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Fontaine en céramique à Limoges, 3. Extrait de la revue "La construction moderne" 6 juillet 1901.
concernant la construction de la fontaine en céramique de l'Hôtel de Ville de Limoges par l'architecte M. Genuys :
"L'ossature est un granit du pays, la porcelaine n'intervient que comme élément décoratif. Les grandes vasques notamment s'appuient sur l'ossature de granit, et les armatures qui les maintiennent sont en bronze décoratif [...]. L'ornementation des vasques rappelle l'élément qu'elle contiennent par les poissons, les nénuphars. Les quatre figures d'enfants groupés autour du fût caractérisent les principaux travaux céramiques : l'un compose la forme d'un vase que son voisin exécute sur le tour, tandis qu'un troisième l'orne de sculptures et qu'un quatrième le revet de brillantes couleurs".
MAG.P LIM 38320/48 (Bfm Limoges).
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Fontaine en céramique à Limoges, 2. Extrait de la revue "La construction moderne" 6 juillet 1901.
concernant la construction de la fontaine en céramique de l'Hôtel de Ville de Limoges par l'architecte M. Genuys :
"L'ossature est un granit du pays, la porcelaine n'intervient que comme élément décoratif. Les grandes vasques notamment s'appuient sur l'ossature de granit, et les armatures qui les maintiennent sont en bronze décoratif [...]. L'ornementation des vasques rappelle l'élément qu'elle contiennent par les poissons, les nénuphars. Les quatre figures d'enfants groupés autour du fût caractérisent les principaux travaux céramiques : l'un compose la forme d'un vase que son voisin exécute sur le tour, tandis qu'un troisième l'orne de sculptures et qu'un quatrième le revet de brillantes couleurs".
MAG.P LIM 38320/48 (Bfm Limoges).
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Fontaine en céramique à Limoges, 1. Extrait de la revue "La construction moderne" 6 juillet 1901.
Si le nouvel hôtel de ville est inauguré en 1883, la fontaine qui orne son square est un peu plus tardive. Réalisée en 1893, elle est d'abord prévue pour la place de la République, mais c'est finalement le jardin de l'Hôtel de Ville qui sera sa destination. Construite sur les plans de l'architecte Charles Genuys et sous la houlette d'Auguste Louvriers de Lajolais, alors directeur de l’École nationale des Arts décoratifs de Limoges (les élèves participent au projet), elle se compose notamment de granit, pierre limousine par excellence, de bronze, de porcelaine et d'émail champlevé, mettant ainsi à l'honneur la tradition des arts du feu à Limoges.
MAG.P LIM 38320/48 (Bfm Limoges).
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L'Ouvrier guérétois : chanson populaire par les auteurs de la chanson" Le Maçon de la Creuse".
Sur l'air du Bohémien parisien.
cote : MAG.P LIM B1257 (Bfm Limoges)
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Les Sabines de Limoges ou l'Enlèvement singulier "Vaudeville héroïque en un acte : imitation burlesque de l'enlèvement des Sabines. Représenté pour la première fois à Paris, sur le théâtre des Variétés, Boulevard Montmartre , le 1er août 1811."
cote : MAG.P LIM B1214 (Bfm Limoges)
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La fontaine des Fantaisies, près de la Porte de Tourny. En 1769, l’intendant Turgot commande à J.-B. Trésaguet la construction d'une nouvelle fontaine près de la Porte Tourny. Achevée en 1772, les habitants de Limoges la trouvèrent si jolie qu'ils l'appelèrent "Fontaine des Fantaisies". Constituée d’un bloc de granit de 3 mètres de hauteur surmonté d'une urne monumentale, elle fut démolie en 1854.
Gravure extraite de "Historique monumental de l'ancienne province du Limousin".
(cote : MAG.P LIM 33272/2)
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Chapelle de la Visitation, Limoges Gravure extraite de l' "Historique monumental de l'ancienne province du Limousin".
Située rue François Chénieux à Limoges, cette chapelle fut érigée en 1775, lors de la construction du couvent des Visitandines. Elle est occupée par les religieuses jusqu'à la Révolution.
Elle est est alors transformée en tribunal révolutionnaire puis civil, avant d'abriter une pharmacie puis une infirmerie pendant la guerre de 1914/1918.
Ancien élève de l'Ecole des Arts et Métiers d'Angers, Jean-Baptiste Tripon s'installe imprimeur-lithographe à Limoges. Son ouvrage majeur est celui-ci. Imprimé en plusieurs livraisons, l'exemplaire original de 1837 est devenu rare. Les érudits du XIXe siècle sont déjà très critiques sur son contenu. Alfred Leroux estime en 1888 que "c'est un fatras sans critique, une compilation lourde et terne". Il en demeure des lithographies parfois fantaisistes, voire divertissantes.
cote : MAG.P LIM 33272/2
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La Guerre de Troie n'aura pas lieu. Il s'agit là du manuscrit autographe "officiel" de la pièce de théâtre : Jean Giraudoux a lui-même réuni et fait relier ces pages sur maroquin rouge orné d'or et de noir avec titre doré sur le premier plat.
