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Mirabeau-Tonneau
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Fédération anti patriotique des ci-devant aristocrates : convoquée par la discorde accueilli par l'ambition, l'hipocrisie et l'interet personnel &c...
[Mirabeau-Tonneau] André Boniface Louis Riqueti, surnommé Mirabeau-Tonneau. Mort à Fribourg-en-Brigsau (Allemagne) le 15 septembre 1795. Frère du grand Mirabeau, celui qu'on surnomma Mirabeau-Tonneau, à cause de son obésité et de son penchant pour le vin, était un personnage haut en couleur, célèbre par ses débauches, qui combattit en Amérique, et qui écrivit de nombreux pamphlets politiques très spirituels comme La lanterne magique nationale (1789) ou le Voyage national de Mirabeau cadet (1790) ; il fut collaborateur du journal «Les Actes des Apôtres», organe des partisans de la monarchie et qui parut du 2 novembre 1789 à octobre 1791. Monarchiste convaincu, il s'opposa à la réunion des ordres, à la suppression des privilèges. Il fut député de la noblesse de la sénéchaussée de Limoges aux Etats Généraux de 1789. Il démissionna de ses fonctions à l'Assemblée Constituante en juin 1790 et suivit le chemin de l'émigration. Là, en pays de Bade, il leva la fameuse légion des «hussards de la mort», qui fit aux républicains, pendant l'année 1792, une guerre d'escarmouches sanglantes et inutiles. Epuisé par les efforts que lui demandaient ces combats, il succomba à la suite d'une attaque d'apoplexie. cote : FP MIRABEAU Fils 14 (Bfm Limoges)
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Jugement en dernier ressort de l'aristocratie aux enfers où l'on y remarque les principaux monstres [Mirabeau-Tonneau] Caricature. André Boniface Louis Riqueti, surnommé Mirabeau-Tonneau. Mort à Fribourg-en-Brigsau (Allemagne) le 15 septembre 1795. Frère du grand Mirabeau, celui qu'on surnomma Mirabeau-Tonneau, à cause de son obésité et de son penchant pour le vin, était un personnage haut en couleur, célèbre par ses débauches, qui combattit en Amérique, et qui écrivit de nombreux pamphlets politiques très spirituels comme La lanterne magique nationale (1789) ou le Voyage national de Mirabeau cadet (1790) ; il fut collaborateur du journal «Les Actes des Apôtres», organe des partisans de la monarchie et qui parut du 2 novembre 1789 à octobre 1791. Monarchiste convaincu, il s'opposa à la réunion des ordres, à la suppression des privilèges. Il fut député de la noblesse de la sénéchaussée de Limoges aux Etats Généraux de 1789. Il démissionna de ses fonctions à l'Assemblée Constituante en juin 1790 et suivit le chemin de l'émigration. Là, en pays de Bade, il leva la fameuse légion des «hussards de la mort», qui fit aux républicains, pendant l'année 1792, une guerre d'escarmouches sanglantes et inutiles. Epuisé par les efforts que lui demandaient ces combats, il succomba à la suite d'une attaque d'apoplexie. cote : FP MIRABEAU Fils 13 (Bfm Limoges)
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Antoine (sic) de Mirabeau, Colonel général, propriétaire de la Légion de son nom En costume de colonel de la Légion noire, un sabre à la main. André Boniface Louis Riqueti, surnommé Mirabeau-Tonneau. Mort à Fribourg-en-Brigsau (Allemagne) le 15 septembre 1795. Frère du grand Mirabeau, celui qu'on surnomma Mirabeau-Tonneau, à cause de son obésité et de son penchant pour le vin, était un personnage haut en couleur, célèbre par ses débauches, qui combattit en Amérique, et qui écrivit de nombreux pamphlets politiques très spirituels comme La lanterne magique nationale (1789) ou le Voyage national de Mirabeau cadet (1790) ; il fut collaborateur du journal «Les Actes des Apôtres», organe des partisans de la monarchie et qui parut du 2 novembre 1789 à octobre 1791. Monarchiste convaincu, il s'opposa à la réunion des ordres, à la suppression des privilèges. Il fut député de la noblesse de la sénéchaussée de Limoges aux Etats Généraux de 1789. Il démissionna de ses fonctions à l'Assemblée Constituante en juin 1790 et suivit le chemin de l'émigration. Là, en pays de Bade, il leva la fameuse légion des «hussards de la mort», qui fit aux républicains, pendant l'année 1792, une guerre d'escarmouches sanglantes et inutiles. Epuisé par les efforts que lui demandaient ces combats, il succomba à la suite d'une attaque d'apoplexie. cote : FP MIRABEAU Fils 12 (Bfm Limoges)
