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Dictionnaire du patois du Bas-Limousin (Corrèze) et plus particulièrement des environs de Tulle cote : Mag P LIM 34100 (Bfm Limoges)
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Chronique d'Eusèbe Ce manuscrit du XIIe siècle provient de la célèbre bibliothèque de Bernard Gui, puis passa aux mains des Jésuites du collège de Limoges.
Il contient en réalité plusieurs oeuvres : une Chronique d'Eusèbe du XIIe siècle, traduite et continuée par Saint-Jérôme et SProsper, un explicit, et deux sermons du XIVe siècle.
cote : Ms1 (Bfm Limoges)
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Jules Clarétie Arsène Arnaud Clarétie dit Jules Clarétie est né à Limoges en 1840. Romancier prolixe, auteur dramatique (dont deux livrets d'opéras pour Jules Massenet), il est aussi historien ( il compose entre autres une « Histoire de la Révolution de 1870-1871 ») et remarquable chroniqueur de la vie parisienne ( au « Figaro » et au « Temps », il tient la critique théâtrale à « L’Opinion nationale », au « Soir », et à « La Presse »).
Président de la société des gens de lettres puis Académicien, il dirige la Comédie Française jusqu'à sa mort en 1913.
Travailleur acharné, son style élégant et enlevé faisait l'admiration de ses contemporains.
cote : FP CLA (Bfm Limoges)
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Jules Clarétie, l'auteur de la Révolution Cette caricature fait allusion au livre de Jules Clarétie « L'Histoire de la Révolution de 1870-71 ». Le dessin est paru en " une" du journal hebdomadaire satyrique l'"Eclipse", n°245, dimanche 6 juillet 1873.
Arsène Arnaud Clarétie dit Jules Clarétie est né à Limoges en 1840. Romancier prolixe, auteur dramatique (dont deux livrets d'opéras pour Jules Massenet), il est aussi historien ( il compose entre autres une « Histoire de la Révolution de 1870-1871 ») et remarquable chroniqueur de la vie parisienne ( au « Figaro » et au « Temps », il tient la critique théâtrale à « L’Opinion nationale », au « Soir », et à « La Presse »).
Président de la société des gens de lettres puis Académicien, il dirige la Comédie Française jusqu'à sa mort en 1913.
Travailleur acharné, son style élégant et enlevé faisait l'admiration de ses contemporains.
cote : FP CLA (Bfm Limoges)
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Jules Claretie Légende : "Oui, Monsieur le Ministre est fort bien réussi, / De moeurs excellente peinture, / L'auteur a mérité d'être ministre aussi, / Celui de la littérature.". Le dessin et sa légende font référence au roman de Jules Clarétie « Monsieur le Ministre » paru en 1821, et qui connu un franc succès.
Arsène Arnaud Clarétie dit Jules Clarétie est né à Limoges en 1840. Romancier prolixe, auteur dramatique (dont deux livrets d'opéras pour Jules Massenet), il est aussi historien ( il compose entre autres une « Histoire de la Révolution de 1870-1871 ») et remarquable chroniqueur de la vie parisienne ( au « Figaro » et au « Temps », il tient la critique théâtrale à « L’Opinion nationale », au « Soir », et à « La Presse »).
Président de la société des gens de lettres puis Académicien, il dirige la Comédie Française jusqu'à sa mort en 1913.
Travailleur acharné, son style élégant et enlevé faisait l'admiration de ses contemporains.
cote : FP CLA (Bfm Limoges)
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Prumieiro eilingado "Première causerie" . Court recueil de textes divers en occitan : chansons, histoires, devinettes...
cote : MAG.P LIM 18585 (Bfm Limoges)
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Petit manuel du bon félibre limousin, les institutions, les idées et les oeuvres cote : MAG.P LIM 18380 (Bfm Limoges)
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Las Baricadas "le Bourineur" Roman d'aventures de suspens, de légendes limousines... Et Chalucet en toile de fond...
cote : 18200 (Bfm Limoges)
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La jeune fille à la fleur Entre 1900 et 1924, Jean-Baptiste Boudeau, épicier à Saint-Priest-Taurion, parcourt en carriole ou à vélo les environs de Limoges, Ambazac, Saint-Léonard, Bessines, ... Il réalise des cartes postales de monuments, des photographie de mariage, des portraits à la demande. Il fixe également des événements exceptionnels (fêtes, accidents). Ses clichés témoignent de la vie quotidienne dans les campagnes, d'un monde en mutation, sans misérabilisme ni nostalgie..
