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architecture
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Charpente de Philibert Delorme, architecte vivant au milieu du XVIe siècle ; ouvrage remis au jour deux-cent-cinquante ans après son invention par le Ccn Détournelle, architecte L'architecte, dessinateur et éditeur Athanase Détournelle reprend dans deux planches les charpentes créées par Philibert de l'Orme (1514-1570). Il y adjoint une notice explicitant la démarche de l'architecte du XVIème siècle, soucieux de créer des charpentes légères et économiques en période de manque de bois, dites "charpentes à petits bois"
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Château de La Vauguyon Gravure extraite de " En Limousin, recueil de divers dessins de monuments limousins et préface de René Fage". Gravure publiée initialement dans l'Almanach Ducourtieux (1877). cote : MAG.P LIM 34062 (Bfm Limoges)
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Château d'Aubusson en 1632. D'après un ancien dessin Gravure extraite de " En Limousin, recueil de divers dessins de monuments limousins et préface de René Fage". Publié initialement dans l'ouvrage " Histoire d'Aubusson : la Vicomté : la ville : les tapisseries : la maison d'Aubusson" de Cyprien Pérathon , imp.Ve Ducourtieux (Limoges), 1886. Ce château fut construit entre le Xème et le XIIIème siècles par les Vicomtes d'Aubusson et était l'un des plus remarquables château fort du Moyen Age : une forteresse protégée par une enceinte ovale, cinq tours rondes et un pont-levis qui enjambait un large fossé. Sur ordre de Richelieu, et afin d'enlever aux Huguenots tout moyen de résistance, le Château fut détruit en 1632. Il ne reste aujourd'hui qu'un pan de donjon rectangulaire, la muraille attenante et la base de la tour carrée du XIIIème siècle. cote : MAG.P LIM 34062 (Bfm Limoges)
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Clochers à hourds du Bas-Limousin Extrait du "Bulletin monumental", t. LXXI, 1907. Notes bibliographiques. "Sans être d'une grande rareté, les clochers à hourds sont assez peu communs en France pour être signalés [...] Deux églises ont conservés leur hourds entier, ce sont les églises paroissiales de Saint-Chamant et de Saint-Sylvain". René Fage cote : MAG.P LIM 40307 (Bfm Limoges)
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Boulevard Victor-Hugo, Grand Hôtel Moderne et Ciné-Paris Le boulevard de la Poste-aux-Chevaux prend le nom du célèbre écrivain à sa mort, en 1885. En bas du boulevard, l’imposant immeuble du n°6 accueillait le Grand Hôtel Moderne. Inauguré le 15 juin 1907, le Grand Hôtel Moderne, est un bâtiment construit, situé à proximité de la place Denis Dussoubs, en plein centre-ville. c'est un complexe moderne et luxueux pour l'époque, qui justifie la photo de J.B Boudeau : "installation moderne de 1er ordre" précise la réclame de l'époque, avec ascenseur, électricité, chauffage à vapeur, téléphone et garage ! L'établissement accueille aussi une salle de cinéma "Cine-Paris" (le film alors diffusé est " Un fil à la patte"), ainsi que l'automobile-club du Limousin. Boîte 190 (BfmLimoges)
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L'échafaudage de Saint-Michel des Lions On a ceint d’un échafaudage le clocher de l’église Saint-Michel-des-Lions car sa boule paratonnerre a été descendue et doit être remplacée par une boule ajourée et plus légère. On aperçoit à droite, en haut de la rue du Clocher, la façade du Sans Rival, célèbre magasin de linge et de vêtements. Boîte 184 (Bfm Limoges)
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Le palais de justice Le palais de justice de Limoges fut édifié place d’Aine en 1846 par Vincent-Marie Boullé, architecte breton qui travailla plusieurs années en Haute-Vienne. Son architecture néo-classique le fait ressembler à bien des tribunaux français du 19e siècle. Le bâtiment occupe tout l'espace de la photographie qui est assez peu animée ; on aperçoit quelques enfants en mouvement au centre de la photo, et deux personnages fugaces à droite. Le poteau central sert à tenir les perches électriques nécessaires aux lignes de tramway. A noter les deux lampadaires encadrant l'escalier. Le bâtiment est celui qui existait avant le rajout d'un étage supplémentaire. Comme souvent, Jean-Baptiste Boudeau intègre son vélo posé contre un grillage dans la photo. Boîte 179 (Bfm Limoges)
