Contenus
Taguer
Saint-Martin-Terressus
-
Vue générale de la papeterie du Maureix, Saint-Martin-Terressus - Fonds Boudeau (B24-n°599) Vue de la la papeterie du Petit Maureix, sur la commune de Saint-Martin-Terressus. Cette usine des bords du Taurion était spécialisée dans la fabrication de papier-paille. Elle appartenait à la Société générale des Papeteries du Limousin qui, depuis 1898, regroupait d'anciennes papeteries indépendantes de Haute-Vienne, de Charente limousine et de Corrèze. Bien que n'étant pas le centre de production le plus important du groupement, l'usine du Maureix employait tout de même plus de 40 ouvriers. Le site a été converti en centrale hydroélectrique en 1930, après la construction à cet endroit du barrage de Saint-Marc.
-
Ancien couvent à Saint-Martin-Terressus - Fonds Boudeau (B23-n°582) C'est en 1891 que deux religieuses de la Congrégation du Sauveur et de la Sainte Vierge s'établissent dans ce bâtiment dit "la maison blanche" pour y tenir une école et y dispenser des soins. L'école fermera ses portes en 1903, sous la présidence du Conseil d’Émile Combes et son action contre les écoles congréganistes. Les deux sœurs s'en iront. Le bâtiment est ensuite racheté par une association catholique locale qui y organise des colonies de vacances pour jeunes filles jusqu'en 1939. Durant la Seconde Guerre mondiale, la maison sert d'hospice pour des réfugiés alsaciens. C'est ensuite le Patronage Saint-Joseph de Poitiers qui y organisera, dès 1957, une grande colonie de vacances pour garçons. Ouverte à la mixité depuis 1980, la colonie "La Danae" aura reçu des milliers de jeunes colons, jusqu'à sa fermeture en 2008. Le bâtiment a évidemment été modifié et agrandi au cours des décennies.
-
La papeterie du Maureix, Saint-Martin-Terressus - Fonds Boudeau (B23-n°580) Vue de la la papeterie du Petit Maureix, sur la commune de Saint-Martin-Terressus. Cette usine des bords du Taurion était spécialisée dans la fabrication de papier-paille. Elle appartenait à la Société générale des Papeteries du Limousin qui, depuis 1898, regroupait d'anciennes papeteries indépendantes de Haute-Vienne, de Charente limousine et de Corrèze. Bien que n'étant pas le centre de production le plus important du groupement, l'usine du Maureix employait tout de même plus de 40 ouvriers.
-
Groupe de l'école de La Maligne à Saint-Martin-Terressus - Fonds Boudeau (B23-n°570) La Maligne (autrefois parfois appelé "Manigne") était vers 1900 l'un des villages les plus importants de la commune en nombre d'habitants. Pour éviter aux nombreux enfants de ce village et des villages voisins (Le Bouquet, La Gasnerie...) de parcourir matin et soir une distance de plusieurs kilomètres pour se rendre à l'école du bourg, une école mixte est créée à La Maligne en 1909. C'est donc le premier groupe d'enfants scolarisés à La Maligne que nous voyons sur ce cliché pris l'année de la création. Leur jeune institutrice d'à peine vingt ans, que l'on voit ici, est originaire de Saint-Just-le-Martel et s'appelle Mademoiselle Faucher (Marie-Madeleine). Elle se mariera en janvier 1913 et deviendra Madame Denaud . Elle enseignera à de nombreuses générations d'enfants de La Maligne et des alentours, pendant environ trente ans. L'école de La Maligne fermera ses portes en 1970.
-
L'étang du pont à Saint-Martin-Terressus - Fonds Boudeau (B22-n°568) Cette retenue d'eau servait au Moulin du Pont, sur la route d'Ambazac, non loin du bourg de Saint-Martin-Terressus.
-
Le pont sur le Taurion à Saint-Martin-Terressus - Fonds Boudeau (B22-n°567) Ce pont en pierre qui traversait le Taurion datait de 1859. Détruit par la Résistance pendant la Seconde Guerre mondiale, il a été remplacé par un pont en béton "moderne".
-
Incendie à l'usine du Maureix, Saint-Martin-Terressus - Fonds Boudeau (B21-n°545) Jean-Baptiste Boudeau se fait ici reporter, puisqu'il part photographier les dégâts occasionnés par un incendie à la papeterie du Petit Maureix, sur la commune de Saint-Martin-Terressus. Cette usine des bords du Taurion était spécialisée dans la fabrication de papier-paille. Elle appartenait à la Société générale des Papeteries du Limousin qui, depuis 1898, regroupait d'anciennes papeteries indépendantes de Haute-Vienne, de Charente limousine et de Corrèze. Bien que n'étant pas le centre de production le plus important du groupement, l'usine du Maureix employait tout de même plus de 40 ouvriers.
