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Limoges, incendie du quartier des Arènes : Aspect de la place de la Mothe dans la matinée du 16 août L’un des plus ravageurs incendies que connut Limoges fut sans nul doute celui de la nuit du 15 août 1864, qui emporta presque tout le quartier des Arènes (109 maisons, environ 2000 personnes à la rue).
(cote : RES.P LIM Z1 (7) )
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Limoges, incendie du quartier des Arènes : Partie détruite de la rue Haut-Lansecot L’un des plus ravageurs incendies que connut Limoges fut sans nul doute celui de la nuit du 15 août 1864, qui emporta presque tout le quartier des Arènes (109 maisons, environ 2000 personnes à la rue).
On aperçoit à droite l’angle de la halle Dupuytren, qui fut ensuite déplacée place Carnot, ainsi que la fontaine d’Aigoulène et sa statue de Saint-Martial, aujourd’hui disparue. Seul le bac supérieur de la fontaine a été réutilisé, c’est aujourd’hui celui de la fontaine Saint-Michel-des-Lions.
(cote : RES.P LIM Z1 (6) )
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Limoges, incendie du quartier des Arènes : Vue prise du haut du boulevard Ste Catherine L’un des plus ravageurs incendies que connut Limoges fut sans nul doute celui de la nuit du 15 août 1864, qui emporta presque tout le quartier des Arènes (109 maisons, environ 2000 personnes à la rue).
Le boulevard Sainte-Catherine et le boulevard des Ursulines qui le continuait à partir de la rue Vigne-de-Fer furent renommés boulevard Gambetta en 1883.
(cote : RES.P LIM Z1 (5) )
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Limoges, incendie du quartier des Arènes : Rue Saut-de-Boeuf L’un des plus ravageurs incendies que connut Limoges fut sans nul doute celui de la nuit du 15 août 1864, qui emporta presque tout le quartier des Arènes (109 maisons, environ 2000 personnes à la rue).
(cote : RES.P LIM Z1 (4) )
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Limoges, incendie du quartier des Arènes : Rue du petit Paris L’un des plus ravageurs incendies que connut Limoges fut sans nul doute celui de la nuit du 15 août 1864, qui emporta presque tout le quartier des Arènes (109 maisons, environ 2000 personnes à la rue).
(cote : RES.P LIM Z1 (3) )
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Limoges, incendie du quartier des Arènes : Circuit de la rue du Bélier, débouchant rue des Arènes Dans la nuit du 15 août 1864, un incendie se déclare rue des Arènes et se propage rapidement. Il n'y a pas de victimes, mais 109 maisons sont détruites en une seule nuit dans un espace allant de la place d'Aine à la place de la Motte, laissant près de 2000 habitants sans abri. les pertes matérielles sont considérables.
Originaire de Reims, Jacques-Joseph Maquart vient à Limoges à l'invitation de son ami Casimir Ranson. Cet amoureux des arts dévoué et actif , tel que ses amis le définissait, s'intègre vite, devient vice- président de la Société Archéolohique puis de la "Société des amis des arts" du musée Dubouché.
En 1864, il crée un album rappelant les péripéties de l' incendie de Limoges et l'offrit au Conseil municipal. Cet album unique comprend 12 dessins et trois plans.
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Limoges, incendie du quartier des Arènes : Vue prise sur le sol de la rue du Bélier L’un des plus ravageurs incendies que connut Limoges fut sans nul doute celui de la nuit du 15 août 1864, qui emporta presque tout le quartier des Arènes (109 maisons, environ 2000 personnes à la rue).
(cote : RES.P. Lim Z1 (2))
cote : RES.P LIM Z1
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Limoges, incendie du quartier des Arènes : Côté gauche de la rue des Arènes ou le palais de justice Dans la nuit du 15 août 1864, un incendie se déclare rue des Arènes et se propage rapidement. Il n'y a pas de victimes, mais 109 maisons sont détruites en une seule nuit dans un espace allant de la place d'Aine à la place de la Motte, laissant près de 2000 habitants sans abri. les pertes matérielles sont considérables.
