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Jules Claretie En une du journal " Le Bouffon : journal parodie : paraissant le dimanche", n°103, dimanche 19 janvier 1868.
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M. Jules Claretie. Administrateur général de la Comédie-Française. Né à Limoges le 3 décembre 1840 et mort à Paris le 23 décembre 1913. Il est un romancier et auteur dramatique français, également historien et chroniqueur de la vie parisienne. Jules Claretie collabore à de nombreux journaux sous plusieurs pseudonymes, notamment au Figaro et au Temps. Il tient la critique théâtrale à L’Opinion nationale, au Soir, et à La Presse. Ses articles sont souvent sujet à des analyses sans aménité sur ses contemporains. Historien, il compose entre autres une Histoire de la Révolution de 1870-1871. Il publie de nombreux romans, tels que Monsieur le Ministre, Le Million ou Le Prince Zilah, parmi lesquels plusieurs seront adaptés pour la scène. Il écrit pour Massenet le livret de La Navarraise en 1894. Jules Clarétie est président de la Société des Gens de Lettres et de la Société des Auteurs dramatiques. De 1885 à 1913, il est administrateur général de la Comédie-Française, dont il ouvre les portes à des auteurs contemporains comme Octave Mirbeau (dont il fait jouer Les affaires sont les affaires et, à contre-cœur et contraint par une décision de justice, Le Foyer), et aussi Paul Hervieu ou Henry Bataille. Il a été élu membre de l’Académie française le 26 janvier 1888. cote : FP CLA 05 (Bfm Limoges)
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La foire aux sottises [Jules Claretie] Dessins extraits de cette brochure satirique d'Arthur Arnould et de Carlo Gripp) . -Dans "L'image", p. 332. Né à Limoges le 3 décembre 1840 et mort à Paris le 23 décembre 1913. Il est un romancier et auteur dramatique français, également historien et chroniqueur de la vie parisienne. Jules Claretie collabore à de nombreux journaux sous plusieurs pseudonymes, notamment au Figaro et au Temps. Il tient la critique théâtrale à L’Opinion nationale, au Soir, et à La Presse. Ses articles sont souvent sujet à des analyses sans aménité sur ses contemporains. Historien, il compose entre autres une Histoire de la Révolution de 1870-1871. Il publie de nombreux romans, tels que Monsieur le Ministre, Le Million ou Le Prince Zilah, parmi lesquels plusieurs seront adaptés pour la scène. Il écrit pour Massenet le livret de La Navarraise en 1894. Jules Clarétie est président de la Société des Gens de Lettres et de la Société des Auteurs dramatiques. De 1885 à 1913, il est administrateur général de la Comédie-Française, dont il ouvre les portes à des auteurs contemporains comme Octave Mirbeau (dont il fait jouer Les affaires sont les affaires et, à contre-cœur et contraint par une décision de justice, Le Foyer), et aussi Paul Hervieu ou Henry Bataille. Il a été élu membre de l’Académie française le 26 janvier 1888. cote : FP CLA 03 (Bfm Limoges)
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M. Jules Claretie Gravure non signée. Dans un ovale. Né à Limoges le 3 décembre 1840 et mort à Paris le 23 décembre 1913. Il est un romancier et auteur dramatique français, également historien et chroniqueur de la vie parisienne. Jules Claretie collabore à de nombreux journaux sous plusieurs pseudonymes, notamment au Figaro et au Temps. Il tient la critique théâtrale à L’Opinion nationale, au Soir, et à La Presse. Ses articles sont souvent sujet à des analyses sans aménité sur ses contemporains. Historien, il compose entre autres une Histoire de la Révolution de 1870-1871. Il publie de nombreux romans, tels que Monsieur le Ministre, Le Million ou Le Prince Zilah, parmi lesquels plusieurs seront adaptés pour la scène. Il écrit pour Massenet le livret de La Navarraise en 1894. Jules Clarétie est président de la Société des Gens de Lettres et de la Société des Auteurs dramatiques. De 1885 à 1913, il est administrateur général de la Comédie-Française, dont il ouvre les portes à des auteurs contemporains comme Octave Mirbeau (dont il fait jouer Les affaires sont les affaires et, à contre-cœur et contraint par une décision de justice, Le Foyer), et aussi Paul Hervieu ou Henry Bataille. Il a été élu membre de l’Académie française le 26 janvier 1888. cote : FP CLA 02 (Bfm Limoges)
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M. Elie Berthet, mort à Paris, le 1er février auteur de nombreux romans, mort à Paris le 30 janvier 1891. cote : FP BERTH007 (Bfm Limoges)
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Elie Berthet Publié dans : «Panthéon parisien / Album des célébrités contemporaines», n°49. - Illustration d'un article biographique et bibliographique de Charles Dubourg. Né à Limoges le 8 juin 1815, fils de Joseph Berthet, négociant et d'Antoinette Voisin ; écrivain distingué, auteur de nombreux romans, mort à Paris le 30 janvier 1891. cote : FP BERTH006 (Bfm Limoges)
