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La porte Chanac (vue intra
muros), Tulle Gravure extraite de " En Limousin, recueil de divers dessins de monuments limousins et préface de René Fage". La porte Chanac était située e à l'entrée de la même rue qui porte son nom. C'était une porte fortifiée. Les deux maisons qui la soutenaient étaient elles-même fortifiées. Cette porte devait dater du XIIIe siècle, mentionnée dans un acte de vente entre les seigneurs de Chanac et l'abbé de Tulle en 1256. Après plusieurs assauts, puis des remaniements au XIVe et au XVe siècles, elle cesse d'être entretenue, avant d'être détruite par arrêté municipal en 1958. Cette gravure fut initialement publiée "Le vieux Tulle" de René Fage cote : MAG.P LIM 34062 (Bfm Limoges)
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La porte Chanac (vue extra muros), Tulle Gravure extraite de " En Limousin" recueil de divers dessins de monuments limousins et préface de René Fage. La porte Chanac était située à l'entrée de la même rue qui porte son nom. C'était une porte fortifiée. Les deux maisons qui la soutenaient étaient elles-même fortifiées. Cette porte devait dater du XIIIe siècle, mentionnée dans un acte de vente entre les seigneurs de Chanac et l'abbé de Tulle en 1256. Après plusieurs assauts, puis des remaniements au XIVe et au XVe siècles, elle cesse d'être entretenue, avant d'être détruite par arrêté municipal en 1958. Cette gravure fut initialement publiée "Le vieux Tulle" de René Fage cote : MAG.P LIM 34062 (Bfm Limoges)
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la Tour César, Turenne, Corrèze Gravure extraite de " En Limousin, recueil de divers dessins de monuments limousins et préface de René Fage". La « Tour de César » est un donjon circulaire de 20 m de haut, datant du XIIIe siècle qui domine le village est un des vestiges de l'ancienne forteresse de Turenne importante seigneurie qui s'étendait sur une superficie de plus de 600 000 ha au XIVe siècle. Cette gravure fut initialement publiée dans le Bulletin de la société archéologique de Brive cote : MAG.P LIM 34062 (Bfm Limoges)
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Ruines du château de Merle 2, Corrèze. Gravure extraite de " En Limousin, recueil de divers dessins de monuments limousins et préface de René Fage". Les Tours de Merle sont situées en Corrèze sur un éperon rocheux de 40 m de haut et 200 m de long. Elles furent construites par 7 familles de seigneurs entre le XIIème et le XVème siècle. Lieu de péage, ce castrum se situait à la frontière entre le Duché d'Aquitaine, le Comté d'Auvergne et le Comté de Toulouse. Cette gravure fut initialement publiée dans le Bulletin de la société archéologique de Brive cote : MAG.P LIM 34062 (Bfm Limoges)
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Ruines de Carbonnières près Merle, Corrèze Gravure extraite de " En Limousin, recueil de divers dessins de monuments limousins et préface de René Fage". Vestiges d'une forteresse féodale (XIe et XIVe siècles) composés de deux tours carrées (la tour sud, à vocation défensive et la tour nord, à vocation résidentielle). Leur hauteur d’origine pouvait atteindre 20 à 25 mètres. Au XVème siècle, les deux tours seront abandonnées et ne serviront plus alors que de refuge temporaire. Cette gravure fut initialement publiée dans le Bulletin de la société archéologique de Brive cote : MAG.P LIM 34062 (Bfm Limoges)
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Ruines du château de Merle 1, Corrèze. Gravure extraite de " En Limousin, recueil de divers dessins de monuments limousins et préface de René Fage". Les Tours de Merle sont situées en Corrèze sur un éperon rocheux de 40 m de haut et 200 m de long. Elles furent construites par 7 familles de seigneurs entre le XIIème et le XVème siècle. Lieu de péage, ce castrum se situait à la frontière entre le Duché d'Aquitaine, le Comté d'Auvergne et le Comté de Toulouse. Cette gravure fut initialement publiée dans le Bulletin de la société archéologique de Brive cote : MAG.P LIM 34062 (Bfm Limoges)
