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Boussac
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Pierre Leroux Légende : "Pierre Leroux, Représentant du peuple (Seine)". - De la série des représentants du peuple éditée par Delarue. Porte en plus : le numéro 28 et la mention "Assemblée nationale". Pierre-Henri Leroux, né à Bercy (Seine) le 6 avril 1797, publiciste, directeur de la Revue encyclopédique (1832-1835), prit en 1845 la direction d'une imprimerie à Boussac (Creuse), maire de cette ville en 1848, élu député de la Seine à la Constituante le 4 juin 1848, réélu par le même département à l'Assemblée législative, se réfugia à Jersey lors du coup d'Etat et ne rentra en France qu'en 1869, mort à Paris le 12 avril 1871. Cote : FP LER 05 (Bfm Limoges)
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Leroux, Pierre, Dept de la Seine "Assemblée Nationale, 1848". Porte en plus l'autographe "Pierre Leroux". Pierre-Henri Leroux, né à Bercy (Seine) le 6 avril 1797, publiciste, directeur de la Revue encyclopédique (1832-1835), prit en 1845 la direction d'une imprimerie à Boussac (Creuse), maire de cette ville en 1848, élu député de la Seine à la Constituante le 4 juin 1848, réélu par le même département à l'Assemblée législative, se réfugia à Jersey lors du coup d'Etat et ne rentra en France qu'en 1869, mort à Paris le 12 avril 1871. Cote : FP LER 04 (Bfm Limoges)
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Pierre Leroux Pierre-Henri Leroux, né à Bercy (Seine) le 6 avril 1797, publiciste, directeur de la Revue encyclopédique (1832-1835), prit en 1845 la direction d'une imprimerie à Boussac (Creuse), maire de cette ville en 1848, élu député de la Seine à la Constituante le 4 juin 1848, réélu par le même département à l'Assemblée législative, se réfugia à Jersey lors du coup d'Etat et ne rentra en France qu'en 1869, mort à Paris le 12 avril 1871. Cote : FP LER 03 (Bfm Limoges)
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Pierre Leroux, né à Paris en 1797 De la série "Assemblée nationale. Galerie des représentants du peuple (1848) (Seine)", n°154. - Porte en plus : la signature de Pierre Leroux. Pierre-Henri Leroux, né à Bercy (Seine) le 6 avril 1797, publiciste, directeur de la Revue encyclopédique (1832-1835), prit en 1845 la direction d'une imprimerie à Boussac (Creuse), maire de cette ville en 1848, élu député de la Seine à la Constituante le 4 juin 1848, réélu par le même département à l'Assemblée législative, se réfugia à Jersey lors du coup d'Etat et ne rentra en France qu'en 1869, mort à Paris le 12 avril 1871. Cote : FP LER 02 (Bfm Limoges)
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Pierre Leroux Légende : "Pierre Leroux ayant exposé à la tribune ses doctrines sociales, non moins embrouillées que ses cheveux, reçoit des poignées de main de ses amis qui, de la sorte, ont l'air d'avoir compris" Porte en sus : Initiales à gauche du dessin :" H.D" et "97 à droite. Pierre-Henri Leroux, né à Bercy (Seine) le 6 avril 1797, publiciste, directeur de la Revue encyclopédique (1832-1835), prit en 1845 la direction d'une imprimerie à Boussac (Creuse), maire de cette ville en 1848, élu député de la Seine à la Constituante le 4 juin 1848, réélu par le même département à l'Assemblée législative, se réfugia à Jersey lors du coup d'Etat et ne rentra en France qu'en 1869, mort à Paris le 12 avril 1871. Cote : FP LER 01 (Bfm Limoges)
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L'Ebraly (Charles Eugène). Né à Courtaix, (Corrèze) le 14 janvier 1809 De la série "Assemblée nationale. Galerie des représentants du peuple (1848) (Corrèze)", n°449. Porte en plus : la signature de Charles Eugène L'Ebraly. Né à Courteix (Corrèze) le 14 janvier 1809, conseiller de préfecture à Tulle, puis sous-préfet de Boussac, élu député de la Corrèze, le troisième sur huit, à l'Assemblée constituante de 1848, conseiller général de la Corrèze, mort à Aigurande (Indre) le 3 juillet 1888. Cote : FP LEBR (Bfm Limoges)
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Château de Boussac cote :2FI1 (Bfm Limoges).
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Bousac [Boussac] "Cette vue de Boussac du milieu du XVIIe siècle n'est pas la plus ancienne mais c'est semble-t-il la plus reproduite. Elle provient de la Topographia Galliae de Matthaüs Merian et Martin Zeiller éditée à Francfort en 1657. Elle a notamment été reproduite dans le Grand dictionnaire de la Haute-Marche d'Ambroise Tardieu datant de 1894, Le Dictionnaire de la Creuse de l'abbé Lecler (1902) et Les Esquisses de Boussac de H. de Lavillatte (1907). C'est l'abbé Lecler qui nous en donne une première description : " Sur la droite, on remarque le château dont la masse de construction domine non seulement la ville mais tout le pays si pittoresque d'alentour. On distingue très bien ce qui restait su château primitif du XIIIe siècle, l'énorme donjon, soutenu par de larges contreforts, surmonté de la niche du veilleur et encadré par deux courtines crénelées. A droite, ce sont les constructions moins sévères du XVe siècle, les tours rondes, les pignons sculptés et la chapelle qui semble avoir une forme assez coquette. [...] La ville est dominée du côté opposé au château par l'église paroissiale, à laquelle notre dessin donne l'apparence d'une magnifique église ogivale, avec transept et clocher sur la croisée [...]. A côté, on distingue plusieurs petits clochetons appartenant probablemenà des communautés religieuses. Au milieu des constructions, et à eu près à égale distance du château et de l'église, nous distinguons un édifice important, peut-être la maison commune [...] ". La ville est entourée d'un mur d'enceinte renforcé de quatre tours et percé de deux portes. A l'extrême droite se voit le départ d'une échauguette qui protégeait le château avant la construction des fortifications. On remarque sur la gauche, touchant le cimetière, aujourd'hui disparu, la chapelle Notre-Dame de Pitié. Quant aux nombreux clochers qui s'élèvent au-dessus de la cité;, il ne reste que celui de l'église paroissiale dont la représentation semble à l'abbé Lecler un peu flatteuse. Cette gravure est assez ressemblante à celle parue dans la Topographie francoise de Claude Chastillon en 1641 qui semble être la plus ancienne et à une autre de la même époque reproduite dans l'Album historique et pittoresque de la Creuse de Pierre Langlade publié en 1847. La salle des gardes du château abrita, à partir du XVIIIe siècle, les six tapisseries de La Dame à la Licorne exécutées dans les Flandres entre 1484 et 1500. . Elles demeurent dans le château après la vente de celui-ci à la Révolution. La municipalité de Boussac les céda en 1882 au conservateur de l'actuel Musée national du Moyen-âge, dont elles sont une des pièces majeures." Jean-Marie Allard cote : 2FI10 (Bfm Limoges)