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Creuse
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Aubusson, ruines du Château extrait du "Guide pittoresque du voyageur en France". cote : MAG P LIM B1215 (Bfm Limoges).
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Aubusson, manufacture Royale de tapis extrait du "Guide pittoresque du voyageur en France". cote : MAG P LIM B1215 (Bfm Limoges).
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Felletin, Manufacture de Monsieur Sallandrouze extrait du "Guide pittoresque du voyageur en France". cote : MAG P LIM B1215 (Bfm Limoges).
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Guéret extrait du "Guide pittoresque du voyageur en France". cote : MAG P LIM B1215 (Bfm Limoges).
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Joachim du Chalard de La Souterraine et les Etats généraux de 1560 En avant titre Un jurisconsulte républicain au XVIe siècle". Le portrait et surtout la présentation de l'ouvrage que Joachim du Chalard publia la "Sommaire exposition des ordonnances du Roy Charles IX sur les plaintes des Trois Etats tenus à Orléans, l'an 1560". Joachim du Chalard écrit pour la "République françoise", dénonce avec verve et dans la langue imagée du XVIe siècle les injustices, les abus du clergé, des fonctionnaires de l'Etat, les fraudes des bourgeois.... Louis Duval présente avec intelligence ce livre curieux et la personnalité de ce juriconsulte hardi. cote : MAG.P LIM 18352 (Bfm Limoges)
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La Tour de Zizim, Creuse extrait du "Guide pittoresque du voyageur en France". cote : MAG P LIM B1215 (Bfm Limoges).
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Vie de Saint Valéric sous titre : " La vie de Saint-Valéric, patron de la paroisse de Saint Vaulry en Creuse, d'après les ouvrages manuscrits ou imprimés des auteurs anciens et modernes, accompagnée de réflexions philosophiques et religieuses par l'Abbé L. J. Rouzier." cote : FPL 255 ROU ( BM du Grand Gueret)
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Tristan l'Hermite Ce portrait en buste de trois quart était à l'origine placé en tête du recueil des Vers Héroïques publié en 1648. Le cartouche contient une prosopopée de Tristan L'Hermite souvent reproduite. Tristan L'Hermite est né en 1601 à Janaillat en Creuse d'une famille de la petite noblesse et il est mort à Paris, en 1655, de la phtisie. Après avoir été page au service d'Henri de Bourbon, il part, en combattre les huguenots puis entre au service du frère du roi, Gaston d'Orléans, et partage ses exils . Au service de Charles 1er, roi d'Angleterre, et du duc de Guise, il est admis, en 1649, à l'Académie française. Il passa ses dernières années pauvre et solitaire sans l'appui des puissants, ainsi faut-il comprendre le texte du cartouche. L'oeuvre de L'Hermite est aujourd'hui méconnue. Elle est pourtant riche : un roman autobiographique, Le Page disgracié (1643), où il raconte sa jeunesse aventureuse, des pièces de théâtre, comédies et tragédies qui font de Corneille son rival, de très beaux poèmes mélancoliques. Une oeuvre qui emprunte les thèmes convenus du Baroque ( souffrance amoureuse, caractère éphémère et illusoire de la condition terrestre... ) avec un accent de sincérité captivant. Cote : FP HERM 04 (Bfm Limoges)
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Tristan l'Hermite (1601-1655) le quatrain anonyme dans le cartouche situé sous le portrait évoque un passage dramatique de la carrière de Tristan l'Hermite : sa première pièce "Mariane" fut fort applaudie en son temps et préfigurait le Cid (Corneille était le contemporain et le rival de Tristan). Le comédien Montdory, considéré comme le meilleur acteur tragique de son temps (il créa aussi le rôle de Rodrigue dans Le Cid), tenait le rôle du roi Hérode sur la scène du Théâtre du Marais à sa création; un an et demi plus tard, il est frappé de paralysie partielle en hurlant les fureurs d'Hérode à la fin de la pièce et doit se retirer définitivement du théâtre. Tristan L'Hermite est né en 1601 à Janaillat, en Creuse, d'une famille de la petite noblesse et il est mort à Paris, en 1655, de la phtisie. Après avoir été page au service d'Henri de Bourbon, il part, en combattre les huguenots puis entre au service du frère du roi, Gaston d'Orléans, et partage ses exils . Au service de Charles 1er, roi d'Angleterre, et du duc de Guise, il est admis, en 1649, à l'Académie française. Il passa ses dernières années pauvre et solitaire sans l'appui des puissants. L'oeuvre de L'Hermite est aujourd'hui méconnue. Elle est pourtant riche. Un univers lyrique qui emprunte les thèmes convenus du Baroque ( souffrance amoureuse, caractère éphémère et illusoire de la condition terrestre... ) avec un accent de sincérité captivant. Cote : FP HERM 03 (Bfm Limoges)