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Les réclames sur les murs Prise depuis le bas de la place de la Mothe, dont on aperçoit les pavés granitiques, cette photographie se décompose en trois ensembles découpés horizontalement. Au premier plan, en bas, les pavés d'une place quasi déserte, hormis un personnage devant la colonne publicitaire [ou le kiosque] à droite. Une minéralité de la place ainsi bien rendue. En haut, et dans la moitié supérieure de la photo, le clocher de l'église Saint-Michel-des-Lions, avec un échafaudage destiné à déposer la boule en cuivre que l'on aperçoit. Nous sommes donc avant la date du 10 avril 1914. Enfin, dernier ensemble, au milieu de la photographie, les publicités murales au nombre de sept. Elles sont peintes sur les murs, là-même où, aujourd'hui, une peinture murale en trompe-l’œil existe. On distingue une réclame pour la marque de peinture « Ripolin », une pour le cacao « Van Houten », une pour les montres « Oméga », et localement une pour les vêtements « A.Dony », qui existent toujours, une pour les chaussures « Raymond » et une pour les costumes et linges « Au sans rival ». Cependant la publicité sous forme de main pointée vers le magasin, et les trois enseignes au dessus de la boutique du photographe Jové, sont une sorte de clin d’œil du photographe Jean-Baptiste Boudeau à son illustre confrère à l'immense talent. Boîte 179 (Bfm Limoges)
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La poste à la Crouzille Sur le bord de l'ancienne route nationale 20, celle-là même qu'emprunta le voyageur et agronome Arthur Young, lors de son « voyage en France », se trouve une poste installée dans une ancienne école, à la fois « recette-buraliste, débitant de tabac, papier et timbre », vraisemblablement après 1889. On observe un hangar sur la gauche avec un travail pour peut-être ferrer les vaches. Après 1912, la motorisation des véhicules fait disparaître peu à peu ces postes. La maison a été modifiée dans les années 1930, et est aujourd’hui peu reconnaissable. La Crouzille n'est pas une commune, à peine un gros hameau, mais sa localisation sur cette route explique la présence de cette poste, au croisement de la route nationale et d'une autre voie reliant Compreignac à Ambazac. Boite 127 (Bfm Limoges)
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Boulevard Georges-Périn Le nom de ce boulevard rend hommage à Georges Périn (1838-1903), politicien nordiste d’extrême-gauche, qui fut préfet et député de la Haute-Vienne dans les années 1870. Cette vue, prise depuis le carrefour Tourny, nous montre une partie du très bel immeuble du Central-Hôtel (qui sera ensuite le Luk Hôtel), bâti sur les plans de l’architecte Dominique Vergez et inauguré en 1900. Il est alors le plus haut bâtiment civil de la ville. Juste à côté, la succursale du Crédit Lyonnais est l’œuvre du même architecte. Cette banque occupe aujourd’hui les rez-de-chaussée des deux bâtiments. Fonds Jean-Baptiste Boudeau, Boite 1 (Bfm Limoges)
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La maison Treilhard, Brive Gravure extraite de " En Limousin, recueil de divers dessins de monuments limousins et préface de René Fage". La maison Treilhard, un bel hôtel particulier du XVIe siècle, fut la maison natale de J.-B. Treilhard (1742-1810), avocat, homme politique, principal rédacteur du code civil. Il est inhumé au Panthéon. Cet immeuble a appartenu aussi à une congrégation des frères prêcheurs. On voit encore la belle tour d’escalier en vis et la tourelle en encorbellement qui s’y accroche. Cette gravure fut initialement publiée dans le Bulletin de la société archéologique de Brive cote : MAG.P LIM 34062 (Bfm Limoges)
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Cour du château de Sédières, Corrèze Gravure extraite de " En Limousin" recueil de divers dessins de monuments limousins et préface de René Fage. Manoir fortifié construit au XVe siècle, il devient au XVIe siècle une demeure de plaisance remaniée de style Renaissance italienne par Dominique de Sédières de retour des campagnes d'Italie. Au XVIIe siècle le château se dote de jardins à la française grâce à la famille Lantillac, nouveaux héritiers des lieux. Abandonné puis pillé à la Révolution, le château est restauré en 1861 suivant les plans de Viollet-le-Duc. Cette gravure fut initialement publiée dans le Bulletin de la société archéologique de Brive cote : MAG.P LIM 34062 (Bfm Limoges)
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Le logis de Loyac, Tulle Gravure extraite de " En Limousin" recueil de divers dessins de monuments limousins et préface de René Fage. Le logis de Loyac appelée aussi "maison de l'abbé" fut construit aux XVe et XVIe siècles. Remarquable par l'élégance de sa façade, cette dernière, reconnaissable à ses tourelles, associe le style gothique flamboyant aux ornementations Renaissance. Cette gravure fut initialement publiée dans "Le vieux Tulle de René Fage. cote : MAG.P LIM 34062 (Bfm Limoges)