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M. Elie Berthet, romancier français. Illustration d'un article de A. Hermant, dans «Le Monde illustré». Né à Limoges le 8 juin 1815, fils de Joseph Berthet, négociant et d'Antoinette Voisin ; écrivain distingué, auteur de nombreux romans, mort à Paris le 30 janvier 1891. cote : FP BERTH005 (Bfm Limoges)
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Elie Berthet Publié dans "Le monde dramatique". Né à Limoges le 8 juin 1815, fils de Joseph Berthet, négociant et d'Antoinette Voisin ; écrivain distingué, auteur de nombreux romans, mort à Paris le 30 janvier 1891. cote : FP BERTH003 (Bfm Limoges)
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"Feuilles au vent", Poésies La page de titre porte "Insomnies", le plat supérieur de la reliure porte "Feuilles au vent"; Gustave Chadeuil, né à Limoges en 1823 fait partie de ces nombreux poètes du XIXe siècle "hugolâtres" et "lamartiniens" : des vers du plus pur romantisme dans le sillage des grands. A noter, des dessins à la plume qui n'ont presque pas à rougir de ceux de Victor Hugo. cote : Ms167 (Bfm Limoges)
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Elie Berthet Elie Berthet. - Ch. Vogt. -. - Pour la «Galerie de la presse, de la littérature et des beaux-arts». Né à Limoges le 8 juin 1815, fils de Joseph Berthet, négociant et d'Antoinette Voisin ; écrivain distingué, auteur de nombreux romans, mort à Paris le 30 janvier 1891. cote : FP BERTH001 (Bfm Limoges)
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La Chanson de Combraille : poèmes en langue d'oc avec traduction française en regard Né à Chambon-sur-Voueize, en Creuse, Paul-Louis Grenier est un poète occitan limousin. Chartiste et philologue, après un bref passage de deux ans à la bibliothèque de Limoges, il a effectué l'essentiel de sa carrière à la Bibliothèque nationale. Paul-Louis Grenier écrit dans un occitan limousin très littéraire et un lexique assez médiéval. Il décrit le merveilleux, des lieux et des personnages liés au Limousin d’une façon souvent fantastique. On trouve dans son oeuvre des thèmes récurrents comme la ville de Limoges, celle de Bourganeuf et le mystérieux prince Zizim qui y vécut, les animaux fantastiques comme la licorne... La chanson de Combraille se veut une chanson épique de la Marche limousine. "Au point de vue du vocabulaire, ma langue se rattache non seulement à celui des troubadours [...] mais aussi à celui des chartes de la Creuse et des parlers actuels du département" (P.L.Grenier, "La Vie Limousine", 25 décembre 1927) L’ensemble de son œuvre a été rééditée en un volume "Òbra poetica occitana" aux Edicions dau Chamin de Sent-Jaume en 2011. Ses poèmes ont été mis en musique par plusieurs chanteurs occitans, dont Jan dau Melhau et Bernard Combi.
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Lettres à deux amis Issu d’une vieille famille de Saint-Junien, Louis Codet nait à Perpignan, puis fait à Paris de brillantes études de droit et de peinture . Dandy parisien, Louis Codet se lie d' amitié avec Guillaume Apollinaire, Marie Laurencin, André Gide, Eugène Montfort, notamment. Mobilisé dès le début de la Première Guerre Mondiale, il meurt peu de temps après, blessé par un obus. Les deux amis cités dans ces lettres sont Eugène Montfort, écrivain, fondateur et directeur de la revue Les Marges et Louis Bausil, peintre originaire de Perpignan comme Louis Codet. Elles sont particulièrement touchantes : les dernières adressées à Eugène Montfort raconte la façon dont il a été blessé, quelques notes justes et concises sur la situation du soldat et rapportent par le détail des anecdotes. Louis Codet s'y montre observateur bienveillant et délicat. "Louis Codet est une des plus pure fleurs de la littérature française. Il l'est par l'esprit, par l'humanité qui l'anime, par l'aisance du langage qu'il sert, par cet équilibre constant entre pensée et style" Pierre Camo ("Les Nouvelles littéraires", 9 août 1935). cote : MAG.LIM.46666 (Bfm Limoges)
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L'Attaché Ce roman raconte les tribulations d'une jeune homme au lendemain de la Première Guerre Mondiale. Attaché au ministère de l'Instruction publique, c'est un éternel indécis entre ses rêves de distinctions honorifiques et un amour jamais avoué. Un retour dans son Limousin natal fait renaître son goût pour la nature et une certaine simplicité... La chute est gentiment amère. L'attrait principal du roman tient à son humour et à la peinture du Limousin, truculent et naturaliste. Maurice Cluzelaud dresse un tableau humoristique sans férocité ni caricature (en particulier les pages 93 à 116 sur Limoges et ses habitants). Une belle lecture à redécouvrir et qui connut un beau succès d'estime en son temps. cote : MAG.P PERRIER 6058 (Bfm Limoges)
