Contenus
Taguer
littérature
-
Marmontel Sous la gravure : "gravé sur acier par Hopwood"et "publié par Lami-Denozan. Jean-François Marmontel, né à Bort (Corrèze) le 13 juillet 1723, fils de Martin et de Marianne Gourdes ; poète, romancier et critique, membre de l'Académie française (22 décembre 1763), secrétaire perpétuel de cette Compagnie (1783), historiographe de France, député au Conseil des Anciens par le département de l'Eure (23 germinal an V), mort à Saint-Aubin-sur-Gaillon le 31 décembre 1799. Cote : FP MARM 03 (Bfm Limoges) -
Jean-François Marmontel Dans le cartouche à la suite du nom"historiographe de France, secrétaire général de l'Académie française". Sous la gravure : "Dessiné et Gravé par Ch.E. Gaucher, des acad de Londres, Rouen, Caen, &, 1786. Jean-François Marmontel, né à Bort (Corrèze) le 13 juillet 1723, fils de Martin et de Marianne Gourdes ; poète, romancier et critique, membre de l'Académie française (22 décembre 1763), secrétaire perpétuel de cette Compagnie (1783), historiographe de France, député au Conseil des Anciens par le département de l'Eure (23 germinal an V), mort à Saint-Aubin-sur-Gaillon le 31 décembre 1799. Cote : FP MARM 02 (Bfm Limoges) -
Marmontel Sous le cadre mention" Choquet, del. 1808" et "gravé par Leroux" Jean-François Marmontel, né à Bort (Corrèze) le 13 juillet 1723, fils de Martin et de Marianne Gourdes ; poète, romancier et critique, membre de l'Académie française (22 décembre 1763), secrétaire perpétuel de cette Compagnie (1783), historiographe de France, député au Conseil des Anciens par le département de l'Eure (23 germinal an V), mort à Saint-Aubin-sur-Gaillon le 31 décembre 1799. Cote : FP MARM 01 (Bfm Limoges) -
Francois Hedelin. Abbé d'Aubignac et de Meimac. Precepteur du Duc de Fronsac né a Nemours mort Paris fort avencé en age l'an 1673 Porte en plus ce quatrain : "D'Aubignac du theatre antique / Connoissant toute la beauté, / Nous en a donné la pratique / Avec beaucoup d'habileté". Né le 4 août 1604. Littérateur, critique théâtral et philosophe érudit, abbé d'Aubignac en 1631, aumônier et prédicateur de Louis XIV. Mort le 25 juillet 1676. Cote : FP HED (Bfm Limoges) -
Dorat, poëte grec, latin et français. Né à Limoges, en 1508. Né à Limoges en 1508, poète et interprète royal, lecteur et professeur au Collège de France, mort à Paris le 1er novembre 1588. Cote : FP DOR 03 (Bfm Limoges) -
Jean Dorat. Poëte gr[e]c la[ti]n et francois né en Limoge, mort à Paris en 1588 ans, il vivait sous Catherine de Medicis à qui il adresa ses vers ci desous Porte en plus : "Si j'ai servi cing Rois s'entrevivans, / Si j'ai instruit la france cinquante ans, / Si par mes vers j'ai mon siecle doré, / Ne souffrë que par vous Dorat soit dédoré". Né à Limoges en 1508, poète et interprète royal, lecteur et professeur au Collège de France, mort à Paris le 1er novembre 1588. Cote : FP DOR 02 (Bfm Limoges) -
Iean d'Aurat [Jean Dorat] Porte le N°108 de la "Chronologie collée" de Léonard Gaultier. Né à Limoges en 1508, poète et interprète royal, lecteur et professeur au Collège de France, mort à Paris le 1er novembre 1588. Cote : FP DOR 01 (Bfm Limoges) -
Jules Claretie . - Portrait-charge. - En une du journal «Le Masque. Semaine théâtrale illustrée.», n°14, jeudi 13 juin [1867]. - Légende manuscrite : «Toute autorisation est une réponse à une interdiction. Quand pourra t'on ne plus rien autoriser parce que l'on ne pourra plus rien interdire ? Je vous donne liberté entière mon cher Debans, pour ma charge.» Suit la signature de Jules Claretie. Né à Limoges le 3 décembre 1840 et mort à Paris le 23 décembre 1913. Il est un romancier et auteur dramatique français, également historien et chroniqueur de la vie parisienne. Jules Claretie collabore à de nombreux journaux sous plusieurs pseudonymes, notamment au Figaro et au Temps. Il tient la critique théâtrale à L’Opinion nationale, au Soir, et à La Presse. Ses articles sont souvent sujet à des analyses sans aménité sur ses contemporains. Historien, il compose entre autres une Histoire de la Révolution de 1870-1871. Il publie de nombreux romans, tels que Monsieur le Ministre, Le