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M. Treilhard, Avocat, député de Paris
Jean-Baptiste Treilhard, né à Brive (Corrèze) le 3 janvier 1742, fils de Jean-François Treilhard, avocat au présidial de cette ville, et de Jeanne de Lachèze ; avocat au parlement de Paris (1761), député du Tiers aux Etats Généraux par la ville de Paris (1789), président du tribunal criminel de Paris (1791), député de Seine-et-Oise à la Convention nationale (12 septembre 1792), président de la Convention (28 décembre 1792-10 janvier 1793), membre du Comité de Salut public, élu au conseil des Cinq-Cents (15 octobre 1795), président de cette assemblée, membre du tribunal de cassation, ambassadeur à Naples (1796), membre du Directoire (15 mai 1798), vice-président (4 avril 1800), puis président (1er janvier 1802) du tribunal de la Seine, conseiller d'Etat (1802), créé comte de l'Empire le 24 avril 1808, ministre d'Etat (30 mars 1809), mort à Paris le 1er décembre 1810. Cote : FP TRE 02 (Bfm Limoges) -
Mr. Treilhard, Président de l'Assemblée nationale, Elu Président du Tribunal de Paris
Portrait en médaillon couronné. Jean-Baptiste Treilhard, né à Brive (Corrèze) le 3 janvier 1742, fils de Jean-François Treilhard, avocat au présidial de cette ville, et de Jeanne de Lachèze ; avocat au parlement de Paris (1761), député du Tiers aux Etats Généraux par la ville de Paris (1789), président du tribunal criminel de Paris (1791), député de Seine-et-Oise à la Convention nationale (12 septembre 1792), président de la Convention (28 décembre 1792-10 janvier 1793), membre du Comité de Salut public, élu au conseil des Cinq-Cents (15 octobre 1795), président de cette assemblée, membre du tribunal de cassation, ambassadeur à Naples (1796), membre du Directoire (15 mai 1798), vice-président (4 avril 1800), puis président (1er janvier 1802) du tribunal de la Seine, conseiller d'Etat (1802), créé comte de l'Empire le 24 avril 1808, ministre d'Etat (30 mars 1809), mort à Paris le 1er décembre 1810. Cote : FP TRE 01 (Bfm Limoges) -
M. F. Tixier, représentant du peuple (Haute-Vienne)
Michel-Félix Tixier, né aux Salles-Lavanguyon (Haute-Vienne) le 16 février 1796, avocat à Limoges, bâtonnier de l'ordre, élu député de la Haute-Vienne le 2 mars 1839, non réélu en 1842, maire, puis membre de la municipalité provisoire de Limoges (février-avril 1848), député à la Constituante de 1848, réélu le 29 février 1852, siégea jusqu'en 1857, membre du Conseil général, mort à Saint-Mathieu (Haute-Vienne) le 16 janvier 1864. Cote : FP TIX 02 (Bfm Limoges) -
M. F. Tixier né le 16 février 1796
De la série Assemblée Nationale. Galerie des représentants du peuple (Haute-Vienne). N°439. Porte en plus la signature de Michel-Félix Tixier. Michel-Félix Tixier, né aux Salles-Lavanguyon (Haute-Vienne) le 16 février 1796, avocat à Limoges, bâtonnier de l'ordre, élu député de la Haute-Vienne le 2 mars 1839, non réélu en 1842, maire, puis membre de la municipalité provisoire de Limoges (février-avril 1848), député à la Constituante de 1848, réélu le 29 février 1852, siégea jusqu'en 1857, membre du Conseil général, mort à Saint-Mathieu (Haute-Vienne) le 16 janvier 1864. Cote : FP TIX 01 (Bfm Limoges) -
Ternaux, député du dépt. de la Seine
Guillaume Louis Ternaux, né à Sedan (Ardennes) le 12 octobre 1763, fils de Charles-Louis Ternaux, fabricant de draps, et de Marie-Marguerite Malot ; membre de l'administration municipale de Sedan, manufacturier, membre du conseil général des manufactures, président du collège électoral de l'Eure, élu député de la Seine le 21 octobre 1818, créé baron par ordonnance royale du 17 novembre 1819, échoua aux élections législatives de 1824, élu par le collège électoral de la Haute-Vienne (arrondissement de Saint-Junien) le 17 novembre 1827, siégea jusqu'en 1831, mort à Saint-Ouen (Seine) le 2 avril 1833. Cote : FP TER 05 (Bfm Limoges) -
Ternaux ainé, industriel.
