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Limoges
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Le pont Saint-Étienne et l'Abbessaille Vue d'une partie du quartier de l'Abbessaille, rive droite. cote : 9Fi502/49 (Bfm Limoges)
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Limoges. - Les Vieux Quartiers Vue du quartier du Verdurier (Place du Verdurier, rue Arbre Peint, rue des Suisses), rasé entre 1913 et 1918 pour permettre le percement de la rue Jean Jaurès. Des maisons que l'on voit sur ce cliché, seule est restée la première à gauche, qui fait aujourd'hui l'angle des rues Jean Jaurès et Jeanty Sarre, dont le rez-de-chaussée est occupé depuis des décennies par un pressing. cote : CPLim0357 (Bfm Limoges)
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La rue du Clocher Vue prise depuis le haut de la rue, place Saint-Michel-des-Lions. La rue du Clocher est l'une des principales rues piétonnes commerçantes de Limoges. On aperçoit à gauche une partie de la devanture du Sans-Rival, magasin de lingerie et layettes de Joseph Cahen. Plus bas, la vitrine des Modes parisiennes, boutique de Léon Goetschel. A droite, à l'angle de la rue Ferrerie, le magasin de tissus de Mr François et des frères Fayette. En ce début de 20e siècle, elle est déjà un lieu de promenade incontournable : les dames s'apprêtent pour la monter et la descendre à l'envi, pour voir les commerces autant que pour s'y faire voir. Longtemps, les Limougeauds ont d'ailleurs utilisé l'expression "faire la rue du Clocher","Le samedi, on faisait la rue du Clocher"... pour parler de cette promenade très prisée où la population se rencontrait. Son nom ne lui vient pas du clocher de Saint-Michel-des-Lions qui la domine, comme on pourrait le croire, mais du clocher de la basilique du Sauveur, ou basilique Saint-Martial, rasée en 1807, qui se situait entre le bas de la rue et la place de la République. cote : CPLim0338 (bfm Limoges)
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Boulevard Carnot Ancien boulevard de la Pyramide, le boulevard Carnot est baptisé en novembre 1889. On peut distinguer à gauche le magasin des Nouvelles Galeries, détruit par un incendie dans la nuit du 14 au 15 décembre 1963. A droite le bâtiment du Comptoir d'escompte de Paris . cote : CPLim 0384 (Bfm Limoges)
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Hôtel du docteur Justin Lemaistre Justin Lemaistre (1847-1908) fut l’un des grands noms de la médecine limougeaude. Professeur d’anatomie à l’Ecole de médecine de Limoges, correspondant de l’Académie nationale de chirurgie et de l’Académie nationale de médecine, il est connu pour avoir identifié et décrit les causes mycosiques et bactériennes de la perlèche, nom limousin de la chéilite angulaire, une lésion cutanée inflammatoire située aux commissures des lèvres, qui touche particulièrement les enfants. En 1888, le docteur Lemaistre ouvre la première clinique de Limoges avec son collègue François Chénieux, au n°83 de l’avenue Baudin. Pierre Jules Tixier tient une place de choix à Limoges, tant par la diversité de ses centres d'intérêt que par ses réalisations. Architecte, archéologue, historien, il laisse d'importantes notes et dessins. Architecte des monuments historiques de la Haute-Vienne, il participe à la restauration de nombreuses églises. Enfin, ses constructions pour l'architecture privée comptent des hôtels particuliers, des maisons de campagne, des établissements d'enseignement et se distinguent par l'utilisation judicieuse du granit. cote : 3FI71/5 (Bfm Limoges)
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Monument aux morts de 1914-1918. Cet imposant monument de granit et de calcaire, sur lequel est inscrit en grandes lettres « Aux enfants de Limoges morts pour la France et la paix du monde », est l’œuvre du sculpteur André Sallé et de l’architecte Henri-Germain Vergnolle. Il est inauguré en 1931 square de la Poste (actuel square Jean-Marie Masse) et sera déplacé square Jourdan en 1963. cote : CPLim0387 (Bfm Limoges)