En 2011, la Bfm de Limoges a acquis plus de 3500 de ses plaques de verre : un fonds d'une grande richesse qui a fait l'objet d'une exposition à la Bfm en 2012.
Fonds Jean-Baptiste Boudeaau, boite 141 (Bfm)
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L'équipe de Football Entre 1900 et 1924, Jean-Baptiste Boudeau, épicier à Saint-Priest-Taurion, parcourt en carriole ou à vélo les environs de Limoges, Ambazac, Saint-Léonard, Bessines, ... Il réalise des cartes postales de monuments, des photographie de mariage, des portraits à la demande. Il fixe également des événements exceptionnels (fêtes, accidents). Ses clichés témoignent de la vie quotidienne dans les campagnes, d'un monde en mutation, sans misérabilisme ni nostalgie..
En 2011, la Bfm de Limoges a acquis plus de 3500 de ses plaques de verre : un fonds d'une grande richesse qui a fait l'objet d'une exposition à la Bfm en 2012.
Fonds Jean-Baptiste Boudeau, boîte 277 (Bfm Limoges)
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Emile Courgnaud faisant baigner ses chevaux Entre 1900 et 1924, Jean-Baptiste Boudeau, épicier à Saint-Priest-Taurion, parcourt en carriole ou à vélo les environs de Limoges, Ambazac, Saint-Léonard, Bessines, ... Il réalise des cartes postales de monuments, des photographie de mariage, des portraits à la demande. Il fixe également des événements exceptionnels (fêtes, accidents). Ses clichés témoignent de la vie quotidienne dans les campagnes, d'un monde en mutation, sans misérabilisme ni nostalgie..
En 2011, la Bfm de Limoges a acquis plus de 3500 de ses plaques de verre : un fonds d'une grande richesse qui a fait l'objet d'une exposition à la Bfm en 2012.
Fonds Jean-Baptiste Boudeau, Classeur n°2 (Bfm Limoges)
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L'automobile de Monsieur Bouttier Entre 1900 et 1924, Jean-Baptiste Boudeau, épicier à Saint-Priest-Taurion, parcourt en carriole ou à vélo les environs de Limoges, Ambazac, Saint-Léonard, Bessines, ... Il réalise des cartes postales de monuments, des photographie de mariage, des portraits à la demande. Il fixe également des événements exceptionnels (fêtes, accidents). Ses clichés témoignent de la vie quotidienne dans les campagnes, d'un monde en mutation, sans misérabilisme ni nostalgie..
En 2011, la Bfm de Limoges a acquis plus de 3500 de ses plaques de verre : un fonds d'une grande richesse qui a fait l'objet d'une exposition à la Bfm en 2012.
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jeune fille en barbichet Dans son beau costume du dimanche à l'occasion du voyage du président Poincaré en Limousin en 1913.
Entre 1900 et 1924, Jean-Baptiste Boudeau, épicier à Saint-Priest-Taurion, parcourt en carriole ou à vélo les environs de Limoges, Ambazac, Saint-Léonard, Bessines, ... Il réalise des cartes postales de monuments, des photographie de mariage, des portraits à la demande. Il fixe également des événements exceptionnels (fêtes, accidents). Ses clichés témoignent de la vie quotidienne dans les campagnes, d'un monde en mutation, sans misérabilisme ni nostalgie..
En 2011, la Bfm de Limoges a acquis plus de 3500 de ses plaques de verre : un fonds d'une grande richesse qui a fait l'objet d'une exposition à la Bfm en 2012.
Boîte 163 (Bfm Limoges)
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Recueil d'armoiries limousines de Philippe Poncet, peintre et émailleur, complété à l'aide du manuscrit Lamy, de l'armorial de 1696 et de divers autres documents Extrait du "Bulletin de la Société archéologique et historique du Limousin", Tome 52, 1903, p. 425-484 et Tome 54, 1904, p. 337-426.
cote : MAG.P LIM 40540 (Bfm Limoges)
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Porte de la ville de la Souterraine Gravure extraite de l' "Historique monumental de l'ancienne province du Limousin".
