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La chasse du Loup, , nécessaire à la maison rustique Titre complet : La chasse du loup, nécessaire à la maison rustique : en laquelle est contenue la nature des loups, et la manière de les prendre, tant par chiens, filets, pièges, qu'autres instruments, le tout enrichi de plusieurs figures et pourtraicts representés après le naturel.
Cet ouvrage est le premier traité de louveterie. Les attaques de loups sont alors fréquentes et compromettent la sécurité , au point que la charge de louvetier ( chasseur de loups) est devenu un office royal.
Jean de Clamorgan, est un maître expérimenté en la matière, passionné de son art, dessinateur habile et érudit. Il rédige là un traité complet, dédié au roi Charles IX.
Les deux premiers chapitres de son ouvrage renferment des citations amassées avec incertitudes parfois, qui ont le ton de fable : "dedans les roignons d'un vieux loup s'engendrent et se nourissent des serpents". Le chapitre III est, par contre, clair et précis. Jean de Clamorgan y expose la manière de "façonner les chiens" , de "faire le buisson de la chasse du loup", le tout ponctué des dessins de l'auteur. Clamorgan en profite également pour raconter ses exploits nombreux.
Au final, ce traité connu un grand succès : plusieurs fois réedité, il fut traduit en allemand et en italien.
L'édition présentée ici fut imprimée à Rouen (Jean de Clamorgan était d'une grande famille normande) en 1658
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Oeuvre du repos du dimanche Plaidoyer de 14 pages , rédigé par les membres du Comité pour l'oeuvre du repos du dimanche : des considérations religieuses, mais aussi économiques et sociales encore d'actualité.
A la fin du recueil, la liste des membres du comité.
cote : MAG.P LIM F5588/79 (Bfm Limoges)
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Règlement général de la circulation des véhicules
cote : MAG.P LIM 18631 (Bfm Limoges)
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Collège de Saint-Junien : prospectus Un texte , lyrique s'il en est, pour présenter le collège de Saint-Junien et ses conditions d'accès.
cote : MAG.P LIM E1253/41 (Bfm Limoges)
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Exercices publics de l'école secondaire Faitiat (Feytiat) Exercices des classes de lecture, latinité, grammaire, cosmographie, cathéchisme et mathémathiques, ...
cote : MAG.P LIM 60703 (Bfm Limoges)
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Programme des exercices littéraires de l'Institution de La Souterraine Programme des exercices de mathématiques (géométrie, algèbre) de l'école de La Souterraine présentés le 4 septembre 1810 : fractions, équations, problèmes, etc...
cote : MAG.P LIM 60701 (Bfm Limoges)
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Laveuses à Vallière (Creuse) cote : 2FI 14 (Bfm Limoges)
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Monteil-au-vicomte (Creuse), ruines du château Ce site était constitué de deux grosses tours rondes, larges fossés, corps de logis et terrasses d’agrément sur un petit plateau au-dessus de la rivière du Taurion.
De cette forteresse bâtie vers le milieu du XIIème siècle par les vicomtes d’Aubusson, il ne reste qu'une tour : transformé en bien national à la Révolution, l'ensemble a été démembré au cours des siècles et utilisé comme carrière de pierres par les habitants.
cote : 9FI76/2 (Bfm Limoges)
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Moulin de l'Age, Creuse extrait de "Creuse 1879-80", carnet de croquis.
Après une belle carrière dans la haute administration, Henri Hugon consacre sa retraite à l'érudition, essentiellement l'étude du Limousin. Membre de la société des sciences de la Creuse et celle du Limousin, il fournit d'innombrables études en particulier sur l'histoire de l'art et l'archéologie. On lui doit également deux recueils de vers dans lesquels il décrit les paysages de son Guéret natal avec toujours en toile de fond l'évocation de l'Histoire.
Cet historien et poète maniait également la plume à dessin et le pinceau. Il laisse des carnets de croquis conservés dans les archives personnelles de Robert Margerit (dont il était le beau-père), l'un daté de 1876 à 1879, l'autre de 1879-1880.