Million ou Le Prince Zilah, parmi lesquels plusieurs seront adaptés pour la scène. Il écrit pour Massenet le livret de La Navarraise en 1894. Jules Clarétie est président de la Société des Gens de Lettres et de la Société des Auteurs dramatiques. De 1885 à 1913, il est administrateur général de la Comédie-Française, dont il ouvre les portes à des auteurs contemporains comme Octave Mirbeau (dont il fait jouer Les affaires sont les affaires et, à contre-cœur et contraint par une décision de justice, Le Foyer), et aussi Paul Hervieu ou Henry Bataille. Il a été élu membre de l’Académie française le 26 janvier 1888. cote : FP CLA 25 (Bfm Limoges) -
Paris-Théâtre. Jules Claretie Publié en une du journal hebdomadaire «Paris-Théâtre», n° 158, du 25 au 31 mai 1876. Né à Limoges le 3 décembre 1840 et mort à Paris le 23 décembre 1913. Il est un romancier et auteur dramatique français, également historien et chroniqueur de la vie parisienne. Jules Claretie collabore à de nombreux journaux sous plusieurs pseudonymes, notamment au Figaro et au Temps. Il tient la critique théâtrale à L’Opinion nationale, au Soir, et à La Presse. Ses articles sont souvent sujet à des analyses sans aménité sur ses contemporains. Historien, il compose entre autres une Histoire de la Révolution de 1870-1871. Il publie de nombreux romans, tels que Monsieur le Ministre, Le Million ou Le Prince Zilah, parmi lesquels plusieurs seront adaptés pour la scène. Il écrit pour Massenet le livret de La Navarraise en 1894. Jules Clarétie est président de la Société des Gens de Lettres et de la Société des Auteurs dramatiques. De 1885 à 1913, il est administrateur général de la Comédie-Française, dont il ouvre les portes à des auteurs contemporains comme Octave Mirbeau (dont il fait jouer Les affaires sont les affaires et, à contre-cœur et contraint par une décision de justice, Le Foyer), et aussi Paul Hervieu ou Henry Bataille. Il a été élu membre de l’Académie française le 26 janvier 1888. cote : FP CLA 23 (Bfm Limoges) -
Jules Claretie Né à Limoges le 3 décembre 1840 et mort à Paris le 23 décembre 1913. Il est un romancier et auteur dramatique français, également historien et chroniqueur de la vie parisienne. Jules Claretie collabore à de nombreux journaux sous plusieurs pseudonymes, notamment au Figaro et au Temps. Il tient la critique théâtrale à L’Opinion nationale, au Soir, et à La Presse. Ses articles sont souvent sujet à des analyses sans aménité sur ses contemporains. Historien, il compose entre autres une Histoire de la Révolution de 1870-1871. Il publie de nombreux romans, tels que Monsieur le Ministre, Le Million ou Le Prince Zilah, parmi lesquels plusieurs seront adaptés pour la scène. Il écrit pour Massenet le livret de La Navarraise en 1894. Jules Clarétie est président de la Société des Gens de Lettres et de la Société des Auteurs dramatiques. De 1885 à 1913, il est administrateur général de la Comédie-Française, dont il ouvre les portes à des auteurs contemporains comme Octave Mirbeau (dont il fait jouer Les affaires sont les affaires et, à contre-cœur et contraint par une décision de justice, Le Foyer), et aussi Paul Hervieu ou Henry Bataille. Il a été élu membre de l’Académie française le 26 janvier 1888. cote : FP CLA 20 (Bfm Limoges) -
M Jules Claretie, administrateur général de la Comédie Française Porte en plus la mention : «Voir page 694.» Né à Limoges le 3 décembre 1840 et mort à Paris le 23 décembre 1913. Il est un romancier et auteur dramatique français, également historien et chroniqueur de la vie parisienne. Jules Claretie collabore à de nombreux journaux sous plusieurs pseudonymes, notamment au Figaro et au Temps. Il tient la critique théâtrale à L’Opinion nationale, au Soir, et à La Presse. Ses articles sont souvent sujet à des analyses sans aménité sur ses contemporains. Historien, il compose entre autres une Histoire de la Révolution de 1870-1871. Il publie de nombreux romans, tels que Monsieur le Ministre, Le Million ou Le Prince Zilah, parmi lesquels plusieurs seront adaptés pour la scène. Il écrit pour Massenet le livret de La Navarraise en 1894. Jules Clarétie est président de la Société des Gens de Lettres et de la Société des Auteurs dramatiques. De 1885 à 1913, il est administrateur général de la Comédie-Française, dont il ouvre les portes à des auteurs contemporains comme Octave Mirbeau (dont il fait jouer Les affaires sont les affaires et, à contre-cœur et contraint par une décision de justice, Le Foyer), et aussi Paul Hervieu ou Henry Bataille. Il a été élu membre de l’Académie française le 26 janvier 1888. cote : FP CLA 19 (Bfm Limoges) -