Contient aussi : "Recueil de la Soc.té Polythechnique, planche 6, Tome 1." Guillaume Louis Ternaux, né à Sedan (Ardennes) le 12 octobre 1763, fils de Charles-Louis Ternaux, fabricant de draps, et de Marie-Marguerite Malot ; membre de l'administration municipale de Sedan, manufacturier, membre du conseil général des manufactures, président du collège électoral de l'Eure, élu député de la Seine le 21 octobre 1818, créé baron par ordonnance royale du 17 novembre 1819, échoua aux élections législatives de 1824, élu par le collège électoral de la Haute-Vienne (arrondissement de Saint-Junien) le 17 novembre 1827, siégea jusqu'en 1831, mort à Saint-Ouen (Seine) le 2 avril 1833. Cote : FP TER 04 (Bfm Limoges) -
M. Ternaux ainé, Député du Dépt de la Seine, élu en 1818
Guillaume Louis Ternaux, né à Sedan (Ardennes) le 12 octobre 1763, fils de Charles-Louis Ternaux, fabricant de draps, et de Marie-Marguerite Malot ; membre de l'administration municipale de Sedan, manufacturier, membre du conseil général des manufactures, président du collège électoral de l'Eure, élu député de la Seine le 21 octobre 1818, créé baron par ordonnance royale du 17 novembre 1819, échoua aux élections législatives de 1824, élu par le collège électoral de la Haute-Vienne (arrondissement de Saint-Junien) le 17 novembre 1827, siégea jusqu'en 1831, mort à Saint-Ouen (Seine) le 2 avril 1833. Cote : FP TER 03 (Bfm Limoges) -
Le Baron Ternaux, député de la seine, officier de la légion d'Honneur, etc, né le 8bre 1763 à Sedan (Ardennes)
Guillaume Louis Ternaux, né à Sedan (Ardennes) le 12 octobre 1763, fils de Charles-Louis Ternaux, fabricant de draps, et de Marie-Marguerite Malot ; membre de l'administration municipale de Sedan, manufacturier, membre du conseil général des manufactures, président du collège électoral de l'Eure, élu député de la Seine le 21 octobre 1818, créé baron par ordonnance royale du 17 novembre 1819, échoua aux élections législatives de 1824, élu par le collège électoral de la Haute-Vienne (arrondissement de Saint-Junien) le 17 novembre 1827, siégea jusqu'en 1831, mort à Saint-Ouen (Seine) le 2 avril 1833. Cote : FP TER02 (Bfm Limoges) -
Ternaux
Guillaume Louis Ternaux, né à Sedan (Ardennes) le 12 octobre 1763, fils de Charles-Louis Ternaux, fabricant de draps, et de Marie-Marguerite Malot ; membre de l'administration municipale de Sedan, manufacturier, membre du conseil général des manufactures, président du collège électoral de l'Eure, élu député de la Seine le 21 octobre 1818, créé baron par ordonnance royale du 17 novembre 1819, échoua aux élections législatives de 1824, élu par le collège électoral de la Haute-Vienne (arrondissement de Saint-Junien) le 17 novembre 1827, siégea jusqu'en 1831, mort à Saint-Ouen (Seine) le 2 avril 1833. Cote : FP TER01 (Bfm Limoges) -
Talandier
Caricature parue en une de la revue «Les hommes d'aujourd'hui», 3ème année, n°132 de 1880. Théodore-Alfred Talandier, né à Limoges en 1822, fils de François-Firmin Talandier, magistrat, et de Marie-Anne-Laure de Meyrignac ; avocat, avocat général à la cour d'appel de Limoges (mars 1848), proscrit au coup d'Etat, se réfugia en Angleterre et ne rentra en France qu'au 4 septembre 1870, sous-préfet de Rochechouart du 2 janvier au 20 septembre 1871, publiciste, professeur d'anglais au lycée Henri IV, élu conseiller municipal de Paris le 29 avril 1874, député de la Seine de 1876 à 1885, mort à Paris le 4 mars 1890. Cote : FP TAL 02 (Bfm Limoges) -
Talandier, député de la Seine
Caricature probablement extraite de "La République anti-cléricale", parue entre 1882 et 1883. Théodore-Alfred Talandier, né à Limoges en 1822, fils de François-Firmin Talandier, magistrat, et de Marie-Anne-Laure de Meyrignac ; avocat, avocat général à la cour d'appel de Limoges (mars 1848), proscrit au coup d'Etat, se réfugia en Angleterre et ne rentra en France qu'au 4 septembre 1870, sous-préfet de Rochechouart du 2 janvier au 20 septembre 1871, publiciste, professeur d'anglais au lycée Henri IV, élu conseiller municipal de Paris le 29 avril 1874, député de la Seine de 1876 à 1885, mort à Paris le 4 mars 1890. Cote : FP TAL 01 -
