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Réponse à la lettre publiée par les fabricans de porcelaine sur la Taxe des bois : extrait du registre des délibérations du Conseil municipal de Limoges, séance du 7 juin 1836 Le point de départ de cette réponse : la plaintes des entrepreneurs, notamment de porcelaine, à propos des charges qui pèsent sur leurs entreprises dans un contexte économique difficile ... Un débat éculé. Pourtant, loin d'être administrative et rébarbative, cette réponse argumentée, documentée et historique de Jean Juge Saint-Martin alors maire de Limoges, est un plaidoyer magnifique en faveur d'une équité sociale et de la charge municipale. cote : MAG.P LIM F5588/85 (Bfm Limoges)
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Brule-parfums n°5 et n°2 Jean Siméon Baylac, sculpteur d'origine parisienne travaillait pour les orfèvres parisiens, avant de s'installer à Limoges. Il donne de nombreux modèles aux porcelainiers Latrille, Sazerat, Alluaud. Son modèle le plus célèbre est le buire Benvenuto Cellini réalisé pour la manufacture Ardant en 1867. Ces recueils d'études, de dessins, d'épures de projets montrent la variété des travaux de Baylac : ciel de lit, manteau de cheminée, pied de lampes, coupe-papier... cote : Ms 107-118 (Bfm Limoges)
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Couteaux à papier Jean Siméon Baylac, sculpteur d'origine parisienne travaillait pour les orfèvres parisiens, avant de s'installer à Limoges. Il donne de nombreux modèles aux porcelainiers Latrille, Sazerat, Alluaud. Son modèle le plus célèbre est le buire Benvenuto Cellini réalisé pour la manufacture Ardant en 1867. Ces recueils d'études, de dessins, d'épures de projets montrent la variété des travaux de Baylac : ciel de lit, manteau de cheminée, pied de lampes, coupe-papier... cote : Ms 107-118 (Bfm Limoges)
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Projet Jean Siméon Baylac, sculpteur d'origine parisienne travaillait pour les orfèvres parisiens, avant de s'installer à Limoges. Il donne de nombreux modèles aux porcelainiers Latrille, Sazerat, Alluaud. Son modèle le plus célèbre est le buire Benvenuto Cellini réalisé pour la manufacture Ardant en 1867. Ces recueils d'études, de dessins, d'épures de projets montrent la variété des travaux de Baylac : ciel de lit, manteau de cheminée, pied de lampes, coupe-papier... cote : Ms 107-118 (Bfm Limoges)
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Buire Jean Siméon Baylac, sculpteur d'origine parisienne travaillait pour les orfèvres parisiens, avant de s'installer à Limoges. Il donne de nombreux modèles aux porcelainiers Latrille, Sazerat, Alluaud. Son modèle le plus célèbre est le buire Benvenuto Cellini réalisé pour la manufacture Ardant en 1867. Ces recueils d'études, de dessins, d'épures de projets montrent la variété des travaux de Baylac : ciel de lit, manteau de cheminée, pied de lampes, coupe-papier... cote : Ms 107-118 (Bfm Limoges)
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Aiguières Jean Siméon Baylac, sculpteur d'origine parisienne travaillait pour les orfèvres parisiens, avant de s'installer à Limoges. Il donne de nombreux modèles aux porcelainiers Latrille, Sazerat, Alluaud. Son modèle le plus célèbre est le buire Benvenuto Cellini réalisé pour la manufacture Ardant en 1867. Ces recueils d'études, de dessins, d'épures de projets montrent la variété des travaux de Baylac : ciel de lit, manteau de cheminée, pied de lampes, coupe-papier... cote : Ms 107-118 (Bfm Limoges)
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Coupe écureil Jean Siméon Baylac, sculpteur d'origine parisienne travaillait pour les orfèvres parisiens, avant de s'installer à Limoges. Il donne de nombreux modèles aux porcelainiers Latrille, Sazerat, Alluaud. Son modèle le plus célèbre est le buire Benvenuto Cellini réalisé pour la manufacture Ardant en 1867. Ces recueils d'études, de dessins, d'épures de projets montrent la variété des travaux de Baylac : ciel de lit, manteau de cheminée, pied de lampes, coupe-papier... cote : Ms 107-118 (Bfm Limoges)