Originaire de Reims, Jacques-Joseph Maquart vient à Limoges à l'invitation de son ami Casimir Ranson. Cet amoureux des arts dévoué et actif , tel que ses amis le définissait, s'intègre vite, devient vice- président de la Société Archéologique puis de la "Société des amis des arts" du musée Dubouché.
En 1864, il crée un album rappelant les péripéties de l' incendie de Limoges et l'offrit au Conseil municipal. Cet album unique comprend 12 dessins et trois plans.
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Limoges, incendie du quartier des Arènes : Rue des Arènes L’un des plus ravageurs incendies que connut Limoges fut sans nul doute celui de la nuit du 15 août 1864, qui emporta presque tout le quartier des Arènes (109 maisons, environ 2000 personnes à la rue).
La rue des Arènes de l’époque est devenue la rue Othon Péconnet, du nom du maire qui géra la reconstruction. Au fond la place d’Aine et le tribunal.
(cote RES.P. Lim Z1 (1))
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Limoges, incendie du quartier des Arènes: Entrée de la rue des Arènes à l'emplacement de la maison du Chapelier Cance, point de départ de l'incendie. Dans la nuit du 15 août 1864, un incendie se déclare rue des Arènes et se propage rapidement. Il n'y a pas de victimes, mais 109 maisons sont détruites en une seule nuit dans un espace allant de la place d'Aine à la place de la Motte, laissant près de 2000 habitants sans abri. les pertes matérielles sont considérables.
Originaire de Reims, Jacques-Joseph Maquart vient à Limoges à l'invitation de son ami Casimir Ranson. Cet amoureux des arts dévoué et actif , tel que ses amis le définissait, s'intègre vite, devient vice- président de la Société Archéologique puis de la "Société des amis des arts" du musée Dubouché.
En 1864, il crée un album rappelant les péripéties de l' incendie de Limoges et l'offrit au Conseil municipal. Cet album unique comprend 12 dessins et trois plans.
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Countes e Niorlas de Jan-de-la-Luna (1911-1914) Préface en français de René Farnier.
Sergent dans l'armée puis fonctionnaire, JB Chèze prend sa retraite prématurément pour raison médicales. Il consacre alors sa vie " à la poésie et à l'amitié ". Grand lyrique, il pratique aussi la poésie légère l'épigramme et bien entendu le conte et la gnorle la chanson. "La Princesse dans la Tour" est reconnue comme son oeuvre maîtresse de sensibilité et de tendresse avec Mily (dans laquelle il pleure son épouse disparue trop tôt)
cote : MAG P LIM 55391 (Bfm Limoges)
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Enchiridion sive manuale Parochiorum accuratissime recognitum... Titre complet :" Enchiridion sive manuale Parochiorum accuratissime recognitum, restitutum suisque absolutum numeris ex S. Rom. Ecclesiae, nec non insigniorum Ecclesiarum Galliae, Ritualim collatione, in duas sectum partes ".
Il s'agit d'un manuel concernant l'administration des sacrements, avec parties chantées.
Ce manuel fait partie des ouvrages imprimés à Limoges par le célèbre Hugues Barbou. En 1568, il reprend l'activité des frères de la Nouailles, autres grands imprimeurs de Limoges. (voir https://omeka-s.limoges.fr/s/bn-limousin/item/1117).
Le travail d'imprimeur de Hugues Barbou est apprécié : la beauté de ses caractères d'imprimerie gothiques et romains, la qualité technique et la pureté de ses lmpressions lui ouvre toute les portes, celle des médecins de Limoges et celles de l'Evêché, les plus gros clients de l'époque.
