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- Famille Philippon à Ambazac - Fonds Boudeau (B140-n°2450)
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Famille à La Gasnerie, Saint-Martin-Terressus - Fonds Boudeau (B136-n°2404) Beau portrait d'une famille paysanne endimanchée.
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Portraits - Fonds Boudeau (B136-n°2396-2397) Jolis portraits comme Jean-Baptiste Boudeau en réalisa des centaines. Nous ne connaissons pas l'identité des personnes photographiées.
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Portraits - Fonds Boudeau (B136-n°2394-2395) Jolis portraits comme Jean-Baptiste Boudeau en réalisa des centaines. Nous ne connaissons pas l'identité des personnes photographiées.
- Groupe de communiantes, Saint-Priest-Taurion - Fonds Boudeau (B135-n°2379)
- Jeunes filles jouant la comédie, Saint-Priest-Taurion - Fonds Boudeau (B135-n°2378)
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Groupe de l'école Saint-Jean à Ambazac - Fonds Boudeau (B127-n°2273) Paul et Céline Pouquet s'installent en 1840 dans une grande propriété du village de Trasforêt, sur la commune d'Ambazac. Ils consacrent une grande partie de leur fortune à l'édification d'une institution catholique tenue par des religieuses et comprenant une école primaire, un hôpital et un ouvroir (foyer de charité préparant des orphelines aux métiers de couturière et de domestique). En 1864 est édifiée une chapelle qui imite le style roman. Après la loi de 1902 sur les écoles congréganistes, l’Église est chassée des bâtiments qui restent vides quelques années avant d'accueillir, à partir de 1907, des séminaristes de la région. Le docteur Alfred Pouquet, neveu des fondateurs, offre les bâtiments à l’Église. Une école religieuse, l'école Saint-Jean, fonctionnera dans ces locaux jusqu'en 1958, avant d'être déplacée à Limoges. Après le départ de l'école, ce sont des sœurs de Saint François d'Assise qui occupent "l'Oeuvre Pouquet". L’Église vendra les bâtiments au début des années 2000, qui sont depuis lors occupés par un lieu d'accueil pour adultes handicapés, le foyer de vie Gilbert Ballet. Jean-Baptiste Boudeau photographie ici un groupe posant devant le portail de la chapelle.
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Groupe de l'école Saint-Jean à Ambazac - Fonds Boudeau (B127-n°2272) Paul et Céline Pouquet s'installent en 1840 dans une grande propriété du village de Trasforêt, sur la commune d'Ambazac. Ils consacrent une grande partie de leur fortune à l'édification d'une institution catholique tenue par des religieuses et comprenant une école primaire, un hôpital et un ouvroir (foyer de charité préparant des orphelines aux métiers de couturière et de domestique). En 1864 est édifiée une chapelle qui imite le style roman. Après la loi de 1902 sur les écoles congréganistes, l’Église est chassée des bâtiments qui restent vides quelques années avant d'accueillir, à partir de 1907, des séminaristes de la région. Le docteur Alfred Pouquet, neveu des fondateurs, offre les bâtiments à l’Église. Une école religieuse, l'école Saint-Jean, fonctionnera dans ces locaux jusqu'en 1958, avant d'être déplacée à Limoges. Après le départ de l'école, ce sont des sœurs de Saint François d'Assise qui occupent "l'Oeuvre Pouquet". L’Église vendra les bâtiments au début des années 2000, qui sont depuis lors occupés par un lieu d'accueil pour adultes handicapés, le foyer de vie Gilbert Ballet. Jean-Baptiste Boudeau photographie ici un groupe posant devant le portail de la chapelle.
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Groupe de l'école Saint-Jean à Ambazac - Fonds Boudeau (B127-n°2271) Paul et Céline Pouquet s'installent en 1840 dans une grande propriété du village de Trasforêt, sur la commune d'Ambazac. Ils consacrent une grande partie de leur fortune à l'édification d'une institution catholique tenue par des religieuses et comprenant une école primaire, un hôpital et un ouvroir (foyer de charité préparant des orphelines aux métiers de couturière et de domestique). En 1864 est édifiée une chapelle qui imite le style roman. Après la loi de 1902 sur les écoles congréganistes, l’Église est chassée des bâtiments qui restent vides quelques années avant d'accueillir, à partir de 1907, des séminaristes de la région. Le docteur Alfred Pouquet, neveu des fondateurs, offre les bâtiments à l’Église. Une école religieuse, l'école Saint-Jean, fonctionnera dans ces locaux jusqu'en 1958, avant d'être déplacée à Limoges. Après le départ de l'école, ce sont des sœurs de Saint François d'Assise qui occupent "l'Oeuvre Pouquet". L’Église vendra les bâtiments au début des années 2000, qui sont depuis lors occupés par un lieu d'accueil pour adultes handicapés, le foyer de vie Gilbert Ballet. Jean-Baptiste Boudeau photographie ici un groupe posant devant le portail de la chapelle.
