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XXe siècle
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Inondation de la Souvigne à Saint Chamant (Corrèze). Maurice Fournier est, pendant 25 ans, le correspondant régulier du quotidien "la Dépêche du Midi" pour la ville d'Argentat. Il publie à ce titre de nombreuses chroniques et rubriques d’actualité. Ce cliché est extrait d'un article de presse publié dans ce journal. cote : 2 S 11-13 (Archives municipales d’Argentat-sur-Dordogne)
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La Foire d'Argentat, 5 Place Joseph Faure, Argentat. Maurice Fournier est, pendant 25 ans, le correspondant régulier du quotidien "la Dépêche du Midi" pour la ville d'Argentat. Il publie à ce titre de nombreuses chroniques et rubriques d’actualité. Ce cliché est extrait d'un article de presse publié dans ce journal. cote : 2 S 11-13 (Archives municipales d’Argentat-sur-Dordogne)
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la Foire d'Argentat, 4 Place Joseph Faure, Argentat. Maurice Fournier est, pendant 25 ans, le correspondant régulier du quotidien "la Dépêche du Midi" pour la ville d'Argentat. Il publie à ce titre de nombreuses chroniques et rubriques d’actualité. Ce cliché est extrait d'un article de presse publié dans ce journal. cote : 2 S 11-13 (Archives municipales d’Argentat-sur-Dordogne)
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La Foire d'Argentat, 3 Place Joseph Faure, Argentat. Maurice Fournier est, pendant 25 ans, le correspondant régulier du quotidien "la Dépêche du Midi" pour la ville d'Argentat. Il publie à ce titre de nombreuses chroniques et rubriques d’actualité. Ce cliché est extrait d'un article de presse publié dans ce journal. cote : 2 S 11-13 (Archives municipales d’Argentat-sur-Dordogne)
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La Foire d'Argentat, 2 Place Joseph Faure, Argentat. Maurice Fournier est, pendant 25 ans, le correspondant régulier du quotidien "la Dépêche du Midi" pour la ville d'Argentat. Il publie à ce titre de nombreuses chroniques et rubriques d’actualité. Ce cliché est extrait d'un article de presse publié dans ce journal. cote : 2 S 11-13 (Archives municipales d’Argentat-sur-Dordogne)
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La Foire d'Argentat, 1 Place Joseph Faure, Argentat. Maurice Fournier est, pendant 25 ans, le correspondant régulier du quotidien "la Dépêche du Midi" pour la ville d'Argentat. Il publie à ce titre de nombreuses chroniques et rubriques d’actualité. Ce cliché est extrait d'un article de presse publié dans ce journal. cote : 2 S 11-13 (Archives municipales d’Argentat-sur-Dordogne)
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Le peintre Henri Cueco Maurice Fournier est, pendant 25 ans, le correspondant régulier du quotidien "la Dépêche du Midi" pour la ville d'Argentat. Il publie à ce titre de nombreuses chroniques et rubriques d’actualité. Ce cliché est extrait d'un article de presse publié dans ce journal. cote : 2 S 11-13 (Archives municipales d’Argentat-sur-Dordogne)
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Embouteillage dans le centre-ville Argentat, avenue Henri IV. Maurice Fournier est, pendant 25 ans, le correspondant régulier du quotidien "la Dépêche du Midi" pour la ville d'Argentat. Il publie à ce titre de nombreuses chroniques et rubriques d’actualité. Ce cliché est extrait d'un article de presse publié dans ce journal. cote : 2 S 11-13 (Archives municipales d’Argentat-sur-Dordogne)
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Chantier de la piscine municipale d'Argentat-sur-Dordogne, 2 Maurice Fournier est, pendant 25 ans, le correspondant régulier du quotidien "la Dépêche du Midi" pour la ville d'Argentat. Il publie à ce titre de nombreuses chroniques et rubriques d’actualité. Ce cliché est extrait d'un article de presse publié dans ce journal. cote : 2 S 11-13 (Archives municipales d’Argentat-sur-Dordogne)
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Chantier de la piscine municipale d'Argentat-sur-Dordogne, 1 Maurice Fournier est, pendant 25 ans, le correspondant régulier du quotidien "la Dépêche du Midi" pour la ville d'Argentat. Il publie à ce titre de nombreuses chroniques et rubriques d’actualité. Ce cliché est extrait d'un article de presse publié dans ce journal. cote : 2 S 11-13 (Archives municipales d’Argentat-sur-Dordogne)
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Travail sur les cables Argentat, avenue Henri IV, Maurice Fournier est, pendant 25 ans, le correspondant régulier du quotidien "la Dépêche du Midi" pour la ville d'Argentat. Il publie à ce titre de nombreuses chroniques et rubriques d’actualité. Ce cliché est extrait d'un article de presse publié dans ce journal. cote : 2 S 11-13 (Archives municipales d’Argentat-sur-Dordogne)
