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Guerre de 1870
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Le monument des Mobiles
Officiellement nommé « Monument aux morts à la gloire des victimes de la guerre de 1870 », le monument des Mobiles est l’œuvre du sculpteur limougeaud Adolphe-Martial Thabard, inauguré en 1899 aux angles de l'avenue de la Gare (devenue avenue du Général de Gaulle) et du cours Jourdan. C’est un hommage aux morts pour la France en 1870-1871, et plus particulièrement au 71ème régiment de Mobiles de la Haute-Vienne. Fonds Jean-Baptiste Boudeau, Boîte 174 (Bfm Limoges) -
Le 126e Régiment d'infanterie au feu : Historique du régiment depuis sa formation jusqu'en 1919 (Brive)
"A la mémoire des officiers, sous-officiers, caporaux et soldats du 126e qui ont donné leur vie pour la France". cote : 19 BRI S (Médiathèque de Brive). -
Le Pain Noir : Livre 1, première partie " Les Métairies"
Le" Pain noir" premier tome éponyme de cette tétralogie romanesque de Georges-Emmanuel Clancier a été écrit, entre juillet 1952 et avril 1953. Les « Métairies » constitue la première partie. La saga raconte la vie d'une famille de métayers les Charron dans une ferme limousine entre 1870 et la Seconde Guerre Mondiale, sur un fond de luttes sociales et morales, en suivant le personnage de Catherine Charron. Au début du roman, Catherine vit dans une ferme avec ses parents, sa sœur et ses quatre frères. C’est une petite fille enjouée et courageuse qui effectue les corvées dévolues aux filles de son âge Comme ses frères elle veut aller à l’école et apprendre à lire, mais à cette époque les filles n’y vont pas La famille est unie, modeste et d'une honnêteté scrupuleuse . Mais ce bonheur est fragile. Sans pathos, Clancier décrit avec force les misères de la vie quotidienne mais aussi les rêves de ces gens. Il se fait tour à tour historien, ethnographe, romancier et poète. L'auteur a puisé dans l'histoire de sa propre famille. Le récit est dédié à sa grand-mère illettrée. Bfm Limoges (cote Ms365) -
Un réveillon en 1870
Un court récit personnel, enlevé, plein d'humour et de mélancolie sur la défaite de l'armée française de décembre 1870 face aux Prussiens. Extrait du recueil : "Vous me demandez, mes amis, pourquoi chaque année, à pareille époque, je refuse obstinément de réveillonner avec vous. J'ai un estomac excellent, ce qui est l'indice d'une conscience pure et je ne crains pas en temps ordinaire de m'attaquer à une terrine de foie gras [..] il est des souvenirs qu'il faut garder intacts dans son coeur. Je veux, par l'histoire de mon unique réveillon, le porter à son comble." cote : F5488/69 (Bfm limoges)