Ce petit manuel est d'ailleurs une belle prouesse technique : il s'agissait notamment de faire coïncider de façon exacte (on dit "repérer" en imprimerie) les notes de musique en noir du premier tirage avec les portées en rouge du second tirage. Et le résultat est fort réussi.
cote : RES.P LIM V32 (Bfm Limoges)
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Petite Guerre Prologue en vers dit par Melle Renée Diard, au théâtre de Brive, à la soirée patriotique du 27 mai 1916.
Imprimeur et homme de lettres à Brive, Pierre Verlhac est notamment l'un des fondateurs de la Société Scientifique, Historique et Archéologique de la Corrèze en 1878 et de la Ruche corrézienne, association félibréenne.
cote : 00 X4 VER (Médiathèque Brive)
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Le 126e Régiment d'infanterie au feu : Historique du régiment depuis sa formation jusqu'en 1919 (Brive) "A la mémoire des officiers, sous-officiers, caporaux et soldats du 126e qui ont donné leur vie pour la France".
cote : 19 BRI S (Médiathèque de Brive).
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Le Grand Tailhada ou Les Limousins au front Récit romancé de la Grande Guerre (août 1914-mai 1915) à travers la figure héroïque du Grand Talilhada (le grand Balafré), héros de la Guerre de 1870 et son neveu Jantounet originaires de Clouzelou, près de St Léonard de Noblat.
L'Auteur précise en épilogue précise : "ces personnages dont j'ai rappelé dans leur forme truculente et pittoresque les propos tantôt graves, tantôt familiers ne sont pas des êtres chimériques inventés pour donner vie à un récit fantaisiste; ils appartiennent à l'Histoire dont ils ont écrits de la pointe de leur baïonnette les plus belles pages..."
cote : MAG.P LIM F1059
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Nos soldats s'exercent aux travaux de tranchées Eugène Alluaud est un artiste peintre issu d'une longue lignée de porcelainiers limougeauds. Lui-même évolue tout au long de sa carrière dans la porcelaine. Propriétaire d'usine, chef décorateur chez Haviland & Cie, fondateur du groupement de défense de la porcelaine de Limoges, il va créer et promouvoir la « marque Limoges ». Il deviendra conservateur du Musée de la porcelaine Adrien-Dubouché.
Mais la grande affaire de sa vie reste la peinture. Formé à l'Académie Julian, il partage son temps entre Limoges (Haute-Vienne) et Crozant (Creuse). Il y fréquente les peintres Guillaumin, Detroy, Madeline ou encore le poète Maurice Rollinat.
Pendant la Première Guerre mondiale, il dessine inlassablement les motifs de guerre qu'il a sous les yeux à Limoges, Rouen ou encore sur la ligne de front. Il se rend à plusieurs reprises près des combats pour dessiner les paysages et les soldats.
Une partie de ses dessins est éditée sous forme de fascicules par les éditions artistiques du Courrier du Centre. Chacun des 9 fascicules réunit 6 dessins héliogravés selon les thématiques suivantes : Les Hindous (1er fascicule), Les Highlanders, Les blessés, Nos soldats, Les Émigrés, Les Boches, Les Anglais, Les Indiens (2e fascicule), La Rue.
Lors des Journées du Limousin des 21 et 22 mai 1916, il dessine, afin de les vendre au profit des soldats, une série de sept assiettes et deux vide-poches en porcelaine, chaque pièce évoquant un motif militaire différent : Un blessé, Un Bleuet (1916), Les cuistots, La guerre aérienne, Le Poilu (1915), La Croix de guerre, Lancier indien (1916) pour les assiettes et Un blessé (autre dessin que celui de l'assiette) et Infanterie (1915) pour les vide-poches.
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Trois Indiens Eugène Alluaud est un artiste peintre issu d'une longue lignée de porcelainiers limougeauds. Lui-même évolue tout au long de sa carrière dans la porcelaine. Propriétaire d'usine, chef décorateur chez Haviland & Cie, fondateur du groupement de défense de la porcelaine de Limoges, il va créer et promouvoir la « marque Limoges ». Il deviendra conservateur du Musée de la porcelaine Adrien-Dubouché.