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Le donjon de Turenne Gravure extraite de " En Limousin, recueil de divers dessins de monuments limousins et préface de René Fage". Ce donjon rectangulaire, appelé aussi tour du Trésor ou encore tour de l’Horloge, a été bâti au XIVe siècle. Dominant le village de Turenne, il est un des vestiges de cette ancienne forteresse, importante seigneurie. qui s'étendait sur une superficie de plus de 600 000 ha au XIVe siècle. Cette gravure fut initialement publiée dans le Bulletin de la société archéologique de Brive cote : MAG.P LIM 34062 (Bfm Limoges)
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Le Dorat : Porte-bergère Cette porte dite Bergère doit son nom aux gardiennes de troupeaux qui l'empruntaient autrefois. Construite au XVe siècle, sur le pan le plus inaccessible du coteau, elle est la seule porte fortifiée conservée en Haute-Vienne, et la seule subsistante des quatre portes du Dorat. cote : 9FI84 (Bfm Limoges)
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Chartes communales et franchises locales du département de la Creuse cote : MAG.P LIM B1088 (Bfm Limoges)
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La Chiche de Saint-Martial Gravure extraite de l' "Historique monumental de l'ancienne province du Limousin". Jean-Baptiste Tripon figure un bas-relief disparu représentant une figure accroupie pressant avec 2 boules en guise de mains, une lionne couchée allaitant trois lionceaux. Ce bas -relief, appelée vulgairement "chiche", c'est-à-dire chienne en "patois", précise-t-il, était dans la muraille de l'abbaye Saint-Martial et perpétuait le souvenir de la rage et de la victoire écrasante de Pépin le bref (la figure accroupie) écrasant l'Aquitaine, Waifre, duc d'Aquitaine et ses frères, les trois lionceaux. Ancien élève de l'Ecole des Arts et Métiers d'Angers, Jean-Baptiste Tripon s'installe imprimeur-lithographe à Limoges. Son ouvrage majeur est celui-ci. Imprimé en plusieurs livraisons, l'exemplaire original de 1837 est devenu rare. Les érudits du XIXe siècle sont déjà très critiques sur son contenu. Alfred Leroux estime en 1888 que "c'est un fatras sans critique, une compilation lourde et terne". Il en demeure des lithographies parfois fantaisistes, voire divertissantes. cote : MAG.P LIM 33272/2
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Les troubadours de la région Briviste Présentation de quelques figures célèbres : Lemouzi, Marie de Ventadour, Raimon de Turenne. Poèmes en occitan et traduction française, nombreuses notes. Un ouvrage court, simple et bien documenté. Cote : 00 ZA1 (Bibliothèque municipale de Brive)
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Isidore de Séville et le patois du Bas-Limousin Isidore de Seville, religieux qui vécut au au VIe siècle, est l'auteur d'une oeuvre majeure "Étymologies" (Etymologiæ) constituée de vingt livres, dans laquelle il essaye de rendre compte de l'ensemble du savoir antique et de transmettre à ses lecteurs une culture classique en voie de disparition. Son livre a une immense renommée et connaît plus de dix éditions entre 1470 et 1530. Oscar Lacombe s'attache à montrer et démontrer l'utilisation de mots en "patois" limousin dans cette oeuvre écrite en latin. Et donne ses conclusions sans détour... cote : MAG.P LIM B1345 (Bfm Limoges)
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Dieu le Père, en majesté Peinture sur parchemin extrait du "Missale ad usum ecclesiae Lemovicense ". Dans les angles sont représentés les figurations symboliques des 4 Evangélistes. D' après l'historien Samuel Gras (auteur d'une thèse sur "L’Enluminure dans la vallée de la Loire du temps de Jean Fouquet"), cette peinture, comme la Crucifixion extraite du même recueil (voir Bibliothèque numérique du Limousin) serait l'oeuvre d'un enlumineur-émailleur actif à Limoges à la fin du Moyen Age. cote : RES.P LIM INC 24 (Bfm Limoges)
