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Ambazac
- Famille Philippon à Ambazac - Fonds Boudeau (B140-n°2450)
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Vue d'Ambazac - Fonds Boudeau (B136-n°2393) Vue vers le quartier de la gare au sud-est du bourg. On reconnaît notamment les bâtiments de "l'Œuvre Pouquet", institution catholique devenue bien plus tard un lieu d'accueil pour adultes handicapés, le foyer de vie Gilbert Ballet.
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Groupe de l'école Saint-Jean à Ambazac - Fonds Boudeau (B127-n°2273) Paul et Céline Pouquet s'installent en 1840 dans une grande propriété du village de Trasforêt, sur la commune d'Ambazac. Ils consacrent une grande partie de leur fortune à l'édification d'une institution catholique tenue par des religieuses et comprenant une école primaire, un hôpital et un ouvroir (foyer de charité préparant des orphelines aux métiers de couturière et de domestique). En 1864 est édifiée une chapelle qui imite le style roman. Après la loi de 1902 sur les écoles congréganistes, l’Église est chassée des bâtiments qui restent vides quelques années avant d'accueillir, à partir de 1907, des séminaristes de la région. Le docteur Alfred Pouquet, neveu des fondateurs, offre les bâtiments à l’Église. Une école religieuse, l'école Saint-Jean, fonctionnera dans ces locaux jusqu'en 1958, avant d'être déplacée à Limoges. Après le départ de l'école, ce sont des sœurs de Saint François d'Assise qui occupent "l'Oeuvre Pouquet". L’Église vendra les bâtiments au début des années 2000, qui sont depuis lors occupés par un lieu d'accueil pour adultes handicapés, le foyer de vie Gilbert Ballet. Jean-Baptiste Boudeau photographie ici un groupe posant devant le portail de la chapelle.
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Groupe de l'école Saint-Jean à Ambazac - Fonds Boudeau (B127-n°2272) Paul et Céline Pouquet s'installent en 1840 dans une grande propriété du village de Trasforêt, sur la commune d'Ambazac. Ils consacrent une grande partie de leur fortune à l'édification d'une institution catholique tenue par des religieuses et comprenant une école primaire, un hôpital et un ouvroir (foyer de charité préparant des orphelines aux métiers de couturière et de domestique). En 1864 est édifiée une chapelle qui imite le style roman. Après la loi de 1902 sur les écoles congréganistes, l’Église est chassée des bâtiments qui restent vides quelques années avant d'accueillir, à partir de 1907, des séminaristes de la région. Le docteur Alfred Pouquet, neveu des fondateurs, offre les bâtiments à l’Église. Une école religieuse, l'école Saint-Jean, fonctionnera dans ces locaux jusqu'en 1958, avant d'être déplacée à Limoges. Après le départ de l'école, ce sont des sœurs de Saint François d'Assise qui occupent "l'Oeuvre Pouquet". L’Église vendra les bâtiments au début des années 2000, qui sont depuis lors occupés par un lieu d'accueil pour adultes handicapés, le foyer de vie Gilbert Ballet. Jean-Baptiste Boudeau photographie ici un groupe posant devant le portail de la chapelle.
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Groupe de l'école Saint-Jean à Ambazac - Fonds Boudeau (B127-n°2271) Paul et Céline Pouquet s'installent en 1840 dans une grande propriété du village de Trasforêt, sur la commune d'Ambazac. Ils consacrent une grande partie de leur fortune à l'édification d'une institution catholique tenue par des religieuses et comprenant une école primaire, un hôpital et un ouvroir (foyer de charité préparant des orphelines aux métiers de couturière et de domestique). En 1864 est édifiée une chapelle qui imite le style roman. Après la loi de 1902 sur les écoles congréganistes, l’Église est chassée des bâtiments qui restent vides quelques années avant d'accueillir, à partir de 1907, des séminaristes de la région. Le docteur Alfred Pouquet, neveu des fondateurs, offre les bâtiments à l’Église. Une école religieuse, l'école Saint-Jean, fonctionnera dans ces locaux jusqu'en 1958, avant d'être déplacée à Limoges. Après le départ de l'école, ce sont des sœurs de Saint François d'Assise qui occupent "l'Oeuvre Pouquet". L’Église vendra les bâtiments au début des années 2000, qui sont depuis lors occupés par un lieu d'accueil pour adultes handicapés, le foyer de vie Gilbert Ballet. Jean-Baptiste Boudeau photographie ici un groupe posant devant le portail de la chapelle.