St. Marc-Girardin
Porte en plus la signature de St. Marc-Girardin. Marc Girardin, dit Saint-Marc Girardin, né le 12 février 1801 à Paris et mort le 11 avril 1873 à Morsang-sur-Seine (actuelle Essonne), est un universitaire, critique littéraire et homme politique français. Récompensé par l'Académie française en 1822 et 1827, il est nommé professeur de Seconde au collège Louis-le-Grand à Paris en 1827 et commence à cette époque à écrire pour le Journal des Débats. Après la Révolution de Juillet, il est nommé maître des requêtes au Conseil d'État et est chargé de remplacer François Guizot, devenu ministre de l'Instruction publique, comme professeur d'histoire à la Sorbonne. En 1833, chargé par Guizot d'une mission d'observation sur l'enseignement dans les États du sud de l'Allemagne, il écrit le rapport De l'instruction intermédiaire et de son état dans le midi de l'Allemagne. En 1834, il est nommé professeur de poésie française à la Sorbonne. Girardin est élu député de Saint-Yrieix (Haute-Vienne) en 1834, 1837 (mandat interrompu en 1839), 1842 et 1846 ; il siège au centre et soutient les gouvernements successifs. Il est nommé ministre de l'Instruction publique dans le gouvernement envisagé en février 1848 pour remplacer celui de Guizot, mais la chute de Louis-Philippe entraîne son retrait de la vie politique. Il poursuit dès lors son activité professorale et journalistique. cote : FP SAI 03 (Bfm Limoges) -
Mr. St. Marc-Girardin, vice-président de l'Assemblée nationale, décédé à Morsang-sur-Seine, le 11 avril
portrait illustrant une nécrologie, extrait d'un journal non identifié. Marc Girardin, dit Saint-Marc Girardin, né le 12 février 1801 à Paris et mort le 11 avril 1873 à Morsang-sur-Seine (actuelle Essonne), est un universitaire, critique littéraire et homme politique français. Récompensé par l'Académie française en 1822 et 1827, il est nommé professeur de Seconde au collège Louis-le-Grand à Paris en 1827 et commence à cette époque à écrire pour le Journal des Débats. Après la Révolution de Juillet, il est nommé maître des requêtes au Conseil d'État et est chargé de remplacer François Guizot, devenu ministre de l'Instruction publique, comme professeur d'histoire à la Sorbonne. En 1833, chargé par Guizot d'une mission d'observation sur l'enseignement dans les États du sud de l'Allemagne, il écrit le rapport De l'instruction intermédiaire et de son état dans le midi de l'Allemagne. En 1834, il est nommé professeur de poésie française à la Sorbonne. Girardin est élu député de Saint-Yrieix (Haute-Vienne) en 1834, 1837 (mandat interrompu en 1839), 1842 et 1846 ; il siège au centre et soutient les gouvernements successifs. Il est nommé ministre de l'Instruction publique dans le gouvernement envisagé en février 1848 pour remplacer celui de Guizot, mais la chute de Louis-Philippe entraîne son retrait de la vie politique. Il poursuit dès lors son activité professorale et journalistique. cote : FP SAI 02 (Bfm Limoges) -
Mr. St. Marc-Girardin de l'Académie Française
Extrait de "Le voleur et lecabinet de lecture réunis", journal littéraire. Marc Girardin, dit Saint-Marc Girardin, né le 12 février 1801 à Paris et mort le 11 avril 1873 à Morsang-sur-Seine (actuelle Essonne), est un universitaire, critique littéraire et homme politique français. Récompensé par l'Académie française en 1822 et 1827, il est nommé professeur de Seconde au collège Louis-le-Grand à Paris en 1827 et commence à cette époque à écrire pour le Journal des Débats. Après la Révolution de Juillet, il est nommé maître des requêtes au Conseil d'État et est chargé de remplacer François Guizot, devenu ministre de l'Instruction publique, comme professeur d'histoire à la Sorbonne. En 1833, chargé par Guizot d'une mission d'observation sur l'enseignement dans les États du sud de l'Allemagne, il écrit le rapport De l'instruction intermédiaire et de son état dans le midi de l'Allemagne. En 1834, il est nommé professeur de poésie française à la Sorbonne. Girardin est élu député de Saint-Yrieix (Haute-Vienne) en 1834, 1837 (mandat interrompu en 1839), 1842 et 1846 ; il siège au centre et soutient les gouvernements successifs. Il est nommé ministre de l'Instruction publique dans le gouvernement envisagé en février 1848 pour remplacer celui de Guizot, mais la chute de Louis-Philippe entraîne son retrait de la vie politique. Il poursuit dès lors son activité professorale et journalistique. cote : FP SAI 01 (Bfm Limoges) -
