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Creuse
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E. de Girardin Né à Paris en 1802, littérateur, célèbre publiciste, élu député de la Creuse le 21 juin 1834, siégea jusqu'en 1839, revint à la Chambre comme député du Tarn-et-Garonne le 9 juillet 1842, de nouveau élu par la Creuse le 30 mai 1846, siégea jusqu'en février 1848, réélu par le Bas-Rhin le 9 juin 1850, se consacra au journalisme sous l'Empire, rentra à la Chambre des députés en 1877 comme représentant du 9ème arrondissement de Paris, mort en cette ville le 27 avril 1881. cote : FP GIR 07 (Bfm Limoges)
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Emile de Girardin Né à Paris en 1802, littérateur, célèbre publiciste, élu député de la Creuse le 21 juin 1834, siégea jusqu'en 1839, revint à la Chambre comme député du Tarn-et-Garonne le 9 juillet 1842, de nouveau élu par la Creuse le 30 mai 1846, siégea jusqu'en février 1848, réélu par le Bas-Rhin le 9 juin 1850, se consacra au journalisme sous l'Empire, rentra à la Chambre des députés en 1877 comme représentant du 9ème arrondissement de Paris, mort en cette ville le 27 avril 1881. cote : FP GIR 06 (Bfm Limoges)
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Emile de Girardin. Rédacteur en chef du journal la Presse. Député démissionnaire le 14 février 1848. Né à Paris en 1802, littérateur, célèbre publiciste, élu député de la Creuse le 21 juin 1834, siégea jusqu'en 1839, revint à la Chambre comme député du Tarn-et-Garonne le 9 juillet 1842, de nouveau élu par la Creuse le 30 mai 1846, siégea jusqu'en février 1848, réélu par le Bas-Rhin le 9 juin 1850, se consacra au journalisme sous l'Empire, rentra à la Chambre des députés en 1877 comme représentant du 9ème arrondissement de Paris, mort en cette ville le 27 avril 1881. cote : FP GIR 05 (Bfm Limoges)
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[Emile de Girardin] Porte en plus : une signature. Dans la "Galerie de la presse, de la littérature et des beaux-arts". Né à Paris en 1802, littérateur, célèbre publiciste, élu député de la Creuse le 21 juin 1834, siégea jusqu'en 1839, revint à la Chambre comme député du Tarn-et-Garonne le 9 juillet 1842, de nouveau élu par la Creuse le 30 mai 1846, siégea jusqu'en février 1848, réélu par le Bas-Rhin le 9 juin 1850, se consacra au journalisme sous l'Empire, rentra à la Chambre des députés en 1877 comme représentant du 9ème arrondissement de Paris, mort en cette ville le 27 avril 1881. cote : FP GIR 04 (Bfm Limoges)
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Emile de Girardin Dans la "Galerie de la presse, de la littérature et des beaux-arts". Né à Paris en 1802, littérateur, célèbre publiciste, élu député de la Creuse le 21 juin 1834, siégea jusqu'en 1839, revint à la Chambre comme député du Tarn-et-Garonne le 9 juillet 1842, de nouveau élu par la Creuse le 30 mai 1846, siégea jusqu'en février 1848, réélu par le Bas-Rhin le 9 juin 1850, se consacra au journalisme sous l'Empire, rentra à la Chambre des députés en 1877 comme représentant du 9ème arrondissement de Paris, mort en cette ville le 27 avril 1881. cote : FP GIR 03 (Bfm Limoges)
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Emile de Girardin. Député du dépt de la Creuse Porte en plus : "Supplément au Voleur n°5". Né à Paris en 1802, littérateur, célèbre publiciste, élu député de la Creuse le 21 juin 1834, siégea jusqu'en 1839, revint à la Chambre comme député du Tarn-et-Garonne le 9 juillet 1842, de nouveau élu par la Creuse le 30 mai 1846, siégea jusqu'en février 1848, réélu par le Bas-Rhin le 9 juin 1850, se consacra au journalisme sous l'Empire, rentra à la Chambre des députés en 1877 comme représentant du 9ème arrondissement de Paris, mort en cette ville le 27 avril 1881. cote : FP GIR 02 (Bfm Limoges)