Jules Claretie Caricature parue dans "Almanach du trombinoscope". - Porte en plus : le numéro "57". Né à Limoges le 3 décembre 1840 et mort à Paris le 23 décembre 1913. Il est un romancier et auteur dramatique français, également historien et chroniqueur de la vie parisienne. Jules Claretie collabore à de nombreux journaux sous plusieurs pseudonymes, notamment au Figaro et au Temps. Il tient la critique théâtrale à L’Opinion nationale, au Soir, et à La Presse. Ses articles sont souvent sujet à des analyses sans aménité sur ses contemporains. Historien, il compose entre autres une Histoire de la Révolution de 1870-1871. Il publie de nombreux romans, tels que Monsieur le Ministre, Le Million ou Le Prince Zilah, parmi lesquels plusieurs seront adaptés pour la scène. Il écrit pour Massenet le livret de La Navarraise en 1894. Jules Clarétie est président de la Société des Gens de Lettres et de la Société des Auteurs dramatiques. De 1885 à 1913, il est administrateur général de la Comédie-Française, dont il ouvre les portes à des auteurs contemporains comme Octave Mirbeau (dont il fait jouer Les affaires sont les affaires et, à contre-cœur et contraint par une décision de justice, Le Foyer), et aussi Paul Hervieu ou Henry Bataille. Il a été élu membre de l’Académie française le 26 janvier 1888. cote : FP CLA 18 (Bfm Limoges) -
M. Claretie Caricature parue dans "Almanach du trombinoscope". - Porte en plus : le numéro "57". Né à Limoges le 3 décembre 1840 et mort à Paris le 23 décembre 1913. Il est un romancier et auteur dramatique français, également historien et chroniqueur de la vie parisienne. Jules Claretie collabore à de nombreux journaux sous plusieurs pseudonymes, notamment au Figaro et au Temps. Il tient la critique théâtrale à L’Opinion nationale, au Soir, et à La Presse. Ses articles sont souvent sujet à des analyses sans aménité sur ses contemporains. Historien, il compose entre autres une Histoire de la Révolution de 1870-1871. Il publie de nombreux romans, tels que Monsieur le Ministre, Le Million ou Le Prince Zilah, parmi lesquels plusieurs seront adaptés pour la scène. Il écrit pour Massenet le livret de La Navarraise en 1894. Jules Clarétie est président de la Société des Gens de Lettres et de la Société des Auteurs dramatiques. De 1885 à 1913, il est administrateur général de la Comédie-Française, dont il ouvre les portes à des auteurs contemporains comme Octave Mirbeau (dont il fait jouer Les affaires sont les affaires et, à contre-cœur et contraint par une décision de justice, Le Foyer), et aussi Paul Hervieu ou Henry Bataille. Il a été élu membre de l’Académie française le 26 janvier 1888. cote : FP CLA 17 (Bfm Limoges) -
Moi seul, et c'est assez ! [Jules Claretie] Dans "Portaits contemporains" de la Revue Illustrée. Né à Limoges le 3 décembre 1840 et mort à Paris le 23 décembre 1913. Il est un romancier et auteur dramatique français, également historien et chroniqueur de la vie parisienne. Jules Claretie collabore à de nombreux journaux sous plusieurs pseudonymes, notamment au Figaro et au Temps. Il tient la critique théâtrale à L’Opinion nationale, au Soir, et à La Presse. Ses articles sont souvent sujet à des analyses sans aménité sur ses contemporains. Historien, il compose entre autres une Histoire de la Révolution de 1870-1871. Il publie de nombreux romans, tels que Monsieur le Ministre, Le Million ou Le Prince Zilah, parmi lesquels plusieurs seront adaptés pour la scène. Il écrit pour Massenet le livret de La Navarraise en 1894. Jules Clarétie est président de la Société des Gens de Lettres et de la Société des Auteurs dramatiques. De 1885 à 1913, il est administrateur général de la Comédie-Française, dont il ouvre les portes à des auteurs contemporains comme Octave Mirbeau (dont il fait jouer Les affaires sont les affaires et, à contre-cœur et contraint par une décision de justice, Le Foyer), et aussi Paul Hervieu ou Henry Bataille. Il a été élu membre de l’Académie française le 26 janvier 1888. cote : FP CLA 16 (Bfm Limoges) -
