-
Marché Dupuytren place de la Motte. Motte signifie tertre, butte féodale.
Les halles auxquelles on a donné le nom de Guillaume Dupuytren (1777-1850), célèbre anatomiste et chirurgien haut-viennois, sont inaugurées en 1862. Le bâtiment, construit par l'architecte Regnault, est constitué de 64 colonnes creuses en fer supportant la charpente à lanterne. Sa superficie est de 450 m2. Il est déplacé rond-point du Crucifix (actuelle place Sadi-Carnot) en 1889, alors que sont inaugurées place de la Motte les grandes halles qui existent encore.
cote : 9FI456 (Bfm Limoges)
-
Halle à la criée de Limoges, place de la Motte Motte signifie tertre, butte féodale.
Inaugurée en 1874, cette petite halle à la criée aura eu une bien courte vie, puisqu’elle sera démolie en 1888, tandis que se construisent les grandes halles que l’on connaît.
cote : 9FI455 (Bfm Limoges)
-
Beaulieu sur Dordogne, vieille maison cote : 9FI99 (Bfm Limoges)
-
L'Observatoire de Limoges Cet observatoire fut établi en 1882 par Paul Garrigou-Lagrange (1855-1927), passionné de climatologie, de météorologie et d'hydrologie, natif d'Aixe-sur-Vienne. L’étrange bâtiment, qui contenait un logement mais aussi des salles de réunion, des laboratoires et des plates-formes d’observation, fut bâti sur les plans de l'architecte Jules Tixier. Il était situé dans une petite allée perpendiculaire à l'avenue Jean-Foucaud. Laissé à l’abandon durant de nombreuses années et malgré l’opposition de nombreux riverains et défenseurs du patrimoine, le bâtiment fut rasé en 1979. Il n’en reste rien, seul le nom de la rue garde sa mémoire.
cote : 3FI71/10
-
Hôtel bvd L.Blanc, Limoges, Les Bories près Brives, Hôpital de Bellac, Labège près Mézières Extrait de "Croquis et Compositions" par Jules Tixier, architecte.
Pierre Jules Tixier tient une place de choix à Limoges, tant par la diversité de ses centres d'intérêt que par ses réalisations.
Architecte, archéologue, historien, il laisse d'importantes notes et dessins.
Il est engagé dans de nombreuses associations locales : Société Régionale des architectes, Société archéologique, Société Gay-Lussac. Architecte des monuments historiques de la Haute-Vienne, il participe à la restauration de nombreuses églises. Enfin, ses constructions pour l'architecture privée comptent des hôtels particuliers, des maisons de campagne, des établissements d'enseignement et se distinguent par l'utilisation judicieuse du granit.
cote : 3FI71/13 (Bfm Limoges)
-
L'Ecole normale d'institutrices de Limoges Extrait de "Croquis et Compositions" par Jules Tixier, architecte.
Pierre Jules Tixier tient une place de choix à Limoges, tant par la diversité de ses centres d'intérêt que par ses réalisations.
Architecte, archéologue, historien, il laisse d'importantes notes et dessins.
Il est engagé dans de nombreuses associations locales : Société Régionale des architectes, Société archéologique, Société Gay-Lussac. Architecte des monuments historiques de la Haute-Vienne, il participe à la restauration de nombreuses églises. Enfin, ses constructions pour l'architecture privée comptent des hôtels particuliers, des maisons de campagne, des établissements d'enseignement et se distinguent par l'utilisation judicieuse du granit.
cote : 3FI71/7 (Bfm Limoges)
-
Parc des Bories, près Brive, habitation de M.G. Seguin Extrait de "Croquis et Compositions" par Jules Tixier, architecte.
Pierre Jules Tixier tient une place de choix à Limoges, tant par la diversité de ses centres d'intérêt que par ses réalisations.
Architecte, archéologue, historien, il laisse d'importantes notes et dessins.
Il est engagé dans de nombreuses associations locales : Société Régionale des architectes, Société archéologique, Société Gay-Lussac. Architecte des monuments historiques de la Haute-Vienne, il participe à la restauration de nombreuses églises. Enfin, ses constructions pour l'architecture privée comptent des hôtels particuliers, des maisons de campagne, des établissements d'enseignement et se distinguent par l'utilisation judicieuse du granit.
cote : 3FI71/4 (Bfm Limoges)
-
Donnez, donnez ! "Mélodie vendue au profit des incendiés de Limoges".
Dans la nuit du 15 août 1864, un incendie se déclare rue des Arènes et se propage rapidement. Il n'y a pas de victimes, mais 109 maisons sont détruites en une seule nuit dans un espace allant de la place d'Aine à la place de la Motte, laissant près de 2000 habitants sans abri. les pertes matérielles sont considérables. Un élan de solidarité se répand en France et à l'étranger. Des listes de souscription se mettent en place. Elles couvriront près d'un tiers de la valeur des dégâts.
cote : MAG.P LIM 39429/60 (Bfm Limoges)
-
Guide of Limoges for american soldiers Titre complet : " Guide of Limoges for american soldiers, with an historical part, pratical advices, directory of the streets, Scaled map for the Directory"
cote : MAG.P LIM ASS 60 (Bfm Limoges)
-
Plan général de Limoges, 1885 échelle : 1/10 000e
extrait de "Limoges et ses environs : guide du voyageur orné de plusieurs gravures, accompagné du plan de la ville" de Paul Ducourtieux.
cote : MAG.P LIM 18320 bis (Bfm Limoges)
-
Discours contenant l'antique fondation de la ville et cité de Limoges, avec un sommaire des choses remarquables qui s'y sont passées lors de l'entrée du Roy très chrétien Henry IIII, roi de France et de Navarre, Seigneur Vicomte de Limoges le XX d'octobre 1605. Ce texte est le récit de l'entrée royale du roi Henri IV à Limoges en 1605.
les entrées royales sont un genre narratif autant que social. Le récit est entrecoupé de discours et renseigne sur l'image qie la Ville a voulu donner d'elle au Roi, ainsi que sur les dépenses engagées.