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Emile de Girardin, député Dans la "Biographie des hommes du jour". Né à Paris en 1802, littérateur, célèbre publiciste, élu député de la Creuse le 21 juin 1834, siégea jusqu'en 1839, revint à la Chambre comme député du Tarn-et-Garonne le 9 juillet 1842, de nouveau élu par la Creuse le 30 mai 1846, siégea jusqu'en février 1848, réélu par le Bas-Rhin le 9 juin 1850, se consacra au journalisme sous l'Empire, rentra à la Chambre des députés en 1877 comme représentant du 9ème arrondissement de Paris, mort en cette ville le 27 avril 1881. cote : FP GIR 01 (Bfm Limoges)
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Charles-Ferdinand Gambon Légende : "Les ennemis de la calotte. Ferdinand Gambon, député de la Creuse". - Dessin probablement extrait de "La République anti-cléricale", parue entre 1882 et 1883. Né le 19 mars 1820. Socialiste français d'origine suisse, juge suppléant au tribunal civil de Cosne-sur-Loire (Nièvre), représentant du peuple en 1848, condamné par la Haute Cour de Versailles, le 13 novembre 1849, pour excitation à la guerre civile et déporté à Belle-Île, membre de la Commune de Paris (26 mars 1871), nommé le 9 mai membre du Comité de salut public, condamné à mort par contumace par le Conseil de guerre (7 novembre 1872), amnistié en 1879, membre de l'Internationale pendant son exil en Suisse. De retour en France en 1880, il siégea comme député radical de juin 1882 à 1885. Il mourut le 16 septembre 1887. Cote : FP GAMBO (Bfm Limoges)
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Général Léonard-Léopold Forgemol de Bostquénard Légende : "Le général Forgemol commandant en chef de l'expédition de Tunisie" Né le 17 septembre 1821 à Azérables (Creuse). Après avoir fait l'école militaire de Saint-Cyr, il fut appelé en Algérie en 1840 en tant que lieutenant d'infanterie, puis comme colonel. Il fut rappelé en France au début de la guerre franco-allemande de 1870. En 1881, il commandait le corps d'armée de Constantine. Il fut chargé par le gouvernement de Jules Ferry de diriger les opérations militaires en Tunisie d'avril à juillet 1881. De retour à Paris, il fut nommé membre de l'état-major général au ministère de la guerre. Il fut élevé à la dignité de grand-croix de la Légion d'honneur le 4 mai 1889, et reçut la médaille militaire en 1894. Commandant le 11e corps d'armée jusqu'en 1889, il prit sa retraite en 1894. Il mourut à Versailles en 1897. Cote : FP FOR (Bfm Limoges)
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Joseph DELAVALLADE Né à Banize (Creuse) le 19 mars 1792, chirurgien militaire, médecin à Aubusson, député de la Creuse à l'Assemblée législative de 1849, mort à Aubusson le 10 avril 1880. Cote : FP DELA (Bfm Limoges)
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Guy de Blanchefort Né au château de Boulancy (Creuse). Troisième fils de Guy III de Blanchefort et de Souveraine d'Aubusson, commandeur de Morterolles et de Maisonesses, grand prieur d'Auvergne, élu le 22 novembre 1512 Grand Maître de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem. Mort en mer, en face de l'île de Prodane, près de Zante, le 24 novembre 1513. Portrait. / Cars sculp. - paru dans "l'Histoire des chevaliers de Malte", par l'abbé de Vertot. - Légende : "Frere Gui de Blanchefort quarante-et-unieme Cd Maîtr. an. 1512". Au bas du cadre, ses armes. Cote : FP BLA (Bfm Limoges)