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Groupe de l'école Saint-Jean à Ambazac - Fonds Boudeau (B127-n°2270) Paul et Céline Pouquet s'installent en 1840 dans une grande propriété du village de Trasforêt, sur la commune d'Ambazac. Ils consacrent une grande partie de leur fortune à l'édification d'une institution catholique tenue par des religieuses et comprenant une école primaire, un hôpital et un ouvroir (foyer de charité préparant des orphelines aux métiers de couturière et de domestique). En 1864 est édifiée une chapelle qui imite le style roman. Après la loi de 1902 sur les écoles congréganistes, l’Église est chassée des bâtiments qui restent vides quelques années avant d'accueillir, à partir de 1907, des séminaristes de la région. Le docteur Alfred Pouquet, neveu des fondateurs, offre les bâtiments à l’Église. Une école religieuse, l'école Saint-Jean, fonctionnera dans ces locaux jusqu'en 1958, avant d'être déplacée à Limoges. Après le départ de l'école, ce sont des sœurs de Saint François d'Assise qui occupent "l'Oeuvre Pouquet". L’Église vendra les bâtiments au début des années 2000, qui sont depuis lors occupés par un lieu d'accueil pour adultes handicapés, le foyer de vie Gilbert Ballet. Jean-Baptiste Boudeau photographie ici un groupe posant devant le portail de la chapelle.
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Jeunes cyclistes à Ambazac - Fonds Boudeau (B127-n°2269) Ces deux jeunes cyclistes ont belle allure, l'un endimanché, l'autre en vêtements de travail. Ils furent photographiés à Ambazac, sur le petit pont enjambant le Beuvreix (également appelé Parleur) et menant au quartier de la gare. Derrière eux, nous apercevons le restaurant Pouyaud, dans l'actuelle avenue de Soufflenheim. A l'époque, la production industrielle de vélos s'accélérait en France et ce nouveau mode de déplacement connaissait un formidable essor dans nos campagnes...
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Groupe Lecardeur et Sénèque à Ambazac - Fonds Boudeau (B114-n°2074) Le jeune homme de droite, habillé en zouave, devait probablement effectuer son service militaire (qui durait alors deux ans) dans l'infanterie coloniale, peut-être au Maroc ou en Algérie. Nous l'imaginons volontiers en permission, retrouvant ici ses frères ou amis autour d'un apéritif.
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Noémie Lachaud à Ambazac - Fonds Boudeau (B114-n°2068-2069) Très élégante jeune femme posant devant le décor peint du photographe.
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Ambazac, l'église - Fonds Boudeau (B20-n°534) L'église Saint-Antoine d'Ambazac date du 12e siècle, mais elle a été maintes fois rénovée et remaniée au cours des siècles. Son clocher, par exemple, a entièrement été reconstruit en 1868.
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Ambazac, la mairie - Fonds Boudeau (B20-n°533) Vue du tout nouvel hôtel de ville, bâti de 1898 à 1900.
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Ambazac, vue générale - Fonds Boudeau (B20-n°532) Vue vers Ambazac depuis le sud du bourg. Au fond se dessinent les monts d'Ambazac.
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M. Teisserenc de Bort, ministre de l'Agriculture et du Commerce Edmond-Pierre Teisserenc de Bort, né à Châteauroux (Indre) en 1814, ingénieur, contrôleur de l'exploitation de chemins de fer, député de l'Hérault de 1846 à 1848, administrateur de la Compagnie de Paris-Lyon-Méditerrannée, agriculteur, il s'intéresse à l'agriculture et notamment à l'élevage de vaches limousines. Pionnier dans le développement de cette race bovine, il possède une vaste propriété près d'Ambazac qu'il fait exploiter par des métayers et sur laquelle il s'intéresse à l'amélioration de la race. élu député en 1871, ministre de l'agriculture en1872 et 1873, puis de 1876 à 1877, ambassadeur à Vienne de février 1879 à avril 1880, vice-président du Sénat, mort à Paris le 29 juillet 1892. Cote : FP TEI (Bfm Limoges)
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Garde voies 2 Dès le mois d'août 1914, face à la crainte d'une cinquième colonne, de traîtres, d'espions allemands qui viendraient saboter et ou prendre des informations capitales sur l'armée française, est mi en place un système de garde-voies, le long des lignes de chemin de fer. D'après une note de l'instruction générale des armées de 1910, les hommes âgés de plus de 35 ans jusqu'à 45 ans se réunissent sur l'emplacement assigné au poste auquel ils appartiennent et, pour les postes de voies ferrées, à la gare la plus voisine de cet emplacement." Ces deux photographies prises au poste 44 et 45, le long d'une voie ferrée, manifestement proche de Saint-Priest-Taurion, le 30 août 1914, nous montrent des hommes équipés chaque fois de un ou deux fusils, où les mêmes portent un uniforme, tandis que les autres sont habillés sommairement, reconnaissables à un brassard. Il s’agit du village de Nouaillas, sur le territoire de la commune d’Ambazac, le long de la ligne Paris-Limoges. Boite 200 (Bfm Limoges)