Mais la grande affaire de sa vie reste la peinture. Formé à l'Académie Julian, il partage son temps entre Limoges (Haute-Vienne) et Crozant (Creuse). Il y fréquente les peintres Guillaumin, Detroy, Madeline ou encore le poète Maurice Rollinat.
Pendant la Première Guerre mondiale, il dessine inlassablement les motifs de guerre qu'il a sous les yeux à Limoges, Rouen ou encore sur la ligne de front. Il se rend à plusieurs reprises près des combats pour dessiner les paysages et les soldats.
Une partie de ses dessins est éditée sous forme de fascicules par les éditions artistiques du Courrier du Centre. Chacun des 9 fascicules réunit 6 dessins héliogravés selon les thématiques suivantes : Les Hindous (1er fascicule), Les Highlanders, Les blessés, Nos soldats, Les Émigrés, Les Boches, Les Anglais, Les Indiens (2e fascicule), La Rue.
Lors des Journées du Limousin des 21 et 22 mai 1916, il dessine, afin de les vendre au profit des soldats, une série de sept assiettes et deux vide-poches en porcelaine, chaque pièce évoquant un motif militaire différent : Un blessé, Un Bleuet (1916), Les cuistots, La guerre aérienne, Le Poilu (1915), La Croix de guerre, Lancier indien (1916) pour les assiettes et Un blessé (autre dessin que celui de l'assiette) et Infanterie (1915) pour les vide-poches.
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Lecture des dernières nouvelles de la guerre en attendant le départ pour le front Eugène Alluaud est un artiste peintre issu d'une longue lignée de porcelainiers limougeauds. Lui-même évolue tout au long de sa carrière dans la porcelaine. Propriétaire d'usine, chef décorateur chez Haviland & Cie, fondateur du groupement de défense de la porcelaine de Limoges, il va créer et promouvoir la « marque Limoges ». Il deviendra conservateur du Musée de la porcelaine Adrien-Dubouché.
Mais la grande affaire de sa vie reste la peinture. Formé à l'Académie Julian, il partage son temps entre Limoges (Haute-Vienne) et Crozant (Creuse). Il y fréquente les peintres Guillaumin, Detroy, Madeline ou encore le poète Maurice Rollinat.
Pendant la Première Guerre mondiale, il dessine inlassablement les motifs de guerre qu'il a sous les yeux à Limoges, Rouen ou encore sur la ligne de front. Il se rend à plusieurs reprises près des combats pour dessiner les paysages et les soldats.
Une partie de ses dessins est éditée sous forme de fascicules par les éditions artistiques du Courrier du Centre. Chacun des 9 fascicules réunit 6 dessins héliogravés selon les thématiques suivantes : Les Hindous (1er fascicule), Les Highlanders, Les blessés, Nos soldats, Les Émigrés, Les Boches, Les Anglais, Les Indiens (2e fascicule), La Rue.
Lors des Journées du Limousin des 21 et 22 mai 1916, il dessine, afin de les vendre au profit des soldats, une série de sept assiettes et deux vide-poches en porcelaine, chaque pièce évoquant un motif militaire différent : Un blessé, Un Bleuet (1916), Les cuistots, La guerre aérienne, Le Poilu (1915), La Croix de guerre, Lancier indien (1916) pour les assiettes et Un blessé (autre dessin que celui de l'assiette) et Infanterie (1915) pour les vide-poches.
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Passage des troupes en revue Eugène Alluaud est un artiste peintre issu d'une longue lignée de porcelainiers limougeauds. Lui-même évolue tout au long de sa carrière dans la porcelaine. Propriétaire d'usine, chef décorateur chez Haviland & Cie, fondateur du groupement de défense de la porcelaine de Limoges, il va créer et promouvoir la « marque Limoges ». Il deviendra conservateur du Musée de la porcelaine Adrien-Dubouché.
