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Salle à manger du château de Ribagnac à Saint-Martin-Terressus - Fonds Boudeau (B61-n°1210) Datant du début du 17e siècle, le château de Ribagnac a bénéficié de modifications et de rénovations importantes vers 1780 et vers 1860.
Après avoir appartenu, entre autres, à la famille Alluaud, célèbres porcelainiers limougeauds, le château a été racheté en 1903 par la famille de Saulieu O'Toole, propriétaires au moment de cette prise de vue. Dans les années 1930, c'est la famille Lacaze-Masmonteil qui en fait l'acquisition.
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Arrière du château de Ribagnac à Saint-Martin-Terressus - Fonds Boudeau (B61-n°1209) Datant du début du 17e siècle, le château de Ribagnac a bénéficié de modifications et de rénovations importantes vers 1780 et vers 1860.
Après avoir appartenu, entre autres, à la famille Alluaud, célèbres porcelainiers limougeauds, le château a été racheté en 1903 par la famille de Saulieu O'Toole, propriétaires au moment de cette prise de vue. Dans les années 1930, c'est la famille Lacaze-Masmonteil qui en fait l'acquisition.
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Château de Ribagnac à Saint-Martin-Terressus - Fonds Boudeau (B61-n°1206) Datant du début du 17e siècle, le château de Ribagnac a bénéficié de modifications et de rénovations importantes vers 1780 et vers 1860.
Après avoir appartenu, entre autres, à la famille Alluaud, célèbres porcelainiers limougeauds, le château a été racheté en 1903 par la famille de Saulieu O'Toole, propriétaires au moment de cette prise de vue. Dans les années 1930, c'est la famille Lacaze-Masmonteil qui en fait l'acquisition.
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Groupe au château des Rieux à Saint-Martin-Terressus - Fonds Boudeau (B60-n°1204) Jolie mise en scène au château des Rieux, où les propriétaires posent avec leurs domestiques.
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Rénovation du château des Rieux à Saint-Martin-Terressus - Fonds Boudeau (B60-n°1200)
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Rénovation du château des Rieux à Saint-Martin-Terressus - Fonds Boudeau (B60-n°1199)
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Groupe de pêcheurs - Fonds Boudeau (B60-n°1197) Pas de localisation précise pour ce sympathique groupe de pêcheurs, probablement à Saint-Priest-Taurion ou dans les environs..
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Usine de carton à La Gravade, Saint-Priest-Taurion - Fonds Boudeau (B59-n°1188) Autre vue de la cartonnerie des Roches, au moulin du même nom, à l'endroit anciennement nommé La Gravade, sur la commune de Saint-Priest-Taurion. Le photographe a cette fois-ci tenu à immortaliser le passage du train.
Si ce paysage peut aujourd'hui nous paraître presque bucolique, c'est très probablement l'industrie et la modernité triomphantes que Jean-Baptiste Boudeau voulait alors photographier.
La cartonnerie des Roches appartenait à la société Hétier, basée dans le Jura. Profitant de l'énergie de la Vienne, elle produisait de la pâte à papier, du papier et du carton. Elle ferma ses portes en 1978 et fut transformée en une usine hydroélectrique qui fournit aujourd'hui une bonne part de son électricité à la commune.
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Marguerite Boudeau - Fonds Boudeau (B59-n°1183) Très beau portrait de Marguerite, l'épouse du photographe. Ils se marièrent le 24 octobre 1905 au Palais-sur-Vienne d'où elle était originaire. Elle appartenait à une famille de commerçants et de propriétaires (les Leblanc côté paternel et les Lebda côté maternel).
Bien avant leur mariage, Jean-Baptiste avait déjà fait modifier à l'état-civil l'orthographe de son nom de naissance, transformant Boudaud en Boudeau. Était-ce par pure coquetterie ou bien avait-il voulu rompre avec une ascendance paysanne et ouvrière jugée trop modeste ?
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La Poste et le chalet Defournoux à Saint-Priest-Taurion - Fonds Boudeau (B59-n°1181) Ça ne paraît pas évident au premier coup d’œil, mais qui connaît Saint-Priest-Taurion reconnaîtra l'entrée de l'actuelle rue de la Gare.
Plus d'un siècle plus tard, la Poste et le restaurant que l'on voit ici sont devenus des maisons d'habitation. Quant à l'imposante villa de style "chalet", elle appartenait aux Defournoux, les pharmaciens qui tenaient boutique juste en face (on peut voir l'angle de la pharmacie au premier plan à gauche). Cette belle demeure bourgeoise a malheureusement, depuis, perdu son joli balcon de bois ainsi que les flèches et les ornements sculptés qui faisaient son style.