Concernant Henri IV, il existe une quinzaine de récits d'entrées solennelles durant son règne. Il s'agit alors de pacifier le royaume et d'appeler à la réconciliation nationale autant que de faire l'éloge de la fonction royale.
cote : MAG.P LIM T.152 (Bfm Limoges)
-
Argentat, construction du nouveau pont. Le premier pont suspendu, appelé aussi pont Marie, fut construit en 1829 aux frais du comte de Noailles pour faciliter le transport du charbon extrait des mines de ses mines.
Devenu trop étroit et pas assez résistant aux charges de plus en plus lourdes, il fut remplacé par un édifice en pierre, construit entre 1892 et 1894.
Ses deux arches enjambent la Dordogne prenant appui sur une seule pile afin de faciliter l'écoulement des eaux au printemps et en automne, ainsi que le passage des gabares qui descendent vers Souillac.
cote : 9Fi78/4 (Bfm Limoges)
-
Argentat, construction du nouveau pont. Le premier pont suspendu, appelé aussi pont Marie, fut construit en 1829 aux frais du comte de Noailles pour faciliter le transport du charbon extrait des mines de ses mines.
Devenu trop étroit et pas assez résistant aux charges de plus en plus lourdes, il fut remplacé par un édifice en pierre, construit entre 1892 et 1894.
Ses deux arches enjambent la Dordogne prenant appui sur une seule pile afin de faciliter l'écoulement des eaux au printemps et en automne, ainsi que le passage des gabares qui descendent vers Souillac.
cote : 9Fi78/2 (Bfm Limoges)
-
L'entrée de l'ancien Pont-Marie. Ce pont sur la Dordogne, aujourd'hui disparu, fut ouvert en 1829. D'une portée unique de 107 mètres et d'une hauteur de 24 mètres, il fut construit en réutilisant le système de suspension Seguin constitué de 6 câbles de part et d'autre du tablier. On l'appelait aussi le pont Marie, du nom de la fille du Comte de Noailles qui finança à ses frais les travaux de construction.
Devenu trop étroit et pas assez résistant aux charges de plus en plus lourdes, il fut remplacé en 1892 par le pont de la République.
cote : 9Fi446 (Bfm Limoges)
-
Saint-Yrieix (Haute-Vienne), carrière de kaolin abandonnée. A Saint-Yrieix, en 1768, Jean-Baptiste Darnet signale à un apothicaire l’existence de terre utilisée par sa femme pour faire sa lessive. L’analyse révèle la pureté du kaolin. Des dizaines de carrières s’ouvrent à partir de 1769. En 1801 la production annuelle de kaolin autour de Saint-Yrieix était estimée à 350 tonnes…
cote : 9Fi85/2 (Bfm Limoges)
-
Aubazine (Corrèze), ruines du monastère. cote : 9Fi77/2 (Bfm Limoges).
-
Le Chalard (Haute-Vienne), ruines de la Tour cote : 9Fi75/4 (Bfm Limoges)
-
Le Chalard (Haute-Vienne), église. Cette église romane fut bâtie à partir de 1088 par St Geoffroy. Il y fonda un monastère de chanoines de l’ordre de St Augustin dont il fut le prieur. Le tombeau St Geoffroy et la châsse qui renferme sesossements sont abritées dans l'église Au chevet se trouve le « Cimetière des moines », un ensemble unique de tombes du XIIème et XVème siècle.
cote : 9Fi75/2 (Bfm Limoges)
-
Poésies en patois limousin extrait du recueil : " les quatre mélodies populaires qui sont données dans cette brochure comme spécimen des richesses musicales que nos paysans transmettent d'âge en âge n'ont été choisies que pour les paroles. Il s'en faut de beaucoup qu'elles soient les plus intéressantes comme musique ..."
cote : MAG.P LIM B1027 (Bfm Limoges)
-
Grèves de Limoges, 19 Avril 1905. Enterrement de Vardelle : Le cortège sort de la Rue de la Roche et va s'engager sur le Pont St-Martial En 1904 et 1905, de nombreuses grèves marquèrent la ville de Limoges, tous secteurs d'activité confondus. Le 17 avril 1905 vers 21h00, la foule des manifestants se heurta à une violente offensive des forces de l'ordre. Les affrontements causèrent une vingtaine de blessés et la mort de Camille Vardelle, ouvrier porcelainier de 19 ans. Des milliers de personnes assistèrent aux funérailles du jeune homme, dont la mort fut commémorée par une manifestation pendant des années..
cote : LIM 17395.161 cpa (Bfm Limoges)