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[Mirabeau-Tonneau] Sur une tablette, au bas du portrait, on lit : Gregre Riquetti, ci-devt Victe de Mirabeau, député de la sénéchaussée de Limoges. Sous la gravure : "collection générale des portraits de M. les députés à l'assemblée nationale tenue à versailles le 4 mai 1789" et le n°164. André Boniface Louis Riqueti, surnommé Mirabeau-Tonneau. Mort à Fribourg-en-Brigsau (Allemagne) le 15 septembre 1795. Frère du grand Mirabeau, celui qu'on surnomma Mirabeau-Tonneau, à cause de son obésité et de son penchant pour le vin, était un personnage haut en couleur, célèbre par ses débauches, qui combattit en Amérique, et qui écrivit de nombreux pamphlets politiques très spirituels comme La lanterne magique nationale (1789) ou le Voyage national de Mirabeau cadet (1790) ; il fut collaborateur du journal «Les Actes des Apôtres», organe des partisans de la monarchie et qui parut du 2 novembre 1789 à octobre 1791. Monarchiste convaincu, il s'opposa à la réunion des ordres, à la suppression des privilèges. Il fut député de la noblesse de la sénéchaussée de Limoges aux Etats Généraux de 1789. Il démissionna de ses fonctions à l'Assemblée Constituante en juin 1790 et suivit le chemin de l'émigration. Là, en pays de Bade, il leva la fameuse légion des «hussards de la mort», qui fit aux républicains, pendant l'année 1792, une guerre d'escarmouches sanglantes et inutiles. Epuisé par les efforts que lui demandaient ces combats, il succomba à la suite d'une attaque d'apoplexie. cote : FP MIRABEAU Fils 11 (Bfm Limoges)
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[Mirabeau-Tonneau] Dans le cartouche on lit : "Gre Riquetti, ci-devt Victe de Mirabeau, député de la sénéchaussée de Limoges, etc." Sous la gravure : "collection générale des portraits de M. les députés à l'assemblée nationale tenue à versailles le 4 mai 1789" et le n°164. André Boniface Louis Riqueti, surnommé Mirabeau-Tonneau. Mort à Fribourg-en-Brigsau (Allemagne) le 15 septembre 1795. Frère du grand Mirabeau, celui qu'on surnomma Mirabeau-Tonneau, à cause de son obésité et de son penchant pour le vin, était un personnage haut en couleur, célèbre par ses débauches, qui combattit en Amérique, et qui écrivit de nombreux pamphlets politiques très spirituels comme La lanterne magique nationale (1789) ou le Voyage national de Mirabeau cadet (1790) ; il fut collaborateur du journal «Les Actes des Apôtres», organe des partisans de la monarchie et qui parut du 2 novembre 1789 à octobre 1791. Monarchiste convaincu, il s'opposa à la réunion des ordres, à la suppression des privilèges. Il fut député de la noblesse de la sénéchaussée de Limoges aux Etats Généraux de 1789. Il démissionna de ses fonctions à l'Assemblée Constituante en juin 1790 et suivit le chemin de l'émigration. Là, en pays de Bade, il leva la fameuse légion des «hussards de la mort», qui fit aux républicains, pendant l'année 1792, une guerre d'escarmouches sanglantes et inutiles. Epuisé par les efforts que lui demandaient ces combats, il succomba à la suite d'une attaque d'apoplexie. cote : FP MIRABEAU Fils 11 (Bfm Limoges)
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Mirabeau chef d'une légion, de l'Armée noire et jaune en grand uniforme. Caricature. André Boniface Louis Riqueti, surnommé Mirabeau-Tonneau. Mort à Fribourg-en-Brigsau (Allemagne) le 15 septembre 1795. Frère du grand Mirabeau, celui qu'on surnomma Mirabeau-Tonneau, à cause de son obésité et de son penchant pour le vin, était un personnage haut en couleur, célèbre par ses débauches, qui combattit en Amérique, et qui écrivit de nombreux pamphlets politiques très spirituels comme La lanterne magique nationale (1789) ou le Voyage national de Mirabeau cadet (1790) ; il fut collaborateur du journal «Les Actes des Apôtres», organe des partisans de la monarchie