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Garde voies 1 Dès le mois d'août 1914, face à la crainte d'une cinquième colonne, de traîtres, d'espions allemands qui viendraient saboter et ou prendre des informations capitales sur l'armée française, est mi en place un système de garde-voies, le long des lignes de chemin de fer. D'après une note de l'instruction générale des armées de 1910, les hommes âgés de plus de 35 ans jusqu'à 45 ans se réunissent sur l'emplacement assigné au poste auquel ils appartiennent et, pour les postes de voies ferrées, à la gare la plus voisine de cet emplacement." Ces deux photographies prises au poste 44 et 45, le long d'une voie ferrée, manifestement proche de Saint-Priest-Taurion, le 30 août 1914, nous montrent des hommes équipés chaque fois de un ou deux fusils, où les mêmes portent un uniforme, tandis que les autres sont habillés sommairement, reconnaissables à un brassard. Il s’agit du village de Nouaillas, sur le territoire de la commune d’Ambazac, le long de la ligne Paris-Limoges. Boite 200 (Bfm Limoges)
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Atelier de couture en plein air « Par une chaude journée d’été, les petites mains du tailleur Poutaraud à Ambazac ont choisi l’ombre rafraîchissante de l’impasse qui sépare l’atelier du magasin. Boudeau a su saisir la beauté de ces femmes affairées à assembler des vêtements d’homme sous le regard bienveillant du patron, reconnaissable au mètre à ruban qui pend à son cou, et celui des coupeurs. La scène est naturelle, plus familiale qu’ouvrière, encore apaisée par la présence de la fillette et des chatons. Il y règne une atmosphère de sérieux teintée de bonne humeur, qui reflète la réalité artisanale des bourgs limousins au début du XXe siècle. Ce cliché témoigne d’une nette opposition avec les conditions de travail de l’ouvrier des villes à la même époque. » Alain Monteaux Personnages : couturières, tailleur Poutaraud Boîte 212 (Bfm Limoges)
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Le château de Montméry Propriété du porcelainier américain Théodore Haviland (1842-1919), le château de Montméry est bâti sur un terrain acheté par lui en 1883, les travaux de construction étant achevés en 1885. L'architecte principal en est Richard Morris-Hunt, le maître d’œuvre & constructeur étant le Limousin Menissier. Château éclectique, mêlant différents styles, on aperçoit une tour et trois rotondes. C'est une photographie prise au printemps, mais les sept volets aperçus étant fermés, on en déduit qu'il est inoccupé. Jean-Baptiste Boudeau réalise ce jour-là cinq photographies du château, dont nous avons trois plaques. Le château a servi de décor à plusieurs films dont, Providence d'Alain Resnais, Les destinées sentimentales d'Olivier Assayas ou plus récemment Lady Chaterley de Pascale Ferran. Théodore Haviland s’étant séparé de son frère Charles, a fait construire une usine de porcelaine, avenue de Poitiers (Émile Labussière aujourd'hui) inaugurée en 1893. Elle deviendra la première fabrique de Limoges. Personnage : Théodore Haviland Boîte 141 (Bfm Limoges)
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Le château de Saint-Roch Dans le quartier de la gare d'Ambazac, mais déjà un pied dans l'espace rural, se niche le château de Saint-Roch, un manoir construit au XIXème siècle. Entouré d'un parc à l'anglaise, dont une pièce d'eau, il est ici photographié en hiver. Les volets sont clos, les massifs sont taillés, les propriétaires sont en ville, pour la saison hivernale. Le seul élément, central une fois de plus, qui anime la photographie, est le couple de canards qui évolue sur l'eau. On peut observer la beauté de ce ciel nuageux, ce qui tend à prouver que Jean-Baptiste Boudeau maîtrise mieux la lumière hivernale. A noter que plusieurs cartes postales du château de Saint-Roch réalisées par lui ont été vendues dans le commerce, notamment par l'épicerie Balabaud. Les tirages étaient de 250 ou 500. L'une d'entre elles portant le n° 3030, intitulée « Villa Saint-Roch » a été réalisée le même jour que cette photographie. Boite 180 (Bfm Limoges)