeau, boîte 174 (Bfm Limoges)
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La statue de Gay-Lussac Œuvre du sculpteur Aimé Millet, cette statue rend hommage au célèbre physicien et chimiste natif de Saint-Léonard-de-Noblat, Louis-Joseph Gay-Lussac (1778-1850). Elle est inaugurée place d’Aine en 1890 et sera fondue sous l’Occupation. Fonds Jean-Baptiste Boudeau, boite 184 (Bfm Limoges)
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Place Denis Dussoubs Cette place fut créée en 1712 et remodelée par Turgot vers 1770. Elle s’appela place Montmailler, place Dauphine, place des Sans-Culottes, place du roi de Rome, place de la Liberté puis place de la Révolution, avant que son nom rende finalement hommage à Denis Dussoubs, né en 1818 à Saint-Léonard-de-Noblat, figure de la Révolution française de 1848, mort sur les barricades parisiennes le 4 décembre 1851 alors qu’il manifestait contre le coup d’Etat de Louis-Napoléon Bonaparte. La statue de 1892 le montrant poing levé, haranguant la foule, fut fondue sous l’Occupation. Boite 184 (Bfm Limoges)
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Place d'Aine La place doit son nom à Nicolas d’Aine, intendant du Limousin de 1774 à 1783. Vue vers la rue Othon-Péconnet, du nom du maire qui fit rebâtir ce quartier après l’incendie de 1864 qui ravagea le vieux quartier des Arènes. On a ceint d’un échafaudage le clocher de l’église Saint-Michel-des-Lions car sa boule paratonnerre doit être descendue et remplacée par une boule ajourée et plus légère. La statue de Gay-Lussac, célèbre chimiste et physicien haut-viennois, fut fondue sous l’Occupation. Notons pour l’anecdote que la Pharmacie du palais (en référence au palais de justice auquel le photographe tourne ici le dos) est toujours à sa place, plus d’un siècle après. Boite 179 (Bfm Limoges)
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Inauguration de statue Le 26 octobre 1913, à Laurière, a lieu l'érection d'un buste à la mémoire du général Charles Thoumas né à Laurière en 1820, et qui y est mort en 1893. Ce fut un soldat et un écrivain. Soldat, c'est dans l'artillerie qu'il se fit apprécier. Écrivain, ses œuvres portèrent surtout sur la technique militaire. Il tenta aussi de devenir un homme politique et fut élu conseiller général du canton de Laurière de 1884 à 1889. Candidat aux élections législatives, il fut battu et il s'enferma dans le silence. Le conseil municipal de Laurière s'était mis à la disposition du comité qui s'était occupé de l'érection de ce buste pour le 20ème anniversaire de son décès. Personnage : Général Thoumas Boîte 203 (Bfm Limoges)
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Inauguration de statue Le 26 octobre 1913, à Laurière, a lieu l'érection d'un buste à la mémoire du général Charles Thoumas né à Laurière en 1820, et qui y est mort en 1893. Ce fut un soldat et un écrivain. Soldat, c'est dans l'artillerie qu'il se fit apprécier. Écrivain, ses œuvres portèrent surtout sur la technique militaire. Il tenta aussi de devenir un homme politique et fut élu conseiller général du canton de Laurière de 1884 à 1889. Candidat aux élections législatives, il fut battu et il s'enferma dans le silence. Le conseil municipal de Laurière s'était mis à la disposition du comité qui s'était occupé de l'érection de ce buste pour le 20ème anniversaire de son décès. Personnage : Général Thoumas Boîte 203 (Bfm Limoges)
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Le Moniteur de l'inauguration (du monument Sadi Carnot) Biographie de Sadi Carnot et programme des fêtes d'inauguration des 24 et 25 juillet 1897. cote : Mag.P LIM K137 (Bfm Limoges)
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Le Maréchal Brune, poésie
Poème de M. Lacoste du Bouig en hommage au Maréchal Brune, lors de l’inauguration de la statue de Brune, à Brive, en 1841. Né à Brive en 1763, fils d'un avocat au présidial de cette ville, il fut typographe et littérateur. Monté à Paris, il adhère totalement aux idées de la Révolution et se lie avec Danton. Commence alors sa carrière militaire en 1793 contre les Vendéens. Il s'illustre à Arcole, fonda la République Helvétique et, en 1799, chasse les Anglo-russes de la Hollande par la victoire de Bergen et la capitulation d'Alkmaar. Il est nommé maréchal de France en 1804, à l'avènement de Napoléon, et gouverneur des villes hanséatiques en 1807. En disgrâce jusqu'en 1814, il se rallie aux Bourbons. Au retour de l'île d'Elbe, il accepte de l'Empereur le commandement de la division militaire de Marseille. A ce poste, il pourchasse avec vigueur les royalistes qui opèrent dans le midi et retarde jusqu'à la fin juillet sa soumission aux nouvelles autorités issues de la seconde Restauration. Il meurt assassiné par des royalistes méridionaux à Avignon, le 2 août 1815 durant la période de la "Terreur Blanche". cote : 00 ZA1 BRU ( Médiathèque de Brive, Patrimoine local )
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Extrait du procés-verbal des cérémonies qui ont eu lieu à Brive les 2 et 3 octobre 1841 à l'occasion de l'inauguration de la statue élevée au Maréchal Brune Ce document contient le procès-verbal des cérémonies qui ont eu lieu à Brive en 1841 en hommage au maréchal Brune lors l’inauguration de sa statue, souscription, discours etc… Cette statue est toujours en place. Né à Brive, dans une famille de petite noblesse, Guillaume Brune débute ses activités de typographe et littérateur. Monté à Paris, il adhère totalement aux idées de la Révolution et se lie avec Danton. Commence alors sa carrière militaire en 1793 contre les Vendéens. Il s'illustre à Arcole, fonda la République Helvétique et, en 1799, chasse les Anglo-russes de la Hollande par la victoire de Bergen et la capitulation d'Alkmaar. Il est nommé maréchal de France en 1804, à l'avènement de Napoléon, et gouverneur des villes hanséatiques en 1807. En disgrâce jusqu'en 1814, il se rallie aux Bourbons. Au retour de l'île d'Elbe, il accepte de l'Empereur le commandement de la division militaire de Marseille. A ce poste, il pourchasse avec vigueur les royalistes qui opèrent dans le midi et retarde jusqu'à la fin juillet sa soumission aux nouvelles autorités issues de la seconde Restauration. Il meurt assassiné par des royalistes méridionaux à Avignon, le 2 août 1815 durant la période de la "Terreur Blanche". cote : 00 ZA1 BRU (Médiathèque de Brive, Patrimoine local 00 ZA1 BRU)
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Idole de Ghrovinna J.B. Tripon réalise "fidèlement" précise-t-il, le dessin d'une statue gauloise d'après le récit d'un manuscrit du IIe siècle, rapporté par M. Allou, qui le tenait lui même de M. Beaumesnil et qui en aurait vu une copie similaire place Tourny en 1747... Ancien élève de l'Ecole des Arts et Métiers d'Angers, Jean-Baptiste Tripon s'installe imprimeur-lithographe à Limoges. Son ouvrage majeur est celui-ci. Imprimé en plusieurs livraisons, l'exemplaire original de 1837 est devenu rare. Les érudits du XIXe siècle sont déjà très critiques sur son contenu. Alfred Leroux estime en 1888 que "c'est un fatras sans critique, une compilation lourde et terne". Il en demeure des lithographies parfois fantaisistes, voire divertissantes. cote : MAG.P LIM 33272/2