-
Incendie à l'usine du Maureix, Saint-Martin-Terressus - Fonds Boudeau (B21-n°544) Jean-Baptiste Boudeau se fait ici reporter, puisqu'il part photographier les dégâts occasionnés par un incendie à la papeterie du Petit Maureix, sur la commune de Saint-Martin-Terressus. Cette usine des bords du Taurion était spécialisée dans la fabrication de papier-paille. Elle appartenait à la Société générale des Papeteries du Limousin qui, depuis 1898, regroupait d'anciennes papeteries indépendantes de Haute-Vienne, de Charente limousine et de Corrèze. Bien que n'étant pas le centre de production le plus important du groupement, l'usine du Maureix employait tout de même plus de 40 ouvriers.
-
Incendie à l'usine du Maureix, Saint-Martin-Terressus - Fonds Boudeau (B21-n°543) Jean-Baptiste Boudeau se fait ici reporter, puisqu'il part photographier les dégâts occasionnés par un incendie à la papeterie du Petit Maureix, sur la commune de Saint-Martin-Terressus. Cette usine des bords du Taurion était spécialisée dans la fabrication de papier-paille. Elle appartenait à la Société générale des Papeteries du Limousin qui, depuis 1898, regroupait d'anciennes papeteries indépendantes de Haute-Vienne, de Charente limousine et de Corrèze. Bien que n'étant pas le centre de production le plus important du groupement, l'usine du Maureix employait tout de même plus de 40 ouvriers.
-
Incendie à l'usine du Maureix, Saint-Martin-Terressus - Fonds Boudeau (B21-n°542) Jean-Baptiste Boudeau se fait ici reporter, puisqu'il part photographier les dégâts occasionnés par un incendie à la papeterie du Petit Maureix, sur la commune de Saint-Martin-Terressus. Cette usine des bords du Taurion était spécialisée dans la fabrication de papier-paille. Elle appartenait à la Société générale des Papeteries du Limousin qui, depuis 1898, regroupait d'anciennes papeteries indépendantes de Haute-Vienne, de Charente limousine et de Corrèze. Bien que n'étant pas le centre de production le plus important du groupement, l'usine du Maureix employait tout de même plus de 40 ouvriers.
-
Le Moulin du Pont à Saint-Martin-Terressus - Fonds Boudeau (B19-n°510) Non loin du bourg de Saint-Martin-Terressus, sur la route d'Ambazac, le Moulin du Pont est établi au bord d'un ruisseau et alimenté par un étang, tout près du Taurion. A l'époque de cette prise de vue , il est tenu par la famille Picaud qui y produit de la farine.
-
Château de Plantadis à Saint-Martin-Terressus - Fonds Boudeau (B18-n°500) Le château de Plantadis date du milieu du 19e siècle. Laissé à l'abandon durant plusieurs décennies à la fin du 20e siècle, il est racheté par un particulier dans les années 2010 pour être rénové et transformé en un grand lieu de réception.
-
Château des Rieux à Saint-Martin-Terressus, vue générale - Fonds Boudeau (B17-n°480) Bien que la plaque photographique soit abîmée, cette prise de vue nous montre bien le bel ensemble que constitue le château des Rieux, avec la partie ancienne datant probablement du 17e siècle et la partie plus récente qui lui fut adjointe au 19e siècle (le pavillon de style néo-gothique). On remarque également la carriole du photographe et son joli cheval blanc.
-
Château des Rieux à Saint-Martin-Terressus - Fonds Boudeau (B16-n°471) Ce château date vraisemblablement de la seconde moitié du 17e siècle mais il fut transformé et agrandi au 19e siècle. C'est la partie nouvelle, le pavillon de style néo-gothique, que nous montre cette photographie.
-
Homme et enfant à La Texonnière, Saint-Martin-Terressus - Fonds Boudeau (B16-n°463/464) Deux portraits comme J.-B. Boudeau en réalisa des centaines. L'enfant s'appelle Jean Leblanc, l'adulte s'appelle René Parot. Nous remarquons évidemment que l'enfant porte un brassard noir au bras gauche, marque traditionnelle du deuil. L'enfant a-t-il perdu sa mère, un frère ou une sœur, un camarade de classe ? Nous ne le savons pas, mais ces deux portraits sont joliment réalisés, devant des rochers de granit du Limousin, un décor que Jean-Baptiste Boudeau a très souvent utilisé.