et qui parut du 2 novembre 1789 à octobre 1791. Monarchiste convaincu, il s'opposa à la réunion des ordres, à la suppression des privilèges. Il fut député de la noblesse de la sénéchaussée de Limoges aux Etats Généraux de 1789. Il démissionna de ses fonctions à l'Assemblée Constituante en juin 1790 et suivit le chemin de l'émigration. Là, en pays de Bade, il leva la fameuse légion des «hussards de la mort», qui fit aux républicains, pendant l'année 1792, une guerre d'escarmouches sanglantes et inutiles. Epuisé par les efforts que lui demandaient ces combats, il succomba à la suite d'une attaque d'apoplexie. cote : FP MIRABEAU Fils 09 (Bfm Limoges)
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Journée du 13 avril. Allons Mr le Vicomte, voici le moment de monter a l'echelle. Caricature. André Boniface Louis Riqueti, surnommé Mirabeau-Tonneau. Mort à Fribourg-en-Brigsau (Allemagne) le 15 septembre 1795. Frère du grand Mirabeau, celui qu'on surnomma Mirabeau-Tonneau, à cause de son obésité et de son penchant pour le vin, était un personnage haut en couleur, célèbre par ses débauches, qui combattit en Amérique, et qui écrivit de nombreux pamphlets politiques très spirituels comme La lanterne magique nationale (1789) ou le Voyage national de Mirabeau cadet (1790) ; il fut collaborateur du journal «Les Actes des Apôtres», organe des partisans de la monarchie et qui parut du 2 novembre 1789 à octobre 1791. Monarchiste convaincu, il s'opposa à la réunion des ordres, à la suppression des privilèges. Il fut député de la noblesse de la sénéchaussée de Limoges aux Etats Généraux de 1789. Il démissionna de ses fonctions à l'Assemblée Constituante en juin 1790 et suivit le chemin de l'émigration. Là, en pays de Bade, il leva la fameuse légion des «hussards de la mort», qui fit aux républicains, pendant l'année 1792, une guerre d'escarmouches sanglantes et inutiles. Epuisé par les efforts que lui demandaient ces combats, il succomba à la suite d'une attaque d'apoplexie. cote : FP MIRABEAU Fils 08 (Bfm Limoges)
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Jugement en dernier ressort de l'aristocratie aux Enfers ou l'on y remarque les principaux monstres. Caricature . Des démons entraînent dans les flammes le vicomte Mirabeau et d'autres personnages. André Boniface Louis Riqueti, surnommé Mirabeau-Tonneau. Mort à Fribourg-en-Brigsau (Allemagne) le 15 septembre 1795. Frère du grand Mirabeau, celui qu'on surnomma Mirabeau-Tonneau, à cause de son obésité et de son penchant pour le vin, était un personnage haut en couleur, célèbre par ses débauches, qui combattit en Amérique, et qui écrivit de nombreux pamphlets politiques très spirituels comme La lanterne magique nationale (1789) ou le Voyage national de Mirabeau cadet (1790) ; il fut collaborateur du journal «Les Actes des Apôtres», organe des partisans de la monarchie et qui parut du 2 novembre 1789 à octobre 1791. Monarchiste convaincu, il s'opposa à la réunion des ordres, à la suppression des privilèges. Il fut député de la noblesse de la sénéchaussée de Limoges aux Etats Généraux de 1789. Il démissionna de ses fonctions à l'Assemblée Constituante en juin 1790 et suivit le chemin de l'émigration. Là, en pays de Bade, il leva la fameuse légion des «hussards de la mort», qui fit aux républicains, pendant l'année 1792, une guerre d'escarmouches sanglantes et inutiles. Epuisé par les efforts que lui demandaient ces combats, il succomba à la suite d'une attaque d'apoplexie. cote : FP MIRABEAU Fils 07 (Bfm Limoges)