Ce précieux document retient l'attention : on peut y lire d'intéressantes variantes par rapport au texte définitif imprimé (la pièce a été représentée pour la première fois en 1935) ; deux petits dessins de l'auteur agrémentent les pages (fol 17R° et fol 34R°), dont l'un représentant Hélène et Cassandre; Jean Giraudoux écrit alternativement sur les papiers à lettres des délégations française, italienne, et britannique de la Commission d'évaluation des dommages subis en Turquie. Le jeune diplomate, blessé durant les premiers mois de la Guerre, puis aux Dardanelles, était devenu au Quai d'Orsay, en 1921, chef du service des oeuvres françaises à l'Etranger.
La Bfm a acquis ce manuscrit en 1992.
cote : Ms 254 (Bfm Limoges).
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Plan de Limoges, 1942 Echelle 1/10 000e, avec détail du centre-ville en vignette.
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Le château de Chalus Photo originale extraite de ouvrage de l'abbé Arbellot "La vérité sur la mort de Richard Coeur-de-Lion, roi d'Angleterre", Haton (Paris), 1878.
Jusqu'à une date récente (Georges-Emmanuel Clancier l'evoque dans son roman le Quadrille sur la Tour) on considérait cette tour de Chalus comme le lieu duquel est parti le carreau d'arbalète qui tua Richard Coeur de Lion...
André Bastier, photographe professionnel installé à Limoges. Il était connu comme le photographe du Chalet. Il publie dans la Revue Photographique. Il est également membre de la société des Archives photographiques historiques et monumentales.
cote : MAG P LIM 40535 (Bfm Limoges)
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Prospectus pour le Dictionnaire de Langue Limousine Ce prospectus reprend en partie la préface qui précède le Dictionnaire de la langue Limousine de Dom Duclou.
Sur 4 pages, on lit un beau pladoyer pour l'occitan. il y est présenté l'histoire succinte de cette langue (depuis Babel), sa lente disparition (notamment à cause de l'Evangélisation en latin). Dom Duclou rappelle qu'il est naturel pour un limousin de moins connaître le français que sa langue maternelle. Il apprend celle-ci sans maître. Il n'en est pas de même du français ».
Il s'agit de la version manuscrite de celui paru dans le Calendrier ecclésiastique et civil du Limousin pour 1777 qui nous apprend qu'une souscription court du 11 juin 1776 au 1er mars 1777. Les souscripteurs, qui doivent s'adresser à l'abbé Vitrac, professeur au Collège, bénéficieront du tarif préférentiel de 5 livres pour un format prévu grand 8°, pour les autres, il reviendra à 7 livres 10 sols. Cette annonce, qui occupe 12 pages, donne en plus un avant goût de l'ouvrage en livrant quelques-uns des premiers articles du dictionnaire. Un extrait de ce prospectus est paru dans la Feuille hebdomadaire de la généralité de Limoges du 11 juin 1776 où il est indiqué que « on ne le livrera à l'impression que lorsqu'on aura un certain nombre de souscripteurs ». Sans doute n'ont-ils pas été assez nombreux car l'ouvrage n'a pas été imprimé.
Resté manuscrit, il a cependant été utilisé par Léon Dhéralde (1815-1891), auteur d'un autre Dictionnaire de la langue limousine publié seulement en 1968.
cote : Ms 136 (Bfm Limoges)
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L'Action sociale du Félibrige, conférence faite, le 21 août 1897, au théâtre d'Ussel "Face à la centralisation et l'uniformisation culturelle qui étouffe le pays, ne craignons pas l'audace et la fougue des jeunes écrivains, qui assurent la force du felibrige". Voici en gros le propos d 'A. Cahuet. Il fait allusion également à Louis de Nussac, auteur du "Manuel du bon félibre", également consultable sur la Bibliothèque numérique du Limousin.
dédicace de l'auteur à Marguerite Genès, Reine du Félibrige.
cote : 00 X0 (Médiathèque de Brive)
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Commémoration d'un mort de printemps Edition originale du tout premier recueil de poésie édité de Louis Chadourne.
Très tôt, Louis Chadourne, écrit des vers et collabore à la NRF. Valéry Larbaud et Pierre Mac-Orlan voient en lui un des écrivains les plus doués de sa génération.
En 1919, il publie son premier roman "le maître du navire" puis un roman autobiographique "Inquiète adolescence". Mais le jeune homme ne se remettra jamais du traumatisme de la Première Guerre Mondiale (blessé, il demeura enseveli plusieurs heures).
Marqué par ce passage,Louis Chadourne parle de la beauté du monde et de sa fragilité, du drame intime et universel de cette prise de conscience en ce début de siècle furieux.
cote : 00 X4 CHA (Médiathèque de Brive)
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L'amour et le sablier Recueil de poésies. Edition originale de l'un des tout premiers livres de Louis Chadourne.