Jules Claretie Mention manuscrite illisible. Né à Limoges le 3 décembre 1840 et mort à Paris le 23 décembre 1913. Il est un romancier et auteur dramatique français, également historien et chroniqueur de la vie parisienne. Jules Claretie collabore à de nombreux journaux sous plusieurs pseudonymes, notamment au Figaro et au Temps. Il tient la critique théâtrale à L’Opinion nationale, au Soir, et à La Presse. Ses articles sont souvent sujet à des analyses sans aménité sur ses contemporains. Historien, il compose entre autres une Histoire de la Révolution de 1870-1871. Il publie de nombreux romans, tels que Monsieur le Ministre, Le Million ou Le Prince Zilah, parmi lesquels plusieurs seront adaptés pour la scène. Il écrit pour Massenet le livret de La Navarraise en 1894. Jules Clarétie est président de la Société des Gens de Lettres et de la Société des Auteurs dramatiques. De 1885 à 1913, il est administrateur général de la Comédie-Française, dont il ouvre les portes à des auteurs contemporains comme Octave Mirbeau (dont il fait jouer Les affaires sont les affaires et, à contre-cœur et contraint par une décision de justice, Le Foyer), et aussi Paul Hervieu ou Henry Bataille. Il a été élu membre de l’Académie française le 26 janvier 1888. cote : FP CLA 15 (Bfm Limoges) -
Jules Claretie Le même portrait, gravé en trois couleurs différentes. Né à Limoges le 3 décembre 1840 et mort à Paris le 23 décembre 1913. Il est un romancier et auteur dramatique français, également historien et chroniqueur de la vie parisienne. Jules Claretie collabore à de nombreux journaux sous plusieurs pseudonymes, notamment au Figaro et au Temps. Il tient la critique théâtrale à L’Opinion nationale, au Soir, et à La Presse. Ses articles sont souvent sujet à des analyses sans aménité sur ses contemporains. Historien, il compose entre autres une Histoire de la Révolution de 1870-1871. Il publie de nombreux romans, tels que Monsieur le Ministre, Le Million ou Le Prince Zilah, parmi lesquels plusieurs seront adaptés pour la scène. Il écrit pour Massenet le livret de La Navarraise en 1894. Jules Clarétie est président de la Société des Gens de Lettres et de la Société des Auteurs dramatiques. De 1885 à 1913, il est administrateur général de la Comédie-Française, dont il ouvre les portes à des auteurs contemporains comme Octave Mirbeau (dont il fait jouer Les affaires sont les affaires et, à contre-cœur et contraint par une décision de justice, Le Foyer), et aussi Paul Hervieu ou Henry Bataille. Il a été élu membre de l’Académie française le 26 janvier 1888. cote : FP CLA 12 (Bfm Limoges) -
Soldat on est content de vous ! [Jules Claretie] En une du journal "Le carillon", n°7, samedi 16 février 1878. Né à Limoges le 3 décembre 1840 et mort à Paris le 23 décembre 1913. Il est un romancier et auteur dramatique français, également historien et chroniqueur de la vie parisienne. Jules Claretie collabore à de nombreux journaux sous plusieurs pseudonymes, notamment au Figaro et au Temps. Il tient la critique théâtrale à L’Opinion nationale, au Soir, et à La Presse. Ses articles sont souvent sujet à des analyses sans aménité sur ses contemporains. Historien, il compose entre autres une Histoire de la Révolution de 1870-1871. Il publie de nombreux romans, tels que Monsieur le Ministre, Le Million ou Le Prince Zilah, parmi lesquels plusieurs seront adaptés pour la scène. Il écrit pour Massenet le livret de La Navarraise en 1894. Jules Clarétie est président de la Société des Gens de Lettres et de la Société des Auteurs dramatiques. De 1885 à 1913, il est administrateur général de la Comédie-Française, dont il ouvre les portes à des auteurs contemporains comme Octave Mirbeau (dont il fait jouer Les affaires sont les affaires et, à contre-cœur et contraint par une décision de justice, Le Foyer), et aussi Paul Hervieu ou Henry Bataille. Il a été élu membre de l’Académie française le 26 janvier 1888. cote : FP CLA 11 (Bfm Limoges) -
