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Portraits - Fonds Boudeau (B136-n°2396-2397)
Jolis portraits comme Jean-Baptiste Boudeau en réalisa des centaines. Nous ne connaissons pas l'identité des personnes photographiées. -
Portraits - Fonds Boudeau (B136-n°2394-2395)
Jolis portraits comme Jean-Baptiste Boudeau en réalisa des centaines. Nous ne connaissons pas l'identité des personnes photographiées. -
Hélène et Jacques Fleury à Salvanet, Saint-Priest-Taurion - Fonds Boudeau (B123-n°2207-2208)
Nous n'en savons pas plus sur l'identité de ce jeune couple photographié dans le parc du château de Salvanet à Saint-Priest-Taurion. -
Noémie Lachaud à Ambazac - Fonds Boudeau (B114-n°2068-2069)
Très élégante jeune femme posant devant le décor peint du photographe. -
Marguerite Mounaud et sa fille à Marsac, Saint-Léonard-de-Noblat - Fonds Boudeau (B114-n°2070-2071)
Beaux portraits d'une mère et sa fille, devant le décor peint et avec la chaise que le photographe transportait dans sa carriole. -
Le père Périgord à Costrenat, Saint-Priest-Taurion - Fonds Boudeau (B114-n°2067)
Belle allure pour ce vieux Limousin qui devait être né dans la première moitié du 19e siècle... -
Marguerite et Gabrielle Desroches à Saint-Priest-Taurion - Fonds Boudeau (B114-n°2060-2061)
Jolis portraits des sœurs Desroches, de Saint-Priest-Taurion, à qui Jean-Baptiste Boudeau, certainement dans une recherche artistique, a demandé de poser "en cheveux". Il était assez rare à l'époque que les Limousines se montrent ainsi, sans coiffe ni couvre-chef, qui plus est les cheveux détachés... -
Marguerite Boudeau - Fonds Boudeau (B59-n°1183)
Très beau portrait de Marguerite, l'épouse du photographe. Ils se marièrent le 24 octobre 1905 au Palais-sur-Vienne d'où elle était originaire. Elle appartenait à une famille de commerçants et de propriétaires (les Leblanc côté paternel et les Lebda côté maternel). Bien avant leur mariage, Jean-Baptiste avait déjà fait modifier à l'état-civil l'orthographe de son nom de naissance, transformant Boudaud en Boudeau. Était-ce par pure coquetterie ou bien avait-il voulu rompre avec une ascendance paysanne et ouvrière jugée trop modeste ? -
Famille Beaudemoulin, à Lamberterie, Royères - Fonds Boudeau (B27-n°634)
Jean-Baptiste Boudeau prisait les décors naturels pour réaliser ses portraits, et plus particulièrement les parois granitiques de la région. Ici, nous ne savons pas si c'est intentionnel, mais le cadre de la prise de vue nous donne à voir la voie ferrée sur laquelle il s'est installé pour travailler. -
Homme et enfant à La Texonnière, Saint-Martin-Terressus - Fonds Boudeau (B16-n°463/464)
Deux portraits comme J.-B. Boudeau en réalisa des centaines. L'enfant s'appelle Jean Leblanc, l'adulte s'appelle René Parot. Nous remarquons évidemment que l'enfant porte un brassard noir au bras gauche, marque traditionnelle du deuil. L'enfant a-t-il perdu sa mère, un frère ou une sœur, un camarade de classe ? Nous ne le savons pas, mais ces deux portraits sont joliment réalisés, devant des rochers de granit du Limousin, un décor que Jean-Baptiste Boudeau a très souvent utilisé. -
Monsieur Pasquet et Mademoiselle Andrée de Limoges - Fonds Boudeau (B15-n°445/446)
Un portrait comme J.-B. Boudeau, épicier-photographe de Saint-Priest-Taurion en Haute-Vienne, en réalisa des centaines. S'agit-il d'un couple de la ville venu en visite chez des cousins ou des amis à la campagne ? Ils ne sont effectivement pas habillés comme le commun des paysans de l'époque, et les notes du photographe nous indiquent qu'ils étaient de Limoges. Nous ne possédons pas d'informations plus précises sur le contexte de cette photographie. -
Brune : général en chef des armées françaises
Légende : Dessiné d'après nature par le citoyen F. J. Harriet ; gravé à Paris par J. J. F. Tassaert, citoyen français, an VII. - Se vend à Paris : chez Tassaert, . Portrait équestre représentant Brune à la tête d'une armée. Né à Brive le 13 mai 1763, fils d'un avocat au présidial de cette ville, commissaire civil en Belgique en 1791. Adepte enthousiaste de la Révolution, il se lia avec Danton et les terroristes, commença sa carrière militaire en 1793 contre les vendéens et commis de nombreux excès à Bordeaux. Général de brigade à l'armée d'Italie, il s'illustra à Arcole, fonda la République Helvétique et, en 1799, chassa les Anglo-russes de la Hollande par la victoire de Bergen et la capitulation d'Alkmaar. Envoyé de nouveau en Vendée, puis en Italie, il fut maréchal de France en 1804, à l'avènement de Napoléon, et gouverneur des villes hanséatiques en 1807. En disgrâce jusqu'en 1814 il se rallie aux Bourbons puis à Napoléon durant les Cent jours. Pair sous la Restauration, il fut assassiné par des royalistes méridionaux à Avignon, le 2 août 1815. cote : FP BRU G 15 (Bfm Limoges) -
Brune.