Très tôt, Louis Chadourne, écrit des vers et collabore à la NRF. Valéry Larbaud et Pierre Mac-Orlan voient en lui un des écrivains les plus doués de sa génération.
En 1919, il publie son premier roman "le maître du navire" puis un roman autobiographique "Inquiète adolescence". Mais le jeune homme ne se remettra jamais du traumatisme de la Première Guerre Mondiale (blessé, il demeura enseveli plusieurs heures).
Marqué par ce passage, l'univers de cet auteur est celui d'un homme sensible à l'extrême fragilité de l'existence et sa beauté fugace.
cote : 00 X4 CHA (Médiathèque de Brive)
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Las Chansous galhardas : refrains brivistes Léon Branchet est musicien traditionaliste briviste apprécié et reconnu. Il avait déjà retranscrit et publié des airs traditionnels, mis en musique les poèmes de plusieurs auteurs membres du Félibre. Ces chansous galhardes sont de sa composition mais dans l'esprit des chants traditionnels en occitan.
Introduction riche de Louis de Nussac qui présente chacun des chants.
cote : 19 BRI X1 (Médiathèque de Brive)
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Grotesques Ce dessin à la plume et à la sanguine est extrait du livre IV planche LVII de "De Regole Generali de Architectura de Sebastiano Serlio (imprimé à Venise en 1537).
Ce livre comporte de nombreuses planches gravées représentant des architectures.
Il a été relié avec un autre livre intitulé De Artificiali Perspectiva Viator de Jean Pellerin de 1521. L'ouvrage est ainsi passé entre les mains de plusieurs émailleurs dont Jean Péricaut, Antoine Roland et enfin Jean Guybert qui a apposé son monogramme sur un des dessins. Les émailleurs puisaient une part de leur éducation artistique dans ces livres de règles de perspective et d'architecture communes aux peintres de la Renaissance.
cote : RES.P X398 (Bfm Limoges)
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Autoportrait Ce dessin à la plume et à la sanguine est extrait du livre I planche LXIIII de "De Regole Generali de Architectura" de Sebastiano Serlio (imprimé à Venise en 1537).
Ce livre comporte de nombreuses planches gravées représentant des architectures.
Il a été relié avec un autre livre intitulé "De Artificiali Perspectiva Viator" de Jean Pellerin de 1521. L'ouvrage est ainsi passé entre les mains de plusieurs émailleurs dont Jean Péricaut, Antoine Roland et enfin Jean Guybert qui a apposé son monogramme sur un des dessins. Les émailleurs puisaient une part de leur éducation artistique dans ces livres de règles de perspective et d'architecture communes aux peintres de la Renaissance.
cote : RES.P X398 (Bfm Limoges)
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Héros antique Ce dessin à la plume et à la sanguine est extrait de la page 28 du De Regole Generali de Architectura de Sebastiano Serlio (imprimé à Venise en 1537).
Ce livre comporte de nombreuses planches gravées représentant des architectures.
Il a été relié avec un autre livre intitulé De Artificiali Perspectiva Viator de Jean Pellerin de 1521. L'ouvrage est ainsi passé entre les mains de plusieurs émailleurs dont Jean Péricaut, Antoine Roland et enfin Jean Guybert qui a apposé son monogramme sur un des dessins. Les émailleurs puisaient une part de leur éducation artistique dans ces livres de règles de perspective et d'architecture communes aux peintres de la Renaissance.
cote : RES.P X398 (Bfm Limoges)
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Scène d'extérieur avec chien. Ce dessin à la plume et à la sanguine est extrait de la page 28 du De Artificiali Perspectiva Viator de Jean Pellerin de 1521.
Ce livre comporte de nombreuses planches gravées représentant des architectures et des paysages, modèles de perspectives pour les peintres.
Il a été relié avec un autre livre intitulé De Regole Generali de Architectura de Sebastiano Serlio (imprimé à Venise en 1537). L'ouvrage est ainsi passé entre les mains de plusieurs émailleurs dont Jean Péricaut, Antoine Roland et enfin Jean Guybert qui a apposé son monogramme sur un des dessins. Les émailleurs puisaient une part de leur éducation artistique dans ces livres de règles de perspective et d'architecture communes aux peintres de la Renaissance.
cote : RES.P X398 (Bfm Limoges)
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Diane Chasseresse Ce dessin à la plume et à la sanguine est extrait de la page 18 du De Artificiali Perspectiva Viator de Jean Pellerin de 1521.
Ce livre comporte de nombreuses planches gravées représentant des architectures et des paysages, modèles de perspectives pour les peintres.
Il a été relié avec un autre livre intitulé De Regole Generali de Architectura de Sebastiano Serlio (imprimé à Venise en 1537). L'ouvrage est ainsi passé entre les mains de plusieurs émailleurs dont Jean Péricaut, Antoine Roland et enfin Jean Guybert qui a apposé son monogramme sur un des dessins. Les émailleurs puisaient une part de leur éducation artistique dans ces livres de règles de perspective et d'architecture communes aux peintres de la Renaissance.
cote : RES.P X398 (Bfm Limoges)