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Les Coutumes vénérables du haut pays et du comté de la Marche , Tome 2 Les coutumes sont dans l'ancien droit français des usages régissant la vie quotidienne des populations dans un cadre géographique déterminé (ville, province). Ces usages se sont formés dès le Moyen Âge. Oraux et transmis par la tradition, ils ont été progressivement fixés par écrit à la suite de l'édit de Montils-lez-Tours d'avril 1453. Les coutumes de la Marche, en fait la Haute-Marche (correspondant en gros à l'actuel département de la Creuse), ont été publiées en 1521. Elles régiront le droit jusqu'à leur remplacement par le code civil. La première édition imprimée date de 1526. D'autres ont suivi parmi lesquelles nous citerons celles de Nicolas Callet (ou Caillet), la première comportant des commentaires, en 1573, de Charles Du Moulin en 1618 et 1633 (réimpression de la précédente), de Barthélemy Jabely en 1695 et de Couturier de Fournoue en 1744. Par ailleurs, plusieurs versions manuscrites existent, dont certaines se trouvent à la Bibliothèque multimedia du Grand Guéret. Cet exemplaire manuscrit est l'oeuvre de Jean Regnauld conseiller du roi, lieutenant criminel au Présidial et sénéchaussée de la Marche à Guéret. Juge des affaires criminelles, il est le deuxième personnage de ce tribunal installé le 6 novembre 1635 dans la capitale de la Haute-Marche. Cette version manuscrite en quatre volumes, avec dos à cinq nerfs et titre et tomaison dorés, a dû servir d'instrument de travail à son auteur. cote : 340.57 (Bibliothèque Multimédia du Grand Guéret)
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Les Coutumes vénérables du haut pays et du comté de la Marche , Tome 1 Les coutumes sont dans l'ancien droit français des usages régissant la vie quotidienne des populations dans un cadre géographique déterminé (ville, province). Ces usages se sont formés dès le Moyen Âge. Oraux et transmis par la tradition, ils ont été progressivement fixés par écrit à la suite de l'édit de Montils-lez-Tours d'avril 1453. Les coutumes de la Marche, en fait la Haute-Marche (correspondant en gros à l'actuel département de la Creuse), ont été publiées en 1521. Elles régiront le droit jusqu'à leur remplacement par le code civil. La première édition imprimée date de 1526. D'autres ont suivi parmi lesquelles nous citerons celles de Nicolas Callet (ou Caillet), la première comportant des commentaires, en 1573, de Charles Du Moulin en 1618 et 1633 (réimpression de la précédente), de Barthélemy Jabely en 1695 et de Couturier de Fournoue en 1744. Par ailleurs, plusieurs versions manuscrites existent, dont certaines se trouvent à la Bibliothèque multimedia du Grand Guéret. Cet exemplaire manuscrit est l'oeuvre de Jean Regnauld conseiller du roi, lieutenant criminel au Présidial et sénéchaussée de la Marche à Guéret. Juge des affaires criminelles, il est le deuxième personnage de ce tribunal installé le 6 novembre 1635 dans la capitale de la Haute-Marche. Cette version manuscrite en quatre volumes, avec dos à cinq nerfs et titre et tomaison dorés, a dû servir d'instrument de travail à son auteur. cote : 340.57 (Bibliothèque Multimédia du Grand Guéret)
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La Nymphe du Rio-Clédoux ou la nouvelle fontaine de la ville de Guéret Un texte en vers écrit à l'occasion de l'inauguration de cette fontaine installée place Bonnyaud à Guéret, avec en fin de recueil des notes historiques ou circontancielles qui commentent et enrichissent le propos. MAG.P LIM 18648 (Bfm Limoges)
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Saint Libéral La vie de saint Libéral, né à Brive au IXe siècle. Très apprécié, son nom est à l'origine nombreux patronymes limousins Béral, Bérau... cote : MAG.P LIM 18628 (Bfm Limoges)
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L'église de Saint-Pierre de Fursac, Titre complet :" Sainte Rufine et Saint Léobon patrons de Fursac, L'église de Saint-Pierre de Fursac,les prieurs-curés de Chambon-Sainte-Croix par l'Abbé Louis Dubreuil avec poésies et légendes par François Mettoux " Ce recueil comprend deux hagiographies (St Léonbon et Ste Rufine) une présentation architecturale détaillée de l'Eglise de Fursac, l'histoire patiemment étayée des premiers prieurs de Fursac et des poésies pour certaines en occitan. cote : A212 ( Bibliothèque multimedia du Grand Guéret)