Ses croquis empruntent les mêmes évocations que ses vers chantant la Creuse, son humilité, sa simplicité, avec de nombreux repères de lieux historiques ou archéologiques. On y voit des paysages de la campagne creusoise, mais aussi des bâtiments (châteaux, églises), des ensembles plus modestes ( détails architecturaux, ... ) Les dessins sont au crayon, retravaillés parfois à la plume ou au lavis ocre.
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Vue de Guéret extrait de "Creuse 1879-80", carnet de croquis.
Après une belle carrière dans la haute administration, Henri Hugon consacre sa retraite à l'érudition, essentiellement l'étude du Limousin. Membre de la société des sciences de la Creuse et celle du Limousin, il fournit d'innombrables études en particulier sur l'histoire de l'art et l'archéologie. On lui doit également deux recueils de vers dans lesquels il décrit les paysages de son Guéret natal avec toujours en toile de fond l'évocation de l'Histoire.
Cet historien et poète maniait également la plume à dessin et le pinceau. Il laisse des carnets de croquis conservés dans les archives personnelles de Robert Margerit (dont il était le beau-père), l'un daté de 1876 à 1879, l'autre de 1879-1880.
Ses croquis empruntent les mêmes évocations que ses vers chantant la Creuse, son humilité, sa simplicité, avec de nombreux repères de lieux historiques ou archéologiques. On y voit des paysages de la campagne creusoise, mais aussi des bâtiments (châteaux, églises), des ensembles plus modestes ( détails architecturaux, ... ) Les dessins sont au crayon, retravaillés parfois à la plume ou au lavis ocre.
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Lycée de Guéret extrait de "Creuse 1879-80", carnet de croquis.
Après une belle carrière dans la haute administration, Henri Hugon consacre sa retraite à l'érudition, essentiellement l'étude du Limousin. Membre de la société des sciences de la Creuse et celle du Limousin, il fournit d'innombrables études en particulier sur l'histoire de l'art et l'archéologie. On lui doit également deux recueils de vers dans lesquels il décrit les paysages de son Guéret natal avec toujours en toile de fond l'évocation de l'Histoire.
Cet historien et poète maniait également la plume à dessin et le pinceau. Il laisse des carnets de croquis conservés dans les archives personnelles de Robert Margerit (dont il était le beau-père), l'un daté de 1876 à 1879, l'autre de 1879-1880.
Ses croquis empruntent les mêmes évocations que ses vers chantant la Creuse, son humilité, sa simplicité, avec de nombreux repères de lieux historiques ou archéologiques. On y voit des paysages de la campagne creusoise, mais aussi des bâtiments (châteaux, églises), des ensembles plus modestes ( détails architecturaux, ... ) Les dessins sont au crayon, retravaillés parfois à la plume ou au lavis ocre.
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Fayolle, près de Guéret. Dessin sur feuillet séparé, ajout ultérieur, extrait de "Creuse 1879-80", carnet de croquis.
Cette fontaine est actuellement située place Louis Lacrocq à Guéret.
Après une belle carrière dans la haute administration, Henri Hugon consacre sa retraite à l'érudition, essentiellement l'étude du Limousin. Membre de la société des sciences de la Creuse et celle du Limousin, il fournit d'innombrables études en particulier sur l'histoire de l'art et l'archéologie. On lui doit également deux recueils de vers dans lesquels il décrit les paysages de son Guéret natal avec toujours en toile de fond l'évocation de l'Histoire.
Cet historien et poète maniait également la plume à dessin et le pinceau. Il laisse des carnets de croquis conservés dans les archives personnelles de Robert Margerit (dont il était le beau-père), l'un daté de 1876 à 1879, l'autre de 1879-1880.
Ses croquis empruntent les mêmes évocations que ses vers chantant la Creuse, son humilité, sa simplicité, avec de nombreux repères de lieux historiques ou archéologiques. On y voit des paysages de la campagne creusoise, mais aussi des bâtiments (châteaux, églises), des ensembles plus modestes ( détails architecturaux, ... ) Les dessins sont au crayon, retravaillés parfois à la plume ou au lavis ocre.