Mais la grande affaire de sa vie reste la peinture. Formé à l'Académie Julian, il partage son temps entre Limoges (Haute-Vienne) et Crozant (Creuse). Il y fréquente les peintres Guillaumin, Detroy, Madeline ou encore le poète Maurice Rollinat.
Pendant la Première Guerre mondiale, il dessine inlassablement les motifs de guerre qu'il a sous les yeux à Limoges, Rouen ou encore sur la ligne de front. Il se rend à plusieurs reprises près des combats pour dessiner les paysages et les soldats.
Une partie de ses dessins est éditée sous forme de fascicules par les éditions artistiques du Courrier du Centre. Chacun des 9 fascicules réunit 6 dessins héliogravés selon les thématiques suivantes : Les Hindous (1er fascicule), Les Highlanders, Les blessés, Nos soldats, Les Émigrés, Les Boches, Les Anglais, Les Indiens (2e fascicule), La Rue.
Lors des Journées du Limousin des 21 et 22 mai 1916, il dessine, afin de les vendre au profit des soldats, une série de sept assiettes et deux vide-poches en porcelaine, chaque pièce évoquant un motif militaire différent : Un blessé, Un Bleuet (1916), Les cuistots, La guerre aérienne, Le Poilu (1915), La Croix de guerre, Lancier indien (1916) pour les assiettes et Un blessé (autre dessin que celui de l'assiette) et Infanterie (1915) pour les vide-poches.
La reproduction conservée aux Archives Départementales de la Haute-Vienne, nous apprend qu'il s'agit du général Latour d'Affaure qui passe en revue les jeunes gens de la Société de préparation militaire de Limoges, au Champ de Juillet, le 21 mars 1915. Le dessin paraît dans Le Courrier du Centre du 11 avril 1915.
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Passage des troupes anglaises des Indes, Convoi de matériel et de munitions. Eugène Alluaud est un artiste peintre issu d'une longue lignée de porcelainiers limougeauds. Lui-même évolue tout au long de sa carrière dans la porcelaine. Propriétaire d'usine, chef décorateur chez Haviland & Cie, fondateur du groupement de défense de la porcelaine de Limoges, il va créer et promouvoir la « marque Limoges ». Il deviendra conservateur du Musée de la porcelaine Adrien-Dubouché.
Mais la grande affaire de sa vie reste la peinture. Formé à l'Académie Julian, il partage son temps entre Limoges (Haute-Vienne) et Crozant (Creuse). Il y fréquente les peintres Guillaumin, Detroy, Madeline ou encore le poète Maurice Rollinat.
Pendant la Première Guerre mondiale, il dessine inlassablement les motifs de guerre qu'il a sous les yeux à Limoges, Rouen ou encore sur la ligne de front. Il se rend à plusieurs reprises près des combats pour dessiner les paysages et les soldats.
Une partie de ses dessins est éditée sous forme de fascicules par les éditions artistiques du Courrier du Centre. Chacun des 9 fascicules réunit 6 dessins héliogravés selon les thématiques suivantes : Les Hindous (1er fascicule), Les Highlanders, Les blessés, Nos soldats, Les Émigrés, Les Boches, Les Anglais, Les Indiens (2e fascicule), La Rue.
Lors des Journées du Limousin des 21 et 22 mai 1916, il dessine, afin de les vendre au profit des soldats, une série de sept assiettes et deux vide-poches en porcelaine, chaque pièce évoquant un motif militaire différent : Un blessé, Un Bleuet (1916), Les cuistots, La guerre aérienne, Le Poilu (1915), La Croix de guerre, Lancier indien (1916) pour les assiettes et Un blessé (autre dessin que celui de l'assiette) et Infanterie (1915) pour les vide-poches.