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Programme des exercices littéraires de l'Institution de La Souterraine Programme des exercices de mathématiques (géométrie, algèbre) de l'école de La Souterraine présentés le 4 septembre 1810 : fractions, équations, problèmes, etc... cote : MAG.P LIM 60701 (Bfm Limoges)
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Laveuses à Vallière (Creuse) cote : 2FI 14 (Bfm Limoges)
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Monteil-au-vicomte (Creuse), ruines du château Ce site était constitué de deux grosses tours rondes, larges fossés, corps de logis et terrasses d’agrément sur un petit plateau au-dessus de la rivière du Taurion. De cette forteresse bâtie vers le milieu du XIIème siècle par les vicomtes d’Aubusson, il ne reste qu'une tour : transformé en bien national à la Révolution, l'ensemble a été démembré au cours des siècles et utilisé comme carrière de pierres par les habitants. cote : 9FI76/2 (Bfm Limoges)
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Moulin de l'Age, Creuse extrait de "Creuse 1879-80", carnet de croquis. Après une belle carrière dans la haute administration, Henri Hugon consacre sa retraite à l'érudition, essentiellement l'étude du Limousin. Membre de la société des sciences de la Creuse et celle du Limousin, il fournit d'innombrables études en particulier sur l'histoire de l'art et l'archéologie. On lui doit également deux recueils de vers dans lesquels il décrit les paysages de son Guéret natal avec toujours en toile de fond l'évocation de l'Histoire. Cet historien et poète maniait également la plume à dessin et le pinceau. Il laisse des carnets de croquis conservés dans les archives personnelles de Robert Margerit (dont il était le beau-père), l'un daté de 1876 à 1879, l'autre de 1879-1880. Ses croquis empruntent les mêmes évocations que ses vers chantant la Creuse, son humilité, sa simplicité, avec de nombreux repères de lieux historiques ou archéologiques. On y voit des paysages de la campagne creusoise, mais aussi des bâtiments (châteaux, églises), des ensembles plus modestes ( détails architecturaux, ... ) Les dessins sont au crayon, retravaillés parfois à la plume ou au lavis ocre.
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Vue de Guéret extrait de "Creuse 1879-80", carnet de croquis. Après une belle carrière dans la haute administration, Henri Hugon consacre sa retraite à l'érudition, essentiellement l'étude du Limousin. Membre de la société des sciences de la Creuse et celle du Limousin, il fournit d'innombrables études en particulier sur l'histoire de l'art et l'archéologie. On lui doit également deux recueils de vers dans lesquels il décrit les paysages de son Guéret natal avec toujours en toile de fond l'évocation de l'Histoire. Cet historien et poète maniait également la plume à dessin et le pinceau. Il laisse des carnets de croquis conservés dans les archives personnelles de Robert Margerit (dont il était le beau-père), l'un daté de 1876 à 1879, l'autre de 1879-1880. Ses croquis empruntent les mêmes évocations que ses vers chantant la Creuse, son humilité, sa simplicité, avec de nombreux repères de lieux historiques ou archéologiques. On y voit des paysages de la campagne creusoise, mais aussi des bâtiments (châteaux, églises), des ensembles plus modestes ( détails architecturaux, ... ) Les dessins sont au crayon, retravaillés parfois à la plume ou au lavis ocre.
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Lycée de Guéret extrait de "Creuse 1879-80", carnet de croquis. Après une belle carrière dans la haute administration, Henri Hugon consacre sa retraite à l'érudition, essentiellement l'étude du Limousin. Membre de la société des sciences de la Creuse et celle du Limousin, il fournit d'innombrables études en particulier sur l'histoire de l'art et l'archéologie. On lui doit également deux recueils de vers dans lesquels il décrit les paysages de son Guéret natal avec toujours en toile de fond l'évocation de l'Histoire. Cet historien et poète maniait également la plume à dessin et le pinceau. Il laisse des carnets de croquis conservés dans les archives personnelles de Robert Margerit (dont il était le beau-père), l'un daté de 1876 à 1879, l'autre de 1879-1880. Ses croquis empruntent les mêmes évocations que ses vers chantant la Creuse, son humilité, sa simplicité, avec de nombreux repères de lieux historiques ou archéologiques. On y voit des paysages de la campagne creusoise, mais aussi des bâtiments (châteaux, églises), des ensembles plus modestes ( détails architecturaux, ... ) Les dessins sont au crayon, retravaillés parfois à la plume ou au lavis ocre.