Ch[arl]es Sallandrouze de Lamornaix, représentant du peuple (Creuse)
De la série des représentants du peuple éditée par Delarue. Porte en plus : le numéro 5 et la mention "Assemblée nationale". Né à Paris le 27 mars 1808, propriétaire d'une manufacture de tapis à Aubusson, membre du Conseil général des arts et manufactures (1840), membre du Conseil général de la Creuse (1842), et, plus tard, président de cette assemblée, député de la Creuse (1er août 1846), réélu à la Constituante (23 avril 1848) et au Corps législatif (29 février 1852), y siégea jusqu'à son décès, mort à Paris le 13 juin 1867. Cote : FP SAL (Bfm Limoges) -
Grégoire de Roulhac, L[ieutenan[t] G[é]n[ér]al au Présidial de Limoges, né au dt lieu 6 mai 1751, député du haut Limousin à l'Assemblée Na[tiona]le de 1789
Né à Limoges le 7 mai 1751, fils de Joseph Grégoire de Roulhac et de Marie-Jeanne Dumas ; avocat en Parlement, lieutenant-général civil et de police en la sénéchaussée de Limoges (9 janvier 1782), maire de cette ville du 6 août 1785 au 1er juillet 1789, député du Tiers aux Etat Généraux, président du directoire du district de Limoges (13 mai 1795), substitut puis commissaire du pouvoir exécutif près le tribunal de cette ville (1796) et ensuite procureur général près le tribunal d'appel (8 mai 1800), député de la Haute-Vienne au Corps législatif (1802-1809), procureur impérial près la Cour d'appel de Limoges (juin 1811 à juillet 1818), vice-président de la Société d'agriculture, des sciences et des arts (1802 à 1824), créé chevalier de l'Empire le 2 juin 1809 et baron le 13 avril 1811, mort à Limoges le 6 octobre 1824. Cote : FP ROU (Bfm Limoges) -
Auguste Penières, représentant du peuple. (Corrèze)
Porte en plus le n°4. De la série "Assemblée nationale Né à Ussel (Corrèze) le 28 mars 1810, petit-fils du conventionnel Pénières-Delzors ; avocat, député de la Creuse à la Constituante (23 avril 1848), réélu à l'Assemblée législative. Cote : FP PEN 02 (Bfm Limoges) -
Auguste Pénières, né à Ussel (Corrèze) le 28 mars 1810
De la série : "Assemblée nationale. Galerie des représentants du peuple (1848) (Corrèze)". - Porte en plus : la signature d'Auguste Pénières et le numéro 561. "Lith. d'après nature par Loire" Né à Ussel (Corrèze) le 28 mars 1810, petit-fils du conventionnel Pénières-Delzors ; avocat, député de la Creuse à la Constituante (23 avril 1848), réélu à l'Assemblée législative. Cote : FP PEN 01 (Bfm Limoges) -
Les ennemis de la calotte : Georges Périn, député de la Haute-Vienne cote : FP-PER (Bfm Limoges)
Caricature probablement extraite de "La République anti-cléricale", parue entre 1882 et 1883. Georges Périn, né en 1838 dans une famille de négociants en huile d'œillette d'Arras et mort en 1903 est un homme politique français, avocat, voyageur, journaliste et député du département de la Haute-Vienne de 1873 à 1889 et siégea à l’extrême gauche. -
De Peyramont, Hte-Vienne
Portrait en médaillon collé sur carton, aucune mention autre. André-Adolphe Duléry de Peyramont, né à Sauviat (Haute-Vienne) le 5 novembre 1804, substitut du procureur général à Limoges (1831), député de la Creuse (21 mai 1839), député de la Haute-Vienne (9 juillet 1842), procureur général à Angers (25 mars 1846), puis à Limoges (3 mars 1851), démissionnaire au coup d'Etat, conseiller à la cour de Paris (1858), avocat général puis conseiller à la cour de cassation (1862), élu député de la Haute-Vienne le 8 février 1871 et sénateur le 30 janvier 1876, président du conseil général de ce département (1871-1876), mort à Versailles le 25 janvier 1880. Cote : FP PEY (Bfm Limoges)