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Vienne
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Saint-Priest-Taurion, vue générale - Fonds Boudeau (B20-n°525) Un point de vue vers le bourg de Saint-Priest-Taurion que Jean-Baptiste Boudeau affectionnait particulièrement, depuis l'entrée du pont sur la Vienne, rive gauche.
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Cartonnerie des Roches à Saint-Priest-Taurion, vue générale - Fonds Boudeau (B17-n°487) La cartonnerie des Roches appartenait à la société Hétier, basée dans le Jura. Profitant de l'énergie de la Vienne, elle produisait de la pâte à papier, du papier et du carton. Elle ferma ses portes en 1978 et fut transformée en une usine hydroélectrique qui fournit aujourd'hui une bonne part de son électricité à la commune.
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Cartonnerie des Roches à Saint-Priest-Taurion, vue depuis la route - Fonds Boudeau (B17-n°486) La cartonnerie des Roches appartenait à la société Hétier, basée dans le Jura. Profitant de l'énergie de la Vienne, elle produisait de la pâte à papier, du papier et du carton. Elle ferma ses portes en 1978 et fut transformée en une usine hydroélectrique qui fournit aujourd'hui une bonne part de son électricité à la commune.
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Chemin de fer et moulins Caillaud et Chilloux à Saint-Priest-Taurion - Fonds Boudeau (B17-n°485) Le photographe domine le chemin de fer qui longe la Vienne à Saint-Priest-Taurion, rive droite. Le moulin sous la voie ferrée est celui du meunier Caillaud, dit moulin de la Roche. Le moulin de la rive gauche, en face, est celui du meunier Chilloux, dit moulin de Cintrat. Ce dernier se trouve en réalité à Saint-Just-le-Martel puisque la rivière délimite les deux communes.
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Le flottage du bois à Saint-Priest-Taurion - Fonds Boudeau (B16-n°461) Descendu des monts d'Ambazac ou de la Montagne limousine, le bois arrivait à Saint-Priest-Taurion, à la confluence de la Vienne et du Taurion, où il était arrêté et réorganisé une première fois. Il pouvait alors continuer sa course au fil de l'eau jusqu'à Limoges où, arrivé au port du Naveix, il était stocké et vendu pour la construction ou comme bois de chauffage, mais surtout pour alimenter les nombreux fours à porcelaine de la ville. Cette photographie, bien que sa qualité soit altérée, nous montre l'importance de cette activité et le personnel nombreux qu'elle employait.
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Panorama des trois ponts Inauguré en 1885, le pont National a depuis été rebaptisé pont de la Révolution. Les maisons que l’on voit au premier plan ont été détruites pour laisser place à l’actuelle rue de Babylone et à la promenade en bords de Vienne. cote : CPLim0278 (Bfm Limoges)
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Le viaduc. Le viaduc ferroviaire de Limoges a été inauguré en 1891. On voit la barque du passeur qui faisait traverser la Vienne entre la nouvelle route d'Aixe (avenue Baudin) et la route de Condat rive gauche. cote : CPLim0274 (Bfm Limoges)
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Vue panoramique. - Pont St-Martial Vue vers la rive gauche. Les maisons du hameau du Bœuf gras (place sans nom devenue place Paul Parbelle en 1993) ont été remplacées ou transformées. Sur les collines ont poussé les immeubles de la rue du Champfour et de la rue Dalloz. On remarque à gauche un bateau-lavoir. cote : CPLim0266 (Bfm Limoges)
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Le Naveix vu depuis la rive gauche Le Naveix (probablement du latin navigium : bateau, navigation), est celui des quartiers des Ponts dont il ne reste absolument rien. Jugé trop insalubre, il fut entièrement rasé dans les années 1970. La base nautique, les terrains de pétanque, le boulevard, la maison de retraite et la patinoire l’ont remplacé. En bas à droite les blanchisseuses s’affairent. On distingue le ramier, solide installation qui arrêtait le bois flottant en provenance des monts d’Ambazac ou de la région d’Eymoutiers. cote : 9FI502/10 (Bfm Limoges)
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Rive gauche Le même jour, durant l'année 1909, à quelques minutes d'intervalle, Jean-Baptiste Boudeau stoppe sa carriole couverte et sa jument, en les immobilisant au milieu du pont de Brignac sur la commune de Royères. Il prend une première photo de la rive droite de la Vienne, en amont de la rivière, qui permet d'apercevoir par l'arche du pont les papeteries de Brignac. La deuxième, prise depuis l'autre rive et d'un peu plus loin en amont, joue sur le reflet du pont, des arches, de l'attelage et même des nuages dans les eaux calmes de la Vienne. La profondeur du ciel, sa beauté sont données ici principalement par le reflet. On devine au passage, le balai fiché à gauche de l'attelage, qui était l'une des marques de reconnaissance de Jean-Baptiste Boudeau. Boîte 15 (Bfm Limoges)
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Rive droite Le même jour, durant l'année 1909, à quelques minutes d'intervalle, Jean-Baptiste Boudeau stoppe sa carriole couverte et sa jument, en les immobilisant au milieu du pont de Brignac sur la commune de Royères. Il prend une première photo de la rive droite de la Vienne, en amont de la rivière, qui permet d'apercevoir par l'arche du pont les papeteries de Brignac. La deuxième, prise depuis l'autre rive et d'un peu plus loin en amont, joue sur le reflet du pont, des arches, de l'attelage et même des nuages dans les eaux calmes de la Vienne. La profondeur du ciel, sa beauté sont données ici principalement par le reflet. On devine au passage, le balai fiché à gauche de l'attelage, qui était l'une des marques de reconnaissance de Jean-Baptiste Boudeau. Boîte 15 (Bfm Limoges)