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Mirabeau Tonneau sortant le Table Caricature. André Boniface Louis Riquetti, surnommé Mirabeau-Tonneau. Mort à Fribourg-en-Brigsau (Allemagne) le 15 septembre 1795. Frère du grand Mirabeau, celui qu'on surnomma Mirabeau-Tonneau, à cause de son obésité et de son penchant pour le vin, était un personnage haut en couleur, célèbre par ses débauches, qui combattit en Amérique, et qui écrivit de nombreux pamphlets politiques très spirituels comme La lanterne magique nationale (1789) ou le Voyage national de Mirabeau cadet (1790) ; il fut collaborateur du journal «Les Actes des Apôtres», organe des partisans de la monarchie et qui parut du 2 novembre 1789 à octobre 1791. Monarchiste convaincu, il s'opposa à la réunion des ordres, à la suppression des privilèges. Il fut député de la noblesse de la sénéchaussée de Limoges aux Etats Généraux de 1789. Il démissionna de ses fonctions à l'Assemblée Constituante en juin 1790 et suivit le chemin de l'émigration. Là, en pays de Bade, il leva la fameuse légion des «hussards de la mort», qui fit aux républicains, pendant l'année 1792, une guerre d'escarmouches sanglantes et inutiles. Epuisé par les efforts que lui demandaient ces combats, il succomba à la suite d'une attaque d'apoplexie. cote : FP MIRABEAU Fils 06 (Bfm Limoges)
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La maitresse de Mirabeau Tonneau Vivandiere de l'Armée caricature. André Boniface Louis Riqueti, surnommé Mirabeau-Tonneau. Mort à Fribourg-en-Brigsau (Allemagne) le 15 septembre 1795. Frère du grand Mirabeau, celui qu'on surnomma Mirabeau-Tonneau, à cause de son obésité et de son penchant pour le vin, était un personnage haut en couleur, célèbre par ses débauches, qui combattit en Amérique, et qui écrivit de nombreux pamphlets politiques très spirituels comme La lanterne magique nationale (1789) ou le Voyage national de Mirabeau cadet (1790) ; il fut collaborateur du journal «Les Actes des Apôtres», organe des partisans de la monarchie et qui parut du 2 novembre 1789 à octobre 1791. Monarchiste convaincu, il s'opposa à la réunion des ordres, à la suppression des privilèges. Il fut député de la noblesse de la sénéchaussée de Limoges aux Etats Généraux de 1789. Il démissionna de ses fonctions à l'Assemblée Constituante en juin 1790 et suivit le chemin de l'émigration. Là, en pays de Bade, il leva la fameuse légion des «hussards de la mort», qui fit aux républicains, pendant l'année 1792, une guerre d'escarmouches sanglantes et inutiles. Epuisé par les efforts que lui demandaient ces combats, il succomba à la suite d'une attaque d'apoplexie. cote : FP MIRABEAU Fils 05 (Bfm Limoges)
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Avec autant de matière on peut faire des déjeuners caricature de Mirabeau-Tonneau. André Boniface Louis Riqueti, surnommé Mirabeau-Tonneau. Mort à Fribourg-en-Brigsau (Allemagne) le 15 septembre 1795. Frère du grand Mirabeau, celui qu'on surnomma Mirabeau-Tonneau, à cause de son obésité et de son penchant pour le vin, était un personnage haut en couleur, célèbre par ses débauches, qui combattit en Amérique, et qui écrivit de nombreux pamphlets politiques très spirituels comme La lanterne magique nationale (1789) ou le Voyage national de Mirabeau cadet (1790) ; il fut collaborateur du journal «Les Actes des Apôtres», organe des partisans de la monarchie et qui parut du 2 novembre 1789 à octobre 1791. Monarchiste convaincu, il s'opposa à la réunion des ordres, à la suppression des privilèges. Il fut député de la noblesse de la sénéchaussée de Limoges aux Etats Généraux de 1789. Il démissionna de ses fonctions à l'Assemblée Constituante en juin 1790 et suivit le chemin de l'émigration. Là, en pays de Bade, il leva la fameuse légion des «hussards de la mort», qui fit aux républicains, pendant l'année 1792, une guerre d'escarmouches sanglantes et inutiles. Epuisé par les efforts que lui demandaient ces combats, il succomba à la suite d'une attaque d'apoplexie. cote : FP MIRABEAU Fils 04 (Bfm Limoges)
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Riquetti Cravate Caricature. André Riquetti, dit Mirabeau Tonneau Drapé dans l'étendard de son régiment. Auprès de lui un tonneau et une caisse de laquelle sortent les cravates du drapeau. André Boniface Louis Riqueti, surnommé Mirabeau-Tonneau. Mort à Fribourg-en-Brigsau (Allemagne) le 15 septembre 1795. Frère du grand Mirabeau, celui qu'on surnomma Mirabeau-Tonneau, à cause de son obésité et de son penchant pour le vin, était un personnage haut en couleur, célèbre par ses débauches, qui combattit en Amérique, et qui écrivit de nombreux pamphlets politiques très spirituels comme La