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Jean-Baptiste Audiguet
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Les laveuses de l'Abbessaille Au bas de l’Abbessaille, sous la cathédrale (actuel Quai Louis-Goujaud), les lavandières s’affairent. Les "Ponticaudes" qui ne travaillent pas dans les fabriques voisines ont pour principale activité de laver le linge des « Vilaudes », les bourgeoises et commerçantes de Limoges. La photographie semble être prise depuis le bout du pont Saint-Étienne. Les maisons que l’on voit à droite furent rasées dès les années 1900. cote : 9FI502/5 (Bfm limoges)
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Fileuse au barbichet Jean-Baptiste Audiguet (1811-1897) est un des pionniers de la photographie professionnelle à Limoges. Né à Bellac dans un milieu modeste, il se lance dans la photographie à la fin des années 1850 et devient le grand portraitiste de la société limougeaude du Second Empire et de la Troisième République. C'est aussi le premier photographe connu à proposer des vues de la ville et de ses alentours, avec une parfaite maîtrise de la composition et une sensibilité esthétique surprenante. cote : 9Fi502/34 (Bfm Limoges)
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Cul de sac près de la rue du Masgoulet Dominant le quartier du Naveix, rive droite, la rue du Masgoulet avait une importance capitale pour les nombreux habitants qui la peuplaient : c’est elle qui séparait ces Ponticauds du reste de la ville, qui délimitait leur quartier. A partir de 1947, le Masgoulet vit s’installer plusieurs prêtres ouvriers, dont Henri Chartreux fut le pionnier. Ces curés d’un nouveau genre furent rapidement adoptés et chéris par le peuple des Ponts. La rue du Masgoulet fut totalement remaniée lorsque ses maisons furent détruites avec le reste du Naveix, dans les années 1970. cote : 9Fi502/16 (Bfm Limoges)
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Homme debout Jean-Baptiste Audiguet (1811-1897) est un des pionniers de la photographie professionnelle à Limoges. Né à Bellac dans un milieu modeste, il se lance dans la photographie à la fin des années 1850 et devient le grand portraitiste de la société limougeaude du Second Empire et de la Troisième République. C'est aussi le premier photographe connu à proposer des vues de la ville et de ses alentours, avec une parfaite maîtrise de la composition et une sensibilité esthétique surprenante. cote : 9Fi502/38 (Bfm Limoges)
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La rue de la Boucherie partie haute Vue de la rue de la Boucherie depuis la rue Lansecot. La rue de la Boucherie affiche ses pièces de viande fraiche, disposées sur tables et bancs, pendues aux crocs et cordes. Le pavé gardera sa teinte rouge sang plusieurs années après la disparition des bouchers. cote : 9FI502/14 (Bfm limoges)
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Pont Saint-Étienne et quartier de l'Abbessaille Cette vue du pont Saint-Étienne, de l'Abbessaille et de la cathédrale de Limoges est un modèle "iconique" forgé par les illustrateurs au début du 19e siècle. Ce point du vue amplifié par les photographes finit par incarner la ville de Limoges au 20e siècle. Mais ici le point de vue est un peu différent, puisque le photographe se place à la sortie du pont et non pas plus loin, au bord de l'eau. cote : 9Fi502/12 (Bfm Limoges)
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La Vienne près du Pont de chemin de fer, près de la carrière Ardant Jean-Baptiste Audiguet (1811-1897) est un des pionniers de la photographie professionnelle à Limoges. Né à Bellac dans un milieu modeste, il se lance dans la photographie à la fin des années 1850 et devient le grand portraitiste de la société limougeaude du Second Empire et de la Troisième République. C'est aussi le premier photographe connu à proposer des vues de la ville et de ses alentours, avec une parfaite maîtrise de la composition et une sensibilité esthétique surprenante. Avec Audiguet, Limoges devient paysage photographique. cote : 9Fi502/39 (Bfm Limoges)