Portrait équestre en couleurs. - Porte en plus le n°109. Né à Brive le 13 mai 1763, fils d'un avocat au présidial de cette ville, commissaire civil en Belgique en 1791. Adepte enthousiaste de la Révolution, il se lia avec Danton et les terroristes, commença sa carrière militaire en 1793 contre les vendéens et commis de nombreux excès à Bordeaux. Général de brigade à l'armée d'Italie, il s'illustra à Arcole, fonda la République Helvétique et, en 1799, chassa les Anglo-russes de la Hollande par la victoire de Bergen et la capitulation d'Alkmaar. Envoyé de nouveau en Vendée, puis en Italie, il fut maréchal de France en 1804, à l'avènement de Napoléon, et gouverneur des villes hanséatiques en 1807. En disgrâce jusqu'en 1814 il se rallie aux Bourbons puis à Napoléon durant les Cent jours. Pair sous la Restauration, il fut assassiné par des royalistes méridionaux à Avignon, le 2 août 1815. cote : FP BRU G 14 (Bfm Limoges) -
Brune : dans la bataille de Castricum, le 6 octobre 1799.
C. V. Cuilenburg ad. viv. delin. ; C. Josi inscrip. Né à Brive le 13 mai 1763, fils d'un avocat au présidial de cette ville, commissaire civil en Belgique en 1791. Adepte enthousiaste de la Révolution, il se lia avec Danton et les terroristes, commença sa carrière militaire en 1793 contre les vendéens et commis de nombreux excès à Bordeaux. Général de brigade à l'armée d'Italie, il s'illustra à Arcole, fonda la République Helvétique et, en 1799, chassa les Anglo-russes de la Hollande par la victoire de Bergen et la capitulation d'Alkmaar. Envoyé de nouveau en Vendée, puis en Italie, il fut maréchal de France en 1804, à l'avènement de Napoléon, et gouverneur des villes hanséatiques en 1807. En disgrâce jusqu'en 1814 il se rallie aux Bourbons puis à Napoléon durant les Cent jours. Pair sous la Restauration, il fut assassiné par des royalistes méridionaux à Avignon, le 2 août 1815. cote : FP BRU G 13 (Bfm Limoges) -
Brune, général de l'armée française en Helvétie, et depuis en Batavie
Au-dessous du portrait, une scène de guerre. Suit le récit d'un épisode de guerre. Né à Brive le 13 mai 1763, fils d'un avocat au présidial de cette ville, commissaire civil en Belgique en 1791. Adepte enthousiaste de la Révolution, il se lia avec Danton et les terroristes, commença sa carrière militaire en 1793 contre les vendéens et commis de nombreux excès à Bordeaux. Général de brigade à l'armée d'Italie, il s'illustra à Arcole, fonda la République Helvétique et, en 1799, chassa les Anglo-russes de la Hollande par la victoire de Bergen et la capitulation d'Alkmaar. Envoyé de nouveau en Vendée, puis en Italie, il fut maréchal de France en 1804, à l'avènement de Napoléon, et gouverneur des villes hanséatiques en 1807. En disgrâce jusqu'en 1814 il se rallie aux Bourbons puis à Napoléon durant les Cent jours. Pair sous la Restauration, il fut assassiné par des royalistes méridionaux à Avignon, le 2 août 1815. cote : FP BRU G 12 (Bfm Limoges) -
Bouclier français [Maréchal Guillaume Brune]
Guillaume Brune en pied, en costume de maréchal de France. Au second plan, scène de son arrestation. Légende : "Fin tragique du Maréchal Brune. Par de laches sicaires son corps percé de coups, des oiseaux dévorants fut l'indigne pature". Né à Brive le 13 mai 1763, fils d'un avocat au présidial de cette ville, commissaire civil en Belgique en 1791. Adepte enthousiaste de la Révolution, il se lia avec Danton et les terroristes, commença sa carrière militaire en 1793 contre les vendéens et commis de nombreux excès à Bordeaux. Général de brigade à l'armée d'Italie, il s'illustra à Arcole, fonda la République Helvétique et, en 1799, chassa les Anglo-russes de la Hollande par la victoire de Bergen et la capitulation d'Alkmaar. Envoyé de nouveau en Vendée, puis en Italie, il fut maréchal de France en 1804, à l'avènement de Napoléon, et gouverneur des villes hanséatiques en 1807. En disgrâce jusqu'en 1814 il se rallie aux Bourbons puis à Napoléon durant les Cent jours. Pair sous la Restauration, il fut assassiné par des royalistes méridionaux à Avignon, le 2 août 1815. cote : FP BRU G 11 (Bfm Limoges) -