- Eyjeaux, la poste - Fonds Boudeau (B126-n°2249)
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Eyjeaux, le château - Fonds Boudeau (B126-n°2248) Ce château situé à Eyjeaux, à une quinzaine de kilomètres au sud-est de Limoges, fut bâti au 15e siècle pour l'écuyer Foulques de Junhac.
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Saint-Laurent-les-Églises, l'église - Fonds Boudeau (B125-n°2246) Église du 13e siècle vouée à saint Laurent, saint martyr de Rome, mort au 3e siècle.
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Le meunier à Cassepierre - Fonds Boudeau (B112-n°2042) Encore une jolie composition de Boudeau, bien que la mise au point soit mauvaise : les enfants, le meunier, sa charrette pleine de sacs de farine et tirée par son cheval noir, le cycliste élégant s'arrêtant pour poser, le cheval blanc et la carriole du photographe au fond, les curieux à la porte et à la fenêtre, et le chien qui admire la scène...
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Ecoliers de Cassepierre à Rilhac-Rancon - Fonds Boudeau (B112-n°2041) Cassepierre est un village important de la commune de Rilhac-Rancon mais il est situé à plusieurs kilomètres du bourg. Aussi, pour faciliter la scolarisation des enfants de Cassepierre et des environs, une grande école mixte est construite en 1911. Nous voyons donc ici les premiers enfants scolarisés à l'école de Cassepierre, qui est aujourd'hui l'école Nelson Mandela. L'institutrice de l'époque s'appelait mademoiselle Juge.
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L'école de Cassepierre à Rilhac-Rancon - Fonds Boudeau (B112-n°2039) Cassepierre est un village important de la commune de Rilhac-Rancon mais il est situé à plusieurs kilomètres du bourg. Aussi, pour faciliter la scolarisation des enfants de Cassepierre et des environs, une grande école mixte est construite en 1911, ainsi que nous l'indique la date au fronton du bâtiment. Nous voyons donc ici les premiers enfants scolarisés à l'école de Cassepierre, qui est aujourd'hui l'école Nelson Mandela. L'institutrice de l'époque, que l'on voit à la fenêtre, s'appelait mademoiselle Juge.
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Castration des gorets à Caux, Saint-Priest-Taurion - Fonds Boudeau (B112-n°2037) Afin d'assurer le bon goût de la viande, il est nécessaire de castrer les porcs. L'opération se fait bien souvent, comme sur cette photographie, alors qu'ils n'ont que quelques semaines. Certains paysans le font eux-mêmes tandis que d'autres, pour éviter tout risque d'infection et de complication, font appel à un châtreur professionnel. Une scène banale de la vie paysanne qui est ici immortalisée au village de Caux, sur la commune de Saint-Priest-Taurion.
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La Poste de Feytiat - Fonds Boudeau (B112-n°2036) Le bureau de Poste de Feytiat était situé juste en face de la mairie, au-dessus de l'église. C'est aujourd'hui la Bibliothèque multimédia André Périgord.
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La Mairie de Feytiat - Fonds Boudeau (B112-n°2035) Malgré la mauvaise qualité de l'image, on peut admirer cette belle animation devant la mairie de Feytiat, qui déménagera en 1973 au château du Mas-Cerise. L'ancienne mairie est devenue le groupe scolaire Ferdinand Buisson.
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Moissons chez Demars aux Aulières, Eyjeaux - Fonds Boudeau (B112-n°2034) Contrairement à l'annotation visible sur la plaque photographique, Les Aulières est un village situé à Eyjeaux et non pas sur la commune de Feytiat, certes toute proche. C'est très probablement à la faveur de la mise en service récente de lignes de tramways départementaux que Jean-Baptiste Boudeau se promène, en cet été 1912, assez loin de son domicile de Saint-Priest-Taurion...
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Mariage - Fonds Boudeau (B111-n°2015) Pas de localisation précise pour cette jolie photo de mariage comme Jean-Baptiste Boudeau en prit des dizaines, la plupart dans un rayon de 10 km autour de Saint-Priest-Taurion.