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Marie Bonnetaud et sa fille Élise, Saint-Martin-Terressus - Fonds Boudeau (B125-n°2236-2237)
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Noémie Lachaud à Ambazac - Fonds Boudeau (B114-n°2068-2069)
Très élégante jeune femme posant devant le décor peint du photographe. -
Marguerite Mounaud et sa fille à Marsac, Saint-Léonard-de-Noblat - Fonds Boudeau (B114-n°2070-2071)
Beaux portraits d'une mère et sa fille, devant le décor peint et avec la chaise que le photographe transportait dans sa carriole. -
Marguerite Boudeau - Fonds Boudeau (B59-n°1183)
Très beau portrait de Marguerite, l'épouse du photographe. Ils se marièrent le 24 octobre 1905 au Palais-sur-Vienne d'où elle était originaire. Elle appartenait à une famille de commerçants et de propriétaires (les Leblanc côté paternel et les Lebda côté maternel). Bien avant leur mariage, Jean-Baptiste avait déjà fait modifier à l'état-civil l'orthographe de son nom de naissance, transformant Boudaud en Boudeau. Était-ce par pure coquetterie ou bien avait-il voulu rompre avec une ascendance paysanne et ouvrière jugée trop modeste ? -
Femme en barbichet
Le barbichet à larges ailes de mousseline, brodées de dentelles et amidonnées est une coiffe traditionnelle porté en haut Limousin Elle se développe vers 1835-1840, avec la venue des broderies d'Aixe sur Vienne et voit son apogée vers l'an 1880. C'est la coiffe réservée aux cérémonies et fêtes dominicales. Fragile et coûteux pour la finesse de sa dentelle, c'est un trésor de famille qu'on aime à monter, mais aussi pour les auteurs du Félibre à chanter et louer. Fonds Jean-Baptiste Boudeau, boite 171 (Bfm Limoges). -
[Mythologie]
cote : 5FI43 (Bfm Limoges) -
Tentation.
D'après une peinture de et par Celestin François Nanteuil. Présenté au Salon de Peinture et Sculpture de 1850-51. Célestin Nanteuil s'est surtout fait connaître par les frontispices et gravures qu'il a dessiné pour illustrer les livres de ses camarades : Théophile Gautier, Alexandre Dumas, ...Il illustra également Hugo, Balzac, les frères Goncourt. Proche du mouvement romantique, ses dessins s'inspirent de l'onirique médiéval, dans le goût du temps. Maintes fois exposé aux Salons de Peinture et Sculpture, il laisse aussi une oeuvre peinte beaucoup moins connue. cote : 5FI40 (Bfm Limoges) -
Les mariages heureux ou Empire du divorce suivi d'une Réfutation des ouvrages contre le divorce
Un ouvrage édité certainement pendant la période Révolutionnaire et destiné "Aux victimes de l'Hymen" : "C'est à vous, ô femmes intéressantes par vos vertus et vos malheurs que je dois l'hommage de cet écrit, et je vous supplie de l'agréer." cote : MAG.P LIM F5488/36 (Bfm Limoges) -
L'Amour maternel
Lecture en prose et vers prononcée à la Société Royale d'agriculture Sciences et Arts de Limoges par un sous intendant militaire de la Haute-Vienne, J-L Lacour. cote : MAG.P LIM F5488/52 (Bfm Limoges) -
XIe Congrès corporatif de la Fédération des employés de France
Compte rendu sténographié de ce congrès tenu en 1904 de l'Union Syndicale des employés de Commerce, d'Industrie et de bureau des deux sexes. Parmi les questions soulevées : les femmes peuvent-elles jouir de leur salaire sans la tutelle de leur mari ? cote : MAG.P LIM B1612 (Bfm Limoges) -
Le Dimanche des Rameaux à Limoges
Une sortie de messe des Rameaux devant la chapelle Saint-Aurélien de Limoges (quartier de la Boucherie). Dessinateur et graveur non identifiés. cote : 3FI49 (Bfm Limoges) -
Une Limousine oubliée : Madame Des Loges
Marie Bruneau, épouse Des Loges tint pendant 26 ans un salon parisien très suivi. Calviniste lettrée, elle est est considérée comme la grande directrice de la transfomation du goût en poésie en ce début de XVIIe siècle .Elle n'aimait que la littérature sérieuse et raffinée et ne goûtait pas Marot et les "jargonneurs". Mademoiselle de Gournay, fille adoptive de Montaigne lui dédie un ouvrage de poésie, Malherbe, Voiture, Racan, la comparent à la muse Uranie. Elle se retire finalement au château de Laplaud, près d'Oradour/Glane où elle meurt en 1641. Malherbe écrit alors "Vous êtes admise de la meilleure partie de l'Europe, en ce point sont d'accord les deux religions. Les Princes sont vos courtisans et les docteurs vos écoliers". cote : MAG.P LIM B1102 -
Comptes rendu des travaux du Comité de l'Association des dames françaises de Guéret de la Croix rouge française pendant la guerre de 1914-1918.
cote : MAG.P LIM 45859 (Bfm Limoges) -
Les Grisettes.
Chanson, manuscrit de l'auteur. Issu d'une famille de négociants, Alfred Durin a vraissemblablement fait de solides études classiques. Il exerçait la profession de marchand d'estampes et de chansonnier satirique. Sous Louis-Philippe, il raille violemment le gouvernement en publiant des chansons accueillies avec enthousiasme lors de la Révolution de février 1848. Il est également inscrit à la Société Populaire, dont il est l'un des membres actifs aux côtés de Théodore Bac. Alfred Durin est également le rédacteur en chef du Carillon républicain , "journal populaire" qu'il a fondé en 1848, et dont la devise est "tout pour le peuple et par le peuple". On y retrouve quelques unes de ses chansons. La grisette est une étoffe commune de teinte grise que portaient les hommes et les femmes du commun. Par extension, le terme grisette désignait familièrement une jeune ouvrière coquette et galante (Dictionnaire de l'Académie). cote : Ms 88 (Bfm Limoges) -
Fileuse au barbichet
Jean-Baptiste Audiguet (1811-1897) est un des pionniers de la photographie professionnelle à Limoges. Né à Bellac dans un milieu modeste, il se lance dans la photographie à la fin des années 1850 et devient le grand portraitiste de la société limougeaude du Second Empire et de la Troisième République. C'est aussi le premier photographe connu à proposer des vues de la ville et de ses alentours, avec une parfaite maîtrise de la composition et une sensibilité esthétique surprenante. cote : 9Fi502/34 (Bfm Limoges) -
Cuisinière au barbichet debout
Jean-Baptiste Audiguet (1811-1897) est un des pionniers de la photographie professionnelle à Limoges. Né à Bellac dans un milieu modeste, il se lance dans la photographie à la fin des années 1850 et devient le grand portraitiste de la société limougeaude du Second Empire et de la Troisième République. C'est aussi le premier photographe connu à proposer des vues de la ville et de ses alentours, avec une parfaite maîtrise de la composition et une sensibilité esthétique surprenante. cote : 9Fi502/35 (Bfm Limoges) -
Cuisinière au barbichet assise
Jean-Baptiste Audiguet (1811-1897) est un des pionniers de la photographie professionnelle à Limoges. Né à Bellac dans un milieu modeste, il se lance dans la photographie à la fin des années 1850 et devient le grand portraitiste de la société limougeaude du Second Empire et de la Troisième République. C'est aussi le premier photographe connu à proposer des vues de la ville et de ses alentours, avec une parfaite maîtrise de la composition et une sensibilité esthétique surprenante. cote : 9Fi502/37 (Bfm Limoges)