Brune
Porte en plus la signature du Maréchal Brune. Né à Brive le 13 mai 1763, fils d'un avocat au présidial de cette ville, commissaire civil en Belgique en 1791. Adepte enthousiaste de la Révolution, il se lia avec Danton et les terroristes, commença sa carrière militaire en 1793 contre les vendéens et commis de nombreux excès à Bordeaux. Général de brigade à l'armée d'Italie, il s'illustra à Arcole, fonda la République Helvétique et, en 1799, chassa les Anglo-russes de la Hollande par la victoire de Bergen et la capitulation d'Alkmaar. Envoyé de nouveau en Vendée, puis en Italie, il fut maréchal de France en 1804, à l'avènement de Napoléon, et gouverneur des villes hanséatiques en 1807. En disgrâce jusqu'en 1814 il se rallie aux Bourbons puis à Napoléon durant les Cent jours. Pair sous la Restauration, il fut assassiné par des royalistes méridionaux à Avignon, le 2 août 1815. cote : FP BRU G 10 (Bfm Limoges) -
Brune, Maréchal de France
Né à Brive le 13 mai 1763, fils d'un avocat au présidial de cette ville, commissaire civil en Belgique en 1791. Adepte enthousiaste de la Révolution, il se lia avec Danton et les terroristes, commença sa carrière militaire en 1793 contre les vendéens et commis de nombreux excès à Bordeaux. Général de brigade à l'armée d'Italie, il s'illustra à Arcole, fonda la République Helvétique et, en 1799, chassa les Anglo-russes de la Hollande par la victoire de Bergen et la capitulation d'Alkmaar. Envoyé de nouveau en Vendée, puis en Italie, il fut maréchal de France en 1804, à l'avènement de Napoléon, et gouverneur des villes hanséatiques en 1807. En disgrâce jusqu'en 1814 il se rallie aux Bourbons puis à Napoléon durant les Cent jours. Pair sous la Restauration, il fut assassiné par des royalistes méridionaux à Avignon, le 2 août 1815. cote : FP BRU G 09 (Bfm Limoges) -
Brune (Maréchal)
Né à Brive le 13 mai 1763, fils d'un avocat au présidial de cette ville, commissaire civil en Belgique en 1791. Adepte enthousiaste de la Révolution, il se lia avec Danton et les terroristes, commença sa carrière militaire en 1793 contre les vendéens et commis de nombreux excès à Bordeaux. Général de brigade à l'armée d'Italie, il s'illustra à Arcole, fonda la République Helvétique et, en 1799, chassa les Anglo-russes de la Hollande par la victoire de Bergen et la capitulation d'Alkmaar. Envoyé de nouveau en Vendée, puis en Italie, il fut maréchal de France en 1804, à l'avènement de Napoléon, et gouverneur des villes hanséatiques en 1807. En disgrâce jusqu'en 1814 il se rallie aux Bourbons puis à Napoléon durant les Cent jours. Pair sous la Restauration, il fut assassiné par des royalistes méridionaux à Avignon, le 2 août 1815. cote : FP BRU G 08 (Bfm Limoges) -
Brune, mort à Avignon, le 2 août 1815
Né à Brive le 13 mai 1763, fils d'un avocat au présidial de cette ville, commissaire civil en Belgique en 1791. Adepte enthousiaste de la Révolution, il se lia avec Danton et les terroristes, commença sa carrière militaire en 1793 contre les vendéens et commis de nombreux excès à Bordeaux. Général de brigade à l'armée d'Italie, il s'illustra à Arcole, fonda la République Helvétique et, en 1799, chassa les Anglo-russes de la Hollande par la victoire de Bergen et la capitulation d'Alkmaar. Envoyé de nouveau en Vendée, puis en Italie, il fut maréchal de France en 1804, à l'avènement de Napoléon, et gouverneur des villes hanséatiques en 1807. En disgrâce jusqu'en 1814 il se rallie aux Bourbons puis à Napoléon durant les Cent jours. Pair sous la Restauration, il fut assassiné par des royalistes méridionaux à Avignon, le 2 août 1815. cote : FP BRU G 07 (Bfm Limoges)