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Charles de Biencourt Légende : "Ch. de Biancourt M.al des Camps et Armees du Roi. Député du départemt de la Creuse. Collection générale des portraits de MM les députés à l'Assemblée nationale tenue à Versailles le 4 mai 1789. N° 17." Né au château de Masfaure à Ahun (Creuse) le 7 novembre 1747, il fut maréchal des camps et armées du roi, député de la noblesse de la sénéchaussée de Guéret aux Etats généraux (21 mars 1789). Animé d'idées libérales, il fut des premiers de son ordre à se joindre au tiers-état, et à voter les décrets de l'Assemblée constituante. Après la fuite de Varennes, à la séance du 22 juin, il prêta le serment suivant : «Je jure d'employer les armes remises dans mes mains à la défense de la patrie, et à maintenir contre tous ses ennemis du dedans et du dehors, la Constitution décrétée par l'Assemblée Nationale, de mourir plutôt que de souffrir l'invasion du territoire français par des troupes étrangères, et de n'obéir qu'aux ordres qui seront donnés en conséquence des décrets de l'Assemblée nationale.» Après cette législature il rentra dans la vie privée. Il mourut au château d'Azay (Indre-et-Loire) le 23 décembre 1824. cote : Cote : FP BIE (Bfm Limoges)
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Las Estoueras de lo Morio Marie Bosle (1866-1958) est née et a vécu tout sa vie à Chersoubre, commune de Saint-Georges-Nigremont, à l’orée de cette Montagne limousine que les gens de nos jours appellent toute entière, abusés par la communication touristique : plateau de Millevaches, mais qu’à cet endroit il convient de nommer plus précisément plateau de La Courtine. Chez Marie Bosle comme dans tout le grand tiers sud-est de la Creuse, le dialecte occitan employé est l’auvergnat, et plus précisément le nord-auvergnat, qui reste bien plus proche lexicalement et morphologiquement du dialecte limousin de Bourganeuf, par exemple, qu’il ne l’est du dialecte sud-auvergnat du Cantal ou de Lozère. Tout cela pour dire qu’un limousinophone ne doit pas avoir peur de se frotter aux « gnorles » (historiettes) de Marie Bosle, il les comprendra sans difficulté. C’est sur le tard, à soixante ans passés, que Marie Bosle se mit à écrire ces petits textes dans la langue de son pays. Las Estouéras de lo Morio (Les histoires de la Marie) furent d’abord publiées en chroniques dans le journal La Creuse entre octobre 1938 et août 1939, sous le titre Bouchis de Potoué (Morceaux de patois). En 1941, le journal décidait d’en éditer le recueil que voici. L’introduction de François Pradelle vous en dira davantage. Ces textes furent republiés en 1981 par la F.O.L. de la Creuse et l’I.E.O. Marche-Combraille, dans une édition de Jacques Chauvin (1945-2017). L’occitaniste aubussonnais avait alors pris le parti d’adapter ces textes en graphie occitane normalisée, comme c’était de coutume à l’époque. Mais si l’on reconnaît le grand mérite de la graphie occitane normalisée qui est de permettre au plus grand nombre, à travers toute l’Occitanie, de lire un texte d’un autre dialecte sans grande difficulté, il faut bien dire que la limite de cette graphie est aussi de ne pas pouvoir/vouloir tout à fait retranscrire les localismes et même les « hyperlocalismes » qui peuvent donner toute leur saveur à ce genre de textes si attachés à un territoire, à un terroir précis. Plus critiquable est par ailleurs la volonté manifeste de normaliser un peu la langue de Marie Bosle en ne reproduisant pas dans la version occitane tous les idiomatismes, tous les petits mots de liaison, toutes les tournures de phrases et certaines prononciations tout à fait propres au « patois de la Rozeille », comme l’appelait l’auteure, du nom de la rivière traversant sa contrée. Les occitanistes qui possèdent l’édition de 1981 s’amuseront à comparer avec la présente. cote : G2450/23 (Bfm)
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Anzême en Creuse Jean-Baptiste Boudeau a aussi photographié la Creuse, en particulier la commune d'Anzême, d'où provenait son père, Sylvain Boudeau né en 1849. Il y avait toujours de la famille, une tante paternelle Amélie et un oncle Pierre. La photographie montre le centre du bourg d'Anzême, la principale place avec, d'un côté, l’église paroissiale, de l'autre, un vieux chêne en dessous duquel se trouve René Boudeau. Personnage René Boudeau Boite 276 (bfm Limoges)