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Maison à Uzerche, Corrèze Gravure extraite de " En Limousin, recueil de divers dessins de monuments limousins et préface de René Fage". Cette maison est connue aujourd'hui sous le nom de Château Pontier. C'est un bâtiment construit au 16e siècle par la famille Pontier qui avait quitté Aix-en-Provence à cause des guerres de Religion. Construit à l'emplacement d'un château antérieur, le bâtiment est constitué d' un corps de logis rectangulaire flanqué, du côté de la Vézère, de deux tourelles circulaires d'angle. Cette gravure fut initialement publiée dans le Bulletin de la société archéologique de Brive cote : MAG.P LIM 34062 (Bfm Limoges)
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La porte Chanac (vue intra
muros), Tulle Gravure extraite de " En Limousin, recueil de divers dessins de monuments limousins et préface de René Fage". La porte Chanac était située e à l'entrée de la même rue qui porte son nom. C'était une porte fortifiée. Les deux maisons qui la soutenaient étaient elles-même fortifiées. Cette porte devait dater du XIIIe siècle, mentionnée dans un acte de vente entre les seigneurs de Chanac et l'abbé de Tulle en 1256. Après plusieurs assauts, puis des remaniements au XIVe et au XVe siècles, elle cesse d'être entretenue, avant d'être détruite par arrêté municipal en 1958. Cette gravure fut initialement publiée "Le vieux Tulle" de René Fage cote : MAG.P LIM 34062 (Bfm Limoges)
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La porte Chanac (vue extra muros), Tulle Gravure extraite de " En Limousin" recueil de divers dessins de monuments limousins et préface de René Fage. La porte Chanac était située à l'entrée de la même rue qui porte son nom. C'était une porte fortifiée. Les deux maisons qui la soutenaient étaient elles-même fortifiées. Cette porte devait dater du XIIIe siècle, mentionnée dans un acte de vente entre les seigneurs de Chanac et l'abbé de Tulle en 1256. Après plusieurs assauts, puis des remaniements au XIVe et au XVe siècles, elle cesse d'être entretenue, avant d'être détruite par arrêté municipal en 1958. Cette gravure fut initialement publiée "Le vieux Tulle" de René Fage cote : MAG.P LIM 34062 (Bfm Limoges)
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Le château de Sédières, Corrèze Gravure extraite de " En Limousin" recueil de divers dessins de monuments limousins et préface de René Fage. Manoir fortifié construit au XVe siècle, il devient au XVIe siècle une demeure de plaisance remaniée de style Renaissance italienne par Dominique de Sédières de retour des campagnes d'Italie. Au XVIIe siècle le château se dote de jardins à la française grâce à la famille Lantillac, nouveaux héritiers des lieux. Abandonné puis pillé à la Révolution, le château est restauré en 1861 suivant les plans de Viollet-le-Duc. Cette gravure fut initialement publiée dans le Bulletin de la société archéologique de Brive cote : MAG.P LIM 34062 (Bfm Limoges)
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Le château de Puy-de-Val, Corrèze Gravure extraite de " En Limousin" recueil de divers dessins de monuments limousins et préface de René Fage. Situé à une dizaine de kilomètres de Tulle, dans la commune d'Espargnac, le château de Puy-de-Val forme un beau quadrilatère autour d'une cour hérissée de tours. Construit au XVe siècle, remanié au XVI puis XVIIIe siècle, il connut de prestigieux possesseurs parmi les plus illustres familles limousines : Guy Puy-de-Val époux d'Helies la Jugie, Françoise de Noailles, etc. Le château est inscrit à l'Inventaire supplémentaire des monuments historiques depuis 1927. Cette gravure fut initialement publiée dans "Le château de Puy-de-Val, description et histoire" (1883) de René Fage. cote : MAG.P LIM 34062 (Bfm Limoges)
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la Tour César, Turenne, Corrèze Gravure extraite de " En Limousin, recueil de divers dessins de monuments limousins et préface de René Fage". La « Tour de César » est un donjon circulaire de 20 m de haut, datant du XIIIe siècle qui domine le village est un des vestiges de l'ancienne forteresse de Turenne importante seigneurie qui s'étendait sur une superficie de plus de 600 000 ha au XIVe siècle. Cette gravure fut initialement publiée dans le Bulletin de la société archéologique de Brive cote : MAG.P LIM 34062 (Bfm Limoges)
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Ruines du château de Saint-Chamant, Corrèze. Gravure extraite de " En Limousin, recueil de divers dessins de monuments limousins et préface de René Fage". Les premières mentions du château apparaissent au 13ème siècle. Il n'en subsiste, aujourd'hui, qu'une massive tour résidentielle, de plan circulaire, arasée au début du 17ème siècle. Cette construction est conservée sur deux niveaux d'élévation : une salle basse et un étage voûté d'ogives; ces vestiges sont inscrits à l'Inventaire au titre des monuments historiques depuis 2014. Cette gravure fut initialement publiée dans "Notes et documents pour servir à l'histoire de la Maison de Saint-Chamans" d'Eusèbe Bombal. cote : MAG.P LIM 34062 (Bfm Limoges)