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Eglise Saint-Michel-des-Lions L'église Saint-Michel-des-Lions fut bâtie au début du 13ème siècle. Détruite au 14ème siècle, elle fut reconstruite dès 1364. Sa nef fut consacrée en 1455. L'église doit son nom aux deux lions gallo-romains veillant à ses pieds .. De style gothique mais d’inspiration romane, son clocher est typique de l’architecture religieuse limousine. cote : CPLim0301 (Bfm Limoges)
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Limoges - Eglise St-Pierre L'église Saint-Pierre-du-Queyroix date des 13e et 14e siècles et a subi des modifications au 16e siècle. Queyroix est issu du latin quadruvium : le carrefour. De style gothique mais d’inspiration romane, son clocher est typique de l’architecture religieuse limousine. cote : CPLim0294 (Bfm Limoges)
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Limoges - L'ancienne et la nouvelle gare des Bénédictins Retirage d'un cliché de 1926 à l'occasion des célébrations du centenaire du chemin de fer à Limoges le 23 juin 1956. Cette vue est particulièrement intéressante car elle fut prise dans la courte période durant laquelle la nouvelle et l'ancienne gare coexistèrent. La nouvelle gare, inaugurée en 1929, est alors en pleine construction, et l'avancée de l'installation des nouvelles voies n'a pas encore nécessité la démolition de l'ancienne gare, qui datait quant à elle de 1860. cote : CPLim0455 (Bfm limoges)
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Chapelle Notre-Dame-de-la-Préservation et cathédrale Saint-Etienne. -Fonds Boudeau (B176-n°2978) Devant cette chapelle du boulevard de la Corderie s’écoulait le ruisseau d’Enjoumard (surnommé le Merdanson) qui, charriant les détritus et l’eau souillée sur plus d’un kilomètre, depuis l’actuel quartier de la place de la République, allait se jeter dans la Vienne. On pouvait le traverser à un petit gué situé à cet endroit, c’est pourquoi cette chapelle était également appelée Notre-Dame-de-la-Planchette. Dans cette chapelle, les Limougeauds demandaient à la Vierge de protéger leur ville des maladies infectieuses que pouvait véhiculer un tel égout à ciel ouvert. cote : fonds Boudeau, boite 176 (Bfm Limoges)
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La Chapelle de la Règle Cette chapelle du début du 20e siècle, qui ne fut jamais consacrée, est bâtie sur les vestiges de l’abbaye bénédictine de la Règle, en grande partie détruite à la Révolution. Les bâtiments qui l’entouraient au moment de cette prise de vue depuis la cathédrale, ont été rasés au cours du 20e siècle, hormis quelques-uns dévolus à la Fédération compagnonnique des métiers du bâtiment. La chapelle de la Règle sert aujourd’hui de réserve à la Bfm. cote : 9Fi 511/2 (Bfm Limoges)
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Cathédrale Saint-Étienne, portail Saint-Jean Si le chœur de la cathédrale fut bâti à la fin du 13e siècle, ce n’est qu’en 1516 que débute la construction du magnifique portail Saint-Jean, de style gothique flamboyant, qui orne le côté nord du transept. cote : 9Fi436 (Bfm Limoges)
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Collège Saint-Martial Le Collège Saint-Martial se trouvait au 6 rue des Argentiers. Il était tenu par les frères maristes. Les bâtiments, œuvre de Jules Tixier, ont été rachetés en 1902 par la Ville et ont abrité le Collège de jeunes filles (à l'étroit dans ses locaux de la place de l'Ancienne-Comédie), devenu en 1914 le Lycée national de jeunes filles. Ils ont été rasés au milieu du 20e siècle et ont fait place à la cité scolaire Léonard-Limosin. cote : CPLim0416 (Bfm Limoges)
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Limoges - Palais de Justice, un dimanche- The Court of Justice, a sunday Le palais de justice de Limoges fut édifié en 1846 par Vincent-Marie Boullé, architecte breton qui travailla plusieurs années en Haute-Vienne. Son architecture néo-classique le fait ressembler à bien des tribunaux français du 19e siècle. cote : CPLim0402 (Bfm Limoges)