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Les buveurs d'absinthe Photographie prise le mardi 11 mai 1909, sur les bords du Taurion, probablement à Bourganeuf en Creuse. Nous possédons à la fois un tirage encadré et la plaque originale. Ces deux jeunes gens posent fièrement dans une étonnante symétrie et ressemblance. Mêmes tabliers blancs, mêmes torses nus, mêmes postures du bras gauche tenant une cigarette. Sur la table pliante bien campée, deux verres à pied, avec les cuillères à absinthe trouées, un sucrier, une carafe d'eau et bien-sûr la bouteille d'absinthe elle-même. La rangée d'arbres – quatre – que l'on voit en enfilade et qui les sépare sur la photographie crée la profondeur de champ. On distingue à droite une passerelle en bois, et un petit bâtiment vraisemblablement construit sur l'autre rive. La plaque au plan sensiblement plus large laisse supposer que, hors champ à droite, se trouve une construction. Personnages : Gabriel Barry et Charles Pradeloup Boîte 17 (Bfm Limoges)
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Les Coutumes vénérables du haut pays et du comté de la Marche , Tome 4, deuxième partie Deuxième partie de l'article 330 à la fin. Les coutumes sont, dans l'ancien droit français, des usages régissant la vie quotidienne des populations dans un cadre géographique déterminé (ville, province). Ces usages se sont formés dès le Moyen Âge. Oraux et transmis par la tradition, ils ont été progressivement fixés par écrit à la suite de l'édit de Montils-lez-Tours d'avril 1453. Les coutumes de la Marche, en fait la Haute-Marche (correspondant en gros à l'actuel département de la Creuse), ont été publiées en 1521. Elles régiront le droit jusqu'à leur remplacement par le Code Civil. La première édition imprimée date de 1526. D'autres ont suivi parmi lesquelles celles de Nicolas Callet (ou Caillet), la première comportant des commentaires, en 1573, de Charles Du Moulin en 1618 et 1633 (réimpression de la précédente), de Barthélemy Jabely en 1695 et de Couturier de Fournoue en 1744. Par ailleurs, plusieurs versions manuscrites existent, dont certaines se trouvent à la Bibliothèque multimedia du Grand Guéret. Cet exemplaire manuscrit est l'oeuvre de Jean Regnauld conseiller du roi, lieutenant criminel au Présidial et sénéchaussée de la Marche à Guéret. Juge des affaires criminelles, il est le deuxième personnage de ce tribunal installé le 6 novembre 1635 dans la capitale de la Haute-Marche. Cette version manuscrite en quatre volumes, avec dos à cinq nerfs et titre et tomaison dorés, a dû servir d'instrument de travail à son auteur. cote : 340.57 (Bibliothèque Multimédia du Grand Guéret)
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Les Coutumes vénérables du haut pays et du comté de la Marche , Tome 4, première partie Première partie de l'article 286 à l'article 329. Les coutumes sont, dans l'ancien droit français, des usages régissant la vie quotidienne des populations dans un cadre géographique déterminé (ville, province). Ces usages se sont formés dès le Moyen Âge. Oraux et transmis par la tradition, ils ont été progressivement fixés par écrit à la suite de l'édit de Montils-lez-Tours d'avril 1453. Les coutumes de la Marche, en fait la Haute-Marche (correspondant en gros à l'actuel département de la Creuse), ont été publiées en 1521. Elles régiront le droit jusqu'à leur remplacement par le code civil. La première édition imprimée date de 1526. D'autres ont suivi parmi lesquelles nous citerons celles de Nicolas Callet (ou Caillet), la première comportant