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Limoges, le Naveix Le port du Naveix et son ramier destiné à arrêter le bois en flottage. A droite, le village de Soudanas. Jean-Baptiste Audiguet (1811-1897) est un des pionniers de la photographie professionnelle à Limoges. Né à Bellac dans un milieu modeste, il se lance dans la photographie à la fin des années 1850 et devient le grand portraitiste de la société limougeaude du Second Empire et de la Troisième République. C'est aussi le premier photographe connu à proposer des vues de la ville et de ses alentours, avec une parfaite maîtrise de la composition et une sensibilité esthétique surprenante. cote : MAG.P LIM 9 Fi 502/11 (Bfm Limoges)
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Mon vieux Limoges partition pour chant et piano. cote : MAG.P LIM PAR.05 (Bfm Limoges)
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Vue sur la Vienne et sur l'Abbessaille Vue vers le quartier de l’Abbessaille et le pont Saint-Étienne. Les bateliers "ponticauds", appelés "naveteaux" (probablement du latin navigium : bateau, navigation) exerçaient différents métiers à l’aide de leur traditionnelle barque à fond plat : ils draguaient le sable de la rivière et réceptionnaient le bois flottant pour fournir les fabriques de porcelaine, ils transportaient des marchandises, ils pêchaient la friture au filet (on les surnommait alors les "ravageurs"), ils servaient de passeurs entre les deux rives… Quant au quartier de l'Abbessaille, que l'on voit ici, il n'en reste que quelques petites rues de la partie haute. Toutes les maisons proches de la rivière ont été rasées au début du 20e siècle et remplacées par le boulevard (actuel quai Louis-Goujaud). cote : 9FI502/4 (Bfm limoges)
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En sortant du pont Saint-Étienne Vue depuis le pont Saint-Étienne. Trois "Ponticauds" posent à l'entrée de leur quartier, l'Abbessaille. Derrière eux monte la rue du Pont Saint-Étienne, l'une des dernières rues conservées de ce quartier historique, presque entièrement rasé pour cause d'insalubrité au début du 20e siècle. Ces trois hommes, qui semblent nous barrer la route, pourraient illustrer le célèbre dicton : « Tu séï daus Pounts ? Passo ! Tu n’en séï pas ? Dïn l’aïgo ! » ("Tu es des Ponts, tu passes ; tu n'en es pas, tu ne passes pas !") cote : 9FI502/7 (Bfm limoges)
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Au Pont Saint-Etienne, en remontant la Vienne rive droite Le Pont Saint-Etienne sous un autre angle de vue, et toujours en présence des laveuses. Jean-Baptiste Audiguet (1811-1897) est un des pionniers de la photographie professionnelle à Limoges. Né à Bellac dans un milieu modeste, il se lance dans la photographie à la fin des années 1850 et devient le grand portraitiste de la société limougeaude du Second Empire et de la Troisième République. C'est aussi le premier photographe connu à proposer des vues de la ville et de ses alentours, avec une parfaite maîtrise de la composition et une sensibilité esthétique surprenante. Avec Audiguet, Limoges devient paysage photographique. cote : 9FI502/1 (Bfm limoges)
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Le Pont Saint-Étienne et l'ancienne route de Lyon La vue est prise depuis les actuels jardins de l’Evêché. La route de Lyon est devenue l’avenue du Sablard. La maison qui fait l’angle à droite a, depuis, dévoilé ses jolis colombages et c'est actuellement un restaurant bien connu des Limougeauds. Le grand bâtiment à gauche, le long de la Vienne, était celui de la blanchisserie Deschamps. Il a été remplacé par un immeuble résidentiel. On peut remarquer les draps (qui doivent plutôt être ceux lavés par les lavandières que l'on devine affairées en bas à droite) étendus sur le pont. Tout à gauche de la photographie, on devine le "ramier" qui servait à arrêter le bois amené par flottage pour fournir, entre autres, les fours à porcelaine. cote : 9FI502/2 (Bfm limoges)
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Limoges vue depuis la rive gauche La photographie semble être prise depuis une hauteur, peut-être l’entrée du viaduc. cote : 9FI473 (Bfm Limoges)
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Le pont Saint-Étienne, la cathédrale et le quartier de l'Abbessaille L’Abbessaille fut en grande partie rasée pour raisons hygiénistes dès les années 1900. Elle est aujourd’hui remplacée par le boulevard (actuel Quai Louis Goujaud) et la promenade piétonne en bords de Vienne. Il n’en demeure que quelques rues de la partie haute (rue du Pont Saint-Étienne, rue des Laveuses, rue des Roches, rue du Rajat…) cote : 9Fi470 (Bfm Limoges)
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Au ras du Pont Neuf, en descendant la rive droite de la Vienne Deux bateliers sont debout sur leur barque à fond plat. Les bateliers de Limoges étaient passeurs, pêcheurs ou navetaux. Ils recueillaient alors le bois pris dans le ramier traversant la Vienne pour l'emmener au port du Naveix (cette activité cessa en 1885). A droite, sur la rive, des lavandières au travail sont agenouillées sur leur "bachou". Jean-Baptiste Audiguet (1811-1897) est un des pionniers de la photographie professionnelle à Limoges. Né à Bellac dans un milieu modeste, il se lance dans la photographie à la fin des années 1850 et devient le grand portraitiste de la société limougeaude du Second Empire et de la Troisième République. C'est aussi le premier photographe connu à proposer des vues de la ville et de ses alentours, avec une parfaite maîtrise de la composition et une sensibilité esthétique surprenante. Avec Audiguet, Limoges devient paysage photographique. cote : 9FI502/9 (Bfm limoges)