lanterne magique nationale (1789) ou le Voyage national de Mirabeau cadet (1790) ; il fut collaborateur du journal «Les Actes des Apôtres», organe des partisans de la monarchie et qui parut du 2 novembre 1789 à octobre 1791. Monarchiste convaincu, il s'opposa à la réunion des ordres, à la suppression des privilèges. Il fut député de la noblesse de la sénéchaussée de Limoges aux Etats Généraux de 1789. Il démissionna de ses fonctions à l'Assemblée Constituante en juin 1790 et suivit le chemin de l'émigration. Là, en pays de Bade, il leva la fameuse légion des «hussards de la mort», qui fit aux républicains, pendant l'année 1792, une guerre d'escarmouches sanglantes et inutiles. Epuisé par les efforts que lui demandaient ces combats, il succomba à la suite d'une attaque d'apoplexie. cote : FP MIRABEAU Fils 03 (Bfm Limoges)
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[André Mirabeau dit Mirabeau Tonneau] Légende : «très haut, très illustre, bien gros, singulièrement noble / Mirabeau de Tonneau, qui après avoir été encavé pour dettes, et reparraissant au grand air, visite dans les forteresses de rassemblement, les excellences fugitives ainsi que les redoutables, et élégantes forces contre révolutionnaires, desquelles il est reçu avec les honneurs apartenans, à son rang, les rares talens, les éclatantes vertus, et les inapréciables services.» André Boniface Louis Riqueti, surnommé Mirabeau-Tonneau. Mort à Fribourg-en-Brigsau (Allemagne) le 15 septembre 1795. Frère du grand Mirabeau, celui qu'on surnomma Mirabeau-Tonneau, à cause de son obésité et de son penchant pour le vin, était un personnage haut en couleur, célèbre par ses débauches, qui combattit en Amérique, et qui écrivit de nombreux pamphlets politiques très spirituels comme La lanterne magique nationale (1789) ou le Voyage national de Mirabeau cadet (1790) ; il fut collaborateur du journal «Les Actes des Apôtres», organe des partisans de la monarchie et qui parut du 2 novembre 1789 à octobre 1791. Monarchiste convaincu, il s'opposa à la réunion des ordres, à la suppression des privilèges. Il fut député de la noblesse de la sénéchaussée de Limoges aux Etats Généraux de 1789. Il démissionna de ses fonctions à l'Assemblée Constituante en juin 1790 et suivit le chemin de l'émigration. Là, en pays de Bade, il leva la fameuse légion des «hussards de la mort», qui fit aux républicains, pendant l'année 1792, une guerre d'escarmouches sanglantes et inutiles. Epuisé par les efforts que lui demandaient ces combats, il succomba à la suite d'une attaque d'apoplexie. cote : FP MIRABEAU Fils 02 (Bfm Limoges)
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Defaite des contre Revolutionnaires.
[ Mirabeau Tonneau] Caricature PL 49 G. 23 personnages représentés, avec une légende numérotée. Mirabeau Tonneau porte le n°16 avec la légende "Mirabeau Tonneau tombant de Charybde en Scylla" André Boniface Louis Riqueti, surnommé Mirabeau-Tonneau. Mort à Fribourg-en-Brigsau (Allemagne) le 15 septembre 1795. Frère du grand Mirabeau, celui qu'on surnomma Mirabeau-Tonneau, à cause de son obésité et de son penchant pour le vin, était un personnage haut en couleur, célèbre par ses débauches, qui combattit en Amérique, et qui écrivit de nombreux pamphlets politiques très spirituels comme La lanterne magique nationale (1789) ou le Voyage national de Mirabeau cadet (1790) ; il fut collaborateur du journal «Les Actes des Apôtres», organe des partisans de la monarchie et qui parut du 2 novembre 1789 à octobre 1791. Monarchiste convaincu, il s'opposa à la réunion des ordres, à la suppression des privilèges. Il fut député de la noblesse de la sénéchaussée de Limoges aux Etats Généraux de 1789. Il démissionna de ses fonctions à l'Assemblée Constituante en juin 1790 et suivit le chemin de l'émigration. Là, en pays de Bade, il leva la fameuse légion des «hussards de la mort», qui fit aux républicains, pendant l'année 1792, une guerre d'escarmouches sanglantes et inutiles. Epuisé par les efforts que lui demandaient ces combats, il succomba à la suite d'une attaque d'apoplexie. cote : FP MIRABEAU Fils 01 (Bfm Limoges)