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Esquisse avec cheminée Jean Siméon Baylac, sculpteur d'origine parisienne travaillait pour les orfèvres parisiens, avant de s'installer à Limoges. Il donne de nombreux modèles aux porcelainiers Latrille, Sazerat, Alluaud. Son modèle le plus célèbre est le buire Benvenuto Cellini réalisé pour la manufacture Ardant en 1867. Ces recueils d'études, de dessins, d'épures de projets attestent de la variété des travaux de Baylac : ciel de lit, pied de lampes, coupe-papier... cote : Ms 107-118 (Bfm Limoges)
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Ciels de lit Jean Siméon Baylac, sculpteur d'origine parisienne travaillait pour les orfèvres parisiens, avant de s'installer à Limoges. Il donne de nombreux modèles aux porcelainiers Latrille, Sazerat, Alluaud. Son modèle le plus célèbre est le buire Benvenuto Cellini réalisé pour la manufacture Ardant en 1867. Ces recueils d'études, de dessins, d'épures de projets attestent de la variété des travaux de Baylac : ciel de lit, manteau de cheminée, pied de lampes, coupe-papier... cote : Ms 107-118 (Bfm Limoges)
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Socles de pendule Jean Siméon Baylac, sculpteur d'origine parisienne travaillait pour les orfèvres parisiens, avant de s'installer à Limoges. Il donne de nombreux modèles aux porcelainiers Latrille, Sazerat, Alluaud. Son modèle le plus célèbre est le buire Benvenuto Cellini réalisé pour la manufacture Ardant en 1867. Ces recueils d'études, de dessins, d'épures de projets montrent la variété des travaux de Baylac : ciel de lit, manteau de cheminée, pied de lampes, coupe-papier... cote : Ms 107-118 (Bfm Limoges)
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Socles de pendules Jean Siméon Baylac, sculpteur d'origine parisienne travaillait pour les orfèvres parisiens, avant de s'installer à Limoges. Il donne de nombreux modèles aux porcelainiers Latrille, Sazerat, Alluaud. Son modèle le plus célèbre est le buire Benvenuto Cellini réalisé pour la manufacture Ardant en 1867. Ces recueils d'études, de dessins, d'épures de projets montrent la variété des travaux de Baylac : ciel de lit, manteau de cheminée, pied de lampes, coupe-papier... cote : Ms 107-118 (Bfm Limoges)
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Saint-Yrieix (Haute-Vienne), carrière de kaolin abandonnée.
A Saint-Yrieix, en 1768, Jean-Baptiste Darnet signale à un apothicaire l’existence de terre utilisée par sa femme pour faire sa lessive. L’analyse révèle la pureté du kaolin. Des dizaines de carrières s’ouvrent à partir de 1769. En 1801 la production annuelle de kaolin autour de Saint-Yrieix était estimée à 350 tonnes… cote : 9Fi85/2 (Bfm Limoges)
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Grèves de Limoges, 19 Avril 1905. Enterrement de Vardelle : Le cortège sort de la Rue de la Roche et va s'engager sur le Pont St-Martial En 1904 et 1905, de nombreuses grèves marquèrent la ville de Limoges, tous secteurs d'activité confondus. Le 17 avril 1905 vers 21h00, la foule des manifestants se heurta à une violente offensive des forces de l'ordre. Les affrontements causèrent une vingtaine de blessés et la mort de Camille Vardelle, ouvrier porcelainier de 19 ans. Des milliers de personnes assistèrent aux funérailles du jeune homme, dont la mort fut commémorée par une manifestation pendant des années.. cote : LIM 17395.161 cpa (Bfm Limoges)
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La cour de l'ancien musée Adrien Dubouché C''est en 1865 qu' Adrien Dubouché devint directeur du musée de Limoges créé vingt ans auparavant. Il demanda rapidement l' installation des collections dans les locaux de l' ancien hospice d' aliénés du Champ de Foire. Le musée passa institution nationale en 1881, et la croissance exponentielle des collections nécessita la construction d'un nouveau bâtiment, inauguré en 1900. Jean-Baptiste Audiguet (1811-1897) est un des pionniers de la photographie professionnelle à Limoges. Né à Bellac dans un milieu modeste, il se lance dans la photographie à la fin des années 1850 et devient le grand portraitiste de la société limougeaude du Second Empire et de la Troisième République. C'est aussi le premier photographe connu à proposer des vues de la ville et de ses alentours, avec une parfaite maîtrise de la composition et une sensibilité esthétique surprenante. Avec Audiguet, Limoges devient paysage photographique. cote : 9FI502/47 (Bfm Limoges)