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La baignade à Saint-Priest-Taurion - Fonds Boudeau (B59-n°1178) La baignade de Saint-Priest-Taurion était aménagée sur les bords du Taurion, en aval de l'ancien pont (remplacé en 1975 par l'actuel pont Jean Gagnant) non loin de la confluence avec la Vienne.
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Avenue de la Mairie à Saint-Priest-Taurion - Fonds Boudeau (B59-n°1176) Difficile de reconnaître les lieux tant ils ont été modifiés et construits en plus d'un siècle... Nous sommes pourtant bel et bien à Saint-Priest-Taurion, à la sortie du pont sur le Taurion, dans l'actuelle rue Jean Gagnant.
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Viaduc sur le Taurion à Saint-Priest-Taurion - Fonds Boudeau (B59-n°1175) Combien d'usines, de ponts, de viaducs et autres ouvrages d'art Jean-Baptiste Boudeau a-t-il photographié ? Des centaines. Sa production variée prouve qu'il était autant admiratif des progrès techniques et des grandes réalisations de son époque que des vieilles demeures et de la tradition paysanne.
Le viaduc ferroviaire de Saint-Priest-Taurion, bâti en 1878, est long de 192 mètres, comporte 10 arches et culmine à plus de 20 mètres au-dessus de la rivière.
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Papeterie miniature à Brignac, commune de Royères - Fonds Boudeau (B51-n°1050) Nous ne possédons pas davantage d'informations sur ce que les notes du photographe nous présentent comme une "papeterie miniature", installée non loin de la véritable grande papeterie de Brignac.
Est-ce l'essai sérieux d'un ingénieur ou bien l’œuvre amusante de jeunes ouvriers de l'usine voisine ? Quoi qu'il en soit, cette petite "fabrique" était vraisemblablement installée sur le ruisseau de Bassoleil.
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Papeterie miniature à Brignac, commune de Royères - Fonds Boudeau (B51-n°1049) Nous ne possédons pas davantage d'informations sur ce que les notes du photographe nous présentent comme une "papeterie miniature", installée non loin de la véritable grande papeterie de Brignac.
Est-ce l'essai sérieux d'un ingénieur ou bien l’œuvre amusante de jeunes ouvriers de l'usine voisine ? Quoi qu'il en soit, cette petite "fabrique" était vraisemblablement installée sur le ruisseau de Bassoleil.
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Pont sur la Glane à Oradour-sur-Glane - Fonds Boudeau (B51-n°1038) Nous ne savons pas quelle raison pousse Jean-Baptiste Boudeau, en cet automne 1910, à partir photographier l'ouest haut-viennois, à plusieurs dizaines de kilomètres de chez lui. Toujours est-il qu'après avoir assisté à la frairie (fête paroissiale) de Saint-Victurnien, il se promène maintenant à Oradour-sur-Glane, bourg rendu tristement célèbre par sa destruction et le massacre de ses habitants par les nazis le 10 juin 1944.
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Vue vers l'église d'Oradour-sur-Glane - Fonds Boudeau (B51-n°1037) Nous ne savons pas quelle raison pousse Jean-Baptiste Boudeau, en cet automne 1910, à partir photographier l'ouest haut-viennois, à plusieurs dizaines de kilomètres de chez lui. Toujours est-il qu'après avoir assisté à la frairie (fête paroissiale) de Saint-Victurnien, il se promène maintenant à Oradour-sur-Glane, bourg rendu tristement célèbre par sa destruction et le massacre de ses habitants par les nazis le 10 juin 1944.
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Frairie devant l'église à Saint-Victurnien - Fonds Boudeau (B50-n°1035) Exceptionnellement, Jean-Baptiste Boudeau part photographier l'ouest de la Haute-Vienne, à plusieurs dizaines de kilomètres de chez lui. A Saint-Victurnien, dans la vallée de la Vienne, il assiste à la frairie (nom utilisé en Limousin pour désigner la fête paroissiale) qui a lieu aux alentours du 30 septembre. La photo est prise sur l'actuelle place du chanoine Merlin.
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Le pont sur la Vienne à Saint-Victurnien - Fonds Boudeau (B50-n°1036) Jean-Baptiste Boudeau s'est ici éloigné de son habituelle zone de travail. C'est dans l'ouest de la Haute-Vienne qu'il se promène, mais la Vienne chère à son cœur est évidemment bien présente dans ses clichés. Le pont de Saint-Victurnien a été bâti en 1874, mesure 101 mètres de long et 6 mètres de large. Il a bénéficié d'importants travaux de consolidation et de rénovation en 2017.
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Gimel : cascades, gorges, étangs, impressions du présent, légendes du passé Gaston Vuillier propose une visite guidée, historique, artistique et personnelle de Gimel, site où il s'installe et qu'il contribue à faire classer en 1912 par le Ministre de l’Instruction publique et des Beaux-Arts, au titre de la loi du 21 avril 1906 parmi les sites et monuments naturels de caractère artistique.