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la Plantation du clou, tranformation et persistance du rite en Limousin René Fage revient sur cette tradition religieuse et superstitieuse qui existe depuis l'Antiquité et qui rencontre un développement singulier en Limousin. Symbole de prise de possession (d'une église par exemple) ou objet votif aux vertus prophilactiques et protectrices, le clou connait une transformation moderne et féminisée singulière : l'épingle. cote : MAG P LIM 45601 (Bfm Limoges)
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Monteil-au-vicomte (Creuse), ruines du château Ce site était constitué de deux grosses tours rondes, larges fossés, corps de logis et terrasses d’agrément sur un petit plateau au-dessus de la rivière du Taurion. De cette forteresse bâtie vers le milieu du XIIème siècle par les vicomtes d’Aubusson, il ne reste qu'une tour : transformé en bien national à la Révolution, l'ensemble a été démembré au cours des siècles et utilisé comme carrière de pierres par les habitants. cote : 9FI76/2 (Bfm Limoges)
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La croix de l’andeix de Manigne Un andeix était un point de jonction et de répartition des eaux sur lequel il était interdit de construire. On installait sur ces places de petits marchés aux légumes. L’andeix de Manigne, mentionné dès le 13e siècle, était situé à la rencontre de la rue Manigne (rue Charles-Michels) et des rues Montant-Manigne et Andeix-Manigne (réunies sous le nom de rue Elie-Berthet). Trois barres de fer vinrent renforcer la croix centrale de l’andeix en 1535. Une murette en forme de triangle l’entourait (et pouvait servir d’étal). Incommodant la circulation, cette murette est défaite en 1631. Abimée, c’est finalement toute la croix qui est retirée en 1786. cote : Ms21 (Bfm Limoges)
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Vie de Saint Gaultier abbé de Lesterps, patron des écoliers Une histoire édifiante comme le XIXe siècle aime à les raconter : celle de Saint-Gaultier, saint-homme du XIe siècle, originaire de Confolens, chanoine du Dorat puis abbé de Lesterps et enfin patron des jeunes écoliers : "Il fut le modèle du jeune écolier, de l'enfant obligé de chercher loin du giron maternel le complément de culture que la famille ne savait lui donner" écrit l'auteur, l'abbé Rougerie. Bibliothèque universitaire de Limoges-Fonds du Séminaire (cote : 5479)
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Chauffaille, légende limousine Hemma-Prosbert collaborateur régulier de la "Revue Limousine" et de "Lemouzi" est un érudit passionné par l'histoire de sa région. Son récit "Chauffaille, légende limousine, tiré des "Chroniques" de Geoffroy de Vigeois, relate les hauts faits des habitants de Chaufaille, près de Saint-Yrieix au XIIe siècle, durant la guerre entre Richard Coeur de Lion et ses frères. cote : MAG.P LIM 41591 (Bfm Limoges)
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Chronique d'Eusèbe Ce manuscrit du XIIe siècle provient de la célèbre bibliothèque de Bernard Gui, puis passa aux mains des Jésuites du collège de Limoges. Il contient en réalité plusieurs oeuvres : une Chronique d'Eusèbe du XIIe siècle, traduite et continuée par Saint-Jérôme et SProsper, un explicit, et deux sermons du XIVe siècle. cote : Ms1 (Bfm Limoges)
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Saint Léonard : Chlodwig-le-Chevelu Né à Limoges en 1815, Elie Berthet entre au quotidien "Le Siècle" en 1835. Il en devient un des plus importants contributeurs de feuilletons, au point d'être surnommé "le bras droit du Siècle" et de voler la vedette à Alexandre Dumas père. "Saint Léonard" fait partie des nombreuses nouvelles la série des "Chroniques limousines" parue en feuilleton en 1838 dans le quotidien "Le Siècle" : pour le lecteur parisien de l'époque, "le Limousin c'est l'ailleurs, à la fois historique et géographique, l'exotisme à portée de diligence ou de chemin de fer" (cf Jean-Claude Vareille, préface des "Chroniques Limousines", éditions Pulim). La nouvelle relate la vie de Saint-Léonard, ermite du VIe siècle, premier saint de la couronne de France et l'origine de la fondation de la cité de Saint-Léonard-de-Noblat. cote : MAG.P LIM 41732 (Bfm Limoges)