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Essai de classification des anciennes porcelaines de Limoges, Saint-Yrieix, Solignac, conservées au Musée national Adrien Dubouché Elève de Courbet et de Viollet-le-Duc, Camille Leymarie exposa régulièrement aux Salons, avant de se décider à devenir journaliste. il fonde à Limoges la République de la Haute-Vienne en 1878. il est nommé conservateur de la bibliothèque municipale en 1879 jusqu'en 1895. Il participe à de nombreuses revues. Observateur cultivé, il devient secrétaire du nouveau musée Adrien Dubouché. Esprit curieux et fin, il s'intéresse autant au patois du Limousin (il est notamment l'auteur d'un ouvrage sur les "chansons rustiques" du Limousin" disponible dans la bibliothèque numérique) qu'à l'histoire de la porcelaine. cote : MAG.P LIM B302 (Bfm Limoges)
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Album Pouyat. Catalogue de porcelaine de la manufacture Pouyat. Dans la seconde moitié du XIXe siècle, les porcelaines Pouyat étaient réputées pour la qualité de leurs blancs, mais aussi pour leur décor à jour et leurs pièces grands feu. Grande famille de porcelainiers (le grand-père François exploitait des carrières de kaolin dès la fin du XVIIIe siècle), les Pouyat sélectionnaient la porcelaine la plus blanche et la plus translucide, s'attachant aussi à travailler avec des artistes de talent. L'entreprise fut présente à toutes les Expositions Universelles (sauf celle de 1867) et jusqu'au début du XXe siècle. Dans cet album de photographies et dessins on retrouve d'ailleurs bon nombre de services primés lors de ces ces Expositions. On y voit le fabuleux surtout dit "aux échassiers" du célèbre service Cérès (qu'on peut admirer aujourd'hui au musée Adrien Dubouché), mais aussi le service"mousseline" présenté en 1862 qui fit reconnaître aux anglais eux-mêmes la supériorité de la Manufacture Pouyat, "la seule qui ait eu l'audace d'une telle simplicité". cote : K170 (Bfm Limoges)
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Le Feu de la Porcelaine Chanson, manuscrit de l'auteur. Issu d'une famille de négociants, Alfred Durin a vraissemblablement fait de solides études classiques. Il exerçait la profession de marchand d'estampes et de chansonnier satirique. Sous Louis-Philippe, il raille violemment le gouvernement en publiant des chansons accueillies avec enthousiasme lors de la Révolution de février 1848. Il est également inscrit à la Société Populaire, dont il est l'un des membres actifs aux côtés de Théodore Bac. Alfred Durin est également le rédacteur en chef du Carillon républicain , "journal populaire" qu'il a fondé en 1848, et dont la devise est "tout pour le peuple et par le peuple". On y retrouve quelques unes de ses chansons cote : Ms 88 (Bfm Limoges)
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Puits de mine de Bosmoreau extrait de Creuse 1876-79 , carnet de croquis. Après une belle carrière dans la haute administration, Henri Hugon consacre sa retraite à l'érudition, essentiellement l'étude du Limousin. Membre de la société des sciences de la Creuse et celle du Limousin, il fournit d'innombrables études, en particulier sur l'histoire de l'art et l'archéologie. On lui doit également deux recueils de vers dans lesquels il décrit les paysages de son Guéret natal avec toujours en toile de fond l'évocation de l'Histoire. Enfin, cet historien poète maniait également la plume à dessin et le pinceau. Il laisse des carnets de croquis conservés dans les archives personnelles de Robert Margerit (dont il était le beau-père), l'un daté de 1876 à 1879, l'autre de 1879-1880. Ses croquis empruntent les mêmes évocations que ses vers qui chantent la Creuse aimée, son humilité et simplicité, avec de nombreux repères de lieux historiques ou archéologiques. On y voit des paysages de la campagne creusoise, mais aussi des bâtiments (châteaux, églises), des ensembles plus modestes ( détails architecturaux, ... ). Les dessins sont au crayon surtout, retravaillés parfois à la plume ou au lavis ocre. Exploitée depuis le XVIIIe siècle, la houille de Bosmoreau était très recherchée pour les fours à porcelaine de Limoges, mais aussi les forges de Mondon en Haute-Vienne et les fours à chaux de l'Indre. Les Mines connaissent leur apogée au XIXe siècle grâce au porcelainier Pouyat (connu pour la finesse de ses "blancs"), qui fit acquisition de la concession. Elles furent exploitées jusqu'en 1958.