Jules Claretie Paru dans "L'Eclipse, revue comique illustrée", p. 110, 1er octobre 1876. Né à Limoges le 3 décembre 1840 et mort à Paris le 23 décembre 1913. Il est un romancier et auteur dramatique français, également historien et chroniqueur de la vie parisienne. Jules Claretie collabore à de nombreux journaux sous plusieurs pseudonymes, notamment au Figaro et au Temps. Il tient la critique théâtrale à L’Opinion nationale, au Soir, et à La Presse. Ses articles sont souvent sujet à des analyses sans aménité sur ses contemporains. Historien, il compose entre autres une Histoire de la Révolution de 1870-1871. Il publie de nombreux romans, tels que Monsieur le Ministre, Le Million ou Le Prince Zilah, parmi lesquels plusieurs seront adaptés pour la scène. Il écrit pour Massenet le livret de La Navarraise en 1894. Jules Clarétie est président de la Société des Gens de Lettres et de la Société des Auteurs dramatiques. De 1885 à 1913, il est administrateur général de la Comédie-Française, dont il ouvre les portes à des auteurs contemporains comme Octave Mirbeau (dont il fait jouer Les affaires sont les affaires et, à contre-cœur et contraint par une décision de justice, Le Foyer), et aussi Paul Hervieu ou Henry Bataille. Il a été élu membre de l’Académie française le 26 janvier 1888. cote : FP CLA 10 (Bfm Limoges) -
Jules Claretie Né à Limoges le 3 décembre 1840 et mort à Paris le 23 décembre 1913. Il est un romancier et auteur dramatique français, également historien et chroniqueur de la vie parisienne. Jules Claretie collabore à de nombreux journaux sous plusieurs pseudonymes, notamment au Figaro et au Temps. Il tient la critique théâtrale à L’Opinion nationale, au Soir, et à La Presse. Ses articles sont souvent sujet à des analyses sans aménité sur ses contemporains. Historien, il compose entre autres une Histoire de la Révolution de 1870-1871. Il publie de nombreux romans, tels que Monsieur le Ministre, Le Million ou Le Prince Zilah, parmi lesquels plusieurs seront adaptés pour la scène. Il écrit pour Massenet le livret de La Navarraise en 1894. Jules Clarétie est président de la Société des Gens de Lettres et de la Société des Auteurs dramatiques. De 1885 à 1913, il est administrateur général de la Comédie-Française, dont il ouvre les portes à des auteurs contemporains comme Octave Mirbeau (dont il fait jouer Les affaires sont les affaires et, à contre-cœur et contraint par une décision de justice, Le Foyer), et aussi Paul Hervieu ou Henry Bataille. Il a été élu membre de l’Académie française le 26 janvier 1888. cote : FP CLA 09 (Bfm Limoges) -
Jules Claretie : de l'Académie française Né à Limoges le 3 décembre 1840 et mort à Paris le 23 décembre 1913. Il est un romancier et auteur dramatique français, également historien et chroniqueur de la vie parisienne. Jules Claretie collabore à de nombreux journaux sous plusieurs pseudonymes, notamment au Figaro et au Temps. Il tient la critique théâtrale à L’Opinion nationale, au Soir, et à La Presse. Ses articles sont souvent sujet à des analyses sans aménité sur ses contemporains. Historien, il compose entre autres une Histoire de la Révolution de 1870-1871. Il publie de nombreux romans, tels que Monsieur le Ministre, Le Million ou Le Prince Zilah, parmi lesquels plusieurs seront adaptés pour la scène. Il écrit pour Massenet le livret de La Navarraise en 1894. Jules Clarétie est président de la Société des Gens de Lettres et de la Société des Auteurs dramatiques. De 1885 à 1913, il est administrateur général de la Comédie-Française, dont il ouvre les portes à des auteurs contemporains comme Octave Mirbeau (dont il fait jouer Les affaires sont les affaires et, à contre-cœur et contraint par une décision de justice, Le Foyer), et aussi Paul Hervieu ou Henry Bataille. Il a été élu membre de l’Académie française le 26 janvier 1888. cote : FP CLA 08 (Bfm Limoges)