Ancien élève de l'Ecole des Arts et Métiers d'Angers, Jean-Baptiste Tripon s'installe imprimeur-lithographe à Limoges. Son ouvrage majeur est celui-ci. Imprimé en plusieurs livraisons, l'exemplaire original de 1837 est devenu rare. Les érudits du XIXe siècle sont déjà très critiques sur son contenu. Alfred Leroux estime en 1888 que "c'est un fatras sans critique, une compilation lourde et terne". Il en demeure des lithographies parfois fantaisistes, voire divertissantes.
cote : MAG.P LIM 33272/2
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Fanals funéraires Gravure extraite de l' "Historique monumental de l'ancienne province du Limousin".
Ces fanals, ou lanternes des morts sont une singularité architecturale des régions de Poitou , Limousin et Saintonge. Il n'en reste que vingt-six édifiées dans les cimetières, souvent déplacées à proximité de l'église. On sait toutefois peu de choses sur leur usage médiéval précis. On peut supposer que ces lanternes, par la lumière qu’elles peuvent diffuser dans la nuit du cimetière représentaient une protection pour les morts comme pour les vivants. Leur zone de diffusion correspond à une région où le cimetière possède une longue tradition de protection juridique, réactualisée par le mouvement de la Paix de Dieu.
Ancien élève de l'Ecole des Arts et Métiers d'Angers, Jean-Baptiste Tripon s'installe imprimeur-lithographe à Limoges. Son ouvrage majeur est celui-ci. Imprimé en plusieurs livraisons, l'exemplaire original de 1837 est devenu rare. Les érudits du XIXe siècle sont déjà très critiques sur son contenu. Alfred Leroux estime en 1888 que "c'est un fatras sans critique, une compilation lourde et terne". Il en demeure des lithographies parfois fantaisistes, voire divertissantes.
cote : MAG.P LIM 33272/2
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Eglise de Saint-Junien Gravure extraite de l' "Historique monumental de l'ancienne province du Limousin".
Ancien élève de l'Ecole des Arts et Métiers d'Angers, Jean-Baptiste Tripon s'installe imprimeur-lithographe à Limoges. Son ouvrage majeur est celui-ci. Imprimé en plusieurs livraisons, l'exemplaire original de 1837 est devenu rare. Les érudits du XIXe siècle sont déjà très critiques sur son contenu. Alfred Leroux estime en 1888 que "c'est un fatras sans critique, une compilation lourde et terne". Il en demeure des lithographies parfois fantaisistes, voire divertissantes.
cote : MAG.P LIM 33272/2
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Eglise de la Souterraine Gravure extraite de l' "Historique monumental de l'ancienne province du Limousin".
Ancien élève de l'Ecole des Arts et Métiers d'Angers, Jean-Baptiste Tripon s'installe imprimeur-lithographe à Limoges. Son ouvrage majeur est celui-ci. Imprimé en plusieurs livraisons, l'exemplaire original de 1837 est devenu rare. Les érudits du XIXe siècle sont déjà très critiques sur son contenu. Alfred Leroux estime en 1888 que "c'est un fatras sans critique, une compilation lourde et terne". Il en demeure des lithographies parfois fantaisistes, voire divertissantes.
cote : MAG.P LIM 33272/2
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Tour de Chalus Gravure extraite de l' "Historique monumental de l'ancienne province du Limousin".
Ancien élève de l'Ecole des Arts et Métiers d'Angers, Jean-Baptiste Tripon s'installe imprimeur-lithographe à Limoges. Son ouvrage majeur est celui-ci. Imprimé en plusieurs livraisons, l'exemplaire original de 1837 est devenu rare. Les érudits du XIXe siècle sont déjà très critiques sur son contenu. Alfred Leroux estime en 1888 que "c'est un fatras sans critique, une compilation lourde et terne". Il en demeure des lithographies parfois fantaisistes, voire divertissantes.
cote : MAG.P LIM 33272/2
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Ruines de l'abbaye de Saint-Junien Gravure extraite de l' "Historique monumental de l'ancienne province du Limousin".
Ancien élève de l'Ecole des Arts et Métiers d'Angers, Jean-Baptiste Tripon s'installe imprimeur-lithographe à Limoges. Son ouvrage majeur est celui-ci. Imprimé en plusieurs livraisons, l'exemplaire original de 1837 est devenu rare. Les érudits du XIXe siècle sont déjà très critiques sur son contenu. Alfred Leroux estime en 1888 que "c'est un fatras sans critique, une compilation lourde et terne". Il en demeure des lithographies parfois fantaisistes, voire divertissantes.
cote : MAG.P LIM 33272/2