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Rochers de Peyrabout extrait de "Creuse 1879-80", carnet de croquis.
Après une belle carrière dans la haute administration, Henri Hugon consacre sa retraite à l'érudition, essentiellement l'étude du Limousin. Membre de la société des sciences de la Creuse et celle du Limousin, il fournit d'innombrables études en particulier sur l'histoire de l'art et l'archéologie. On lui doit également deux recueils de vers dans lesquels il décrit les paysages de son Guéret natal avec toujours en toile de fond l'évocation de l'Histoire.
Cet historien et poète maniait également la plume à dessin et le pinceau. Il laisse des carnets de croquis conservés dans les archives personnelles de Robert Margerit (dont il était le beau-père), l'un daté de 1876 à 1879, l'autre de 1879-1880.
Ses croquis empruntent les mêmes évocations que ses vers chantant la Creuse, son humilité, sa simplicité, avec de nombreux repères de lieux historiques ou archéologiques. On y voit des paysages de la campagne creusoise, mais aussi des bâtiments (châteaux, églises), des ensembles plus modestes ( détails architecturaux, ... ) Les dessins sont au crayon, retravaillés parfois à la plume ou au lavis ocre.
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Lavaveix-les-Mines : Puits Sainte-Barbe et Puits Saint-Eloi extrait de "Creuse 1879-80", carnet de croquis.
Après une belle carrière dans la haute administration, Henri Hugon consacre sa retraite à l'érudition, essentiellement l'étude du Limousin. Membre de la société des sciences de la Creuse et celle du Limousin, il fournit d'innombrables études en particulier sur l'histoire de l'art et l'archéologie. On lui doit également deux recueils de vers dans lesquels il décrit les paysages de son Guéret natal avec toujours en toile de fond l'évocation de l'Histoire.
Cet historien et poète maniait également la plume à dessin et le pinceau. Il laisse des carnets de croquis conservés dans les archives personnelles de Robert Margerit (dont il était le beau-père), l'un daté de 1876 à 1879, l'autre de 1879-1880.
Ses croquis empruntent les mêmes évocations que ses vers chantant la Creuse, son humilité, sa simplicité, avec de nombreux repères de lieux historiques ou archéologiques. On y voit des paysages de la campagne creusoise, mais aussi des bâtiments (châteaux, églises), des ensembles plus modestes ( détails architecturaux, ... ) Les dessins sont au crayon, retravaillés parfois à la plume ou au lavis ocre.
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Réponse à la lettre publiée par les fabricans de porcelaine sur la Taxe des bois : extrait du registre des délibérations du Conseil municipal de Limoges, séance du 7 juin 1836 Le point de départ de cette réponse : la plaintes des entrepreneurs, notamment de porcelaine, à propos des charges qui pèsent sur leurs entreprises dans un contexte économique difficile ... Un débat éculé.
Pourtant, loin d'être administrative et rébarbative, cette réponse argumentée, documentée et historique de Jean Juge Saint-Martin alors maire de Limoges, est un plaidoyer magnifique en faveur d'une équité sociale et de la charge municipale.
cote : MAG.P LIM F5588/85 (Bfm Limoges)
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Chateau du Terré (Théret), le donjon chateau du XVe siècle. C'est aujourd'hui une demeure privéee.
extrait de "Creuse 1876-79", carnet de croquis.
Après une belle carrière dans la haute administration, Henri Hugon consacre sa retraite à l'érudition, essentiellement l'étude du Limousin. Membre de la société des sciences de la Creuse et celle du Limousin, il fournit d'innombrables études en particulier sur l'histoire de l'art et l'archéologie. On lui doit également deux recueils de vers dans lesquels il décrit les paysages de son Guéret natal avec toujours en toile de fond l'évocation de l'Histoire.
Cet historien et poète maniait également la plume à dessin et le pinceau. Il laisse des carnets de croquis conservés dans les archives personnelles de Robert Margerit (dont il était le beau-père), l'un daté de 1876 à 1879, l'autre de 1879-1880.