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Causeries Limousines Écrivain d'histoires locales et de biographies, publiciste, critique littéraire, poète, juriste, Emile Fage a connu à Paris au cours de ses études de droit (1840-1847), Louis Veuillot, Jules Simon, Jules Michelet, Lamartine, Sainte-Beuve, Leconte de Lisle... avec lesquels il restera en correspondance toute sa vie. Il fut très proche de Michelet. Il livre dans ces causeries limousines des commentaires de première main particulièrement précieux : sa finesse psychologique et sa rigoureuse littéraire en font un recueuil plein de vivacité. cote : MAG.P LIM 20375 (Bfm Limoges)
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Le conquérant du dernier jour Nouvelles posthumes, préfacées par Valery Larbaud. Très tôt, Louis Chadourne, écrit des vers et collabore à la NRF. Valéry Larbaud et Pierre Mac-Orlan voient en lui un des écrivains les plus doués de sa génération.Larbaud allait jusqu'à le définir comme le Conrad français. En 1919, Louis Chadourne publie son premier roman "Le maître du navire", puis un roman autobiographique "Inquiète adolescence". Brisé par la Première Guerre Mondiale (blessé, il demeura enseveli plusieurs heures) dont il ne se remettra pas, ses textes témoignent de l'extrême fragilité de l'existence et de sa beauté fugace. cote : MAG.P LIM 15487(Bfm Limoges)
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Le géranium ovipare « Georges Fourest était un poète français à la verve parodique et irrévérencieuse, jouant avec truculence de mots rares ou cocasses, des dissonances de ton, de l’imprévu verbal et métrique, des effets burlesques." José Corti, "Souvenirs désordonnés". Né à Limoges en 1867, Georges Fourest suit des études de droit. Il se qualifie ensuite d’avocat "loin de la cour d’appel. A Paris, il fréquente les milieux littéraires symbolistes et décadents, collabore à plusieurs revues (La Connaissance, Le Décadent) et se rend célèbre avec La Négresse blonde (Messein, 1909), préfacé par Willy, et placé sous le patronage de Rabelais. On retrouve dans Le Géranium ovipare cette même atmosphère anticonformiste et truculente. cote : MAG.P LIM 53627 (Bfm Limoges)
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La Mort de Chrispe, ou les malheurs domestiques du Grand Constantin Pièce tragique de Tristan l'Hermite. Variation sur le thème du mythe de Phèdre qui connut son heure de gloire au XVIIe siècle : la passion coupable de Fauste, épouse de l'empereur Constantin pour son beau-fils Chrispe. Mais Chrispe aime Constance, qui finira empoisonnée par Fauste... Ecrite en 1644, cette pièce reçut un accueil mitigé du public, considérée comme moins aboutie de Marianne ou la Mort de Sénèque qui firent le succès tragique de Tristan l'Hermite. François dit Tristan L'Hermite (1601 Janaillat, Creuse -1655 Paris), fut l’un des poètes lyriques les plus importants de son temps, publiant Les Amours de Tristan (1638), Les Vers héroïques (1648). Tristan l'Hermite entreprit une carrière d'auteur dramatique. Ses tragédies, qui mettaient en scène des caractères vigoureux et épris d'absolu, rencontrèrent le succès et il fut considéré par ses contemporains comme le rival de Corneille. cote : FA/0-16°/BIB (fonds ancien BM Grand Guéret )
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Contes à la lune Ce recueil de poèmes en prose est le seul ouvrage (paru à compte d'auteur) de J.A Léonetou . Ecrivain et enseignant, né à Eyjeaux en Haute-Vienne, collaborateur régulier de "Limoges Illustré" et de "La Brise", le jeune homme décède aux premiers jours de la Guerre. Tiré à seulement 90 exemplaires, ce recueil n'en n'a pas moins marqué à l'époque : " J-A; Léonetou envoya la plus grosse part à des amis n'ayant aucune attache dans la presse. On le décida à adresser quelques exemplaires à des Revues. La critique fut unanime dans l'éloge. J-A Léonetou n'eut pas davantage d'emballement que lorsque Jules Renard [...] lui écrivit un billet flatteur. " A.Hennequin , Anthologie des écrivains morts à la guerre : 1914-1918, publié par l'Association des écrivains combattants, Tome 3 p423-427. cote : MAG.P LIM 45127 (Bfm Limoges)
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Amour et Travail Un plaidoyer pour l'union harmonieuse de ces deux valeurs indissociables : " Notre vieille devise Liberté, Egalité, Fraternité a été impuissante à conjurer les désastres de la guerre [...]. Pourquoi ? Parce-que ces trois mots n'embrassent pas tous nos devoirs. Synthétiquement, ils signifient amour, mais l'amour sans le travail n'est qu'un sentiment. Au sommaire de l'ouvrage : Amour et Travail, dualité nécessaires ; Amour et travail criterium de l'histoire ; des diverses catégories d'amour et de travail. cote : MAG.P LIM F5488/25 (Bfm Limoges)
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Les Gloires littéraires de la Creuse Discours prononcé le 31 juillet 1894 à la distribution solennelle des prix du lycée de Guéret par Louis Dausset professeur de rhétorique. cote : MAG.P LIM 44030 (Bfm Limoges)