des commentaires, en 1573, de Charles Du Moulin en 1618 et 1633 (réimpression de la précédente), de Barthélemy Jabely en 1695 et de Couturier de Fournoue en 1744. Par ailleurs, plusieurs versions manuscrites existent, dont certaines se trouvent à la Bibliothèque multimedia du Grand Guéret. Cet exemplaire manuscrit est l'oeuvre de Jean Regnauld conseiller du roi, lieutenant criminel au Présidial et sénéchaussée de la Marche à Guéret. Juge des affaires criminelles, il est le deuxième personnage de ce tribunal installé le 6 novembre 1635 dans la capitale de la Haute-Marche. Cette version manuscrite en quatre volumes, avec dos à cinq nerfs et titre et tomaison dorés, a dû servir d'instrument de travail à son auteur. cote : 340.57 (Bibliothèque Multimédia du Grand Guéret)
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Les Coutumes vénérables du haut pays et du comté de la Marche , Tome 3 Les coutumes sont, dans l'ancien droit français, des usages régissant la vie quotidienne des populations dans un cadre géographique déterminé (ville, province). Ces usages se sont formés dès le Moyen Âge. Oraux et transmis par la tradition, ils ont été progressivement fixés par écrit à la suite de l'édit de Montils-lez-Tours d'avril 1453. Les coutumes de la Marche, en fait la Haute-Marche (correspondant en gros à l'actuel département de la Creuse), ont été publiées en 1521. Elles régiront le droit jusqu'à leur remplacement par le Code Civil. La première édition imprimée date de 1526. D'autres ont suivi parmi lesquelles nous citerons celles de Nicolas Callet (ou Caillet), la première comportant des commentaires, en 1573, de Charles Du Moulin en 1618 et 1633 (réimpression de la précédente), de Barthélemy Jabely en 1695 et de Couturier de Fournoue en 1744. Par ailleurs, plusieurs versions manuscrites existent, dont certaines se trouvent à la Bibliothèque multimedia du Grand Guéret. Cet exemplaire manuscrit est l'oeuvre de Jean Regnauld conseiller du roi, lieutenant criminel au Présidial et sénéchaussée de la Marche à Guéret. Juge des affaires criminelles, il est le deuxième personnage de ce tribunal installé le 6 novembre 1635 dans la capitale de la Haute-Marche. Cette version manuscrite en quatre volumes, avec dos à cinq nerfs et titre et tomaison dorés, a dû servir d'instrument de travail à son auteur. cote : 340.57 (Bibliothèque Multimédia du Grand Guéret)
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Rapport à M. le ministre de l'instruction publique et des beaux-arts sur une mission philologique dans le département de la Creuse Une enquête détaillée des trois dialectes creusois. Cette étude fait suite et complète le travail de Charles Tourtoulon et Octavien Bringuier autour des délimitations du parler d'oc et oïl. La carte en fin d'ouvrage reprend ces travaux tout en affinant et y ajoutant des éléments : délimitation du parler du plateau des Millevaches au sud et du parler de l'Ouest limousin.. cote : MAG.P LIM 41015 (Bfm Limoges)
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A travers nos provinces Recueil des articles de Louis Lacrocq parus dans le "Courrier du Centre" et le "Limousin de Paris" entre 1923 et 1928. L'auteur évoque des faits et des personnages, des monuments, des coutumes, des artistes des provinces de la Marche, Berry, Limousin, Quercy, Périgord, Angoumois. Avocat à Guéret, président de la vénérable société des sciences naturelles et archéologiques de la Creuse, Louis Lacrocq est dans la pure tradition des érudits locaux du XIXe siècle, passionné d'histoire et d'archéologie. Outre ses articles, on lit doit notamment un livre exhaustif sur les monuments religieux de la Creuse : Églises de France. Creuse, (ed. Letouzey et Ané, 1934), ouvrage qui fait toujours autorité. cote : MAG.P LIM 33358 (Bfm Limoges)