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Scène agricole Dans les environs d'Argentat (Corrèze) Maurice Fournier est, pendant 25 ans, le correspondant régulier du quotidien "la Dépêche du Midi" pour la ville d'Argentat. Il publie à ce titre de nombreuses chroniques et rubriques d’actualité. Ce cliché est extrait d'un article de presse publié dans ce journal. cote : 2 S 11-13 (Archives municipales d’Argentat-sur-Dordogne)
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Contes à la lune Ce recueil de poèmes en prose est le seul ouvrage (paru à compte d'auteur) de J.A Léonetou . Ecrivain et enseignant, né à Eyjeaux en Haute-Vienne, collaborateur régulier de "Limoges Illustré" et de "La Brise", le jeune homme décède aux premiers jours de la Guerre. Tiré à seulement 90 exemplaires, ce recueil n'en n'a pas moins marqué à l'époque : " J-A; Léonetou envoya la plus grosse part à des amis n'ayant aucune attache dans la presse. On le décida à adresser quelques exemplaires à des Revues. La critique fut unanime dans l'éloge. J-A Léonetou n'eut pas davantage d'emballement que lorsque Jules Renard [...] lui écrivit un billet flatteur. " A.Hennequin , Anthologie des écrivains morts à la guerre : 1914-1918, publié par l'Association des écrivains combattants, Tome 3 p423-427. cote : MAG.P LIM 45127 (Bfm Limoges)
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Banque de l'Amour : bon pour cinquante coups francs payables au porteur S'agit-il d'un billet du "Père 100" (célébrant les 100 derniers jours des conscrits) ou bien d'un de bordel, Il a été trouvé dans un grenier d'une maison de Haute-Vienne. Il est en tout cas bien illustré, signé du trésorier A. Lonzo Bordel et du secrétaire Jean Kultou. Collection particulière.
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Exposition : peinture, émail, sculpture : catalogue 1923 Catalogue d'exposition, salle des conférences, Limoges (place de la République), du 10 mai au 3 juin 1923. Liste des exposants avec indications biographiques et oeuvres exposées. Parmi les artistes invités à concourir cette année là figuraient : Utrillo, Picasso, Modigliani, Signac, Valloton, Valadon, Dufy, Pompon, .... cote : MAG.P LIM F4328/75 (Bfm Limoges)
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L'Ange Mort L'Ange Mort fait partie des sept textes qui constituent Le testament de l'eau douce, éd. Fédérop, 2001. Selon les propres mots de l’auteur – ce recueil est « composé comme une symphonie en sept textes qui seraient sept mouvements, avec les résonances, les reprises et les correspondances, les accords et les dissonances, les mélodies et le grand mouvement d’orchestre par-dessus les soli qu’on peut observer dans ce genre-là ». Née en 1925, dans un hameau limousin de quatre fermes à Germont, commune de Chambaret (Corrèze) , Marcelle Delpastre passe de l'école communale au collège de Brive. Après un bac philo-lettres, elle s'oriente vers les Arts décoratifs à Limoges, puis retourne définitivement à la terre dans la ferme familiale en 1945. Dans les années 1970 Marcelle Delpastre fait deux rencontres importantes, celles de Michel Chadeuil et de Jan dau Melhau, deux jeunes auteurs en langue limousine. Elle participe régulièrement à leur revue Lo Leberaubre. Poète , conteuse, romancière et ethnologue, Marcelle Delpastre est aujourd'hui reconnue comme l'un des dix plus grands écrivains occitans du XXe siècle. De la maison familiale de Germont, dans le Limousin, où elle vivait et travaillait la terre, Marcelle Delpastre a écrit des milliers de pages. Perçue comme une paysanne par le monde littéraire, et comme une étrange femme qui écrivait par les ruraux, Marcelle Delpastre est restée méconnue pour sa poésie. Son œuvre poétique est immense : ballades, psaumes, prose poétique, poèmes dramatiques... Elle écrit en occitan, la langue de sa mère, et en français, langue de son père.. Isolée par choix dans la ferme où elle trouvait le calme pour écrire, elle vécut seule avec ses parents, ne se mariant pas (quelques jours avant de mourir, elle disait encore : « Qu'est-ce qui devait compter ? Vivre ou écrire ? »). Elle écrit l'arbre, la terre, le mystère de la création, l'amour, la déploration du monde, l'âme meurtrie, la solitude et la souffrance. Ses poèmes souvent tristes et durs célèbrent aussi la vie sensuelle et crue. La Bibliothèque francophone multimedia de Limoges conserve l'ensemble de ses manuscrits publiés donnés par Jan dau Melhau, son ayant-droit.