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Cuisinière au barbichet debout Jean-Baptiste Audiguet (1811-1897) est un des pionniers de la photographie professionnelle à Limoges. Né à Bellac dans un milieu modeste, il se lance dans la photographie à la fin des années 1850 et devient le grand portraitiste de la société limougeaude du Second Empire et de la Troisième République. C'est aussi le premier photographe connu à proposer des vues de la ville et de ses alentours, avec une parfaite maîtrise de la composition et une sensibilité esthétique surprenante. cote : 9Fi502/35 (Bfm Limoges)
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Cuisinière au barbichet assise Jean-Baptiste Audiguet (1811-1897) est un des pionniers de la photographie professionnelle à Limoges. Né à Bellac dans un milieu modeste, il se lance dans la photographie à la fin des années 1850 et devient le grand portraitiste de la société limougeaude du Second Empire et de la Troisième République. C'est aussi le premier photographe connu à proposer des vues de la ville et de ses alentours, avec une parfaite maîtrise de la composition et une sensibilité esthétique surprenante. cote : 9Fi502/37 (Bfm Limoges)
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Bords de Vienne L'épreuve porte au dos la mention manuscrite "Du moulin Constantin au pont". Le moulin Constantin était situé sur les bords de Vienne, près de l'Auzette. Jean-Baptiste Audiguet (1811-1897), pionnier de la photographie professionnelle à Limoges est le premier photographe connu à porter un regard esthétique sur la ville et ses alentours. Cette vue des bords de Vienne près de l'Auzette, est certainement sa plus belle réussite. cote : 9 Fi 502/42 (Bfm Limoges)
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Chapelle Saint-Aurélien La chapelle Saint-Aurélien, située rue de la Boucherie, n’a que peu changé depuis sa construction en 1471. Conçue pour abriter les reliques de saint Aurélien, deuxième évêque de Limoges et saint patron des bouchers, elle est agrandie au 17e siècle. La chapelle présente quelques éléments remarquables : le clocher à bulbe couvert de bardeaux de châtaignier, la croix de calcaire qui jouxte l’entrée et l’intérieur baroque richement décoré. Acquise à la Révolution par les bouchers, la chapelle est toujours la propriété de la confrérie de saint Aurélien, héritière de cette corporation. Jean-Baptiste Audiguet (1811-1897) est un des premiers à photographier cette célèbre et pittoresque rue de la Boucherie. Il nous montre au premier un groupe de femmes venant chercher de l'eau à la fontaine. On peut observer ce que l'on appelle en photographie des "fantômes" : personnages mouvant lors de la prise de vue qui ne laissent qu'une trace plus ou moins dessinée sur la plaque. cote : 9Fi502/31 (Bfm Limoges)
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Le pont Saint-Étienne Cette vue du Pont Saint-Étienne, avec en arrière-plan le quartier de l'Abbessaille et la cathédrale de Limoges, reprend un modèle "iconique" forgé par les illustrateurs au début du XIXe siècle. Ce point du vue amplifié par les photographes finit par incarner la ville de Limoges au XXe siècle. Dans une très belle composition, avec une parfaite maîtrise de la lumière (voir les jeux d'ombre et de lumière sur les avant-becs du pont), Jean-Baptiste Audiguet (1811-1897) nous dévoile en un coup d’œil tous les visages de la cité, , entre héritage médiéval et développement industriel : la Vienne, vecteur essentiel de la vie économique, le peuple des Ponticauds (lavandières et débardeurs), le pont Saint-Étienne qui marquait la limite du flottage du bois destiné aux fours des usines de porcelaine, le quartier populaire de l'Abbessaille, l'abbaye de la Règle et dominant le tout, la cathédrale gothique. Il est intéressant de mettre en regard cette photographie avec l'émergence à la la même époque d'une littérature populaire des quartiers des bords de Vienne. cote : 9Fi502/41 (Bfm Limoges)
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Le port du Naveix Le Naveix (probablement du latin navigium : bateau, navigation), est celui des quartiers des Ponts dont il ne reste absolument rien. Jugé trop insalubre, il fut entièrement rasé dans les années 1970. La base nautique, les terrains de pétanque, le boulevard, la maison de retraite et la patinoire l’ont remplacé. Les draps des "Vilaudes" (les bourgeoises et commerçantes de la "ville haute") ont été lavés et étendus par les lavandières "ponticaudes". cote : 9Fi502/24 (Bfm Limoges)