Ses croquis empruntent les mêmes évocations que ses vers chantant la Creuse, son humilité, sa simplicité, avec de nombreux repères de lieux historiques ou archéologiques. On y voit des paysages de la campagne creusoise, mais aussi des bâtiments (châteaux, églises), des ensembles plus modestes ( détails architecturaux, ... ) Les dessins sont au crayon, retravaillés parfois à la plume ou au lavis ocre.
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Chateau du Terré (Théret), commune de Saunière - vue extérieure. Château du XVe siècle, c'est aujourd'hui une demeure privée
extrait de "Creuse 1879-80", carnet de croquis.
Après une belle carrière dans la haute administration, Henri Hugon consacre sa retraite à l'érudition, essentiellement l'étude du Limousin. Membre de la société des sciences de la Creuse et celle du Limousin, il fournit d'innombrables études en particulier sur l'histoire de l'art et l'archéologie. On lui doit également deux recueils de vers dans lesquels il décrit les paysages de son Guéret natal avec toujours en toile de fond l'évocation de l'Histoire.
Cet historien et poète maniait également la plume à dessin et le pinceau. Il laisse des carnets de croquis conservés dans les archives personnelles de Robert Margerit (dont il était le beau-père), l'un daté de 1876 à 1879, l'autre de 1879-1880.
Ses croquis empruntent les mêmes évocations que ses vers chantant la Creuse, son humilité, sa simplicité, avec de nombreux repères de lieux historiques ou archéologiques. On y voit des paysages de la campagne creusoise, mais aussi des bâtiments (châteaux, églises), des ensembles plus modestes ( détails architecturaux, ... ) Les dessins sont au crayon, retravaillés parfois à la plume ou au lavis ocre.
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Généalogies et armes des Gentilhommes des élections de Limoges, Brive et Tulle dans la généralité de Limoges. "Généalogies et armes des Gentilhommes des élections de Limoges, Brive et Tulle dans la généralité de Limoges, dont les titres ont été vérifiés par Monsieur Daguesseau, conseiller du Roy en ses Conseils, maistre des requestes ordinaires de son hostel, président au grand Conseil, commissaire départi pour l'exécution des ordres de Sa majesté et pour la vérification de noblesse dans la susdite généralité.
Le tout recueilli par Me Simon Descoutures, seigneur de Bort, conseiller et avocat du Roy, au siège présidial de Limoges et procureur de sa majesté en laditte vérification en 1666, 1667 et 1678.
Copie faite en 1714 pour Me Antoine de Boesse, abbé de Vigeois et vicaire général de monseilgneur l'illustrissime et révérentissime évêque de Limoges.
Renferme 218 blasons colorés.
cote : Ms 45 (Bfm Limoges)
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La croix de l’andeix de Manigne Un andeix était un point de jonction et de répartition des eaux sur lequel il était interdit de construire. On installait sur ces places de petits marchés aux légumes. L’andeix de Manigne, mentionné dès le 13e siècle, était situé à la rencontre de la rue Manigne (rue Charles-Michels) et des rues Montant-Manigne et Andeix-Manigne (réunies sous le nom de rue Elie-Berthet). Trois barres de fer vinrent renforcer la croix centrale de l’andeix en 1535. Une murette en forme de triangle l’entourait (et pouvait servir d’étal). Incommodant la circulation, cette murette est défaite en 1631. Abimée, c’est finalement toute la croix qui est retirée en 1786.
cote : Ms21 (Bfm Limoges)
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Les deux lions de l'église Saint-Michel "Saint-Michel-des-Lions est ainsi appelée à cause de deux lions en pierre que l’on voit à l’entrée de cet édifice. Ces figures de lion témoignent l’ancien droit de juridiction d’une église ; elles servoient autrefois, suivant l’abbé Lebœuf, à supporter le siège du juge ecclésiastique, soit official, soit archiprêtre, dans les siècles où leurs" jugemens se prononçoient aux portes des églises". On trouve plusieurs de ces jugements qui se terminent en effet par cette formule « Datum intra duos leones » "
extrait de J. A. Dulaure, Description des principaux lieux de France, 1789
cote : Ms 21 (Bfm Limoges)