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Proverbes limousins et dessins 3 Marcelle Delpastre remplissait très densément ses feuilles et ses cahiers, par habitude de ne pas gaspiller le papier. En témoignent ces dos cartonnés de blocs papier sur lesquels elle notait des proverbes recueillis de-ci de-là et s'amusait à esquisser quelques dessins. Née en 1925, dans un hameau limousin de quatre fermes à Germont, commune de Chambaret (Corrèze) , Marcelle Delpastre passe de l'école communale au collège de Brive. Après un bac philo-lettres, elle s'oriente vers les Arts décoratifs à Limoges, puis retourne définitivement à la terre dans la ferme familiale en 1945. Dans les années 1970 Marcelle Delpastre fait deux rencontres importantes, celles de Michel Chadeuil et de Jan dau Melhau, deux jeunes auteurs en langue limousine. Elle participe régulièrement à leur revue Lo Leberaubre. Poète , conteuse, romancière et ethnologue, Marcelle Delpastre est aujourd'hui reconnue comme l'un des dix plus grands écrivains occitans du XXe siècle. De la maison familiale de Germont, dans le Limousin, où elle vivait et travaillait la terre, Marcelle Delpastre a écrit des milliers de pages. Perçue comme une paysanne par le monde littéraire, et comme une étrange femme qui écrivait par les ruraux, Marcelle Delpastre est restée méconnue pour sa poésie. Son œuvre poétique est immense : ballades, psaumes, prose poétique, poèmes dramatiques... Elle écrit en occitan, la langue de sa mère, et en français, langue de son père.. Isolée par choix dans la ferme où elle trouvait le calme pour écrire, elle vécut seule avec ses parents, ne se mariant pas (quelques jours avant de mourir, elle disait encore : « Qu'est-ce qui devait compter ? Vivre ou écrire ? »). Elle écrit l'arbre, la terre, le mystère de la création, l'amour, la déploration du monde, l'âme meurtrie, la solitude et la souffrance. Ses poèmes souvent tristes et durs célèbrent aussi la vie sensuelle et crue. La Bibliothèque francophone multimedia de Limoges conserve l'ensemble de ses manuscrits publiés donnés par Jan dau Melhau, son ayant-droit.