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Limoges - Place de la République La Salle des Nouveautés est un cinéma créé en 1910 par la société chocolatière Poulain. Elle sera rebaptisée "Nouveautés-Palace" en 1921 puis "Rex" en 1929 (la façade est alors modernisée). Complètement transformé en 1957, le cinéma deviendra "Le Star". Il ferme définitivement ses portes en 1987, puis le bâtiment est repris par l'enseigne Monoprix. A droite, on aperçoit une partie de l’ancien Casino, salle de spectacle construite en 1901 dans un style Art nouveau plutôt rare à Limoges. Il sera remplacé dans les années 1950 par un cinéma, l'Omnia, qui fermera ses portes en 1991 et laissera la place au Café République. A gauche, c’est l’imposante Salle Berlioz qui montre son profil, un théâtre municipal construit en 1840 et démoli en 1953. cote : CPLim0356 (Bfm Limoges)
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Square Jourdan, Central-Hôtel, Église St-Pierre, Crédit Lyonnais et Grand Hôtel de la Paix La place s’appela d’abord "place de Tourny", du nom de l’intendant qui la fit tracer dans les années 1730, puis "place de la Fédération" et "place d’Armes", avant de prendre en 1880 le nom de Jean-Baptiste Jourdan (1762-1833), député de la Haute-Vienne et maréchal d’Empire victorieux à Watignies et à Fleurus. Une statue nous le montre, prêt à mettre sabre au clair, au milieu du square. C’est probablement parce qu’elle représente un chef militaire qu’elle ne fut pas, comme la plupart des autres statues limougeaudes, fondue sous l’Occupation. cote : CPLim0363 (Bfm Limoges)
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Place Fournier Le nom de cette petite place rend hommage à Alfred Fournier (1812-1875), riche bienfaiteur limougeaud dont l'argent permit, juste après sa mort, la construction de l'Hôtel de Ville. A gauche les escaliers montant place de la République, à droite la librairie-papeterie Jouannem qui succéda à Duverger et un bout du Grand restaurant du Centre. Au premier plan, de dos, la statue dite L'enfant et l'oie ou, plus souvent, L'enfant au cygne. Ce bronze, fondu sous l’Occupation, fut remplacé par une statue de Jeanne d'Arc. La place Fournier s'est, à travers les âges, appelée place Notre-Dame-des-Arbres, puis place Saint-Martial, et fut souvent surnommée, de la fin du 19e siècle à 1940, la "place du cygne". Perspective vers l'ancienne gare des Bénédictins au fond. Cote : CPLim0354 (Bfm Limoges)
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Place de l'Hôtel-de-Ville de Limoges Sur la place de l’Hôtel-de-Ville, devenue place Léon-Betoulle en 1956, les cochers attendent le client. Sur la place Haute-Vienne, en surplomb, l’entrée des « Bains chinois » dont la façade court en bas du boulevard des Ursulines (devenu boulevard Gambetta). Cet établissement privé de bains-douches et de soins corporels fut détruit dans les années 1960 pour construire des immeubles résidentiels. Les vieilles maisons d’en face, à l’autre angle du boulevard et de la place, connurent le même sort. cote : CPLim0351 (Bfm Limoges)
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Place Sadi Carnot Longtemps appelée "Place du Rond-Point", "Rond-Point du Crucifix" puis "Rond-Point Garibaldi", la place Carnot est ainsi baptisée en 1897, en hommage à Sadi Carnot (1837-1894), président de la République natif de Limoges, assassiné par l’anarchiste italien Caserio. Une statue de lui trônera plus de quarante ans au centre de la place, avant d’être fondue durant l'Occupation. On distingue les rails du tramway et l’on constate la grande animation de cette place commerçante dans cette jolie vue vers les entrées des avenues Emile-Labussière (alors « avenue de Poitiers ») et du général Leclerc (alors « faubourg de Paris »). Pour l’anecdote, notons qu’à l’emplacement de la Boulangerie de la Place Carnot de 1910 existe toujours, plus d’un siècle après, une boulangerie-pâtisserie. cote : CPLim0348 (Bfm Limoges)
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Le viaduc Le viaduc ferroviaire de Limoges a été inauguré en 1891. On voit la barque du passeur qui faisait traverser la Vienne entre la nouvelle route d'Aixe (avenue Baudin) et la route de Condat rive gauche. cote : CPLim0274 (Bfm Limoges)