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Proverbes limousins et dessins 2 Marcelle Delpastre remplissait très densément ses feuilles et ses cahiers, par habitude de ne pas gaspiller le papier. En témoignent ces dos cartonnés de blocs papier sur lesquels elle notait des proverbes recueillis de-ci de-là et s'amusait à esquisser quelques dessins. Née en 1925, dans un hameau limousin de quatre fermes à Germont, commune de Chambaret (Corrèze) , Marcelle Delpastre passe de l'école communale au collège de Brive. Après un bac philo-lettres, elle s'oriente vers les Arts décoratifs à Limoges, puis retourne définitivement à la terre dans la ferme familiale en 1945. Dans les années 1970 Marcelle Delpastre fait deux rencontres importantes, celles de Michel Chadeuil et de Jan dau Melhau, deux jeunes auteurs en langue limousine. Elle participe régulièrement à leur revue Lo Leberaubre. Poète , conteuse, romancière et ethnologue, Marcelle Delpastre est aujourd'hui reconnue comme l'un des dix plus grands écrivains occitans du XXe siècle. De la maison familiale de Germont, dans le Limousin, où elle vivait et travaillait la terre, Marcelle Delpastre a écrit des milliers de pages. Perçue comme une paysanne par le monde littéraire, et comme une étrange femme qui écrivait par les ruraux, Marcelle Delpastre est restée méconnue pour sa poésie. Son œuvre poétique est immense : ballades, psaumes, prose poétique, poèmes dramatiques... Elle écrit en occitan, la langue de sa mère, et en français, langue de son père.. Isolée par choix dans la ferme où elle trouvait le calme pour écrire, elle vécut seule avec ses parents, ne se mariant pas (quelques jours avant de mourir, elle disait encore : « Qu'est-ce qui devait compter ? Vivre ou écrire ? »). Elle écrit l'arbre, la terre, le mystère de la création, l'amour, la déploration du monde, l'âme meurtrie, la solitude et la souffrance. Ses poèmes souvent tristes et durs célèbrent aussi la vie sensuelle et crue. La Bibliothèque francophone multimedia de Limoges conserve l'ensemble de ses manuscrits publiés donnés par Jan dau Melhau, son ayant-droit.
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Proverbes limousins et dessins 1 Marcelle Delpastre remplissait très densément ses feuilles et ses cahiers, par habitude de ne pas gaspiller le papier. En témoignent ces dos cartonnés de blocs papier sur lesquels elle notait des proverbes recueillis de-ci de-là et s'amusait à esquisser quelques dessins. Née en 1925, dans un hameau limousin de quatre fermes à Germont, commune de Chambaret (Corrèze) , Marcelle Delpastre passe de l'école communale au collège de Brive. Après un bac philo-lettres, elle s'oriente vers les Arts décoratifs à Limoges, puis retourne définitivement à la terre dans la ferme familiale en 1945. Dans les années 1970 Marcelle Delpastre fait deux rencontres importantes, celles de Michel Chadeuil et de Jan dau Melhau, deux jeunes auteurs en langue limousine. Elle participe régulièrement à leur revue Lo Leberaubre. Poète , conteuse, romancière et ethnologue, Marcelle Delpastre est aujourd'hui reconnue comme l'un des dix plus grands écrivains occitans du XXe siècle. De la maison familiale de Germont, dans le Limousin, où elle vivait et travaillait la terre, Marcelle Delpastre a écrit des milliers de pages. Perçue comme une paysanne par le monde littéraire, et comme une étrange femme qui écrivait par les ruraux, Marcelle Delpastre est restée méconnue pour sa poésie. Son œuvre poétique est immense : ballades, psaumes, prose poétique, poèmes dramatiques... Elle écrit en occitan, la langue de sa mère, et en français, langue de son père.. Isolée par choix dans la ferme où elle trouvait le calme pour écrire, elle vécut seule avec ses parents, ne se mariant pas (quelques jours avant de mourir, elle disait encore : « Qu'est-ce qui devait compter ? Vivre ou écrire ? »). Elle écrit l'arbre, la terre, le mystère de la création, l'amour, la déploration du monde, l'âme meurtrie, la solitude et la souffrance. Ses poèmes souvent tristes et durs célèbrent aussi la vie sensuelle et crue. La Bibliothèque francophone multimedia de Limoges conserve l'ensemble de ses manuscrits publiés donnés par Jan dau Melhau, son ayant-droit.
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Bâtir Limoges Les espoirs enthousiastes d'un élu municipal au lendemain de la Deuxième Guerre Mondiale : "nous avons voulu simplement rassembler quelques idées dont beaucoup ne sont pas neuves sur les problèmes principaux qui seront à résoudre par les prochaines municipalités de Limoges". Le texte est dédié à Jean Lurçat et Henri Laurens. Il se clôt sur "Ce que devrait être Limoges en 1965". cote : MAG.P LIM B2573/16 (Bfm Limoges)